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Si nous pratiquons la magie ou le mentalisme depuis un certain temps, nous avons tous un arsenal de routines que nous affectionnons, et quelques-unes que nous faisons régulièrement.

Pour autant, nous restons en recherche permanente de nouveaux effets, parfois peut-être dans un désir de perfection, voire d'épure.

Toutefois, il me semble que le "toujours plus" traduit aussi une forme de compulsivité, qui nous dit beaucoup sur nous, et qu'il convient d'explorer.

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Je suis assez d'accord avec ton analyse. J'ai les routines que j'aime, que je pratique régulièrement, mais cela ne m'empêche pas de chercher toujours de nouveaux effets, parfois pour améliorer mon répertoire (mais c'est rare), mais aussi par curiosité intellectuelle. Il y a aussi un autre volet, la création, avec le temps j'aime bien créer, adapter...

www.dedales-hypnose.fr

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Et c'est comme cela que tu as des nouveautés très rapidement dans la section vente, car la curiosité accentue l'impulsivité de l'achat... 

Nous l'avons tous fait 😉

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Pourtant je cherche toujours à aller plus loin mais j'achète de moins en moins. Mon arsenal continu de grandir malgré tous. Êtes vous sûr que la compulsivité est lié au désir de repousser les limites ? Je n'en suis pas si sûr, j'aurais même dis l'inverse car viens un moment où on cherche à aller si loin que les articles sur le marcher nous paraisse sans intérêt.

Qu'en pensez vous ?

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Le Diable me suit de jour et de nuit car il a peur d'être seul.

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Ce qui est intéressant c'est de pousser plus loin les limites d'une routine, avoir un outil dans les mains et réfléchir quoi faire d'autres que la routine de base... 

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il y a 27 minutes, thementalist13 a dit :

Ce qui est intéressant c'est de pousser plus loin les limites d'une routine, avoir un outil dans les mains et réfléchir quoi faire d'autres que la routine de base... 

Voilà un exemple qui confirme ma supposition. Si on a quelque chose entre les mains à explorer, on n'achète pas compulsivement vu qu'on est déjà trop occupé à faire joujou avec.

Le Diable me suit de jour et de nuit car il a peur d'être seul.

Publié le (modifié)

hé oui toujours plus loin, chez moi c'est une obsession...

Personnellement, je suis constamment à la recherche de nouveaux effets, je viens juste de finir de mettre au point, ma Box Card puis mon Marque Page et je j'attaque dèja un nouvel effet, mais cette fois dans la grande illusion pour le moment je n'en dis pas plus car le gribouillage sur papier est fait, mais reste du théorique, je dois procéder à sa construction et là je ne sais pas encore ce que ça va donner réellement..... la suite pour bientôt...

Modifié par MANKAI
  • J'aime 1

La critique est un médicament amére, mais la maladie la rend indispensable.

http://mankaimagie.free.fr

Publié le (modifié)

Je suis assez d'accord avec le "toujours plus" et la réflexion de Sammuel. Mais je ferai la différence entre le passionné amateur et le pro qui performe souvent.
Quand on est pro, on cherche à améliorer ce que l'on présente soit dans la technique, soit dans la présentation mais on n'est pas à l'affût du dernier tour ou matériel à la mode. On regarde et quand on effectue des retouches de répertoire, on va acheter de nouvelles choses.
Le passionné amateur aura tendance à aller se faire plaisir car il a moins de contraintes. Il peut présenter des effets et routines sans avoir forcément une logique ou une cohérence entre les effets contrairement au pro qui a forcément une ligne directrice dans ses enchaînements et sets de routines.

Modifié par Moonlight

Thierry Périchon
http://www.moonlightanimations.fr
 

Publié le (modifié)

Alors oulalalalala quel sujet intéressant !!!

Je vais décrire mon parcours par étape

ETAPE 1

Tel un jeune ignorant découvrant pour la première fois les bienfaits de calins nuptiaux, j'étais horriblement satisfait de "savoir faire" un tour et je voulais toujours en apprendre plus et des plus impressionnants ! Au début j'étais vraiment dans une spirale, chaque mois j'achetais plus.. mon dieu je vous dis pas les dépenses j'ai honte !!! Au tout début c'était des downloads, ensuite des gimmicks bien inutiles, et j'étais toujours en adoration devant des effets qui surprennent donc je voulais les faire aussi !

Ensuite j'ai commencé à comprendre gentiment que la technique et l'expérience vaut bien mieux, alors tu passes à ...

ETAPE 2

Tu commences à chercher plus en profondeur et éviter les "attrapes-débutants" on va dire, mais j'étais quand même attiré par la soif d'apprendre et la quête de diversité, alors ça dépensait toujours autant mais dans des choses qui en valent la peine, beaucoup de livres, beaucoup de DVD, donc moins de déception, mais toujours le même assèchement budgetaire...

ETAPE 3

Après avoir acquis tes connaissances, tu commences à te forger un répertoire, une sorte d'identité et tu te diriges enfin vers une magie qui te correspond, tu trouves ton petit chemin et commence à performer, tu t'améliores et tu te centres sur tes seuls intérêts et n'est même plus attiré par la première des nouveautés sortie.. Le problème c'est que quand tu dépenses, c'est des trucs qui coûtent une blinde (merci Sylvain Vip et Maxime Schucht :|)

Donc en résumé l'étape une correspondait à ma grosse période acheteur compulsif... J'en ai honte si vous saviez les pesos qui y sont passés, mais bon on apprend des erreurs. L'étape deux il faut l'avouer était aussi une sorte de compulsion mais cette fois-ci intelligente. Et l'étape trois il faut dire que maintenant je me gère (je crois), plus besoin d'acheter si ou ça, mais pareil dès qu'un truc très intéressant et que j'étudie pointe le bout du nez, hop on ajoute.

Bref, il faut se faire plaisir dans la vie tout de même, mais oui pour ma part le "toujours plus" m'a bien pris et je l'appaise encore avec le temps.

Modifié par SeeksOfSpades
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La magie est un art qui se regarde avec les yeux, pas avec le cerveau. 9_9

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Moi qui suis un récent amateur passionné, je me sens très concerné par ce "toujours plus" compulsif. Pas forcément au niveau des achats (mon budget est très limité), mais plutôt au niveau des connaissances et des savoir-faire. Contrairement à beaucoup d'entre vous qui avez déjà un bagage conséquent, je suis encore en train de découvrir beaucoup d'effets et de techniques courantes. Je suis donc déjà motivé par le besoin de ne plus être "inculte". 

Le problème est que la limite entre techniques de bases à connaître absolument  et connaissances bonus une fois que l'on a déjà acquis un bon niveau n'est pas si claire que ça !

Je m'intéresse à la magie depuis un peu plus de 2 ans et je m'entraîne surtout durant les vacances scolaires (je suis enseignant). Je connais les techniques de base en cartomagie et magie des pièces et maîtrise un certain nombre de routines de niveau débutant à intermédiaire qu'on peut trouver sur des DVD de Berbard Bilis, Roberto Giobbi, et quelques unes (les plus simples) sur ceux de David Stone, David Roth, ou dans les VBO de Vernon, Lorayne.... 

Je constate que je suis souvent obligé de me faire violence pour ne pas passer mon temps à rechercher de nouvelles choses, et pour passer plus de temps à peaufiner ce que je sais déjà faire et à élaborer de vraies présentations

Ce qui m'a attiré dans la magie, c'est l'émotion qu'elle procure et les univers artistiques dans lesquels elle nous emporte. Je pense qu'il ne faut jamais oublier cela et ne pas se focaliser sur Ie besoin d'être "aussi fort que les autres". Les grands magiciens sont capables de nous transporter avec des techniques pas toujours aussi compliquées qu'on le croirait a priori. Parceque ce qu'il font, il le font à la perfection, en ne négligeant aucun aspect et en ayant développé leur personnalité qui les rend si uniques.  

En résumé, il faut se construire peu à peu un répertoire personnel que l'on maîtrise vraiment et ne pas se perdre en se dispersant. 

Après, c'est une question d'équilibre, la soif de connaissance et de découverte est également vitale et importante. Les grands artistes disent souvent qu'ils continuent à apprendre tout le temps.

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Fredopathe

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    • Bonjour, Heureux si j'ai pu partager avec certains quelques unes des émotions ressenties pendant les six jours de cette FISM. À propos d'émotions, le numéro du 1er prix en magie de salon en débordait. (précision : lors de son second passage sur "Fool Us" le tout début de ce numéro a déjà été montré : si vous ne l'avez pas déjà vu...alors tant mieux, gardez-vous de le regarder, vous vous gâcheriez une partie du plaisir de la version intégrale) *** Asi WIND dans « Incredibly Human » ou Derren BROWN dans son dernier livre se posent la même question : pour que dans un spectacle vivant et interactif une émotion sincère puisse naître, il faut que surgisse une connexion authentique entre l’artiste et son public. Dès lors, comment concilier en magie cette authenticité de la relation humaine avec un art qui est, lui, tout entier tourné vers l’artifice ? Ce jeudi 17 juillet à TURIN au matin, lors de la compétition de magie de salon, Mortenn CHRISTIANSEN a à sa manière si particulière fait surgir cette bouffée d’humanité dans un auditorium comble. *** Dès le départ tout est allé de travers pour le candidat danois Mortenn CHRISTIANSEN, appelé sur scène alors qu’il n’était absolument pas prêt. Mais alors pas prêt du tout, du tout, du tout. Le jeune homme bien portant boulottait des chips en douce dans les coulisses au moment d’entrer en scène, mais dans la précipitation, c’est la cata : sa main droite s’est coincée dans son tube de chips. Son désarroi est palpable. Pour tenter de sauver la mise de demander malgré tout une carte à un spectateur (Shawn FARQUHAR s’y colle, va pour le 4 de cœur) avant de s’apercevoir que son paquet de cartes est coincé dans la poche arrière droite de son pantalon -pas de bol, pile du côté de sa main bloquée dans le paquet de chips : au prix de moult contorsions Mortenn parvient à faire remonter peu à peu le paquet de cartes qui émerge de sa poche et finit par chuter sur scène. Il le ramasse de sa seule main libre -la gauche- sort les cartes et enchaine une série de piètres manipulations d’une main. Les maladresses succèdent aux maladresses, Mortenn peste, marmonne combien il n’était pas prêt, laisse lamentablement choir toujours plus de cartes, bref sa prestation tourne à l’embarras complet. Mais attendez, voilà que Mortenn ne tient plus qu’une seule carte, dos au public…se pourrait-il ? *** À cet instant la routine bascule : Mortenn fanfaronne : « Eh eh…vous avez cru que je n’étais pas prêt…et bien c’était pour de faux, j’étais prêt, archi-prêt… ». Qu’on se le tienne pour dit, on va voir ce qu’on va voir. Non pas bien sûr que quiconque dans la salle ait réellement cru à la farce de Mortenn pas prêt – même si cette séquence du pauvre garçon en prise aux pires coups du sort aura quand même suffit à susciter notre empathie immédiate envers lui-, mais nous voilà, nous dans la salle, passés en un clin d’œil de spectateurs à spect-acteurs, projetés dans le rôle qui nous est assigné : celui d’adultes face à un petit enfant trop content d’avoir roulé son monde dans la farine ; et nous allons, pour lui faire plaisir, faire comme si nous avions effectivement gobé la bonne blague de sa déroute feinte. Par sa personnalité scénique et sa mise en scène, ayé, le (vrai) tour est joué : le bras de fer potentiel public-magicien est illico désamorcé, nous consentons à entrer dans le monde de Mortenn, nous jouons à faire comme si nous avions vraiment cru qu’il était pris de court, et ainsi nous nous livrons pieds et poings liés au garnement. Mortenn est un enfant mais pas à la manière mettons d’un Rubi FEREZ- enfant lunaire, rayonnant et malicieux, qui s’émerveille de tout. Non, pour Mortenn le monde est vaste et compliqué ; puéril et hypersensible (donc hyper-attachant) il est en butte aux gens et aux choses qui le rendent bien, bien, malheureux. Et la magie est son salut. Et la vraie magie est que tout le reste de la routine va puiser sa justification précisément dans le personnage même de Mortenn CHRISTIANSEN, dans sa « revanche » face aux grandes personnes. *** Car à cet instant la routine bascule aussi en termes de nature d’effet magique : on va passer d’une démonstration burlesque d’habilité à retrouver une carte par des manipulations faussement maladroites, à un tout autre effet : une prédiction. Ou plutôt des prédictions. Les magiciens ont sans doute tendance à surestimer l’impact réel des effets de prédiction sur leur public, et, pour donner un semblant de construction dramatique à leur numéro, à multiplier les révélations sur le mode : « vous avez librement choisi le 4 de cœur…observez miracle ! C’est la seule carte à dos rouge dans ce paquet bleu… non seulement cela, mais j’ai aussi un 4 de cœur tatoué sur mon bras…et attendez un peu…une carte et une seule dans mon portefeuille le 4 de cœur… ». Le kicker jusqu’à plus soif. La surenchère de prédictions au lieu de décupler l’effet bien souvent l’amoindrit. On avait saisi le message dès la première prédiction révélée : ok le magicien a prévu l’avenir, quel besoin a-t-il donc de nous le « prouver » encore et encore ? L’insistance superflue éveille la suspicion : lors d’un spectacle vu il y a quelques temps j’entendis ainsi soupirer un spectateur au moment de la « trop parfaite » énième révélation : « Bon ok donc c’est le 4 de cœur tous les soirs... » (sic) (pages 46-47 de « Notes from a Fellow Traveler » D.BROWN explique la réécriture du final de son show « Enigma » suite à un exemple semblable d’accumulations d’effets redondants qui s’affaiblissaient mutuellement au lieu de créer la montée dramatique escomptée). Mortenn CHRISTIANSEN va réemployer cette structure « discutable » et lui aussi multiplier les prédictions de la carte choisie -au moins 5 de mémoire : alors pourquoi ici cela fonctionne-t-il si bien, jusqu’à déclencher une standing ovation ? Premièrement le choix initial est on ne peut plus convaincant, transparent : le spectateur nomme librement la première carte qui lui passe par la tête -le jeu n’est même pas encore sorti, et puis quelles manipulations possibles avec une main fourrée dans un paquet de chips ? Comme notre esprit rationnel est tranquillisé de ce côté-ci par une procédure rapide et limpide, il va se faire d’autant plus facilement submerger ensuite par notre esprit émotionnel. Car, deuxièmement, l’accumulation de révélations de prédictions de cette carte est motivée dramatiquement (et donc notre esprit rationnel le cède d’autant plus aisément à notre esprit émotionnel) : c’est juste le personnage immature de Mortenn qui piaffe ; il nous a bien eu, et vlan, vlan, vlan, prédiction après prédiction, le petit enfant jubile d’avoir joué un si bon tour à ces grands bêtas d’adultes. Et nous qui avions si volontiers consenti à entrer dans son jeu nous voilà refaits, désarçonnés face à une avalanche d’impossibilités grandissantes. Ici c’est donc du personnage que part la construction dramatique de la routine et sa multiplication des effets de prédictions. Et non pas d’un personnage de magicien surplombant qui pour accroitre son prestige, prédictions après prédictions, essaierait (vainement) d’étoffer le mystère ; mais bien d’un personnage enfantin qui a gagné notre sympathie et que l’on regarde tendrement trépigner d’avoir enfin le dessus sur les « grandes » personnes que nous sommes. Le martèlement des effets reflète la psychologie de Mortenn. D’un point de vue magique, la rafale de révélations sature notre esprit rationnel : à peine est-il parti en chasse d’un début d’explication potentielle d’une des prédictions qu’une autre surgit encore plus mystérieuse (on n’est pas ici face à un même effet strictement répété avec des méthodes différentes qui se protègent mutuellement - voir la carte ambitieuse dans "Le Chemin Maqique" de J.TAMARIZ- mais bien face à une même carte prédite de manières très variées). Le crescendo est assuré par l’animation puérile croissante du personnage trop content de nous avoir bien eus, par des prédictions de plus en plus incompréhensibles donc (variées aussi en échelle et supports), et enfin par une série d’effets annexes qui rythment l’emballement final du numéro et brisent l’enchainement de prédictions seules : production de deux verres de jus d’orange, une carte transformée en chips, une autre en écouteurs, et même un quick change mi-foiré - l’enfant Mortenn a mis sa chemise à l’envers. Et tout cela en harmonie avec le personnage :  on se souvient comment il avait au début joué sans ambages de sa morphologie pour péniblement extraire les cartes de son pantalon (d’ailleurs comme un callback il se dandinera une seconde fois au cours de la routine pour extraire une seule carte de son autre poche arrière), c’est cette sincérité-là vis-à-vis de ce qu’il est, physiquement et mentalement, qui fait qu’on se figure assez Mortenn se couper d’un monde compliqué pour lui avec ses écouteurs, en mangeant ses chips, parfois même peut-être essaye-t-il de socialiser en offrant des verres de jus d’orange sans voir qu’on rigole dans son dos de ce qu’il est mal fagoté. Tout un petit monde, toute une humanité simple, dans les pas dix minutes d’un « bête » tour de cartes. *** Plus tard ce même jour alors que j’évoque avec Shawn FARQUHAR son documentaire « Lost in the Shuffle » il soupire, soulagé : enfin quelqu’un qui lui parle d’autre chose que de ce satané 4 de cœur de la compétition du matin avec Mortenn CHRISTIANSEN. Il a visiblement été assailli toute la journée par des spectateurs persuadés de sa complicité avec le magicien danois – une complicité pourtant clairement interdite par le règlement du concours. Le 4 de cœur ?, me dit-il, c’est tout simplement la carte qui avait été choisie lors de sa propre victoire à la FISM en 2009.
    • Les réponses ici, et c’est impressionnant :   
    • Merci Otto pour ton compte-rendu très agréable à lire, tout en légèreté. J'en déduis que Voronin est quelqu'un de simple et de très sympa en plus d'être un grand artiste. Avec Finn Jon et Oguz Engin, il fait partie des quelques magiciens que j'aimerai rencontrer depuis que je suis gamin mais pour lesquels l'occasion ne s'est pas encore présentée. Par contre j'ai du mal avec la vodka mais mon père fait un très bon ratafia, ça fera l'affaire pour trinquer avec lui et les copains le jour venu.  
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