Aller au contenu
Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !

Recommended Posts

Publié le

Bonjour,

Je suis surpris que les conférences de magie soient systématiquement réservées aux magiciens.
Ne serait-il pas envisageable de diviser les conférences en
- une partie de spectacle, où un public plus vaste serait convié
- une seconde partie d'explications pour les magiciens

Certes, c'est probablement plus difficile à mettre en oeuvre, mais j'y vois quelques avantages séduisants:
- possibilité pour les magiciens de voir le conférencier face à un "vrai" public et observer les réactions de ce public (ben oui, lui, avec un simple FP et un foulard, fait des miracles)
- popularisation de la magie (combien de moldus adoreraient avoir l'occasion de voir ces incroyables artistes des 4 coins du monde ?... qu'à aujourd'hui... ils ne verront jamais...)
- retombées financières plus intéressantes pour le conférencier/club 

A votre connaissance, cela a-t-il déjà été mis en oeuvre ? Quel en a été le résultat ?

Merci :)
 

Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
Publié le

Oui, cela a déjà été mis en oeuvre à Strasbourg... ils sont d'ailleurs restés pour toute la conférence....et alors....où est le problème ? Le public était ravi d'entrer dans ce monde mystérieux...et plein d'admiration pour cet ART ...certains sont maintenant magiciens !

A l'heure d'internet, certains secrets n'ont plus de secret....Est-ce un bien ? est-ce un mal ?

C'est un peu la question de ce post....

http://www.francistabary.fr/

Créer est divin, copier est humain .

Publié le

Franchement quand on voit le travail que représente un bon spectacle de magie on serait très tenté de proposer la conférence au public pour qu'il voit aussi que LE TRUC est dérisoire.

On est pas admiratif d'un ballet pour le saut de biche du danseur étoile mais pour l'enchaînement de sa prestation qui, en fait, nous transmet de l'émotion.

Bien sûr la magie est basée sur le secret mais dans ce cas là le spectateur passionné ne mérite pas autant ce savoir que tonton Gaston qui a juste sorti son porte-monnaie dans le magasin de trucs du coin de la rue ?

Pour moi le spectateur qui se déplace, qui paie sa place et qui est assez curieux pour en connaître plus sur notre art, mérite plus d'attention que le pseudo magicien qui divulgue à tout va les secrets qui ne sont pas les siens sur le net et à n'importe qui.

Mais heureusement et quoiqu'on en dise  une grande partie du public se fout royalement du modus operandi et souhaite rester devant la magie innocent pour conserver encore ce qu'il y a de plus beau en eux; Leur âme d'enfant.

  • J'aime 1

Si Dieu existe j'espère qu'il a une bonne excuse.

Woody Allen

Publié le (modifié)
il y a une heure, Valar a dit :

Bonjour,

Je suis surpris que les conférences de magie soient systématiquement réservées aux magiciens.
Ne serait-il pas envisageable de diviser les conférences en
- une partie de spectacle, où un public plus vaste serait convié
- une seconde partie d'explications pour les magiciens

Certes, c'est probablement plus difficile à mettre en oeuvre, mais j'y vois quelques avantages séduisants:
- possibilité pour les magiciens de voir le conférencier face à un "vrai" public et observer les réactions de ce public (ben oui, lui, avec un simple FP et un foulard, fait des miracles)
 

Olàlà mais ça va obliger tous les vendeurs tupperware à travailler devant un vrai public ! Vous n'y pensez pas...

Modifié par Invité
Publié le

Si on transforme les formations en spectacle plus explication, il n’y a pas loin à transformer les spectacles en spectacle plus explications, non ?

Et donc, pourquoi ne pas expliquer tout ce qu’on fait, à la suite de nos spectacles ?

Après tout, certains le font, il n’y a qu’à voir la compagnie du Phalène…

Ça devient n’importe quoi…

Où est l’intérêt de donner des explications à du public ?

Former plus de magiciens ?

Pour quoi faire ?

Faire marcher le commerce ? Vous ne pensez pas qu’il y a déjà bien assez de moyens pour se former à la magie ?

Le secret est peut-être plus dur à conserver de nos jours, mais que la formation des magiciens se fasse en public, c’est apporter les tutos YouTube dans la vraie vie…

Sans le secret, la magie n’est qu’une jonglerie même pas drôle.

On ne peut empêcher un curieux motivé de se faufiler dans une conférence (on ne demande pas de carte à l’entrée, juste un chèque…), mais institutionnaliser cela, cela me hérisse le poil…

 

Alors, oui, c’est sympa d’avoir un rendu sur du vrai public, pour voir ce que ça donne.

Mais le plus souvent, on se rend compte du rendu, avec un minimum d’expérience…

Et de toute façon, le fameux « rendu » ne tient pas la plupart du temps à la partie technique, mais aux qualités d’interprétation du conférencier :

Le rendu peut être différent, avec un autre interprète, c’est pour cela qu’on a plus ou moins d’affinité avec un tour, qui peut nous convenir ou pas.

 

Bref, pour moi, c’est non.

 

Gilbus

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

Publié le

Impliquer les spectateurs dans l'explication, pour ma part, je suis a priori contre... Et surtout, contre le fait de communiquer sur du débinage pour attirer les gens ! C'est bien pour cela que je distingue deux parties...

Mais je vois des gens autour de moi qui aiment profondément la magie... pour l'expérience extraordinaire que nous sommes à même de leur proposer, pas pour comprendre... pour ce sentiment que nous oublions progressivement, de se confronter au merveilleux, à l'impossible, au miraculeux.

Et ces gens-là, friands de magie, ne verront probablement jamais ces artistes fabuleux qui, sous le couvert de tournées de conférence, sillonnent le monde (certes, les vendeurs de tupperware ne sont pas concernés ;) , d'ailleurs ils ne m'intéressent guère, en général...)

Créer la rencontre, faire des gens heureux, observer la rencontre, ne me semble pas dénué d'intérêt, et je suis surpris que cela ne soit pas généralisé... peut-être cela pose-t-il des problèmes qui m'échappent complètement... (la langue ? l'effort supplémentaire d'organisation pour le club ? l'effort artistique supplémentaire pour "certains" conférenciers" ?)

J'adore voir des collègues présenter de la magie à un vrai public, je trouve cela enrichissant, alors des pointures...

J'ai par exemple souvenir d'une conférence de James Brown à Paris... autour de moi, je n'entendais que des critiques de type "déjà vu" ou "je ne me suis pas fait avoir", etc... alors que j'avais eu personnellement la chance de présenter, beaucoup moins bien que lui, certaines de ses routines à un vrai public, et j'étais stupéfait de la très forte réaction suscitée... la présence d'un vrai public aurait peut-être "replacé l'église au milieu du village" (comme on dit par chez moi :) )

 

  • J'aime 1

Rejoins la conversation !

Tu peux publier maintenant et t'enregistrer plus tard. Si tu as un compte, connecte-toi maintenant pour publier avec ton identité.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Restaurer la mise en forme

  Only 75 emoji are allowed.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédemment saisis, a été restauré..   Effacer le contenu

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.



  • Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
  • Messages

    • Je reviens au sujet du livre, car c'est ce que j'ai choisi comme lecture récréative pour les vacances. La citation de Pierre Etaix sur la 4e de couverture a failli me faire passer pour un intellectuel auprès de mes beaux-parents (chez qui je passe une partie desdites vacances) parce qu'ils sont très... "Télérama". Mais j'ai senti à la tête de belle-Maman quand elle a vu la couverture (pourtant dudit Pierre Etaix) et à l'attitude de beau-Papa quand il a feuilleté le livre que leur furtif espoir de s'être trompés sur le compte du zigoto choisi par leur fille pour leur faire des petits-enfants avait encore été déçu.  J'en suis à la page 183, ça se lit agréablement. C'est étonnamment bien écrit pour quelqu'un qui a appris le français en écoutant Coluche. Je me suis marré plusieurs fois à voix haute et j'ai été étonné d'y trouver quelques remarques qui m'ont fait réfléchir sur la construction d'un numéro (dans le chapitre consacré au Champion de l'élégance). Par contre, je ne regarderai plus jamais les saucisses de Strasbourg de la même manière.  Une remarque négative, cependant, à @Otto WESSELY : pourquoi ne pas avoir mis la photo de la page 174 EN COULEURS, vu que tu dis qu'elle est belle en couleurs ?! Quelle frustration ! (Les autres, je vous entends penser "Frustration totale !", je lis dans vos pensées, je suis le plus grand des mentalistes). Je la trouve super, j'aimerais l'avoir en haute résolution pour l'imprimer en poster. Merci d'avance. Bisous. Un admirateur  (Je n'ai pas le courage de me taper les 36 pages du sujet pour voir si la question de ladite photo a déjà été soulevée)
    • Et si l'on parle de "bouffée de l'humanité" : quelques portraits de la Fism à Rimini, là où l'humanité était encore plus palpable.... Qui me cite les noms ?   
    • Bonjour, Heureux si j'ai pu partager avec certains quelques unes des émotions ressenties pendant les six jours de cette FISM. À propos d'émotions, le numéro du 1er prix en magie de salon en débordait. (précision : lors de son second passage sur "Fool Us" le tout début de ce numéro a déjà été montré : si vous ne l'avez pas déjà vu...alors tant mieux, gardez-vous de le regarder, vous vous gâcheriez une partie du plaisir de la version intégrale) *** Asi WIND dans « Incredibly Human » ou Derren BROWN dans son dernier livre se posent la même question : pour que dans un spectacle vivant et interactif une émotion sincère puisse naître, il faut que surgisse une connexion authentique entre l’artiste et son public. Dès lors, comment concilier en magie cette authenticité de la relation humaine avec un art qui est, lui, tout entier tourné vers l’artifice ? Ce jeudi 17 juillet à TURIN au matin, lors de la compétition de magie de salon, Mortenn CHRISTIANSEN a à sa manière si particulière fait surgir cette bouffée d’humanité dans un auditorium comble. *** Dès le départ tout est allé de travers pour le candidat danois Mortenn CHRISTIANSEN, appelé sur scène alors qu’il n’était absolument pas prêt. Mais alors pas prêt du tout, du tout, du tout. Le jeune homme bien portant boulottait des chips en douce dans les coulisses au moment d’entrer en scène, mais dans la précipitation, c’est la cata : sa main droite s’est coincée dans son tube de chips. Son désarroi est palpable. Pour tenter de sauver la mise de demander malgré tout une carte à un spectateur (Shawn FARQUHAR s’y colle, va pour le 4 de cœur) avant de s’apercevoir que son paquet de cartes est coincé dans la poche arrière droite de son pantalon -pas de bol, pile du côté de sa main bloquée dans le paquet de chips : au prix de moult contorsions Mortenn parvient à faire remonter peu à peu le paquet de cartes qui émerge de sa poche et finit par chuter sur scène. Il le ramasse de sa seule main libre -la gauche- sort les cartes et enchaine une série de piètres manipulations d’une main. Les maladresses succèdent aux maladresses, Mortenn peste, marmonne combien il n’était pas prêt, laisse lamentablement choir toujours plus de cartes, bref sa prestation tourne à l’embarras complet. Mais attendez, voilà que Mortenn ne tient plus qu’une seule carte, dos au public…se pourrait-il ? *** À cet instant la routine bascule : Mortenn fanfaronne : « Eh eh…vous avez cru que je n’étais pas prêt…et bien c’était pour de faux, j’étais prêt, archi-prêt… ». Qu’on se le tienne pour dit, on va voir ce qu’on va voir. Non pas bien sûr que quiconque dans la salle ait réellement cru à la farce de Mortenn pas prêt – même si cette séquence du pauvre garçon en prise aux pires coups du sort aura quand même suffit à susciter notre empathie immédiate envers lui-, mais nous voilà, nous dans la salle, passés en un clin d’œil de spectateurs à spect-acteurs, projetés dans le rôle qui nous est assigné : celui d’adultes face à un petit enfant trop content d’avoir roulé son monde dans la farine ; et nous allons, pour lui faire plaisir, faire comme si nous avions effectivement gobé la bonne blague de sa déroute feinte. Par sa personnalité scénique et sa mise en scène, ayé, le (vrai) tour est joué : le bras de fer potentiel public-magicien est illico désamorcé, nous consentons à entrer dans le monde de Mortenn, nous jouons à faire comme si nous avions vraiment cru qu’il était pris de court, et ainsi nous nous livrons pieds et poings liés au garnement. Mortenn est un enfant mais pas à la manière mettons d’un Rubi FEREZ- enfant lunaire, rayonnant et malicieux, qui s’émerveille de tout. Non, pour Mortenn le monde est vaste et compliqué ; puéril et hypersensible (donc hyper-attachant) il est en butte aux gens et aux choses qui le rendent bien, bien, malheureux. Et la magie est son salut. Et la vraie magie est que tout le reste de la routine va puiser sa justification précisément dans le personnage même de Mortenn CHRISTIANSEN, dans sa « revanche » face aux grandes personnes. *** Car à cet instant la routine bascule aussi en termes de nature d’effet magique : on va passer d’une démonstration burlesque d’habilité à retrouver une carte par des manipulations faussement maladroites, à un tout autre effet : une prédiction. Ou plutôt des prédictions. Les magiciens ont sans doute tendance à surestimer l’impact réel des effets de prédiction sur leur public, et, pour donner un semblant de construction dramatique à leur numéro, à multiplier les révélations sur le mode : « vous avez librement choisi le 4 de cœur…observez miracle ! C’est la seule carte à dos rouge dans ce paquet bleu… non seulement cela, mais j’ai aussi un 4 de cœur tatoué sur mon bras…et attendez un peu…une carte et une seule dans mon portefeuille le 4 de cœur… ». Le kicker jusqu’à plus soif. La surenchère de prédictions au lieu de décupler l’effet bien souvent l’amoindrit. On avait saisi le message dès la première prédiction révélée : ok le magicien a prévu l’avenir, quel besoin a-t-il donc de nous le « prouver » encore et encore ? L’insistance superflue éveille la suspicion : lors d’un spectacle vu il y a quelques temps j’entendis ainsi soupirer un spectateur au moment de la « trop parfaite » énième révélation : « Bon ok donc c’est le 4 de cœur tous les soirs... » (sic) (pages 46-47 de « Notes from a Fellow Traveler » D.BROWN explique la réécriture du final de son show « Enigma » suite à un exemple semblable d’accumulations d’effets redondants qui s’affaiblissaient mutuellement au lieu de créer la montée dramatique escomptée). Mortenn CHRISTIANSEN va réemployer cette structure « discutable » et lui aussi multiplier les prédictions de la carte choisie -au moins 5 de mémoire : alors pourquoi ici cela fonctionne-t-il si bien, jusqu’à déclencher une standing ovation ? Premièrement le choix initial est on ne peut plus convaincant, transparent : le spectateur nomme librement la première carte qui lui passe par la tête -le jeu n’est même pas encore sorti, et puis quelles manipulations possibles avec une main fourrée dans un paquet de chips ? Comme notre esprit rationnel est tranquillisé de ce côté-ci par une procédure rapide et limpide, il va se faire d’autant plus facilement submerger ensuite par notre esprit émotionnel. Car, deuxièmement, l’accumulation de révélations de prédictions de cette carte est motivée dramatiquement (et donc notre esprit rationnel le cède d’autant plus aisément à notre esprit émotionnel) : c’est juste le personnage immature de Mortenn qui piaffe ; il nous a bien eu, et vlan, vlan, vlan, prédiction après prédiction, le petit enfant jubile d’avoir joué un si bon tour à ces grands bêtas d’adultes. Et nous qui avions si volontiers consenti à entrer dans son jeu nous voilà refaits, désarçonnés face à une avalanche d’impossibilités grandissantes. Ici c’est donc du personnage que part la construction dramatique de la routine et sa multiplication des effets de prédictions. Et non pas d’un personnage de magicien surplombant qui pour accroitre son prestige, prédictions après prédictions, essaierait (vainement) d’étoffer le mystère ; mais bien d’un personnage enfantin qui a gagné notre sympathie et que l’on regarde tendrement trépigner d’avoir enfin le dessus sur les « grandes » personnes que nous sommes. Le martèlement des effets reflète la psychologie de Mortenn. D’un point de vue magique, la rafale de révélations sature notre esprit rationnel : à peine est-il parti en chasse d’un début d’explication potentielle d’une des prédictions qu’une autre surgit encore plus mystérieuse (on n’est pas ici face à un même effet strictement répété avec des méthodes différentes qui se protègent mutuellement - voir la carte ambitieuse dans "Le Chemin Maqique" de J.TAMARIZ- mais bien face à une même carte prédite de manières très variées). Le crescendo est assuré par l’animation puérile croissante du personnage trop content de nous avoir bien eus, par des prédictions de plus en plus incompréhensibles donc (variées aussi en échelle et supports), et enfin par une série d’effets annexes qui rythment l’emballement final du numéro et brisent l’enchainement de prédictions seules : production de deux verres de jus d’orange, une carte transformée en chips, une autre en écouteurs, et même un quick change mi-foiré - l’enfant Mortenn a mis sa chemise à l’envers. Et tout cela en harmonie avec le personnage :  on se souvient comment il avait au début joué sans ambages de sa morphologie pour péniblement extraire les cartes de son pantalon (d’ailleurs comme un callback il se dandinera une seconde fois au cours de la routine pour extraire une seule carte de son autre poche arrière), c’est cette sincérité-là vis-à-vis de ce qu’il est, physiquement et mentalement, qui fait qu’on se figure assez Mortenn se couper d’un monde compliqué pour lui avec ses écouteurs, en mangeant ses chips, parfois même peut-être essaye-t-il de socialiser en offrant des verres de jus d’orange sans voir qu’on rigole dans son dos de ce qu’il est mal fagoté. Tout un petit monde, toute une humanité simple, dans les pas dix minutes d’un « bête » tour de cartes. *** Plus tard ce même jour alors que j’évoque avec Shawn FARQUHAR son documentaire « Lost in the Shuffle » il soupire, soulagé : enfin quelqu’un qui lui parle d’autre chose que de ce satané 4 de cœur de la compétition du matin avec Mortenn CHRISTIANSEN. Il a visiblement été assailli toute la journée par des spectateurs persuadés de sa complicité avec le magicien danois – une complicité pourtant clairement interdite par le règlement du concours. Le 4 de cœur ?, me dit-il, c’est tout simplement la carte qui avait été choisie lors de sa propre victoire à la FISM en 2009.
  • Statistiques des membres

    • Total des membres
      8225
    • Maximum en ligne
      4524

    Membre le plus récent
    Claude MAUGUIT
    Inscription
  • Statistiques des forums

    • Total des sujets
      84k
    • Total des messages
      679k

×
×
  • Créer...