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Le 13/06/2017 à 11:06, lilyjane13 a dit :

Vraiment super tour,j'adore.

Je ne pense pas que je ferais de nouveau pure telepathy....

Pure télépathie a ceci de bien qu'on regarde la carte, PUIS on mélange le petit paquet.

DC, enfin, le tour de base d'Aronson qui utilise ce principe, je n'ai pas acheté DC, lui, fait mélanger le paquet, PUIS regarder la carte.

la notion de carte perdu me semble plus forte dans PT, vu qu'on perd réellement la carte dans le paquet coupé.

DC, elle reste sur place, mais est enterrée sous d'autres cartes, bien sûr.

Bon, DC peut quasiment se faire en impromptue, avec un jeu normal, le reset est assez rapide.

PT est un peu plus lourd à mettre en place, mais on peut ensuite se servir des particularités de PT pour faire d'autres choses à suivre...

Autre possibilités: avec PT, on a la connaissance de la carte. on peut donc, a un moment, refaire mélanger tout le jeu, et faire une révélation trés libre.

Avec DC, on sait ou est la carte, mais rien d'autre ne l'identifie. il faut donc faire une étape de prise de connaissance de la carte, si on veux faire des révélations plus libres.

 

On retrouve aussi la carte parmi la totalité du jeu.

Avec PT, on ne le fait que sur une partie du jeu, celle coupée par le spectateur...a moins de changer la fin...


Le principe utilisé par DC est plus simple a mettre en œuvre, avec un jeu emprunté, incomplet etc...

Bon, les deux sont forts, de toute façon, et vont convaincre les moldus, je pense.

Gilbus

Modifié par Gilbus
  • J'aime 2

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

Publié le (modifié)

A propos de DC, Il existe un tour appelé la vingt-sixième carte dans "Royal road of card magic" datant de 1948(!) que l'on retrouve pp 77-78 de la traduction française par Richard Vollmer (intitulée la magie des cartes) qui devrait donner des idées. Il suffit de l'adapter un petit peu (tenir compte du bandeau qui peut cacher réellement le jeu au yeux du magicien) pour démonter facilement ce tour.

Modifié par WilliamSnave
complément d'information.
  • J'aime 1
Publié le
il y a une heure, Gilbus a dit :

Avec DC, on sait ou est la carte, mais rien d'autre ne l'identifie. il faut donc faire une étape de prise de connaissance de la carte, si on veux faire des révélations plus libres.

En abandonnant l'idée de jeu emprunté, on peut aussi utiliser un bon JM, avec ou sans masque.

Une question que je me pose souvent mais à laquelle personne ne m'a encore répondu : quand on porte des lunettes, peut-on utiliser un masque par dessus (sans faire clown) ? Je veux dire, en étant obligé de garder les lunettes (ceux qui savent comprendront pourquoi :)).

Card-Shark commercialise une version spéciale de PT qui a l'air intéressante, également.

Citation
Quand on veut on peut.
Publié le
Il y a 3 heures, Edler a dit :

En abandonnant l'idée de jeu emprunté, on peut aussi utiliser un bon JM, avec ou sans masque.

Une question que je me pose souvent mais à laquelle personne ne m'a encore répondu : quand on porte des lunettes, peut-on utiliser un masque par dessus (sans faire clown) ? Je veux dire, en étant obligé de garder les lunettes (ceux qui savent comprendront pourquoi :)).

Card-Shark commercialise une version spéciale de PT qui a l'air intéressante, également.

Un masque avec des lunettes, ça le fait pas trop...

J'utilise souvent une écharpe comme masque, et avec les lunettes, ce n'est pas possible: quant on serre l'écharpe, ça comprime les lunettes sur le visage...

Avec un masque genre avion, les lunettes soulèvent en général trop le masque pour être convaincantes.

Ensuite, tu peux toujours essayer avec ton matériel, tu verra... ou pas ;)

 

Gilbus

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

Publié le

Effectivement je pense que Gilbus à raison,

Les lunettes, si tu utilises un masque, ne doivent pas être présente pour assurer la cohérence des choses (le but étant de te priver de vision)

Une piste de réflexion : des lentilles +  une paire de lunette sans correction... Ce qui renforcerais l'illusion de la perte de la vue.

 

 

  • J'aime 1

Darnau

Publié le
Il y a 2 heures, Darnau a dit :

Effectivement je pense que Gilbus à raison,

Les lunettes, si tu utilises un masque, ne doivent pas être présente pour assurer la cohérence des choses (le but étant de te priver de vision)

Une piste de réflexion : des lentilles +  une paire de lunette sans correction... Ce qui renforcerais l'illusion de la perte de la vue.

 

 

Vous avez raison, merci à tous les deux. Il est vrai que se priver de vison avec un masque et garder ses lunettes pour mieux voir, cela ne fait pas très sérieux et c'est même suspect.
Bonne idée pour les lentilles et les fausses lunettes à poser c'est judicieux, mais ce n'est pas pour moi. J'en ai porté pendant 30 ans, avec succès, mais aujourd'hui avec la presbytie... impossible. Il en existe bien, dédiées à ça, mais c'est loin d'être le top. Donc, le mieux, éviter ce genre de tour et passer à autre chose.

Citation
Quand on veut on peut.
Publié le
il y a 27 minutes, Edler a dit :

... Donc, le mieux, éviter ce genre de tour et passer à autre chose.

Mais ce type de tour n'impose pas de porter un bandeau!

C'est juste une suggestion de présentation, pas une obligation.

Tu peux te contenter de tourner la tête...

Gilbus

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

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    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
    • Bonjour, Un peu plus haut en évoquant combien l''humanité" du personnage de Mortenn CHRISTIANSEN participe de la construction de son numéro, la citation de Derren BROWN que j'avais en tête est extraite de "Notes from a Fellow Traveller", page 416 :  
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