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Messieurs @Mickaël MCD @Christian GIRARD @Christian DELAMORINIERE je vous propose d'arrêter là ces échanges complètement stériles.

Nous avons d'un côté une croyance forte que rien n'arrivera à faire bouger, de l'autre une approche scientifique qui s'agace du mode de raisonnement opposé. Rien ne va vous réconcilier donc, avant que cela ne tourne au pugilat, restons-là. Merci

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La bêtise est nettement supérieure à l'intelligence car toute l'intelligence du monde ne permettra jamais de comprendre la bêtise universelle, tandis qu'un peu de bêtise suffit amplement à ne pas comprendre quoi que ce soit d'intelligent.

Philippe Geluck

Extrait de "Et vous, chat va ?"

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Il y a 6 heures, Christian DELAMORINIERE a dit :

Je réitère ma demande pour que je puisse faire moi aussi une analyse critique  de ton prompt !

Je m’abstiens de réitérer les demandes à laquelle tu n’as jamais daigné répondre. Mais à l’évidence tu n’as pas saisi la démonstration ci-dessus. On (c’est-à-dire les autres et moi) n’est pas ici pour effectuer une sorte de joute de niveau cour de récréation dans laquelle on se renvoie la balle pour démontrer… quoi au juste, des prétentions rhétoriques ? Ta question dénote que tu n’as pas intégré ce que je t’ai expliqué sur l’orientation du prompt. J’ai moi-même signalé que je n’étais pas dupe des miens et des résultats qui vont avec, donc je n’ai aucun besoin de ton hypothétique « débunkage », les critiques je sais fort bien me les administrer tout seul. 


 

Il y a 6 heures, Christian DELAMORINIERE a dit :

Concernant ChatGPT, son domaine de compétence se limite aux élucubrations.

Si tu savais à quel point tu te trompes ! C’est un outil qui peut s’avérer précieux dans moult domaines, mais certainement pas pour ce que tu en fais notamment dans VM quand tu l’utilises régulièrement pour répondre à ta place. Du coup ton message c’est l’hôpital qui se fout de la charité puisque tu es celui qui de nous tous dans VM a le plus utilisé jusqu’à l’abus les « élucubrations » (pour reprendre tes mots) de ChatGPT. Pourquoi reprendre les « élucubrations » d’un système à son propre compte ? j’avoue que j’en reste coi. 😳
 

 

Il y a 4 heures, Patricia a dit :

Messieurs @Mickaël MCD @Christian GIRARD @Christian DELAMORINIERE je vous propose d'arrêter là ces échanges complètement stériles.

Nous avons d'un côté une croyance forte que rien n'arrivera à faire bouger, de l'autre une approche scientifique qui s'agace du mode de raisonnement opposé. Rien ne va vous réconcilier donc, avant que cela ne tourne au pugilat, restons-là. Merci

Hello Patricia 😀

(J’écrivais mon message quand tu as publié le tien.)
Pour ma part je trouve le sujet constructif puisqu’il a au moins montré les biais des prompts. 
Il est bon de se confronter à des contradicteurs, ça permet de solidifier ses arguments. 

Mais bon, on peut passer à autre chose en effet, la messe est dite. 😉
 

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  • 5 weeks plus tard...
Publié le (modifié)

On n'est pas passé loin avec BLC1:
 

Citation

Google Trad. : « BLC1 ( Breakthrough Listen Candidate 1 ) était un signal radio SETI candidat détecté et observé en avril et mai 2019, et signalé pour la première fois le 18 décembre 2020, coïncidant spatialement avec la direction de l'étoile la plus proche du système solaire, Proxima Centauri. » [...] Conclusion « Le 25 octobre 2021, des chercheurs ont publié deux études concluant qu'il est peu probable que le signal soit une technosignature en raison de sa similitude avec des interférences terrestres précédemment détectées. »

Source et page Wiki complète https://en.wikipedia.org/wiki/BLC1

 

Modifié par Christian GIRARD
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  • 2 months plus tard...
Publié le (modifié)
Le 22/03/2023 à 08:57, Christian GIRARD a dit :

Jean-Claude Bourret en roue libre : il aurait reçu un extraterrestre au journal de 20 h (il a senti « comme une pieuvre, comme s’il y avait plusieurs tentacules » dans son cerveau et qui « en prenaient possession ») mais, manque de bol, le nom du personnage politique concerné (un alien donc) aurait été effacé de sa mémoire (alors que l’ancien journaliste prétend également que cette personnalité est facile à retrouver en visionnant les archives du journal entre 1975 et 1987, on se demande donc pourquoi il ne s’en occupe pas lui-même, depuis le temps, mais on n’en est plus à ça près), les « détails » ici :

Finalement Jean-Claude Bourret a demandé à l’INA de faire des recherches mais rien de concluant : on n’a pas retrouvé dans les archives « l’extraterrestre » aux tentacules psychiques (ou la personne aux pouvoirs mentaux ?) qui aurait été présent sur le plateau ce jour-là. Pas de chance hein 😉
Et comme bien souvent quand on commence à tirer sur le fils des événements ayant jalonné un parcours de « croyant » dans les phénomènes ovnis ou paranormaux on débusque d’autres anecdotes (toujours données au compte-gouttes bizarrement, au gré des parutions d’un nouveau bouquin, mais corrélation n’est pas causalité n’est-ce pas ?), bref on apprend maintenant que le journaliste a vu deux boules qui généraient de la peur (eh oui, la peur ne serait pas une émotion qui vient de soi mais il y aurait des générateurs de peur qui pourraient vous l’infuser telle quelle, allons bon !). Si vous avez le courage et l’envie d’écouter monsieur Bourret c’est ici

 

Modifié par Christian GIRARD
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  • 4 weeks plus tard...
  • 2 weeks plus tard...
Publié le (modifié)

Je partageais ma croyance il y a quelques temps sur le fait qu'on ne quittera probablement jamais notre système solaire (jusqu'au nuage d'Oort donc).

Et si l'on a déjà du mal à quitter notre système solaire ; il parait peu probable qu'une civilisation quelle qu'elle soit arrive jusqu'à nous depuis une exoplanète.

  • 4 ans pour atteindre l'exoplanète la plus proche... En voyageant à la vitesse de la lumière !
  • Avec notre vitesse maximale actuelle il faudrait : 70.000 ans ! 🤪

Bref, les ovnis existent bien mais ils sont d'origine terrestre 😎

 

Modifié par Mickaël MCD
Publié le
Le 03/02/2025 à 16:30, Mickaël MCD a dit :

Je partageais ma croyance il y a quelques temps sur le fait qu'on ne quittera probablement jamais notre système solaire (jusqu'au nuage d'Oort donc).

Et si l'on a déjà du mal à quitter notre système solaire ; il parait peu probable qu'une civilisation quelle qu'elle soit arrive jusqu'à nous depuis une exoplanète.

  • 4 ans pour atteindre l'exoplanète la plus proche... En voyageant à la vitesse de la lumière !
  • Avec notre vitesse maximale actuelle il faudrait : 70.000 ans ! 🤪

Bref, les ovnis existent bien mais ils sont d'origine terrestre 😎

 

Si on pouvait aller beaucoup plus vite, pourrait-on éviter les collisions ou avoir des véhicules assez solides pour ne pas être endommagés par des collisions ou frottements qui doivent faire mal, même avec de la poussière, à très grande vitesse ?

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Publié le
il y a 33 minutes, Stéphane BERTHO a dit :

Si on pouvait aller beaucoup plus vite, pourrait-on éviter les collisions ou avoir des véhicules assez solides pour ne pas être endommagés par des collisions ou frottements qui doivent faire mal, même avec de la poussière, à très grande vitesse ?

Probablement que non 😃

La vitesse de la lumière n'est pas la seule limitation 🙃😎😀

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    • Et si l'on parle de "bouffée de l'humanité" : quelques portraits de la Fism à Rimini, là où l'humanité était encore plus palpable.... Qui me cite les noms ?   
    • Bonjour, Heureux si j'ai pu partager avec certains quelques unes des émotions ressenties pendant les six jours de cette FISM. À propos d'émotions, le numéro du 1er prix en magie de salon en débordait. (précision : lors de son second passage sur "Fool Us" le tout début de ce numéro a déjà été montré : si vous ne l'avez pas déjà vu...alors tant mieux, gardez-vous de le regarder, vous vous gâcheriez une partie du plaisir de la version intégrale) *** Asi WIND dans « Incredibly Human » ou Derren BROWN dans son dernier livre se posent la même question : pour que dans un spectacle vivant et interactif une émotion sincère puisse naître, il faut que surgisse une connexion authentique entre l’artiste et son public. Dès lors, comment concilier en magie cette authenticité de la relation humaine avec un art qui est, lui, tout entier tourné vers l’artifice ? Ce jeudi 17 juillet à TURIN au matin, lors de la compétition de magie de salon, Mortenn CHRISTIANSEN a à sa manière si particulière fait surgir cette bouffée d’humanité dans un auditorium comble. *** Dès le départ tout est allé de travers pour le candidat danois Mortenn CHRISTIANSEN, appelé sur scène alors qu’il n’était absolument pas prêt. Mais alors pas prêt du tout, du tout, du tout. Le jeune homme bien portant boulottait des chips en douce dans les coulisses au moment d’entrer en scène, mais dans la précipitation, c’est la cata : sa main droite s’est coincée dans son tube de chips. Son désarroi est palpable. Pour tenter de sauver la mise de demander malgré tout une carte à un spectateur (Shawn FARQUHAR s’y colle, va pour le 4 de cœur) avant de s’apercevoir que son paquet de cartes est coincé dans la poche arrière droite de son pantalon -pas de bol, pile du côté de sa main bloquée dans le paquet de chips : au prix de moult contorsions Mortenn parvient à faire remonter peu à peu le paquet de cartes qui émerge de sa poche et finit par chuter sur scène. Il le ramasse de sa seule main libre -la gauche- sort les cartes et enchaine une série de piètres manipulations d’une main. Les maladresses succèdent aux maladresses, Mortenn peste, marmonne combien il n’était pas prêt, laisse lamentablement choir toujours plus de cartes, bref sa prestation tourne à l’embarras complet. Mais attendez, voilà que Mortenn ne tient plus qu’une seule carte, dos au public…se pourrait-il ? *** À cet instant la routine bascule : Mortenn fanfaronne : « Eh eh…vous avez cru que je n’étais pas prêt…et bien c’était pour de faux, j’étais prêt, archi-prêt… ». Qu’on se le tienne pour dit, on va voir ce qu’on va voir. Non pas bien sûr que quiconque dans la salle ait réellement cru à la farce de Mortenn pas prêt – même si cette séquence du pauvre garçon en prise aux pires coups du sort aura quand même suffit à susciter notre empathie immédiate envers lui-, mais nous voilà, nous dans la salle, passés en un clin d’œil de spectateurs à spect-acteurs, projetés dans le rôle qui nous est assigné : celui d’adultes face à un petit enfant trop content d’avoir roulé son monde dans la farine ; et nous allons, pour lui faire plaisir, faire comme si nous avions effectivement gobé la bonne blague de sa déroute feinte. Par sa personnalité scénique et sa mise en scène, ayé, le (vrai) tour est joué : le bras de fer potentiel public-magicien est illico désamorcé, nous consentons à entrer dans le monde de Mortenn, nous jouons à faire comme si nous avions vraiment cru qu’il était pris de court, et ainsi nous nous livrons pieds et poings liés au garnement. Mortenn est un enfant mais pas à la manière mettons d’un Rubi FEREZ- enfant lunaire, rayonnant et malicieux, qui s’émerveille de tout. Non, pour Mortenn le monde est vaste et compliqué ; puéril et hypersensible (donc hyper-attachant) il est en butte aux gens et aux choses qui le rendent bien, bien, malheureux. Et la magie est son salut. Et la vraie magie est que tout le reste de la routine va puiser sa justification précisément dans le personnage même de Mortenn CHRISTIANSEN, dans sa « revanche » face aux grandes personnes. *** Car à cet instant la routine bascule aussi en termes de nature d’effet magique : on va passer d’une démonstration burlesque d’habilité à retrouver une carte par des manipulations faussement maladroites, à un tout autre effet : une prédiction. Ou plutôt des prédictions. Les magiciens ont sans doute tendance à surestimer l’impact réel des effets de prédiction sur leur public, et, pour donner un semblant de construction dramatique à leur numéro, à multiplier les révélations sur le mode : « vous avez librement choisi le 4 de cœur…observez miracle ! C’est la seule carte à dos rouge dans ce paquet bleu… non seulement cela, mais j’ai aussi un 4 de cœur tatoué sur mon bras…et attendez un peu…une carte et une seule dans mon portefeuille le 4 de cœur… ». Le kicker jusqu’à plus soif. La surenchère de prédictions au lieu de décupler l’effet bien souvent l’amoindrit. On avait saisi le message dès la première prédiction révélée : ok le magicien a prévu l’avenir, quel besoin a-t-il donc de nous le « prouver » encore et encore ? L’insistance superflue éveille la suspicion : lors d’un spectacle vu il y a quelques temps j’entendis ainsi soupirer un spectateur au moment de la « trop parfaite » énième révélation : « Bon ok donc c’est le 4 de cœur tous les soirs... » (sic) (pages 46-47 de « Notes from a Fellow Traveler » D.BROWN explique la réécriture du final de son show « Enigma » suite à un exemple semblable d’accumulations d’effets redondants qui s’affaiblissaient mutuellement au lieu de créer la montée dramatique escomptée). Mortenn CHRISTIANSEN va réemployer cette structure « discutable » et lui aussi multiplier les prédictions de la carte choisie -au moins 5 de mémoire : alors pourquoi ici cela fonctionne-t-il si bien, jusqu’à déclencher une standing ovation ? Premièrement le choix initial est on ne peut plus convaincant, transparent : le spectateur nomme librement la première carte qui lui passe par la tête -le jeu n’est même pas encore sorti, et puis quelles manipulations possibles avec une main fourrée dans un paquet de chips ? Comme notre esprit rationnel est tranquillisé de ce côté-ci par une procédure rapide et limpide, il va se faire d’autant plus facilement submerger ensuite par notre esprit émotionnel. Car, deuxièmement, l’accumulation de révélations de prédictions de cette carte est motivée dramatiquement (et donc notre esprit rationnel le cède d’autant plus aisément à notre esprit émotionnel) : c’est juste le personnage immature de Mortenn qui piaffe ; il nous a bien eu, et vlan, vlan, vlan, prédiction après prédiction, le petit enfant jubile d’avoir joué un si bon tour à ces grands bêtas d’adultes. Et nous qui avions si volontiers consenti à entrer dans son jeu nous voilà refaits, désarçonnés face à une avalanche d’impossibilités grandissantes. Ici c’est donc du personnage que part la construction dramatique de la routine et sa multiplication des effets de prédictions. Et non pas d’un personnage de magicien surplombant qui pour accroitre son prestige, prédictions après prédictions, essaierait (vainement) d’étoffer le mystère ; mais bien d’un personnage enfantin qui a gagné notre sympathie et que l’on regarde tendrement trépigner d’avoir enfin le dessus sur les « grandes » personnes que nous sommes. Le martèlement des effets reflète la psychologie de Mortenn. D’un point de vue magique, la rafale de révélations sature notre esprit rationnel : à peine est-il parti en chasse d’un début d’explication potentielle d’une des prédictions qu’une autre surgit encore plus mystérieuse (on n’est pas ici face à un même effet strictement répété avec des méthodes différentes qui se protègent mutuellement - voir la carte ambitieuse dans "Le Chemin Maqique" de J.TAMARIZ- mais bien face à une même carte prédite de manières très variées). Le crescendo est assuré par l’animation puérile croissante du personnage trop content de nous avoir bien eus, par des prédictions de plus en plus incompréhensibles donc (variées aussi en échelle et supports), et enfin par une série d’effets annexes qui rythment l’emballement final du numéro et brisent l’enchainement de prédictions seules : production de deux verres de jus d’orange, une carte transformée en chips, une autre en écouteurs, et même un quick change mi-foiré - l’enfant Mortenn a mis sa chemise à l’envers. Et tout cela en harmonie avec le personnage :  on se souvient comment il avait au début joué sans ambages de sa morphologie pour péniblement extraire les cartes de son pantalon (d’ailleurs comme un callback il se dandinera une seconde fois au cours de la routine pour extraire une seule carte de son autre poche arrière), c’est cette sincérité-là vis-à-vis de ce qu’il est, physiquement et mentalement, qui fait qu’on se figure assez Mortenn se couper d’un monde compliqué pour lui avec ses écouteurs, en mangeant ses chips, parfois même peut-être essaye-t-il de socialiser en offrant des verres de jus d’orange sans voir qu’on rigole dans son dos de ce qu’il est mal fagoté. Tout un petit monde, toute une humanité simple, dans les pas dix minutes d’un « bête » tour de cartes. *** Plus tard ce même jour alors que j’évoque avec Shawn FARQUHAR son documentaire « Lost in the Shuffle » il soupire, soulagé : enfin quelqu’un qui lui parle d’autre chose que de ce satané 4 de cœur de la compétition du matin avec Mortenn CHRISTIANSEN. Il a visiblement été assailli toute la journée par des spectateurs persuadés de sa complicité avec le magicien danois – une complicité pourtant clairement interdite par le règlement du concours. Le 4 de cœur ?, me dit-il, c’est tout simplement la carte qui avait été choisie lors de sa propre victoire à la FISM en 2009.
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