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Il y a 3 heures, Patrick FROMENT a dit :

Bon... il est certain qu'un illusionniste va trouver quelques biais possibles dans ce protocole (notamment la question du montage vidéo et de la sélection des informations) 🙂

Eh oui. Je m'appétais à écrire un long message (j'avais commencé mais je renonce, ça fait trop de boulot) mais tu appuies déjà là où ça fait mal. 

Si on ajoute que les élèves de Maud Kristen sont en interaction avec elle depuis un moment, il s'est produit des échanges susceptibles d'orienter le choix (et la découverte) de la personne ciblée et qui plus est, la "cible" est plutôt à la mode ces derniers temps, pour de multiples raisons. La richesse de sa vie fait d'ailleurs qu'il est difficile de ne pas pointer sur un élément de son parcours d'une façon ou d'une autre. On retiendra donc qu'il n'y a pas un seul élève de Maud qui ait pu nommer précisément la personne concernée. 100 % d'échecs. 😉 

Le pire des biais (et d'ailleurs l'intérêt) étant à mon avis le côté collectif de l'expérience relatée. La somme des infos disparates (et sans doute sélectionnées au montage, car en alignant toutes les "inexactitudes" et autres données non-recadrables on pourrait concevoir une vidéo décrédibilisant totalement le propos) crée comme un portrait qui semble avoir une certaine cohérence mais isolément c'est bien moins convaincant. Par ailleurs, il existe une expérience (je n'ai plus la source, si quelqu'un peut m'aider, merci...) consistant à demander à un groupe de personnes une valeur à l'estimation, par exemple la distance entre la Terre à la Lune, puis à éliminer les valeurs trop extrêmes (par exemple une personne qui aurait répondu un millimètre, ou des milliards d'années-lumière, ce qui est absurde) et faire la moyenne, ce qui permet d'obtenir une valeur approchant souvent (?) la valeur exacte. Bon, je n'ai pas creusé le sujet mais l'idée est là. Il y a une sorte d'intelligence collective (ou un savoir collectif). 

Mais bon, Patrick, tu n'es pas dupe non plus de ce que ces montages vidéo sur YouTube ne sont finalement que des vitrines savamment montées et destinées à attirer des clients afin de participer à des "formations" payantes en lignes. 

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Publié le
Il y a 3 heures, Christian GIRARD a dit :

Par ailleurs, il existe une expérience (je n'ai plus la source, si quelqu'un peut m'aider, merci...) consistant à demander à un groupe de personnes une valeur à l'estimation, par exemple la distance entre la Terre à la Lune, puis à éliminer les valeurs trop extrêmes (par exemple une personne qui aurait répondu un millimètre, ou des milliards d'années-lumière, ce qui est absurde) et faire la moyenne, ce qui permet d'obtenir une valeur approchant souvent (?) la valeur exacte.

 

 

Je ne peux pas aider mais je suis intéressé si tu retrouves les références de cette expérience.

J'aurais en effet plutôt tendance à penser que la médiane des réponses à la demande collective non ciblée d'une valeur universelle précise (une mesure physique vaguement connue par exemple) tendrait vers un nombre totalement faux 😃

Publié le
Il y a 6 heures, Georges PERON a dit :

si tu retrouves les références de cette expérience.

Je ne sais plus où c'était précisément, et je ne valide pas spécialement toutes les "expériences" de la sorte, ce n'est pas le propos, mais ce type d'approche collective au regard du sujet en cours à sa place ici. Quelques pages Web glanées ici et là (mais en l'état juste pour montrer que l'idée d'une "force" mentale collective existe) :

La sagesse des foules

https://fr.wikipedia.org/wiki/Sagesse_de_la_foule 

La perspicacité collective

https://webinet.cafe-sciences.org/articles/etrange-perspicacite-collective-1/

Partie d'échec 50 000 joueurs amateurs affrontant  tous en même temps Kasparov :

http://www.mehdimoussaid.com/kasparov-contre-la-foule/

Extrait :

Citation

Une expérience conduite en 2012 par des chercheurs de l’école polytechnique de Zurich montre ainsi qu’une foule d’étudiants choisis au hasard est capable de répondre à des questions de culture générale de manière étonnamment précise (il suffit pour cela de calculer la moyenne des réponses de chacun). Mais lorsque les participants ont l’opportunité de discuter de la question avant de soumettre leur avis, cette capacité collective disparaît soudainement.

 

  • Merci 1
Publié le (modifié)
Citation

Sommes-nous en groupe plus à même de prendre des décisions, de juger des conséquences de nos actes, ou de produire des connaissances ? La multitude a-t-elle des vertus que l’individu n’a pas ? C’est collectivement que les auteurs réunis dans ce volume entendent répondre à ces questions, posant les fondements d’une théorie de la sagesse collective.

Estimer à une livre près le poids d’un bœuf désossé, prédire la victoire de Barack Obama aux primaires démocrates, élaborer des notices Wikipedia aussi fiables que celles de l’Encyclopædia Britannica et peut-être même, produire un meilleur système de législation que n’importe quel groupe d’experts politiques : voilà un aperçu de ce dont nous sommes collectivement capables, lorsque nous sommes suffisamment nombreux et porteurs d’informations diversifiées. Pour comprendre l’alchimie mystérieuse de la « sagesse des foules », un ouvrage collectif et pluridisciplinaire était tout indiqué : fruit d’un colloque international organisé en mai 2008 par le Collège de France, le recueil Collective Wisdom. Principles and Mechanisms réunit sous la direction de Jon Elster et d’Hélène Landemore les perspectives de théoriciens du politique (philosophes, politistes, historiens) et de l’action collective, mais aussi d’économistes, de juristes, de chercheurs en sciences cognitives et en épistémologie sociale.

Source et article complet ici :

https://laviedesidees.fr/Sagesse-des-foules.html

 

Citation

La Sagesse des foules est un livre écrit par James Surowiecki, publié en 2004, traduit en français en 2008, à propos de l'agrégation de l'information dans les groupes, résultant en évaluations qui, selon un théorème qu'il fournit, seront souvent meilleures non seulement que celles d'individus isolés du groupe, mais que la moyenne des évaluations du groupe (la différence provenant d'une prise en compte de l'information de diversité). Le livre présente plusieurs études de cas et anecdotes illustrant cette thèse. Il applique cette théorie de l'intelligence collective à plusieurs domaines dont l'économie, la politique et la psychologie. Surowiecki se penche également sur l'émergence des marchés prédictifs en tant qu'outil d'exploitation de la sagesse des foules.

Le titre est une allusion à la Folie des foules de Charles Mackay, publié en 1841.

https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Sagesse_des_foules

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Un commentaire client sur Amazon en 2009 :

Citation

 

Une théorie bien documentée, et pourtant...

Le succès en librairie des théories de l'intelligence collective, et son utilité (i.e. sa performance) dans des cas précis ne sont plus à démontrer aujourd'hui. Surowiecki nous fait plonger au cœur de ces théories et nous en déroule des exemples, des principes et des conditions d'application. Et pourtant... les "success stories" ne sont guère convaincantes. Certains succès de l'intelligence collective suppléent des erreurs triviales de management, d'autres sont basées sur des données historiquement peu fiables (l'expérience de Galton est reproduite lors de n'importe quelle kermesse d'école ou foire agricole avec le "jeu du panier" et les données ne corroborent pas forcément celles de Galton - qui avait lamentablement truqué les dessins de ses expériences sur la phrénoménologie, d'ailleurs, pour arriver aux conclusions qu'il cherchait à obtenir), et les conditions d'application sont tellement restrictives...! Eloignées du monde réel, en somme. Une théorie intéressante, mais à utiliser avec des pincettes.

 

 

Modifié par Christian GIRARD
Publié le
Il y a 17 heures, Christian GIRARD a dit :

Par ailleurs, il existe une expérience (je n'ai plus la source, si quelqu'un peut m'aider, merci...) consistant à demander à un groupe de personnes une valeur à l'estimation, par exemple la distance entre la Terre à la Lune, puis à éliminer les valeurs trop extrêmes (par exemple une personne qui aurait répondu un millimètre, ou des milliards d'années-lumière, ce qui est absurde) et faire la moyenne, ce qui permet d'obtenir une valeur approchant souvent (?) la valeur exacte. Bon, je n'ai pas creusé le sujet mais l'idée est là. Il y a une sorte d'intelligence collective (ou un savoir collectif).

La capacité prédictive du "big data" repose sur le même principe !

La parole est d’argent, mais le silence est d’or.

  • 10 months plus tard...
Publié le
Le 02/01/2020 à 16:10, Patrick FROMENT a dit :

Epictète (et d'autres) auraient pu te répondre que les choses sont toujours plus compliquées et nuancées qu'il n'y parait et qu'il est souvent plus efficace de chercher à comprendre les motivations d'un comportement déviant (ce qui n'empêche pas de le condamner aussi).

🤔 En attendant, le site Fact and Furious produit un article intitulé : « Les zones d’ombre autour du business de Bruno Charvet ». C'est ici :

https://factandfurious.com/enquetes/les-zones-dombre-autour-du-business-de-bruno-charvet

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  • 4 weeks plus tard...
Publié le

L'article cité par Christian révèle notamment les différents intervenants qui participent au business autour des prestations de Bruno Charvet. Derrière des noms de sociétés variés, on retrouve tous les membres d'une même famille, dont certains sont peut-être de simples prête-nom pour éviter le cumul de casquettes : Franck Samama, Liliane Samama, Frédérique Samama, Chloé Samama et Messodie Samama.

Visiblement, Franck est un ami de longue date de Bruno Charvet, qui est le sujet de cet article.

J'en déduis que Patrick avait peut-être tort de parler d'Epictète, alors qu'il s'agit plutôt de la tribu du sujet 😉

Au passage, avouez que "Franck Samama", c'est quand même un peu plus élégant que "Arnaud Tsamère"...

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L'important, c'est que ça valide !

  • 1 année plus tard...
Publié le (modifié)
Le 08/01/2015 à 11:41, Christian GIRARD a dit :

J'ai en partie analysé à nouveau l'émission Mystères

Quelques remarques tirées de Wikipédia à propos du présentateur de cette émission, Alexandre Baloud (on se retient sur les jeux de mot éculés svp) :

Citation

Alexandre Baloud accepta d'être le présentateur d'une émission traitant du paranormal, quand il fut contacté par le comité de la direction des programmes et fictions de TF1 durant l'été 1991. Auparavant, Alexandre Baloud avait été directeur de l'information sur M6, et durant toute sa carrière, il avait traité de sujets dits sérieux. Toutefois, il accepta de porter le projet de l'émission Mystères, et d'en devenir l'animateur, car il voulait en savoir plus sur le sujet, et surtout savoir s'il pouvait y avoir de profondes investigations, voir s'il n'y avait pas de tabous, et surtout car un tel type de projet d'émissions était vierge dans l'histoire de la télévision française.

 

Citation

Alexandre Baloud eut finalement une grosse déception : trouver des sujets d'investigations français devint de plus en plus difficile, et dans les dossiers étudiés et proposés, rares étaient ceux où le paranormal pouvait être évoqué. Un grand nombre de dossiers farfelus furent proposés, comme d'autres, tout aussi peu sérieux. Finalement, les sujets traités ne sont pas tous français. Au fil des saisons et des émissions, les reportages issus de l'émission sœur des États-Unis sont de plus en plus nombreux, avec d'autres, britanniques, ou canadiens, surtout.

 

Citation

Pour Alexandre Baloud, l'émission se met à tourner en rond et, rapidement, l'animateur et journaliste chevronné se trouve en quête de sens. De plus, la question se posait sur la nature de sa présence à cette émission, quand les sujets étaient de plus en plus en provenance des États-Unis, alors qu'il souhaitait aborder des sujets surtout français et de l'Hexagone. Il va adhérer progressivement à l'idée que tout s'expliquait scientifiquement, qu'il n'y avait pas grand-chose à découvrir, finalement, et comprendre que l'univers du paranormal était une porte ouverte à toutes sortes de dérives, avec un grand nombre de charlatans.

 

Citation

Bien des années plus tard, Alexandre Baloud saluera l'esprit cartésien du public français, et expliquera que l'expérience méritait d'être tentée, même si celle-ci fut pour lui une grande déception tant professionnelle que personnelle.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Mystères_(émission_de_télévision)

 

Citation

Après son départ de l'émission Mystères, en 1994, Alexandre Baloud va avoir des difficultés à trouver une émission de journalisme ou de médias, car souvent, il n'était plus pris au sérieux, et du fait que de nombreux professionnels du "métier" l'évitent, désormais, ou ne souhaitaient pas êtres associés avec lui. Il expliquera qu'il n'était que simplement le présentateur de l'émission Mystères, et que cette fonction n'entachait en rien sa déontologie de journaliste, et que si ce n'était pas lui qui avait présenté cette émission, un autre aurait pris la place, et cet autre serait un journaliste, car l'unité des programmes de TF1 recherchait un journaliste pour le poste.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Alexandre_Baloud

Modifié par Christian GIRARD
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    • Merci Otto pour ton compte-rendu très agréable à lire, tout en légèreté. J'en déduis que Voronin est quelqu'un de simple et de très sympa en plus d'être un grand artiste. Avec Finn Jon et Oguz Engin, il fait partie des quelques magiciens que j'aimerai rencontrer depuis que je suis gamin mais pour lesquels l'occasion ne s'est pas encore présentée. Par contre j'ai du mal avec la vodka mais mon père fait un très bon ratafia, ça fera l'affaire pour trinquer avec lui et les copains le jour venu.  
    • C'est en grande partie parce que ce congrès se déroule sur Paris. Il y a moins de contraintes (déplacements, hôtel, repas) donc l'organisation pour y aller nécessite moins de recherches et il y a des frais en moins. Si ce congrès avait lieu loin de Paris, il rencontrerait, je pense, pratiquement les mêmes problèmes que le congrès FFM. C'est aussi plus intimiste donc on se dit qu'on va un peu plus prendre son temps, échanger plus facilement avec les artistes et les autres congressistes. Pour être allé dans des congrès dans différents pays (The session en Angleterre, BMF en Belgique, FFAP en France et Masters of Magic en Italie), je dirais que ceux qui ont le public avec le plus de jeunes sont les congrès Italiens et Anglais. Pour The Session, la proximité de Londres joue indéniablement. Pour Blackpool, je n'y suis encore jamais allé mais c'est la très grande foire aux trucs qui semble être le plus gros point d'intérêt. Pour les congrès Italiens, c'est très animé avec Walter ROLFO et son équipe (entre les soirées à thème, les hall avec du mobilier qui favorisent au maximum les échanges, une ambiance toujours assez festive et surtout de très beaux plateaux, de beaux programmes). Je regrète juste qu'il ne fasse plus le congrès à Saint Vincent qui est une magnifique petite ville avec un casino qui comportait une salle de spectacle garantissant une bonne visibilité contrairement aux salles à Turin). Et pour les Français, Allemands et Suisses, ça faisait aussi moins de route. Pour revenir aux masterclass, je pense que les déceptions sont essentiellement par rapports aux masterclass dans les congrès que l'on règle en plus, parfois assez cher et qui se font sur 2h souvent et par groupe de 10 à 15, ce qui n'est pas un format adapté. Ce sont ces masterclass qui, je pense, laisse l'impression d'avoir assister plus à une conférence en petit commité qu'à une vraie masterclass. Il faut un après-midi voir une journée entière pour laisser le temps au maître de stage de voir ce que vous savez faire, évaluer votre niveau et puisse vous corriger, vous donner les bons tuyaux pour progresser. Et il ne faut selon moi ne pas être plus de 6. Mon raisonnement est le même que pour les cours de soutien que je donne à certains élèves en Physique-Chimie. Au delà de 6, en 1h de soutien, je ne peux pas passer plus de 10 min derrière chacun et ça revient à refaire un cours classique plus qu'un cours de soutien. En 1h, j'aborde les difficultés sur à peu près un chapitre donc des exercices sur un même sujet. Pour un masterclass de magie, en un après-midi, on peut envisager de travailler sérieusement 4 - 5 routines si elles sont déjà apprises (si les "élèves" savent déjà la faire mais mal et qu'il faut les corriger), moins si on part de zéro (si il faut apprendre la routine). Et puis par rapport à un cours de soutien où on sait que tous les élèves qui vont y venir sont en grande difficulté, le niveau sera plus hétérogène dans un masterclass de magie (entre celui qui maîtrise déjà bien la routine et qui veut pousser le truc plus loin, trouver des plans B ou C si il arrive ceci ou cela, trouver une accroche, une présentation et celui qui aimerait présenter la routine mais qui l'a juste vue ou lue). Il faudrait presque faire des groupes de niveaux après une première partie en commun. Mais certains n'accepteraient peut-être pas d'être mis dans les "débutants" après avoir payé cher l'entrée. Gérer les égos est aussi un obstacle parfois mais il est vrai que lorsqu'on se retrouve dans un groupe ou l'un demande à apprendre une technique de base, c'est un peu rageant pour d'autres.  
    • J'ai toujours cru qu'une masterclass était un mot un peu branché pour parler d'un atelier en petit nombre sur un thème précis. Je n'ai jamais vu de conférence se nommant masterclass. Sinon, faisant partie d'un tout petit club qui organise deux conférences à l'année (Amiens), je rejoins ce qu'a dit Marc sur bien des points (mais pas sur l'éducation des jeunes qui,je pense, peuvent rester friands de "live"... Mais tout dépend avec qui. J'ai, par exemple, l'impression que le congrès organisé par Magic Dream rassemble plus de jeunes que, disons, le congrès FFAP).    Après, moi, ce que je préfère dans les conférences, ce sont souvent les échanges avant et après (de préférence au bar ou au restaurant, où ça part parfois en masterclass improvisées 😅)
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