Parchemins de traverse
Pas un cahier de coloriage mais peut-être un livre de dessins, qu’on dévore le cœur à l’ouvrage et qu’on effeuille avec passion sous la couverture (quelle drôle d’impression), une œuvre sur laquelle sont apposés deux blancs-seings, un traité de théolologie, un livre saint mais pas de confesse, en tout cas un roman d’aventures moins sibyllin qu’abyssin, en deux jolis tomes ; à moins que ce ne soit un livre de commerce… licencieux, un livre de bord d’elle mais pas de ceux de la jaquette, ou un journal intime idéal pour ceux qui n’ont jamais mis le nez dans un livre (Le décolleté plongeant suggère une grande profondeur du texte, un dessein particulier de l’auteur)…
Il est des cœurs dans lesquels on peut lire à livre ouvert.
C.G.