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Christian GIRARD

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Tout ce qui a été publié par Christian GIRARD

  1. Né un 13 avril ? Bon anniversaire Richard ! Je suppose que tu faisais références aux quatre évangélistes n’est-ce pas ? Très intéressant. Par ailleurs, si 666 est une succession de chiffres relatifs à la position des lettres dans l’alphabet, ça se décrypte FFF, F uck For Forest, et ça oui, ça peut faire peur (ou sourire) : « F uck for Forest, une association écologiste norvégienne récoltant des fonds pour la nature, par la pornographie. » FFF Par ailleurs, si je multiplie le montant de mon compte épargne (28,95 euros) par 23 (deux équipes de 11 joueurs plus l’arbitre), ça donne aussi 666 à un chouïa près et là, du coup, j’ai vraiment la trouille, car la Fédération française de football (FFF) est elle aussi estampillée 666. Mamaaaaan !
  2. Plouf ? Un peu d'histoire avec, dès 1530, le mot tirouer « petite caisse emboîtée dans un meuble et qui peut se tirer ». Je comprends tout à coup pourquoi la sœur aînée d’un copain de classe était surnommée la p’tite caisse par les grands du bahut ! C’est triste à dire : dans certaines situations sociales, il faut se résoudre à racler les fonds de tiroir… Âmes sensibles s’abstenir : la vidéo qui suit peut choquer. Son titre ? « Tu vois, maman elle t’a prévenu plusieurs fois ». Tout cela est bien triste, j’vous l’dis moi… [video:youtube]
  3. (C'est beau) Le tiroir du bas, la chute : [video:youtube]
  4. J’aurais pu répondre : « Ben, tu peux commencer par la dernière marche, mais à reculons. » Mais je préfère te laisser te casser « lagl », ça nous fait une bonne chute ! Bye C.
  5. Pas de réponse, NaaT-L ? Des compléments d'information ? Un suivi ?...
  6. Du point de vue d’un gars qui se trouve au 2e sous-sol, l’étage du bas est donc en haut… Ok ! Il est pourtant possible de retourner l’échelle longitudinalement et donc de monter en commençant par le barreau du haut. D’où l’intérêt de l’escabeau avec lequel on est toujours moins prompt à inverser le bas avec le haut (ou le contraire). Pourtant quand je descends, je commence par la première marche et elle est en haut. Oui, l’escalier force à modifier le sens de son parcours si l’on veut s’attaquer à la première marche, l’escabeau à donc cet avantage d’être unidirectionnel et de réduire le champ des possibles. Un petit doute me vient soudain : la face du meuble à tiroirs se trouve-t-elle devant ou derrière ? Par ailleurs, qu’elle serait l’intérêt de connaître l’ordre des tiroirs dès lors que l’ouverture serait orientée côté mur ? J’en parle à mon psy et je vous tiens au courant.
  7. Tu as raison, je devrais aller dans le terroir (du Haut ou du Bas-Rhin ?).
  8. Cher Lancelot Je crains que ta solution ne complexifie énormément le problème au lieu de le résoudre ou même de seulement le simplifier. Chacun des tiroirs de ton meuble se trouve en fait, à l’image de l’allégorie du chat de Schrödinger, dans une situation indéterminée, c'est-à-dire tout à la fois en haut et en bas. Ce qui est fascinant, c’est qu’en éliminant la superposition des tiroirs, on obtient du même coup ce que la physique quantique suggère d’imaginer comme une « superposition des états ». La loi du tiroir de Sorano semble donc soumise au principe d’incertitude de Heisenberg. Du coup, on apprécie toute la pertinence de Jean-Philippe Loupi qui a tout de suite saisi l’importance de l’observateur (ou du décideur) dans ce que je me permets d’appeler — non sans une certaine légèreté que je reconnais tout à fait — le champ quantique du meuble à tiroir. Ainsi, lorsqu’il écrit « La SEULE et UNIQUE réponse possible à ta question est : le premier tiroir est celui qu'indique ta femme. », ce n’est pas tant pour céder à ce choix par défaut qui consisterait à se soumettre à un hypothétique (et fort discutable) diktat de la femme au foyer mais bien parce que le tiroir du bas ne peut être déterminé que par le fait même d’interagir (en partie) avec le système afin de l’observer. De la même manière qu’on ne peut connaître simultanément la vitesse ET la position d’une particule, il semble impossible de déterminer la nature du tiroir (« celui du haut » ou « celui du bas ») en même temps que son contenu (« chaussettes vertes » ou « topinambours »). TOUS les tiroirs du « Meuble de Lancelot » (une des rares structures macroscopiques illustrant à merveille les principes habituellement associés à des systèmes d’échelle atomique) sont des chats de Schrödinger, que les chaussettes soient sales ou pas, que les topinambours soient frais ou pas ; des chats qui attendent que la femme de Sorano décide dans quel sens retourner le meuble (afin de « résoudre » l’état de superposition quantique) et décide de l’ordre des tiroirs. Le cas de Benoît qui suggère que le premier tiroir est au centre constitue un bel exemple de ce que la logique floue révèle des états intriqués : la nature ondulatoire du tiroir du milieu ne laisse en rien impliquer la nature corpusculaire du tiroir du bas ! Si la péristance est une généralisation du principe de Gilbreath, rien ne nous empêche de penser que le meuble de Lancelot qui, par bien des points, pousse dans ses retranchements les principes fondamentaux qui découlent de la loi du tiroir de Sorano, est une aberration du principe d’incertitude à l’échelle macroscopique, MAIS PAS UN PARADOXE ! Il serait bon de développer le postulat de Paul sur l’empilement chaotique des tiroirs du bas, mais le temps, tout relatif qu’il soit, me manque. Bonne journée à tous, je dois prendre d’urgence le dernier wagon du milieu. Christian
  9. Plutôt que de supprimer ce dernier wagon il eut été plus subtil de le glisser subrepticement entre deux autres au milieu du convoi... et hop, ni vu ni connu !
  10. Mais bon avec un peu d'imagination et beaucoup de votre indulgence, on voit ou devine très nettement un aquarium contenant pas mal de petits poissons, L'un d'ailleurs confirme que les petits poissons verts... (En souhaitant que ça inspire Dub le mois prochain dont le thème est "le jardin").
  11. Torpillant bourges ? Torpille en bourges ? ... Torpille en bourse !
  12. Torpille. On bourre ? Ou plus soft : Torpillons bourges.
  13. Un numéro cohérent et "pro", vivement qu'elle s'attaque à la magie des chouchous !
  14. Oui Joël, un cas de figure intéressant qui conserve sa position au tiroir du milieu à défaut de sa fonction. Ce qui m’amène à souligner que Benoît, qui considère le tiroir du milieu comme étant le dernier, met en évidence le fait qu’il existe deux premiers tiroirs, un à chaque extrémité (Raymond Devos, sors de mon corps !).
  15. Bravo Paul, jolie collection de tiroirs du bas. Je note cependant que dans cette pile chaotique certains semblent plus ou moins bas que d’autres. Je m’interroge. Une autre idée me vient à l’esprit qui résoudrait peut-être tous les conflits relatifs à un meuble à tiroirs traditionnel : il suffit, dès l’achat, d’intervertir le tiroir du haut avec celui du bas. Ainsi, lorsque votre femme affirmerait que le tiroir du bas est celui du haut et inversement, vous pourriez acquiescer de plein accord, fort content de votre petite blague malicieuse. Une dernière solution s’offre encore à vous : n’équiper votre meuble QUE de tiroirs du bas, et le tour est joué ! Quand je relis ce sujet, je constate avec effroi qu’il nous manque à tous une case, et je crains que ce ne soit celle du haut… Cette histoire de tiroirs nous confirme une fois de plus que dans la vie d’un couple il y a des hauts et des bas tout autant des oh ! et des ébats… (Le tiroir dans lequel se trouve le linge sale et les chaussettes vertes de Lancelot serait le tiroir du bah.)
  16. Merci Bob Le déhanchement d'une femme entre deux "cylindres" est une illusion cinétique magnifique. En complément du reportage, jetez un coup d'œil ici : MARKUS RAETZ Notez l'influence du topinambour dans l'œuvre de l’artiste !
  17. Une griffe et un faux nœud ? Comme il s’agit de ton premier rébus, tu te sens comme un GRIFFONNEUR ?
  18. Merci pour tes gros poutous mon Philippinou adoré. Mes remarques étant d’ordre général, tu comprends bien que je ne faisais en aucune façon référence à ton labeur bénévole pour L’Illusionniste. Je te renvoie d’ailleurs en toute sérénité à ce message relatif à ton travail OFFERT pour le club et la revue, un verbe qui ne souffre aucune ambiguïté : Merci donc à Philippe Thalouedec, photographe professionnel qui est l'auteur de la quasi totalité des photos de cette revue... Vous imaginez le boulot ! Que deviendrait ce trimestriel du CFI sans ses compétences et son temps offerts à la réalisation de L'Illusionniste ? Le lien d’où est tiré cet extrait : Illusionniste à télécharger (et non à télédécharger ;-) ) Pour ce qui est du travail de photographe rémunéré, je ne citerai qu’un seul exemple que je connais et qui m’a conduit à « ratisser large » (trop pour toi, j’en conviens ) : le trimestriel Imagik faisait appel à un photographe qui avait pignon sur rue et qui était donc payé selon le principe du « tout travail mérite salaire » ; il n’était pas impliqué dans le milieu magique (que je sache) et exerçait donc une activité professionnelle qui entrainait naturellement une rémunération en bonne et due forme. Mais je ne doute pas une seconde que nous puissions trouver tous les cas de figures possibles d’intervenants, dans le cadre de revues magiques, qui soient ou ne soient pas payés. La « règle » générale est bien celle qui j’ai brièvement définie plus haut et je t’accorde que les photographes de revues (toi, ou Claude Littolff allias Abacus qui fit pendant quelques années les photos pour L’Illusionniste avant que tu n’en assumes la charge, ainsi que la quasi-totalité des photos du numéro complet d’Arcane consacré à mes "trouvailles") agissent par passion désintéressée. Par ailleurs, ma remarque sur la rémunération était plus un vœu pieux qu’une revendication ! Merci Claude Litolff Merci Philippe Thalouedec Merci Jacques Charles, Nicéphore Niepce et Jacques Daguerre. Chhhut ! C’est secret. Et puis, les gens vont penser des choses… Mais bon, j’ai évoqué le sujet avec (entre autres) Monsieur M au Père Tranquille et il sait que cela ne fait aucunement référence à des bananes, toutes « split » qu’elles puissent être. Et puis il faut se méfier d’Iris qui est toujours intriguée par toutes sortes d’instruments oblongs (ou pas d’ailleurs). Au fait, tu me téléphones quand tu veux pour évoquer ta question mystérieuse relative à une certaine photo dont tu souhaitais m’entretenir. Poutous aux topinambours ! Vive les photographes !
  19. Authentique ? Voir ici : Pas Guitry Christian Bernard (Faudrait établir une charte pour sourcer les citations. Ah, les méfaits du rutabaga !)
  20. Selon la Loi de Sorano, il serait dans le tiroir du haut…
  21. Eh oui ! Mieux que de faire la fête à Ibiza, et pour une poignée de topinambours de plus, la nouvelle mode est d’être en rut à Bagà.
  22. Selon mes sources, la NASA se pencherait sur les implications de la loi du tiroir de Sorano pour les meubles en état d'apesanteur. Dans l’hypothèse d’un polichinelle dans le tiroir, prévoir plutôt une table à langer et un coffre à jouets. Par ailleurs, le tiroir du milieu dans le cas d’une figure anthropomorphique n’est pas évoqué par la loi du tiroir de Sorano, je m’interroge. (Voir ci-dessous). Note : c’est pas du Buffet !
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