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Alx

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Tout ce qui a été publié par Alx

  1. Oui, c'est précisément ce que je disais (on progresse ) : les engrais naturels sont des intrants, et il en faut, mais on n'est pas tenu d'utiliser des intrants synthétiques. Ceci dit, je suis beaucoup moins sceptique à l'égard des engrais chimiques qui ne contiennent rien d'autre, d'après ce que je comprends, que les fameux NPK (azote/phosphore/potassium), qu'on retrouve également dans les engrais naturels. Le seul reproche qu'on puisse leur faire, c'est qu'ils ne contiennent rien d'autre que ces trois éléments, alors que les engrais naturels contiennent également du calcium, du magnésium, etc. Ca, et le fait qu'il y a un risque de surdosage : quand on utilise du fumier, il n'y a pas de risque que l'azote contamine les nappes phréatiques en raison de sa concentration. Mais ça, je reconnais que c'est un problème propre à l'agriculture intensive : selon toute logique l'agriculture raisonnée devrait être épargnée. Les intrants chimiques qui me posent vraiment problème, ce sont les pesticides, qui ne sont ni plus ni moins que du poison qu'on répand sur les cultures.
  2. Trop tard : quelqu'un d'autre a déjà eu l'idée ! En plus, il n'en a pas vécu très longtemps
  3. Je ne dirais pas que les écologistes (j'utilise le mot complet, parce que "écolo", ça me semble péjoratif : c'est comme "socialo" ou "alcoolo"...) sont pessimistes : je dirais plutôt qu'ils sont alarmistes. Pourquoi nous font-ils part de leurs peurs ? Parce qu'ils pensent qu'on peut encore y faire quelque chose. C'est parfois agaçant, je suis le premier à le reconnaître, mais c'est quand même plus constructif que l'approche fataliste " de toute façon on n'y peut rien"... Par définition, utiliser des intrants, c'est le principe même de toute production... (sauf erreur, on considère aussi l'électricité ou la main d'oeuvre comme des intrants) Néanmoins, j'ai cru comprendre qu'@If.... faisait allusion spécifiquement aux engrais chimiques. Encore une fois, il est possible de faire pousser des végétaux sans avoir recours à ces produits : soit en utilisant des engrais naturels (fumier, os, compost), soit en pratiquant la rotation des cultures (faire pousser du trèfle, riche en azote, pour enrichir le sol dans lequel on plantera du blé l'année suivante). Note que, dans les deux cas, on dépose sur le sol des matières organiques pour qu'elles s'y décomposent, cela remplace les feuilles et les branches d'un écosystème. Donc oui, dès lors qu'on prélève la récolte, il faut des intrants. Mais pas forcément des intrants synthétiques...
  4. La "solution" que tu décris est caricaturale et inapplicable. C'est ce qui la rend risible. En quoi cela est-il comparable à celle que j'évoquais ? La vie doit être triste, quand on considère que tout est perdu d'avance. On ne peut rien faire, sauf porter sur le monde un regard cynique et essayer de décrédibiliser les optimistes... Pauvre Melvin !
  5. Ce n'est pas ce que j'ai dit, c'est même l'inverse Moi, ce que je disais, c'est qu'en modifiant nos habitudes de consommation (par exemple en mangeant moins de viande), on pouvait diminuer la part de la production agricole dédiée à l'élevage (c'est presque un truisme... de circonstance si c'est un élevage de porc) Or, puisqu'il faut beaucoup plus de ressources pour produire 1 kg de boeuf que pour produire 1 kg de blé, réduire l'élevage revient à produire moins intensivement. Donc je veux bien croire qu'on ne puisse pas produire en bio avec les mêmes rendements, mais ce n'est pas grave, puisqu'on n'a pas besoin de rendements aussi élevés Je pense qu'il faut distinguer ce qui est possible de ce qui est acceptable : nul ne conteste qu'il soit possible de faire de l'élevage comme on le fait aujourd'hui (encore une tautologie). Mais ce n'est pas acceptable pour autant : qu'il s'agisse de la souffrance animale ou de la qualité de la viande, la compassion et/ou les sens nous poussent à rejeter ce modèle.
  6. Un dernier conseil : attention en faisant tes découpes ! C'est bien connu, la mousse tache...
  7. Je n'ai pas expérimenté cette idée, mais j'imagine que tu dois pouvoir ajuster la profondeur de tes découpes en utilisant plusieurs couches fines superposées. Si tu as par exemple 10 cm de profondeur, tu peux superposer 10 couches de 1 cm. Pour glisser des jeux de cartes "debout", tu découperas les 8 premières couches ; pour l'emplacement de ton FP, tu ne découperas que les 3 premières couches, etc. Sinon, sympa, ta mallette... ta spécialité, c'est de faire disparaître les gens ?
  8. C'est justement l'un des arguments des végétariens : manger moins de viande permet d'envisager une agriculture moins intensive. (Enfin, je dis ça, mais je ne suis pas végétarien : j'expose une solution possible ) Ceci est juste un exemple, pour souligner que, avant de conclure qu'une chose est impossible, il faut tenir compte de l'ensemble des variables : si on ne peut pas agrandir l'espace cultivable, on peut produire autrement, et tout de même diminuer le besoin de rendement.
  9. Ecoute, @chabouns, le plus simple, c'est que tu nous envoies tes spectateurs : on leur fait le tour et on te les rend !
  10. Disons que c'est un compromis : ça reste plus facile qu'une carte Jumbo pour les emp***ages, les cartes au portefeuille ou les cartes à la bouche, tout en étant un peu plus facile à voir, en conditions de salon...
  11. Précisément : je n'élude pas le problème du rendement, j'explique même que c'est la cause de la situation. A l'époque où les exploitations agricoles étaient des fermes, on pouvait se permettre de pratiquer l'agriculture raisonnée (qu'on appelait à l'époque l'agriculture tout court, car l'agriculture irraisonnée n'avait pas été inventée). Seulement, pour un tas de raisons, le nombre d'agriculteurs et d'exploitations a diminué drastiquement au cours des 30 ou 40 dernières années : crise des vocations, exode rural, etc. Mais bien entendu, il y avait toujours autant de bouches à nourrir, donc il fallait produire autant de blé, de lait et de poulets qu'auparavant, avec un effectif réduit... par conséquent, on a dû améliorer les rendements. En leur vendant d'abord de plus gros engins agricoles, puis des produits chimiques conçus en laboratoire, non seulement pour améliorer les rendements mais surtout pour emprisonner l'agriculteur dans un modèle dont il ne peut plus sortir.
  12. Oui, c'est une solution. Sinon, on peut aussi pratiquer la rotation des cultures (quand les larves de doryphores écloront, elles seront dans un champ de haricots, sans rien à se mettre sous la dent), planter des lignes soucis entre les lignes de pommes de terre, ou simplement traiter les plantes avec du purin d'ortie... les pesticides ne sont pas une fatalité ! (je sais, c'est dingue) Non : le problème, c'est qu'on a formé nos agriculteurs à raisonner comme des industriels, et qu'ils ont oublié les principes qu'employaient leurs ancêtres. Avant l'ère Monsanto, on savait bien se débarrasser des nuisibles, non ? Et on n'avait pas besoin de pulvériser du poison sur les récoltes. Alors bien sûr, ce n'est pas compatible avec les rendements industriels actuels : quand un paysan tout seul s'occupe seul d'une ferme de 50 hectares, il ne peut pas se poser ce genre de questions, il applique docilement les consignes de Monsanto...
  13. C'est sûr : pour les empalmages, c'est chaud Mais ça ne limite pas les cartes Jumbo aux tours automatiques : il y a quand même plein de techniques qui sont utilisables avec des cartes Jumbo : com***ges, LD, etc.
  14. Alx

    3 de trèfle

    A noter également la production de couleur de Lennart Green. Par exemple ici :
  15. Moi, je vous trouve sévère avec le pré-show (mais rien de nouveau, du coup ) : selon ce qui est fait, c'est quand même un effet magique, y compris pour le spectateur qui a participé au pré-show... Avant d'entrer sur le plateau, le magicien essaie de lire les pensées d'un spectateur, en lui faisant un tour "classique" (p**k, fo***ge par exemple), et termine en disant "Non, vos pensées ne sont pas claires, mais gardez cette image en mémoire, je réessaierai plus tard"). Une demi-heure plus tard, sur le plateau, il se tourne vers le spectateur et lui dit : "Monsieur, vous pensez à quelque chose ? Concentrez-vous..." Pour le spectateur, l'effet est aussi bon que s'il avait terminé sa lecture de pensée 30 minutes plus tôt (peut-être même un peu meilleur, grâce à la parenthèse d'oubli, qui lui a fait occulter les conditions exactes du tour et grâce à la distance entre la technique et l'effet relisez Darwin Ortiz si vous en avez le courage) Pour les téléspectateurs, l'effet est incroyable parce qu'ils s'imaginent qu'ils ont tout vu et... qu'il n'y a rien à voir D'après moi, le seul reproche qu'on puisse faire au pré-show, dans ces circonstances, c'est que le téléspectateur pourrait imaginer que le spectateur est un complice. C'est tout bonnement impossible. Et justement, la magie, c'est créer l'illusion de l'impossible...
  16. Oui, oui, je suis au courant. (Ceci dit, moi, j'aime bien ce format compact avec couverture souple, mais c'est un autre débat) C'est pour ça que j'ai pris comme exemple Légendes Urbaines, qui non seulement est un beau livre en français, mais qui a justement été réédité
  17. L'idée est intéressante, mais je ne suis pas sûr qu'elle remporte l'adhésion des éditeurs : après tout, leur métier, c'est justement d'éditer ces livres suivant une filière traditionnelle. S'ils estiment qu'un ouvrage épuisé est un bon candidat à la réédition (c.-à-d. si le nombre d'acheteurs potentiels est suffisamment important), ils vont le rééditer eux-mêmes, en passant par leurs imprimeurs habituels. Maintenant, il est vrai que pour les cas où, justement, le nombre d'acheteurs potentiels est insuffisant pour envisager une réédition à "grande" échelle (sachant qu'on parle d'un marché de niche, la grande échelle reste ici une notion trèèèès relative), ça pourrait avoir du sens : si le propriétaire des droits peut réimprimer un livre épuisé avec des tirages aussi limités que 5 exemplaires, cela ouvre de sacrées possibilités ! Il y a quelques éditeurs sur le forum (par exemple @LuDo ou @Yves DOUMERGUE), qui auront sans doute un avis plus éclairé que le mien Bon, il y a évidemment le revers de la médaille : les ouvrages édités sur ce genre de plate-formes ne sont pas forcément de la même qualité que ceux issus des presses "traditionnelles" (reliure, papier, etc.) ; en outre, et pour prendrfe un exemple concret, si MDT réédite Légendes Urbaines chaque fois qu'un visiteur le demande, il ne le ressortira plus jamais en édition "classique"... Ca pourrait être un bon compromis : l'acheteur qui aime le papier serait libre d'acheter la version PDF de la faire imprimer chez pixartprinting et consorts... Mais encore une fois, ça se ferait au détriment des "belles" éditions, puisqu'on ne laisserait jamais le vivier d'acheteurs se reconstituer
  18. Il est à noter que, si les complotistes de France Télévisions ont eu une idée géniale pendant l'été pour nous faire avaler des couleuvres, ils n'ont pas été très persévérants... Les masses bêlantes penseront peut-être que, en période de vacances, la carte a été coloriée par un stagiaire ou que les températures du 12/08 étant plus uniformes, elles ne permettaient pas de dégager une structure concentrique, mais nous ne sommes pas si naïfs Moi, le 12 août, je me suis dit, pour paraphraser Roger Giquel : la France a chaud. Mais le 28, je me suis juste dit qu'il faisait chaud à Arcachon. Ce qui soulève enfin la vraie question : faut-il voir dans ces prévisions une propagande orchestrée par la FFAP ?
  19. De toute façon, si tu lui as vendu ce tour il y a longtemps, tu n’as aucune obligation légale (d’autant que si j’ai bien compris, le tour n’a pas de problème, c’est juste l’acheteur qui a changé d’avis...) Que tu proposes un remboursement au-delà des délais légaux est tout à ton honneur, mais il est normal que ça se fasse selon tes conditions...
  20. De toute façon, c’est pas ça qui compte...
  21. Heureusement, l'article est moins choquant que le titre : le pape dit quand même qu'il y a toujours eu des homosexuels, qu'il ne faut pas les condamner mais au contraire les comprendre et les laisser s'exprimer... A ma connaissance, c'est la première fois qu'un pape tient ce genre de discours : on est loin des mesures d'excommunication prônées par ses prédécesseurs ! Il recommande de laisser les adultes choisir leur sexualité, il préconise le recours à un psy chez les enfants qui montreraient des signes. Reste que parler de psychiatrie, c'est un peu fort : l'homosexualité n'est plus considérée comme une maladie mentale depuis 30 ans... Mais visiblement, en Argentine, la distinction entre psychologie, psychanalyse et psychiatrie est beaucoup moins claire qu'en France. C'est en tout cas ce que prétend La Croix
  22. Bof, si le cardinal était majeur et consentant...
  23. Bah moi je suis aussi intéressé par les références du tapis de Pattrick Przysiecki...
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