Alx

Bravo Gaël, c'est une très jolie routine ! Je suis d'accord avec Perrich : c'est assez difficile à présenter entouré, mais pour une vidéo, ça marche J'aime bien le changement de couleur flash à 2:22 (même si on sent un peu trop la préparation de 2:15 à 2:18) Quelques critiques que j'espère constructives : Pour la passe dont tu cherches des références, je ne la connais pas, mais le mouvement pour voler la deuxième carte sur le jeu (3:27) manque un peu de naturel lui aussi. Je pense que tu pourrais trouver une justification plus naturelle (l'idée d'évoquer les joueurs de bonneteau est bonne, mais ils ne tiennent pas les cartes de cette manière) Enfin, le final avec la carte pliée n'est pas mal du tout. Juan Tamariz le fait (je ne sais pas si l'idée originale est de lui). Lui le fait avec une double, mais finalement je trouve que ce n'est pas plus mal car ses mouvements sont plus naturels dans cette phase. Ta passe a l'avantage d'être personnelle, mais quand tu innoves, il faut que ça apporte quelque chose. Si le nouveau mouvement est moins convaincant que l'ancien, il vaut mieux garder l'ancien Un dernier détail : Tamariz (encore lui !) maintient la moitié supérieure du jeu pour qu'on voie la carte pliée au centre. Puis au claquement de doigts, il relâche la pression. La carte du milieu est alors écrasée et la carte supérieure, libérée, se gondole. On a presque l'impression de la voir remonter sur le paquet. Dans ta version, quand tu mets la carte pliée au milieu, elle est écrasée par le poids du jeu et on ne la voit pas. Quand tu relâches la pression, la carte du dessus se gondole, mais l'effet est moins visuel (et un peu plus facile à remonter, je pense). Mais ce ne sont que des détails : dans l'ensemble, je trouve que ta routine est très réussie !

Ma sélection personnelle pour un apprenti magicien, à lire dans cet ordre et pour ces raisons : Petite anthologie des tours de cartes automatiques vol. 1, de Richard Vollmer, parce que je pense qu'on devrait tous débuter par des tours automatiques, qui permettent de se concentrer sur la présentation Le Chemin Magique, de Juan Tamariz, pour comprendre les mécanismes sous-jacents de l'émerveillement Scripting Magic, de Pete McCabe, pour comprendre l'importance de l'écriture Tarbell Course in Magic, de Harlan Tarbell, pour un aperçu complet de la discipline à la portée d'un débutant Mastering the Art of Magic, de Eugene Burger, pour les petits détails qui font d'un tour ordinaire un chef d'oeuvre The Books of Wonder, de Tommy Wonder, pour la même raison et pour la profondeur de l'analyse théorique Cours de Cartomagie Moderne, parce qu'à un moment donné, il faut bien se mettre à la technique Hiding the Elephant, de Jim Steinmeyer, pour connaître les géants sur les épaules desquels on se tient (et parce que ça prend moins de place que l'Histoire Illustrée de la Prestidigitation, de Max Dif) Légendes Urbaines, de Christian Chelman, pour l'inspiration et l'importance de créer son univers (et parce que ça prend moins de place sur l'étagère que l'intégrale de J. K. Rowling et H. P. Lovecraft) Prisme, de Max Maven, pour une première approche du mentalisme Bloomeries, de Gaëtan Bloom, pour la créativité et pour utiliser des objets de tous les jours La Magie des Cordes de F. Tabary, parce qu'il faut bien faire autre chose que des cartes Modern Coin Magic, de J. B. Bobo, pour la même raison Les Vrais Secrets du Close-Up, de David Stone, pour les conseils pratiques avant de se lancer dans une carrière pro Quelques Very Best Of pour compléter l'étagère (et son répertoire)

Non mais c'qui faut pas entendre, j'vous jure ! Ce soir, fricassée de pivert !

Merci Lionel pour ce retour très complet (et très alléchant) ! Je n'ai pas grand chose à dire, sauf que : C'est normal d'être en sixième, quand on entre au collège !

Stolen Cards est encore disponible dans quelques boutiques (Vanishing Inc et Murphys, par exemple), mais ce n'est pas un "vrai" Rainbow Deck, car 48 des 52 faces sont identiques. C'est un excellent effet, mais tu ne peux pas faire les tours traditionnels d'un Rainbow Deck avec.

Ca existe ! Vanishing Inc commercialise le Prism Deck, de Joshua Jay : un jeu Rainbow dont les dos sont marqués. Ca paraît absurde, mais ça évite de devoir apprendre à quoi correspondent les 52 dos

Moi, à ce prix-là, je m'attendais à de la vraie magie

Oui, l'Illusionniste, c'était pas mal, mais ça ne valait pas le Prestige, quand même Et puis faire des Pepper Ghosts avec des morts, c'est très fort : même Maskelyne et David Devant ne l'ont jamais fait ! Bon, j'avoue que le Prestige va aussi loin dans les tours infaisables, mais... y'a le bon chasseur et le mauvais chasseur !

Du coup, c'est dommage que tu aies la flemme de recommencer

Je pense que tu parles de Fabien Olicard et Viktor Vincent :

Désolé, je ne le connais ni de Dave, ni d'Adam...

Bravo Peter ! A toi ! A vrai dire, le piège était moins subtil que ça : je ne savais pas qu'il y avait un coréalisateur, je jouais juste sur les mots entre "un Français" et "une Franco-iranienne"

Si même Peter (qui s'est révélé quasiment incollable dans les dernières pages de cette discussion) sèche, c'est que j'ai peut-être mis la barre un peu haut... Ce film est l'adaptation cinématographique d'une BD qui porte le même titre C'est l'auteure de la BD qui a réalisé le film Le rôle principal est interprété par Mathieu Amalric Il n'y a pas de faute de frappe dans l'indice 2

Dans un vivarium, c'est assez normal... Ouais, j'ai pas trouvé de GIF avec un vivarium, alors il faudra vous contenter d'un bocal !

Ah non : pour le premier enfant, c'est de l'ordre de la croyance : on n'est pas sûr qu'il va mourir, c'est une hypothèse. Pour les deuxième et troisième enfant, on est dans la phase de répétition de l'expérience, qui est seule garante de la reproductibilité, sans laquelle il ne saurait y avoir de validation scientifique. Je dirais qu'à partir du cinquième enfant, on commence à avoir une connaissance assez juste du phénomène, et on peut parler de connaissance. Bien sûr, c'est triste : à la lumière de ces explications, il apparaît clairement que seules les familles nombreuses peuvent se targuer d'une authentique connaissance du danger. Les parents d'enfants uniques doivent quant à eux se contenter de croyances superstitieuses !

Non, c'est un film qui a eu beaucoup moins de succès (3,3 M$ au box office, contre 128 M$ pour Astérix & Obélix Mission Cléopâtre, quand même !) Et en plus, Alain Chabat est Français

Ca fait quand même 150%, on en a pour son argent !

Je n'ai jamais dit que le personnage disait la vérité : je me contente de rapporter ses propos C'est un film français, mais qui n'a pas été réalisé par un Français et dont l'action ne se déroule pas en France. Dans l'extrait que j'ai proposé, c'est Djamel Debbouze qui parle.

Je m'inscris en faux : c'est oublier l'excellente adaptation de la BBC, avec Benedict Cumberbatch et Martin Freeman. Je ne dirais pas que c'est ma série préférée, mais c'est à mes yeux la meilleure adaptation de Sherlock Holmes. Certes, Elementary est allé plus loin dans l'adaptation moderne en faisant de Watson (et de Moriarty !) des femmes, mais je trouve que le Sherlock incarné par Johnny Lee Miller est un peu trop bourré de névroses (rapports conflictuels avec son père, addictions, dépendance à Watson...). Le Sherlock de Conan Doyle était aussi opiomane, mais pas bien-pensant au point de s'inscrire en désintox ; heureusement, la morale US est passée par là...

Déterrer un sujet après si longtemps, c'est un vrai travail de fossoyeur. J'avoue que pour trouver plus fort, faut se lever tôt ! Quoi qu'il en soit, ce n'est pas commun. La fosse de Christian n'est donc pas une fosse commune. Contrairement à Jérimadeth, par exemple... (Attention : capillotraction de force 3 ! )

Bienvenue, David !

J'ai fait une recherche dans la partie Petites Annonces de VM, mais je n'ai pas trouvé de collection aussi importante. Il y a quelques annonces pour vendre les 6 numéros d'une année, et cela tourne autour de 30€ par an (et rien qui remonte à plus de 10 ans). Bien sûr, je suppose que les numéros les plus anciens sont plus rares, donc potentiellement plus chers. Je suppose donc que tu pourrais espérer en tirer jusque 1000€, mais encore faut-il trouver un acheteur : ça fait cher pour quelqu'un qui n'a aucun numéro ; d'un autre côté, les collectionneurs disposent déjà de pas mal de numéros, et ils n'en cherchent souvent que quelques-uns qui pourraient compléter leur collection. Comme le dit @Claudemage SALONI, la valeur de cette collection dépend de ce que chaque acheteur est prêt à investir... A mon avis, il est peut-être plus facile de les vendre en petits lots (par année, par exemple, ou carrément à l'unité), pour toucher plusieurs collectionneurs différents, avec un prix adapté à l'âge des numéros...

Je n'ai pas trouvé d'infos fiables, mais ce genre de détail ne m'a jamais empêché de ramener ma science La justification qu'on trouve un peu partout, c'est que les Seconds seraient des cartes avec de petits défauts (mal centrées, mal imprimées, etc.). Mais j'ai quand même du mal à y croire : à une époque, les Bicycle Seconds bénéficiaient d'un as spécifique, portant la mention "Seconds" : Sachant que les cartes sont imprimées par planches de 52, on a du mal à croire qu'ils aient pu prédire à l'avance quelle planche aurait un problème (à moins d'imprimer des plaques d'as de trèfle qui seraient utilisés pour remplacer ceux des paquets défectueux, d'accord...) Ensuite, il y a la question des autres marques : pourquoi ces autres marques ne connaîtraient-elles jamais les mêmes problèmes ? Sur la Magic Café, j'ai lu que les paquets Bee qui ne passaient pas le contrôle qualité étaient envoyés vers les boutiques discount ou exportés en Asie, mais je trouve que ça ressemble à une légende urbaine... A mon avis, l'explication est plus simple et relève du marketing. Ma théorie est que les cartes avec un "vrai" défaut (car ça peut quand même arriver) sont effectivement détruites, mais que USPCC imprime des cartes Seconds dans le but de vendre à prix réduit, et de se positionner sur un marché d'entrée de gamme, un peu comme le fait l'industrie agro-alimentaire en vendant des produits sans marques (ou avec la marque du distributeur) : certains consommateurs achètent les petits pois Bonduelle, mais certains autres achètent les petits pois "Auchan". Les deux sortent de la même usine, mais sont ciblés pour des marchés différents (et complémentaires). Les Bicycle Rider back étant leur produit phare, décliné en multiples versions (Gold, Supreme Line, etc.), j'imagine que le niveau d'exigence est très élevé sur ces produits, qui sont les ambassadeurs de la marque USPCC. On est en droit de supposer que les critères de qualité sont un peu plus souples (ie le cahier des charges n'est pas le même) pour les Bee et les Tally Ho (ce qui expliquerait qu'elles puissent parfois être vendues même si elles ne sont pas parfaites), et encore plus souple pour les Bicycle Seconds, puisque ces dernières sont carrément vendues comme des cartes défectueuses...

C'est parti : Je fais aussi dans la pierre précieuse […] Regardez-moi ça : le plus gros diamant au monde ! Fabuleux, non ? Comme vous pouvez le constater, j’ai toutes sortes de choses dans ma boutique : du safran, de l’opium ou encore… des baguettes magiques !