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Pierre GUEDIN

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Tout ce qui a été publié par Pierre GUEDIN

  1. Pierre GUEDIN

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    Je n'y connais rien non plus en art ... Mais j’ai lu il y a peu cette interprétation du tableau : « Les joueurs portent un casque et une casaque aux normes en vigueur. Il s’agirait donc de joueurs de Polo. Ce sport serait né chez les peuples cavaliers des steppes vers 2500 ans avant J. – C. NB: C'est à peu près la même époque que l’existence des premiers dés à jouer, d’où l’allusion du peintre. Entre deux matchs les joueurs jouaient aux dés ou aux cartes. C’était selon le titre du tableau. Par contre on se perd en conjoncture pour expliquer la présence des armures »
  2. Pierre GUEDIN

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    1663. Publication du livre Liber de ludo aleae (livre du jeu de hasard) de Girolamo Cardano en français Jérôme Cardan (1501 – 1576). Publié seulement en 1663, ce livre contient des analyses de plusieurs méthodes de tricheries et des conseils pour s'en protéger. Ce mathématicien était un joueur invétéré et passionné aux dés, aux cartes et aux échecs. 1623. Le premier débinage commence donc bien en 1623 car dès que le tableau Les joueurs de cartes (et non pas Les joueurs de dés) de Hendrick ter Brugghen (1588 – 1629) a été exposé au public, le premier tricheur qui est passé devant a porté plainte pour atteinte à l’outil de travail…
  3. Pierre GUEDIN

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    Voici quelques références concernant les dés à jouer. 1284. Livre des jeux. Comme le souligne le roi Alphonse le Sage dans son livre écrit au XIII ème siècle, le dé ne fonctionne comme générateur de hasard que si le cube est fabriqué avec la plus grande précision géométrique, sinon il s’agirait plutôt de tricherie que de hasard. 1945. John SCARNE. Scarne on dice. Page 22 à 44, le chapitre Modern Dice and Their History 1946. Walter B. Gibson. The Bunco Book. Page 83 Crooked Dice. 1961. John SCARNE. Scarne’s New Complete Guide to Gambling. Page 259 Craps the World’s Fastet Gambling Game. 1994. Jean-Marie Lhôte. Histoire des jeux de société. Avec la participation entre autre de Thierry Depaulis et Hjalmar. Éd. Flammarion. Paris. Citation : « Les premiers dés en forme de cube datent de 2300 ans avant J. – C. Les numérotations des faces sont alors 1 – 2, 3 – 4, 5 – 6. Ou 1 – 3, 2- 5, le 4 étant opposé à une face vide. La numérotation actuelle, avec la somme des points opposés égale à 7, s’est généralisée en Grèce à partir du VII ème siècle avant J. – C. » 2003. Ricky JAY. DICE, Deception, Fate & Rotten Luck 2012. Art du jeu. Musée de Cluny. Magnifique catalogue d’exposition. Jeu dans l’art de Babylone à l’Occident médiéval. Page 92 à 99, nombreuses photographies d’osselets et de dés antiques 2015. POTTER & POTTER AUCTIONS. Les dés truqués page 144 dans le catalogue de vente : Rare Playing Cards & Gambling Memorabilia
  4. Pierre GUEDIN

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    Citation : La preuve en "images" : dans son tableau "Joueurs de dés", on peut observer des dés truqués. D’après commons.wikimedia, le tableau se nommerait « Les Joueurs de Cartes »
  5. 1825. Manuel des Sorciers ou cours de récréations physiques, mathématiques, tours de cartes et de gibecières, suivi des petits jeux de société, et de leurs pénitences. Paris. Éd. Ferra jeune, Librairie. Page 256. Le Jeu du Canard. On a autant de carrés de papier qu’il y a de personnes qui prennent part au jeu ; on écrit sur chacun un numéro, en commençant par 2, et en continuant 3, 4, 5, etc. On roule ces papiers, et on les jette dans un chapeau. Après qu’on les a bien mêlés en les agitant, chaque joueur en tire un. Celui à qui le 2 est échu, est proclamé canard ; il s’assied le premier ; tous les autres prennent place suivant l’ordre des numéros qu’ils ont amenés, et se forment en cercle, c'est-à-dire que le numéro 3 s’assied à la droite du canard, et ainsi successivement de manière que celui qui a le dernier numéro soit assis à sa gauche. Tous les billets étant roulés de nouveau et remis dans le chapeau, on place ce chapeau sur une chaise ou un tabouret, au milieu du cercle. Le canard se lève et va tirer un billet au hasard ; supposons que ce soit le numéro 8 ; il le nomme en le montrant, le remet dans le chapeau, et retourne à sa place. Alors son voisin à droite dit un, le suivant dit deux, le troisième dit trois et ainsi de suite jusqu’à la personne qui dit huit ; celle-ci va alors tirer un billet ; les joueurs qui suivent à droite comptent de la même manière le point qu’elle amène, et celui sur qui le compte s’achève, va mettre à son tour la main au chapeau. Toutes les fois qu’en comptant ainsi à la ronde les points du billet tiré, le nombre se termine juste au canard, celui-ci fait entendre le cri kan, kan, kan, et la personne qui a pris le billet donne un gage. Si le compte des points du billet, que le canard tire à son tour, vient se terminer à lui-même, tous les joueurs poussent le même cri, et il donne un gage. Chaque fois qu’une personne a subi la peine imposée à quiconque s’arrête chez le canard, elle va prendre place au côté droit de celui-ci, et chacun se recule d’un siège à l’autre jusqu’à celui qu’elle laisse vacant…Lire la suite dans le livre si besoin.
  6. La préexistence historique de Charlier, Robert-Houdin, Moreau, Rezvani, suggère simplement qu’il ne peut pas être un contemporain vivant, contrairement à certaines affirmations récentes. Personne ne sait qui est le père (ou la mère) du Close-Up. En revanche, pour tous ceux qui sont intéressés par des sources moins sérieuses, je vous annonce qu’il existe la règle du jeu du canard. La connaissez-vous ?
  7. (Pour ceux qui ne se contentent pas de réponses vagues !) Vous pouvez consulter avec profit deux livres sérieux : 1995. Jean MERLIN. The Jean Merlin Book of Magic. L’auteur qui a pratiqué le Close-Up pendant pas mal de temps en a tiré une définition et quelques règles intéressantes dans le chapitre « Close-Up, où es-tu ? » 2002. Christian FECHNER. La Magie de Robert-Houdin, « Une vie d’artiste ». L’auteur écrit que Robert-Houdin était un praticien averti de cette spécialité que l’on baptisa plus tard « magie de table » puis « Close-Up ».
  8. Ah Merci pour la source Pierre je la cherchais depuis un bail, je m'en souvenais plus. Par contre la disparition elle même ne serait-elle pas de Ross Bertram (pas le livre sous la main), où d'ailleurs il explique ça mieux car la disparition se fait dans le mouvement inverse "de bas en haut" et non pas comme Vernon "de haut en Bas". Un truc marrant mais ma mémoire me joue des tours, la première notion de Chop Cup que j'avais lu était avec de la suie et une balle en liège (Je me mélange peut être mais ça serait du temps de Pinetti) C'est passionnant l'histoire de la magie Silent MORA présenta cette passe durant de nombreuses années avant de publier sa description sans aucun dessin (!) en juillet 1945, dans la revue The Sphinx, vol. 44, numéro 5, sous le titre : Billiard Ball and Wand Twirl. (Recherche de Philippe Billot). Ross Bertram a probablement décrit une variante mais ses écrits n’ont été publiés qu’à partir de 1978.
  9. Si vous voulez étudier sérieusement il existe deux ouvrages très didactiques : 1948. Hugard et Braue. Royal Road to Card Magic. Ce livre a été traduit en français par Pierre lanoë en 1951 sous le titre La Magie des cartes. Éd. Payot. Vous pourrez le trouver au prix de 65 euros chez Magix Unlimited. 1992. Roberto GIOBBI. Card College. Traduit en français par Richard Vollmer sous le titre Cours de cartomagie moderne tome 1 et 2 en 1994. Éd. Magix Unlimited. Ce cours est proposé sous forme de quatre classeurs au prix de 65 euros chaque. Un prix conséquent mais pour un ensemble exceptionnel.
  10. Plus exactement celui-ci : FP-25 MAGIC une réédition de 550 pages (format réduit de l'original Magic 1400s/1950s), à un prix canon (50 euros port gratuit)
  11. Comme le dit Gilbus, avant de vous décider pour un achat vous pouvez consulter la liste bibliographique publiée par Plick sur le site du Collectoire : http://collectoire.fr/page-pid-78-t-Bibliographie_sur_l_histoire_de_la_magie.html Il existe effectivement un livre sorti en 2013 dont l’original était si lourd qu’il fallait le poser sur la table pour le lire : Magic: 1400s-1950s by Mike Caveney, Jim Steinmeyer et Ricky Jay. Une version expurgée, donc moins lourde, est en vente sur Ah ! Ma Zone ! Si vous souhaitez comprendre l’histoire de la prestidigitation il faut vous procurer plusieurs livres pour pouvoir les comparer car chacun contient des erreurs qui sont reprises sans être contrôlées. Les rumeurs ont la vie dure notamment via Internet. Exemples : - Précision fausse : les cartes à jouer furent inventées pour amuser Charles VI - Irrésolution vague : l’inventeur du Close-Up est l’homme des cavernes. Ou encore l’inventeur du Close-Up doit dater du Moyen-Age (qui a duré 12 siècles quand même) Et plus près de nous. Si je vous dis le mouvement de disparition de la muscade avec la baguette de Dai Vernon, le Tilt de Marlo, les cartes folles de Frank Garcia, vous ne serez peut-être pas choqués. Pourtant : Le “Mora Wand Spin” est de Silent Mora. Dai Vernon attribue lui-même le mouvement (originellement fait avec un éventail) de la baguette à Mora dans The Dai Vernon Book of Magic (1957), page 137. Pour le Tilt, ou illusion de la profondeur, Edward Marlo attribue bien honnêtement ce mouvement à Dai Vernon dans son livre Tilt en1962. La première publication des cartes folles de Peter Kane est à lire dans la revue Hugard’s Mgic Monthly d’avril 1962…Frank Garcia est venu après.
  12. “Dépoussiérer” la magie, est déjà d’actualité dès 1936. Citation de Sid LORRAINE: “Mr. Zens has a great idea in reviving some of the old time tricks in his column "Dusting Off the Old Ones." However, I do wish he would dust off the name of the inventor. After all, credit where credit is due. If you must publish another man's material I always believe in giving credit…”
  13. CHARLIER a été un professionnel du Close-Up à Paris puis à Londres à la fin du XIX ème siècle. - 1991. Stephen MINCH. De la Sorcellerie aux tours de cartes. Traduction française de Richard Vollmer. Éd. Magix Unlimited. Citations : Charles BERTRAM et le Pr HOFFMANN ont pris des cours chez lui et rapportent qu’il était un véritable génie avec un jeu de cartes. Page 35. Le Pr Hoffmann rapporte que Charlier lui-même dit avoir donné des leçons de manipulation de cartes à Robert-Houdin. On dit aussi qu’il parlait couramment huit ou dix langues. On retrouve sa trace à Londres de 1878 à 1882. Publications des trois créations de Charlier : - 1876. Faux mélange Charlier, première description dans Modern Magic du Pr Hoffmann. - 1877. Coupe ou saut de coupe Charlier, première description dans Sleight of Hand de Edwin Sachs. - 1890. Le système de marquage des cartes par ponctuation, première description dans le livre More Magic du Pr Hoffmann.
  14. Citations : - Gilbus : « Les références au FI existent depuis très longtemps… » - Claudemagie : « … au moyen âge et sûrement avant ». Certes ! Il semble donc illusoire de trouver précisément le premier qui a pensé au PRINCIPE du fil. En revanche il est possible de trouver qui a proposé des AMÉLIORATIONS : - 1923. Al BAKER et le premier jeu de cartes animées dans la main du magicien (manuscrit Baker Exclusive) - 1965. Finn Jon et le premier jeu animé à distance. - 1973. Un livre de cent pages de Ralph WICHMANN (BRACO) consacré au FI. Il a été traduit par Richard Vollmer en 1981, sous le titre Effets de lévitation chez Magix Unlimited. - 1988. Gaëtan BLOOM épurant l’idée de Steve SPILLMAN propose la révolution des fils indirects avec la carte qui tient toute seule sur la tranche - 1990. Finn JON la première application du fil invisible élastique, etc.
  15. Merci Morax. Je ne connaissais pas cette photo et j’apprécie particulièrement. Je suis un fan de l’histoire de Rezvani (cf. ses quatre livres et les très intéressants articles Rezvani nous parle de Rezvani par Alain Poussard dans les numéros 584 et 585 de la Revue de la prestidigitation).
  16. Pour rester dans le sujet : REZVANI (1900-1962) tout comme Moreau était connu comme un professionnel du close-up à Paris à partir des années 40. Il a acquis sa réputation grâce notamment à trois effets : Les coussinets de la princesse, Les billes d’ivoire et sa maitrise du Chapelet. Mais il pratique aussi beaucoup d’autres tours (le bonneteau des coquilles de noix, le book test, les cartes à la poche, la carte au portefeuille, etc.) Il manipule une marionnette Le singe savant, ce que réalisera plus tard David Williamson avec Le Racoon. En avance sur son temps il recommande déjà les cartes à jouer au format américain plus larges que celles utilisées en France. De passage en France, le grand close-up man Charlie MILLER (1909-1989) est émerveillé par sa pratique. Une journée de l’ESCORIAL a été consacrée à Rezvani en octobre 2004 en Espagne.
  17. Merci Francis, mais c’est très exagéré. Je forme un binôme avec mon ami Philippe Billot et je partage spontanément ce compliment avec lui. D’autres collègues (en France je pense notamment à Plick) méritent beaucoup plus que nous le qualificatif de connaissance encyclopédique.
  18. Tout à la fin (à trois minutes cinquante), la main gauche masque l’action lors de la sortie de la carte de l’étalement par l’avant. C’est une petite erreur. Il est plus élégant de tirer la carte vers soi avec la main gauche (pouce dessous et index au dessus) Puis de retourner la carte face en haut (pouce dessus et index dessous) De donner ensuite la carte à la main droite Enfin la main droite fait virevolter cette carte face en haut par-dessus le ruban, pour arriver à la même configuration finale
  19. Ce merci me touche particulièrement. Les informations que nous postons sont surtout destinées aux jeunes magiciens passionnés d’histoire qui ne disposent pas encore de documentation.
  20. 1894. E. Raynaly. Les propos d’un escamoteur. Citation page 116: « Il me reste maintenant à présenter Moreau. Saluez, messieurs les prestidigitateurs de tout ordre, de tout âge et de tout talent! S'il n'a pas, comme plusieurs d'entre vous, la distinction, le beau langage, la grâce et l'esprit qu'on est en droit d'attendre d'artistes qui se décorent eux-mêmes des titres les plus pompeux, Moreau vous dépasse tous de la hauteur de son talent, de son adresse et de sa finesse, de sa subtilité et de sa virtuosité. Au point de vue manuel, il est le seul auquel l'épithète de merveilleux puisse être appliquée sans exagération, Il est sans rival, si forts que vous soyiez, impossible d'égaler Moreau dans son genre spécial; lorsqu'il opère, l'oeil est émerveillé et l'imagination mise en déroute. » Et un peu plus loin page 119 : « Moreau a lu cette page qui le concerne alors qu'elle n'était encore que manuscrite. Sa naïve satisfaction faisait plaisir à voir. L'amitié très vive qu'il avait pour moi en fut encore augmentée, et, bien que d'une modestie plutôt exagérée, il était fier de ces quelques lignes inspirées autant par l'excellence de sa nature, que par mon admiration pour son talent. Cette page qui le concerne, ayant été lue telle quelle par lui, je n'ai voulu rien y changer, c'est pourquoi le récit est au présent alors qu'il devrait être au passé, car, hélas ! Moreau n'est plus. La grande et sombre Escamoteuse, sans pitié, nous l'a enlevé ; nous ne le verrons plus ! Adieu, Moreau, brave et excellent camarade ! Adieu, Moreau, grand maître es prestidigitation. »
  21. A propos du “père” du close-up en France Extrait de l’excellent livre 52 cartes 52 tours traduit par Philippe Billot 21 Note du traducteur : "Rappelons que la mode du “close-up” a commencé dans les années trente aux USA, et pour vous rendre compte de ce que c’était à l’époque, lisez le livre de Jean Hugard intitulé Close-up Magic for the Night-Club Magician publié en 1934. L’auteur est assez aimable pour reconnaître que cette façon de faire était déjà pratiquée en Europe à la fin du XIXe siècle et en particulier en France avec Pierre Moreau. Pour résumer, si une personne vivante vous dit qu’elle a inventé le close-up en France, vous pouvez lui rire au nez".
  22. L’Huile et l’eau de Bébel 2009. Bébel. Stage de CIPI d’avril. Explication pas à pas par l’auteur de cette routine. Cette étude a permis d’améliorer des passes connues et d’apprendre plusieurs subtilités peu connues : le bonneteau mexicain, la subtilité de Tamariz, le change optique de Dai Vernon, le comptage Elmsley, le comptage OPEC, la subtilité Olram dans sa variante de Darwin Ortiz, une subtilité d’Ascanio, une donne stud, la subtilité de Laurent Prochasson, le gambler’s cop, la reprise avec Cop, le déphasage de Marlo … 2010. Bébel. L’huile et l’eau. Page 34 de la Revue de la Prestidigitation numéro 575. La routine est disséquée en trente cinq paragraphes.
  23. Tour de Magie: Bonneteau Mexicain ( Marlo, Bébel, Markiewicz ) La routine est très bien présentée. Bravo. Par rapport aux références je proposerais le titre : « Bonneteau au sandwich », une routine de Bébel. 2003. Cette routine magnifique est expliquée pour la première fois page 56, dans la revue l’Illusionniste numéro 349. 2009. Cette routine s’améliore au fil du temps et est expliquée en détail par son auteur en avril de cette année là, lors d’un stage de CIPI mémorable. 2010. Enfin elle est présentée dans le DVD de Bébel /Vallarino, Inspiration Vol. 1. Éd. Arteco. Le “Rub-a-Dub aérien” est une variante de Bébel. La sortie de la carte depuis un étalement sur table est également une variante de Bébel. Il travaille assis avec les spectateurs au dessus de lui, et ce procédé lui est apparu plus visuel. Cette variante s’est construite à partir de la houlette Kundalini Rising de Jeff Mc Bride commercialisée en 1997, elle-même étant issue d’un brainstorming avec Vadini. La plupart des autres passes sont d’Edward Marlo dont la fameuse sortie de la carte de l’étui (souvent attribuée à tort à Matt Shulien). Cette passe remplace ici la très belle « transposition asymétrique » de la version originale. Je pense aussi comme Gilbus que c’est contre productif et je préfère la transposition qui retourne complètement le cerveau des spectateurs. Enfin le Bonus avec les as fait référence au tour de Dai Vernon (Twisting the Aces de 1960) et au célèbre dernier tour d’as du Dr Daley (de 1948).
  24. Journée magique à la Gaité Montparnasse 1 Paris le 22 novembre 2015. Alain CHOQUETTE et Luc APERS. « SI J’AURAI SU, J’AURAI VENU ! » Après lecture de nos comptes rendus (Olmac et Luke Jermay), des amis magiciens nous ont dit que s’ils avaient été prévenus, ils seraient venus, d’où le titre de cette annonce en hommage au petit Gibus qu’il ne faut pas confondre avec un certain Gilbus qui sévit sur VM. Les spectacles d’Alain Choquette et de Luc Apers sont toujours en cours. Philippe et moi avons donc décidé de ne pas en faire de compte-rendu détaillé, et à la place nous vous invitons vivement à aller les voir et à les encourager pour qu’ils puissent de nouveau nous proposer des journées magiques aussi formidables que celle que vient d’organiser Alain CHOQUETTE. Cet artiste présente un spectacle tout public, « Drôlement Magique », au théâtre de la Gaité Montparnasse, jusqu’au 2 janvier. Durée 1h30. La biographie complète de ce magicien canadien est développée dans ses Notes de conférences et dans la dernière revue Magicus, numéro 196 de sept. Oct. 2015 (dossier : la Magie au Canada). Alain Choquette a acquis une grande expérience et fait un travail de simplification dont nous pouvons tous nous inspirer. Luc APERS est un artiste belge. Il présente « La Véritable Histoire de Paul Cres » où il mêle humour et magie dans un conte. Doué d’une bonne maitrise théâtrale, il joue plusieurs personnages et ses routines de cartes sont techniquement ardues. Vendredi 18 décembre 2015 à 20h30 - Avrillé (F) Centre Brassens. Allée Georges BRASSENS, 49243 Avrillé. www.ville-avrille.fr P & P
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