Tableau d'honneur
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Max Park n'est plus le champion du monde en 3 x 3 C'est désormais Xuanyi Geng qui est le champion du monde officiel : Max Mark était à 3 s 13 Xuanyi Geng est passé en avril dernier à 3 s 05 Ce jeune chinois âgé de ... ... ... 7 ans !!! Est le champion du monde en titre ! Max Park reste champion dans de nombreuses catégories. Et le plus titré des champions de Rubik's Cube. Voici le tableau des records de cube en 3x3 : https://fr.wikipedia.org/wiki/Record_du_monde_de_Rubik's_Cube2 points
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Un art du détournement d'attention maîtrisé à merveille par Lionel GALLARDO et dont le partage au cours de cette conférence est un régal. Excellent ! Au delà des certains gestes techniques qui requièrent du travail pour être exécutés correctement (son contrôle LCC est vraiment Top ), on bénéficie d'une foule de précisions dans le placement, les gestes et le regard susceptibles de rehausser votre magie que ce soit en close-up (assis) ou sur scène (debout). Aucun regret pour cet achat.1 point
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N’attendons pas dix ans pour exhumer ce sujet gorgé de pépites. C.G., fossoyeur de VM à ses heures.1 point
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Bonjour à toutes et à tous, Dans le cadre d’une première phase de recherche pour la création d’un spectacle autour du thème du passage du blanc à la couleur, je suis à la recherche d’idées, d’effets, de numéros ou de tours - en close-up, salon ou scène - qui illustrent cette transition. Cela peut concerner : Un environnement initialement blanc qui se transforme en un espace coloré, Un objet blanc qui évolue vers une ou plusieurs couleurs, Ou toute autre idée créative en lien avec cette symbolique. Si vous avez des références, des noms de tours, des artistes ou des concepts à partager, je suis preneur ! N’hésitez pas à les partager ici. Un grand merci d’avance pour votre aide et vos suggestions.1 point
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Le passage entre le blanc et la couleur, ça me fait penser au passage du noir et blanc à la couleur sur la télévision et le cinéma. Donc le progrès de la technologie Tu as la couleur blanche en symbole de transition de la pureté pour prendre forme en couleur qui représente la vie ou le changement ou des valeurs Sinon, tu peux faire des comptages avec cartes blanches qui deviennent au fur et à mesure de couleurs, où faire un effet pas attendu comme dans le tour ichabara test en changeant les dos bien sur Le principe du jeu SixPack avec des dos blanc au début Il me semble qu'il y a des changes de couleurs dans le DVD Ultime Scrunchy avec Chouchou En élastique, il y a CRB Les effets de gommettes, et il me semble il y en avait un avec un sapin en gommette sur la carte Tu as des pièces chinoises de couleurs et blanche ou jetons de pokers aussi si tu veux faire avec des pièces Un rubic cube avec toutes les faces blanches qui redeviennent colorées Les Billets blancs et billet euros donc colorés Pour le salon Scène, il y a plein de tour de change de couleurs avec des foulards aussi le cornet avec les anneaux, pourquoi pas une fausse machine à laver où tu changes des foulards blancs en couleur ou même des chaussettes, ça pourrait être aussi des liquides qui changent de couleurs ou autres objets en rapport avec ton histoire. Le principe du classique livre de coloriage, idem, tu peux te le créer toi même avec des images en rapport à ton histoire. Du coup, tu as aussi des palettes et pinceaux ou crayons de couleurs à change en plus ça pourrait être aussi des liquides qui change de couleurs En Chop Cup, il y a une routine d'Aldo Colombini où les balles à la fin se changent en 3 balles d'une autre couleur, dans celle-ci les 3 couleurs du drapeau italien si je me rappelle bien.1 point
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Bonjour, As-tu vu le nouveau spectacle du Puy du Fou, Le mime et l’étoile ? Un spectacle entièrement en noir et blanc qui prend peu à peu de la couleur. Cela peut être une piste d’inspiration1 point
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C'est vrai qu'on ne ferait plus du tout comme ça aujourd'hui, il faut l'admettre. Mais bon, ça a 40 ans. On a beaucoup progressé dans les FD depuis. Quand on regarde Rezvani, il fait ses FD à l'orientale (comme on peut le voir encore pratiqué aujourd'hui, dans la rue, etc.) : très vite. Un peu plus haut, on a parlé de Daxien et des "mains fantômes". J'ai vu une de ses performances traduite et j'ai cru comprendre que "la main fantôme" est une technique de disparition ancienne, où le magicien va très vite en multipliant les gestes pour perdre le spectateur. Il le fait très bien... mais il faut reconnaître que pour un magicien, c'est beaucoup moins propre qu'un bon FD. Bref, ces vidéos nous permettent aussi de voir comment la magie progresse. J'aime beaucoup l'idée de Claude de multiplier les bols. Et c'est très bluffant en live (sans se repasser la vidéo plusieurs fois). Je trouve un peu dommage de montrer qu'ils s'imbriquent à la fin, mais bon... c'est pour l'image du final. J'imagine que ça a peut-être influencé Dominique Duvivier dans son apparition d'un 4e gobelet (je ne sais pas, je suppute). L'apparition des poussins est aussi assez extraordinaire (je trouve mignon qu'on les entende piailler dès le début ) Concernant Rezvani, cela faisait des années que j'étais subjugué par le nom des "coussinets de la princesse". Je voulais le lire ou le voir absolument pour savoir quelle était cette histoire de princesse, qui semblait être une justification au tour. Bon ben, maintenant, je sais : aucune histoire, c'est juste un nom. Niveau technique, il ma bluffé avec ses "vols". Je serais curieux de lire la description de la technique (avis aux bonnes âmes qui souhaiteraient me joindre). J'imagine assez bien ce qu'il se passe, mais je suis étonné que ce soit si discret (ça vient peut-être aussi de la qualité de la vidéo et du fait que ce soit en noir et blanc. Je me demande ce que ça peut rendre "en vrai") Bon enfin, bref, un grand MERCI pour ces vidéos. Ça faisait longtemps que je voulais les voir et, même si elles ne ressemblent pas exactement à ce à quoi je m'attendais, elles sont vachement intéressantes et il y a plein d'enseignements à en tirer.1 point
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1825. Manuel des Sorciers ou cours de récréations physiques, mathématiques, tours de cartes et de gibecières, suivi des petits jeux de société, et de leurs pénitences. Paris. Éd. Ferra jeune, Librairie. Page 256. Le Jeu du Canard. On a autant de carrés de papier qu’il y a de personnes qui prennent part au jeu ; on écrit sur chacun un numéro, en commençant par 2, et en continuant 3, 4, 5, etc. On roule ces papiers, et on les jette dans un chapeau. Après qu’on les a bien mêlés en les agitant, chaque joueur en tire un. Celui à qui le 2 est échu, est proclamé canard ; il s’assied le premier ; tous les autres prennent place suivant l’ordre des numéros qu’ils ont amenés, et se forment en cercle, c'est-à-dire que le numéro 3 s’assied à la droite du canard, et ainsi successivement de manière que celui qui a le dernier numéro soit assis à sa gauche. Tous les billets étant roulés de nouveau et remis dans le chapeau, on place ce chapeau sur une chaise ou un tabouret, au milieu du cercle. Le canard se lève et va tirer un billet au hasard ; supposons que ce soit le numéro 8 ; il le nomme en le montrant, le remet dans le chapeau, et retourne à sa place. Alors son voisin à droite dit un, le suivant dit deux, le troisième dit trois et ainsi de suite jusqu’à la personne qui dit huit ; celle-ci va alors tirer un billet ; les joueurs qui suivent à droite comptent de la même manière le point qu’elle amène, et celui sur qui le compte s’achève, va mettre à son tour la main au chapeau. Toutes les fois qu’en comptant ainsi à la ronde les points du billet tiré, le nombre se termine juste au canard, celui-ci fait entendre le cri kan, kan, kan, et la personne qui a pris le billet donne un gage. Si le compte des points du billet, que le canard tire à son tour, vient se terminer à lui-même, tous les joueurs poussent le même cri, et il donne un gage. Chaque fois qu’une personne a subi la peine imposée à quiconque s’arrête chez le canard, elle va prendre place au côté droit de celui-ci, et chacun se recule d’un siège à l’autre jusqu’à celui qu’elle laisse vacant…Lire la suite dans le livre si besoin.1 point
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La préexistence historique de Charlier, Robert-Houdin, Moreau, Rezvani, suggère simplement qu’il ne peut pas être un contemporain vivant, contrairement à certaines affirmations récentes. Personne ne sait qui est le père (ou la mère) du Close-Up. En revanche, pour tous ceux qui sont intéressés par des sources moins sérieuses, je vous annonce qu’il existe la règle du jeu du canard. La connaissez-vous ?1 point
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“Dépoussiérer” la magie, est déjà d’actualité dès 1936. Citation de Sid LORRAINE: “Mr. Zens has a great idea in reviving some of the old time tricks in his column "Dusting Off the Old Ones." However, I do wish he would dust off the name of the inventor. After all, credit where credit is due. If you must publish another man's material I always believe in giving credit…”1 point
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Moreau un close-up-man du 19 éme siècle Travail de table en table dans de grands hôtels parisiens ...... Lire l'illusionniste de aout 1902 article de Caroly 1 (pour les spécialistes ) Etourdissant dans tout ce qu’il faisait, Moreau avait une spécialité, « Le Tour de Cartes ». Il en était le Paganini et, dans ce genre, touchait simplement à la sublimité. Lorsqu’il opérait, l’œil était émerveillé et l’imagination mise en déroute. Tout cela, sans avoir dans le langage une recherche, à laquelle il ne prétendait d’ailleurs pas, mais avec une bonhomie, une simplicité d’allures et une sobriété de gestes tels, que l’œil le plus exercé constatait les effets sans pouvoir, même approximativement, en apercevoir ou en déterminer les causes. On peut dire, à propos de cartes : qui n’a pas vu Moreau, n’a rien vu et ne peut se faire une idée de cette féerique virtuosité. Mais le voir n’était pas chose facile. II exerçait modestement, discrètement, presque secrètement. Pour la plupart des prestidigitateurs Moreau était un être légendaire. Tous en avaient entendu parler, et beaucoup ont cherché à le voir sans jamais y parvenir. Cela tient à ce qu’il ne faisait que la « postiche » ; pas d’annonces, pas d’affiches ; le hasard seul pouvait vous le faire rencontrer dans l’exercice de ses étonnantes fonctions. Lorsqu’il daignait « travailler », Moreau commençait sérieusement sa journée vers onze heures du soir ou minuit. Il entrait, pour ne parler que de Paris, dans un des grands cafés du boulevard interdits à tout autre professionnel. Il y était non seulement toléré, mais officiellement admis. Là, il opérait à son aise à différentes tables, et le plus souvent, sur la demande méme des clients. Mais il fut un temps où les « affaires » ne lui étaient pas si faciles. Il avait alors divers et ingénieux expédients pour se faire admettre. Je ne peux tout citer. Un numéro entier de ce journal n’y suffirait pas. Pour analyser Moreau il faudrait un volume. A titre de curiosité, je veux donner, au moins, un exemple. Après avoir trouvé un café à sa convenance, il jetait un coup d’oeil à l’intérieur. Moins il y avait de monde, plus cela lui convenait. II lui suffisait de voir une table suffisamment occupée par quelques clients dont il avait bien vite jaugé la valeur et la possibilité de rendement. Il entrait alors et s’asseyait « le plus loin possible » de son futur champ d’exploitation. II demandait alors un bock et un piquet, prétendant attendre un camarade. Alors, en manière d’attente et de désoeuvrement, il construisait avec les cartes quelque fantaisiste château, bientôt démoli, puis, l’attention étant déjà quelque peu éveillée, il s’amusait, ou semblait s’amuser à lancer en l’air des cartes qui, après une courbe aussi gracieuse que savante dans l’espace, lui revenait correctement en mains, exercice dans lequel il était incomparable. Bientôt, une de ces cartes prenant, comme par hasard, une fausse direction, allait tomber sur, ou à côté, de la table convoitée. Il se levait alors, et avec son allure bonasse de compagnon en promenade et son sourire d’une niaiserie voulue, il s’excusait de sa maladresse, ramassait la carte et la remettait dans le jeu. Puis, comme se disposant à rejoindre sa place, il jetait un coup d’œil sur la table, en disant : « Oh ! je vous demande pardon, en voilà encore une » (qu’il semblait sortir d’un verre). « Tiens ! encore une autre » (qu’il prenait sur un client). « Ah ! ça c’est curieux, je croyais en avoir envoyé qu’une ; oh ! voyez donc monsieur, vous en avez plusieurs dans votre manche. » En disant cela, il montrait, sans ostentation, sa main droite absolument vide et indiquait en même temps la manche en question, sur laquelle tous les regards se portaient. Ce temps était plus que suffisant, pour lui permettre d’empalmer sept ou huit cartes, et, sous prétexte de retirer de la manche du client, les cartes qu’il prétendait y voir, avec un art infini, il introduisait sa main ainsi chargée et sortait, une à une, les cartes qu’il venait d’introduire, en ayant soin d’en laisser une, qu’il connaissait, et qui, quelques minutes après, lui servait dans un tour. Bref, la « conversation » se trouvait ainsi engagée. Dès ce moment, il tenait son monde ; on était sous le charme. Certaines fois, les clients en appelaient d’autres, les engageant à « venir voir ». On l’entourait, plus il allait, plus l’intérêt grandissait et arrivait au suprême degré lorsqu’il entamait ses fantastiques parties de piquet et d’écarté qui défient toute description. II me suffira de dire (et j’ai vu cela maintes fois) qu’avec le premier jeu venu, sans préparation, il rendait quatre points de cinq à l’écarté, et qu’au piquet, il vous faisait capot alors même que vous aviez trois as. Ce qui paraît impossible et ne peut être admis que par ceux qui ont été témoins de ces incroyables prouesses et qui connaissent le procédé qu’il employait pour obtenir ce singulier résultat. Ce procédé lui était personnel. Créé par lui, il était la principale de ses forces. Jamais, dans aucun ouvrage français ou anglais, je n’en ai vu la description. Je crois, d’ailleurs, que ç’eùt été inutile ; j’en ai assez de fois tenté l’essai, pour supposer qu’en d’autres mains que celles de Moreau, il est impraticable. Bref, la petite séance se terminait par l’inévitable « quête », qui avait aussi son originalité. Moreau la faisait avec le petit plateau à sucre, en disant : « C’est trop petit pour mettre des sous » et c’était, en effet, toujours des pièces blanches qui tombaient. Supposez maintenant que Moreau soit entré en demandant simplement la permission de faire quelques tours de cartes ; il est certain que sa proposition eût été, la plupart du temps, fraichement accueillie. En s’y prenant comme je viens de l’exposer, il s’imposait. De plus, l’établissement et les clients lui étaient désormais acquis. C’est ainsi qu’il s’était formé une sérieuse clientèle. Mais pour cela, il fallait être Moreau ! Il avait parfois des chances spéciales, comme la fois, par exemple, qu’un riche financier parisien se trouvant dans les eaux de Nice, l’ayant fait venir à bord de son yacht, lui donna un billet de mille francs, pour sa petite séance. Quel est le plus fameux professeur qui puisse se flatter d’avoir jamais touché un pareil cachet ? Surtout avec un simple jeu de cartes pour tout matériel. Malheureusement pour lui, Moreau appréciait fort les charmes du dolce farniente. S’il eut été plus actif et plus intéressé, il aurait pu gagner les appointements d’un ténor d’opéra. Il se contentait en moyenne de ceux d’un député ; je parierais plutôt pour plus que pour moins. Lorsqu’il était à la tête de douze ou quinze louis, il se reposait jusqu’a ce qu’il en eu vu la fin. Ce qui n’était jamais bien loin, car, sans être le moins du monde un « noceur », il aimait la vie large et confortable et dépensait sans compter. Je me souviens, qu’étant à Paris, il m’invitait parfois à dîner au restaurant et ne manquait jamais de me dire, en me présentant la carte : « Tiens, choisis, et demande tout ce qu’il y a de plus cher. ». Ce trait peint bien son genre d’économie. Disons cependant qu’il n’oubliait pas une vieille mère, qu’il avait là-bas, dans quelque trou de province. Il avait des originalités bien personnelles. Je l’ai vu une fois me montrer qu’il n’avait plus qu’un sou pour toute fortune. Séance tenante il donna ce sou à un pauvre pour éprouver la satisfaction d’ètre littéralement sans le sou. Une heure après, grâce à quelque bonne « petite séance », il était à la tête d’un louis. Il allait alors dîner chez Bignon, donnait cent sous au garçon et sortait de là avec quatre-vingt ou cent francs dans sa poche. Une de ses grandes, et je dirais, malicieuses distractions, était, en province surtout, d’entrer dans un cafê où il y avait une séance de prestidigitation. Après la séance il causait avec le copain et lui demandait s’il connaissait Moreau. Invariablement l’autre répondait : « J’en ai beaucoup entendu parler, mais je ne l’ai jamais vu ; il paraît qu’il est épatant, je voudrais bien le voir. » Et Moreau jubilait, mais jamais ne se faisait connaître, à moins que l’artiste lui ai beaucoup plu, ce qui était excessivement rare. Cependant il faisait toujours plus ou moins marcher la tombola selon le degré de satisfaction qu’il avait éprouvé. ...Comme homme, un excellent cœur, le meilleur et plus brave garçon du monde. Toujours prêt à venir en aide aux camarades dans l’embarras qu’il rencontrait l’été en voyage. Sans instruction comme sans éducation, il n’avait, néanmoins, ni le langage ni les allures de la plupart de ceux qui exercent un métier plus ou moins analogue ; rien en lui ne décélait le camelot ou le posticheur. Il était toujours convenable et discret. Il montrait, dans son travail, des finesses de diplomate et dans la vie privée des naïvetés d’enfant. Il passait généralement une partie de l’hiver à Paris et l’autre à Nice. L’été, c’était aux villes d’eaux qu’il opérait, dans les salons d’hôtel ou restaurations. Il menait ainsi, à peu de chose près, la même vie que sa riche clientèle, car il avait le goût inné des distractions luxueuses, sachant se procurer tous les plaisirs et satisfaire tous ses caprices. L’ayant peut-être même trop su. Un jour, c’était en 1890, je reçus de Moreau une lettre datée de Lyon. Il était en détresse, malade et, grâce à son système économique, sans le sou. Je lui envoyais de suite une lettre chargée d’un premier secours et lui demandais une réponse avec détails afin de pouvoir agir suivant les besoins, car nous étions quelques-uns qui ne l’aurions certes pas abandonné. Cette réponse ne vint pas. Ce n’est que beaucoup plus tard que j’appris que Moreau était mort de l’influenza, le lendemain même de la réception de ma lettre. Moi et quelques intimes, nous le regrettons encore, et ce n’est pas sans un reste de tristesse, qu’à son intention, j’ai tracé ces quelques lignes comme un nouvel, en même temps que dernier, hommage à ce brave cceur et à ce grand et incomparable artiste. E. Raynaly Pierre Moreau est né à Gilly en Saône et Loire. D’après l’état civil à Lyon N°508 du registre : Domicilé à Lyon 5ème. Célibataire, quarante et un ans. Profession artiste prestidigitateur. Décédé le 26 mai 1890.1 point
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