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Je parle bien de "c'est un peu dommage" dans le cas où l'on n'a pas choisi de chapelet, et que l'on ne sait pas vraiment comment et jusqu'où on va l'utiliser. Sachant qu'en plus, nos intérêts peuvent évoluer avec nos connaissances/expériences en cartomagie. Par exemple, si l'on se décide pour l'Aronson à cause des routines de triches et qu'on découvre qu'on peut avec Isis, Mnemonica, Stebbins, Redford (je ne sais pas si c'est possible avec le Quicker Stack que je ne connais pas. Je vais m'y intéresser par curiosité, Ackermann a dit à une époque que c'est le meilleur stack) faire un final en jeu arrangé dans une routine de triche et pas avec Aronson, on peut trouver ça dommage a posteriori, et se dire si j'avais su. Dès lors, deux possibilités. Se renseigner énormément au risque d'attendre trop longtemps comme tu le soulignes, ou se référer à des personnes bien avisées (comme ici sur le forum ). Mais je comprends tout à fait que si l'on a fait un choix, et que l'on est satisfait, qu'il n'y ait aucune raison de changer. Sachant aussi que certaines routines spécifiques à un stack peuvent s'adapter d'une manière ou d'une autre.2 points
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@Vincent HEDAN est assez clair : il ne dit pas que Mnemonica est le chapelet à adopter en toutes circonstances. Il conseille, si l'on ne connait pas de stack, de s'orienter vers le Mnemonica car c'est celui pour lequel il y a la littérature la plus abondante, et dont les propriétés intrinsèques (le réservoir pour parler comme @Isidore BUC) ont été le plus creusées. Ce qui est vrai. Il est vrai également que beaucoup de routines fortes ne dépendent pas l'arrangement et en ce sens, le choix peut paraitre secondaire. Dans le cas du Particle System, l'arrangement de Joshua Jay est fortement décrié sur le Magic café car il n'est clairement pas possible de montrer un ruban face en l'air du jeu, et que le chapelet a été construit avant tout par simplicité, ce qui limite forcément ses possibilités intrinsèques. Mais ça n'est pas la même chose de partir d'un jeu mélangé "au hasard" ou "simplement", et ensuite y chercher/trouver des propriétés, ou bien de construire un arrangement en y mettant directement des propriétés (Aronson, Tamariz, Redford, Isidore Buc). Il semble que le Particle System se range dans la première catégorie. La difficulté quand on se lance dans l'apprentissage et la pratique du chapelet c'est qu'on n' a pas forcémment une idée très claire de ce que l'on voudra en faire. Et se lancer dans l'apprentissage d'un ordre, en se coupant d'un certain nombre de possibilités a priori c'est un peu dommage. Pour en revenir au Particle System, je pense qu'il faut différencier l'arrangement en lui-même des routines proposées par Joshua Jay. @Vincent HEDAN parle essentiellement de l'arrangement, qui semble peu intéressant et j'abonde dans son sens. Par contre concernant les routines du livres, certaines sont très intéressantes et beaucoup adaptables à d'autres chapelets.2 points
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Tout d'abord, je précise plusieurs choses : - Je connais bien le sujet du jeu mémorisé. En particulier, je ne me suis pas intéressé qu'à l'arrangement que j'ai appris (j'ai regardé un temps du côté d'Isis par exemple). - Le jeu mémorisé que j'utilise est le "quicker stack" de Doug Dyment (après avoir utilisé le chapelet de Claude Rix). Je n'ai pas le "Particle System", mais ne l'achèterai pas, étant satisfait avec mon jeu mémorisé et les techniques que je connais déjà. Pour ceux que l'anglais ne rebute pas, il y a deux intéressantes discussions sur le sujet sur le forum du Magic Cafe (titre "Joshua Jay's Particle System") (lire en particulier à la page 8, le message de "Maxyedid" qui éclaire bien l'approche de Joshua Jay) et sur le forum "The magician's forum" (titre "Particle Stack/Sytem"). Un premier extrait intéressant (avec lequel je suis en phase) de la discussion sur "The magician's forum", en anglais : To do most stack work, you need to know that stack cold in both directions -- card to number and number to card. It will take the same amount of effort to memorize any stack. You often don't have the time to do even simple calculations under fire like you might naively try to do with something like Sy Stebbins to avoid memorization. (Note that Sy Stebbins is great for what it is designed for, but it is not a substitute for memorizing a stack.) Most stacks have "built-in" features, and Josh' stack is no exception. Apart from the built-ins, most stacks can be used for most stack effects. I think people agonize too much about which stack to learn. I learned Mnenomica and I won't learn another. If I were starting today, I may or may not choose that one. So what's important to you? - Ability to ribbon spread the stack and have it appear to be well shuffled - Ability to easily get to stack from new deck order - Ability to get to Sy Stebbins and back from your stack - Ability to get to a stay stack and back from your stack - Routines that depend on a particular stack If you like Josh' routines that depend on his stack and you don't care so much about examinability, then use it. But apart from the examinability aspect, just choose a stack and memorize it. I know too many magicians who have put off learning a stack for years (and will probably never learn one) because of indecision about which one to learn. Ce qui est intéressant dans l'extrait ci-dessus, c'est : "I think people agonize too much about which stack to learn. I learned Mnenomica and I won't learn another. If I were starting today, I may or may not choose that one. So what's important to you?", c'est-à-dire : "Je pense que les gens se prennent trop la tête au sujet de quel arrangement apprendre. J'ai appris le Mnemonica et je n'en apprendrai pas un autre. Si j'étais en train de démarrer aujourd'hui, je pourrai ou non choisir celui-ci. Qu'est-ce qui est important pour vous ?", sous-entendu dans l'utilisation de votre chapelet. Donc pour choisir un arrangement, posez vous ces questions : Qu'est-ce qui est important pour vous ? Comment avez-vous l'intention d'utiliser votre jeu mémorisé ? Donc je ne suis pas d'accord avec l'affirmation de @Vincent HEDAN dans son blog : "il est difficile de surpasser Mnemonica de Juan Tamariz en raison de la qualité, de la variété et de la quantité de matériel qui y est associé. Mon conseil reste donc d’adopter Mnemonica comme chapelet.". Comme déjà dit plus haut, j'ai appris le "quicker stack", et je n'ai pas l'intention d'en changer, mais je ne me permettrais pas de dire que c'est celui qu'il faut adopter et que c'est le meilleur. En ce qui me concerne, j'ai choisi le "quicker stack" car j'ai pu l'apprendre facilement, car je ne l'oublie pas après une pause (contrairement à celui de Claude Rix que j'avais du mal à retrouver), et parce que les nombreuses routines qui peuvent être réalisées avec un arrangement quelconque, conviennent parfaitement à ma magie. Je ne suis pas spécialement attiré par les routines spécifiques à certains chapelets. Je pense que c'est un choix personnel de ce qu'on veut présenter, et je comprends très bien que certaines personnes apprécient les caractéristiques spécifiques de certains chapelets. Mais j'insiste, cela ne veut pas dire que ce sont les meilleurs. Je termine par la phrase suivante extraite de la discussion sur le Magic Cafe : "There are a few really good tricks where the Tamariz stack is required, but most of the heavy-hitters I know are stack-independent." que je traduis : "Il y a quelques vraiment bons tours où l'arrangement Tamariz (Mnemonica) est nécessaire, mais la plupart des poids lourds que je connais, sont indépendants de l'arrangement.". Je confirme que dans les tours qui sont indépendants de l'arrangement, il y en a de très très bons ... ce qui ne veut pas dire qu'il n'y en a pas de très bons qui nécessitent un arrangement spécifique. Mais encore une fois, c'est un choix personnel concernant ce qu'on veut présenter.2 points
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En 2003, Anthony OWEN publie le tour Sticky Oil, Blue Water dans son livre Some Tricks. Sébastien Clergue l’a présenté sur Youtube, avec sa variante personnelle de la troisième phase. La routine est une adaptation de l’effet de Marlo décrit en 1958 dans la revue Ibidem.2 points
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Que te dire... compliqué tout cela. Déjà la science évolue chaque jour sur l'hypnose, et déjà l'existence d'un "ETAT" hypnotique en tant que tel par opposition à l'état de conscience semble s'éloigner pour certains scientifiques au profit juste de l'activation de certaines zones cérébrales. C'est complexe et je ne suis pas un neuroscientifique je me garderais donc bien de donner un avis. Ce que j'ai appris, c'est que l'hypnose jouait sur les fréquences électriques neuronales. L'hypnose serait en lien avec les différents rythmes que peut adopter notre cerveau. La fonction cérébrale peut être quantifiée à l’aide d’un électroencéphalogramme (EEG). Les ondes produites par le cerveau adoptent différentes amplitudes et configurations en fonction du fonctionnement de celui-ci. Leurs ondulations sont mesurées effectivement en Hertz (Hz). On peut ainsi leur attribuer une fréquence. L'hypnose jouerait sur les Ondes alpha (α): de 8 à 13 Hz, celles de la relaxation légère et de l’éveil calme. Donc la déclaration de Mesmer est cohérente avec ce qui se disait et que j'ai appris, mais ce n'est cependant pas l'ensemble des ondes cérébrales mais uniquement les ondes alpha. Il est donc possible de vérifier par EEG quand une personne entre en état d’hypnose. Mais voilà tout évolue, les scientifiques ne sont pas tous d'accord sur le sujet... Si on en crois une dernière étude scientifique, grâce à l’IRM fonctionnelle, les scientifiques ont scanné quatre fois le cerveau de personnes hypnotisées au repos, pendant une tâche de rappel de mémoire, et durant deux sessions de transe hypnotique semblables à celles utilisées en hypnothérapie. Trois changements majeurs ont été observés lors de l'hypnose. L’activité des neurones augmente dans une zone impliquée dans la concentration sur la résolution d’un problème (région dorsale cingulaire antérieure). « Cela explique qu’une personne hypnotisée soit tellement absorbée qu’elle ne se soucie plus de rien d’autre ". Les échanges neuronaux sont aussi plus intenses entre deux des régions qui gèrent la flexibilité cognitive et la conscience de soi, le cortex préfrontal dorso-latéral et l’insula. Vaste débat scientifique qui dépasse mais modestes compétences d'utilisateurs... Mais ce qui est certain c'est que Messmer n'a aucun pouvoir tout le monde peut apprendre à faire ce qu'il fait.2 points
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Bonjour, Absurde & auto-dérision, tenir une salle du Magic Castle avec si peu (un clin d’œil ici ou là à Ricky JAY et son melon) mais un sens de la pause et du rythme très sûr : Mot clé : Jonglerie1 point
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Pourquoi est-ce un peu dommage ? Ce certain nombre de possibilités est-il indispensable pour faire des choses intéressantes avec un jeu mémorisé ? Par rapport aux routines que je connais ou que je présente, je n'éprouve pas cette nécessité. Si on veut faire un spectacle avec juste un jeu mémorisé, je comprends bien que ces autres possibilités spécifiques à un arrangement donné sont très intéressantes pour varier les effets. Personnellement, si je fais un close-up en restaurant, ou un spectacle de magie de salon, je fais 2 routines maximum avec un jeu mémorisé. Mais donc, comme je l'ai déjà dit, tout dépend de la magie qu'on veut présenter. Et je ne dis pas qu'il ne faut pas apprendre un arrangement comme le Mnemonica ou celui de Simon Aronson. C'est vrai, mais pour de se décider pour tout sujet : je recueille un maximum de choses (livres, vidéos, DVDs) sur le sujet en question, et je me décide en ayant bien épluché le domaine. Je sais, cela a un coût.1 point
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Il y a aussi un chapitre indiquant la quantité d'énergie nécessaire (en kilos de matière par kilo transporté): d (années lumières) Arrêt à M 4.3 Etoile la plus proche 38 kg 27 Vega 886 kg 30,000 Centre de la galaxie 955,000 tonnes 2,000,000 Galaxie Andromede 4.2 milliards de tonnes1 point
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Au lien ci-dessus "If the trip is merely to the nearest star, with deceleration the last half of the way, it would take 3.6 years." https://en.wikipedia.org/wiki/Space_travel_under_constant_acceleration Et ici le calcul détaillé : https://math.ucr.edu/home/baez/physics/Relativity/SR/Rocket/rocket.html Apparemment c'est dû au facteur de dilatation du temps.1 point
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jeudi06février @Kamel le magicien fait apparaître l'animateur derrière un journal déchiré reconstitué1 point
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En accélérant à 1 g (soit près de 10 m/s2) qui est l'accélération de la pesanteur, il faudrait moins d'un an pour atteindre la vitesse de la lumière. Calcul en gros : 300000 km/s = 300000000 m/2 300.000.000 / 10 / 3600 / 24 = 347 jours. Ici ça dit 200 jours pour atteindre 50% de la vitesse de la lumière : https://fr.quora.com/Combien-de-temps-faut-il-pour-accélérer-à-la-vitesse-de-la-lumière-que-les-humains-peuvent-supporter Ca dit aussi "Ma nouvelle Accélération : Journal de bord d’un voyage relativiste décrit un voyage de 10 années lumière sous acceleration constante de 1g. En 551 jours le temps vaisseau il atteint 99.999% de c puis décélère à 1g en 551 jours de plus. On peut donc très confortablement aller n'importe où dans l'univers en 3 ans environ. Manque plus que la technologie…" Avec des calculs plus justes : https://en.wikipedia.org/wiki/Space_travel_under_constant_acceleration on lit ça: At a constant acceleration of 1 g, a rocket could travel the diameter of our galaxy in about 12 years ship time, and about 113,000 years planetary time. If the last half of the trip involves deceleration at 1 g, the trip would take about 24 years. If the trip is merely to the nearest star, with deceleration the last half of the way, it would take 3.6 years. Pas mal !1 point
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Si on pouvait aller beaucoup plus vite, pourrait-on éviter les collisions ou avoir des véhicules assez solides pour ne pas être endommagés par des collisions ou frottements qui doivent faire mal, même avec de la poussière, à très grande vitesse ?1 point
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Merci de vos précisions @Isidore BUC et @Vincent HEDAN Je viens de lire le blog de Vincent et c'est clair.1 point
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L'intérêt d'un stack réside dans les routines additionnelles que l'ordre spécifique permet d'obtenir, puisque toutes les routines basées sur les principes d'Aronson ne sont pas stack dépendantes. Un grand nombre de ces routines sont adaptables à un autre ordre excepté pour : le retour sur jeu neuf le stay-stack ou Rosary certaines propriétés mathématiques Ceux qui pensent que l'intérêt d'un stack réside dans sa facilité d'apprentissage n'utilisent généralement qu'une partie de l'outil. Cette partie peut répondre à leur demande ou objectif, mais ne restera qu'une partie de ce qu'il est possible de faire avec l'outil. De ce que @Frédéric NOWACKI m'a fait découvrir du Particle System : Il bénéficie de l'intérêt du Si Stebbins pour le retour sur jeu classé (puisque construit sur la base d'un jeu classé auquel on fait subir deux faros) , mais en perdant grand nombre de ses propriétés mathématiques. Il bénéficie également d'un stay-stack de valeur, mais pas valeur +c ouleur. Les personnes n'ayant pas adhéré au Si Stebbins pour son côté cyclique ont peu de chance d'adhérer au Particle System qui est encore moins anodin dans son ordre. Son final en new deck order est très sympa ainsi que la routine qui le précède. Adaptable au Si Stebbins, Mnemonica, Isis, ou tous les autres stacks qui permettent un retour en NDO par antifaro 2. Il semble permettre pas mal de routines de sandwich. N'ayant pas le livre, je ne peux en dire plus, peut être Frédéric le pourra.1 point
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Paris Manchester en avion et Manchester Blackpool en train c'est en tout cas la formule la plus rapide. Il faut compter 120 € aller retour pour l'avion et 30 € le train...après suivant les horaires ou les bagages il y a quelques ajustements. Sommes Hotel Néon...à nos âges besoin d'un peu de confort ...Et moins de bière ( en tout cas c'est ce que dit la prise de sang ) Au plaisir de vous rencontrer en tout cas.1 point
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Dans ce cas, il ne fera pas comme Messmer ! Il aura acquis des compétences pour reproduire les effets hypnotiques, mais il aura aussi pris conscience de l'intérêt de l'hypnose qui peut être bien plus qu'un spectacle où l'hypnotisé semble parfois être "victime" de l'hypnotiseur. La bienveillance et le partage de Michel nous permet produire des effets spectaculaires, mais tout en plaçant le respect et le bien-être de tous les spectateurs (y compris ceux sur scène) avant tout. Et à mes yeux c'est une différence capitale.1 point
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Un gars qui parle de ses soi-disant super-pouvoirs, qui se dit capable de faire bouger les objets par la pensée, qui dit l'avoir fait en laboratoire, mais malheureusement qu'il n'y pas de traces des ces expériences, pour moi c'est un charlatan. Attention, je ne remet pas du tout en cause ses compétences d'hypnotiseur de spectacle. @Michel DARLONE, j'ai une question: Messmer dit qu'il faut faire redescendre la fréquence du cerveau à 13hz pour entrer en état d'hypnose. ça aussi c'est du bla-bla ou c'est véridique ?1 point
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