Tableau d'honneur
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Hello ultra rapide ! Chacun a sa propre méthode, elles sont toutes valides ! Perso j'travaille de la manière suivante : j'ai un thème en tête... un fil rouge... et... j'vais au front. (ca peut être une scène ouverte, ca peut être un moment entre amis, un bar, peu importe...). Après 2 ou 3 tests comme ça, je commence à avoir une idée du texte (et des blagues)... et là j'écris... pour pouvoir nettoyer le tout (évitez les paraphrases, répétitions, phrases parasites, etc.) Par contre, je tiens à dire que "l'improvisation" n'existe pas réééééééeeeeeellement. Comme "l'impro" est basée sur des connaissances (des "tiroirs" comme on dit), on va juste...piocher dans les bons tiroirs de notre cerveau en fonction de la situation qui s'impose à nous... donc c'est pas réellement de l'impro pure et dure, c'est... somme toute plutôt préparé, par l'expérience... (mais c'est un autre déabt, pardon pour cette digression...). C'est un peu comme... l'impromptu en magie, ca n'existe pas REELLEMENT mais c'est aussi un autre débat5 points
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Selon plusieurs observateurs, il ne s’agissait pas du tout de la Cène, mais d’une représentation du Festin des Dieux de Jan Harmensz van Biljert, peint vers 1635 et conservé au Musée Magnin à Dijon. Au centre de la table, ce n'est pas le Christ, mais Apollon couronné. Bacchus-Dionysos est allongé au premier plan. Ce qui a été confirmé par le metteur en scène de la cérémonie, Thomas Jolly. Bob3 points
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Questions intéressantes de Philippe. Pour ma part, je prépare toujours un texte pour tous mes tours. Soit c'est une présentation qui existe déjà et qui m'a beaucoup plu, et je ne change que quelques mots, phrases parce que cela correspond plus à mon vocabulaire, à ma façon de m'exprimer. Soit c'est une présentation originale qui peut être basée sur ce que je fais professionnellement, ou ce que j'aime dans la vie. Mais dans tous les cas, j'ai un texte que je connais bien, pour ne pas avoir à chercher mes mots lors d'un tour, et pouvoir me concentrer sur la procédure et la technique. Après, il m'arrive ponctuellement d'improviser, mais c'est en général suite à la réaction, réponse d'un spectateur, pour rebondir.3 points
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Bonne question, mais ma réponse ne va pas t'avancer beaucoup... Déjà, en général, je prend le problème dans l'autre sens : J'ai un spectacle à faire, avec un thème, un personnage, un style, parfois un public cible spécifique... Une fois cela à peu près défini, c'est là qu'il est facile de choisir les effets (parler de tour, c'est limitatif : il y a toujours 50 façons de faire un effet.) Une fois la première sélection d'effets trouvée, c'est là que je me demande comment réaliser les effets... Bien sûr, le plus souvent, j'ai déjà une ou plusieurs méthodes. Mais est-ce que ce sont les meilleures, dans ce contexte et cet enchaînement ? Avec bien sûr mes propres limitations : je ne suis pas un génie ni un poulpe, donc les solutions demandant trop d'intelligence/mémoire ou des manipulations trop extrêmes sont remplacées par des choses plus abordables... Souvent, je commence avec une méthode, et en cours de travail je m'aperçois que je peut faire d'une autre façon qui s'adapte mieux à ce que je veux faire... Souvent d'un jour sur l'autre, la nuit portant conseil, c'est en me réveillant le matin que j'ai l'idée Heuuu... Ben, comment envisager un effet magique sans texte, ou du moins sans intention, sans message, sans objectif sur ce que l'on veux faire ressentir au spectateur ? Même si le numéro est sans parole, il y a toujours un texte muet... Le texte va bien sûr dépendre des éléments cités ci dessus : thème, un personnage, un style, parfois un public cible spécifique, etc... La création du texte et de la présentation en général, c'est souvent de l'improvisation : J'essaie des trucs... Souvent, la première idée est bonne... Jusqu'à ce que je trouve quelque chose de meilleur... C'est pour ça par exemple que mes notes de conférence sur le multieffet changent tous les ans : j'ai des idées, et des fois elles marchent, alors je reporte dans le fichier... En spectacle, par contre : L'improvisation est importante, car c'est une discipline vivante et très souvent interactive... Mais je préfère improviser seulement quand tout le reste est déjà travaillé, répété, peaufiné... Un texte construit, une bonne structure, une bonne prévision des réactions du public, etc, tout cela ne doit jamais empêcher de réagir dans l'instant présent, ou de tenter des trucs s'il nous viens une idée... Mais c'est une base solide qui permet d'improviser sans crainte, sinon, on risque d'avoir une galère, ou en tout cas de ne pas présenter sa meilleure qualité au public. C'est parfois cool de se lancer en aveugle dans un tour, mais il faut penser au public qui mérite ce que l'on fait de mieux... Si ce que tu fais de mieux, c'est improviser, ben lache toi... Si tu peut faire mieux en travaillant tes tours, comme le plus grand nombre des gens, ben travaille Gilbus2 points
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C'est vrai Mathieu et Clément, personne ici n’a dénigré, critiqué (si, quand même un peu) ou dézingué, et je reconnais que j'ai un peu exagéré quand j'ai dit : "quand un numéro est super bien fait, je l'apprécie et je ne vais pas le descendre parce qu'il présente quelques similitudes avec un autre numéro". Ce qui m'a fait essentiellement réagir, c'est que vous insistiez lourdement sur le copié-collé alors qu'il y a aussi des différences avec Léa Kyle, et du coup c'est que vous n'avez pas montré beaucoup d'enthousiasme pour ce numéro, même si vous avez dit qu'il est bien fait. Après, on peut ne pas aimer un numéro, cela ne me pose pas de problème. Cela m'arrive aussi, et ce n'est pas ce que vous avez dit. Mais comme je l'ai dit, si c'est bien fait, si c'est beau à regarder, je pense qu'on peut apprécier le spectacle et se laisser emporter, sans le décortiquer (dixit Teddy), sans se soucier de savoir si quelqu'un a déjà fait des choses similaires. Vous auriez écrit : "Léa a déjà fait des choses similaires, mais j'ai adoré le numéro de Solange avec ses éléments magiques..." ou "Je n'ai pas aimé le numéro car ce n'est pas rythmé, on voit les trucages..." (j'invente), Teddy et moi n'aurions pas eu la même réaction. Allez, on va tous s'améliorer dans nos propos la prochaine fois.2 points
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Hola Philippe. J'ai mes techniques, mes gimmicks, mes subtilités préférées. Ils sont rodés, je me les suis appropriés. Sauf un Lorsque je présente un moment magique, je questionne d'abord le public "à travers une check-list de mes croyances". Je me met alors en conditions pour la dynamique que je pense insuffler. Mon choix du premier effet dépend de ce que je travaille. Il sera le même pour la soirée, une période. Je choisi le matériel pour donner un cadre et une direction au moment magique que je veux créer. Les changement du boniment se font après correction de ce qui n'a pas marché précédemment. Ou si une idée "pope sur le moment" et qu'elle s'intègre au cadre commencé. C'est un tour que je prévois debout, pour ne pas me fermer une situation. Le second (et troisième) effet(s) est pioché dans mes routines préférées. Je ne peut pas les compter vraiment, mais elles sont dans l'ordre de la vingtaine. Et seules une petite demain douzaine sont retenue par période. Après la "check-list de mes croyances" et mon premier effet, j'ai maintenant une conversation avec mon public. L'effet devient personnalisé. Je peux alors mélanger les tours de magie du moment qu'ils respectent la dynamique initiée. C'est aussi le moment de travailler un nouveau tour de magie. Le dernier effet est réalisé pour ne pas laisser de doute sur la fin de ce que je propose. Il est une synthèse de ce qu'on a vécu avant. L'effet magique confirmant le côté impossible dans un contexte où le public a glissé de spectateur à spect-acteur. Cet effet est souvent le même pour la période, mais peut varier selon le répondant que j'ai eu. Un période dure le temps que la théorie devienne la pratique Tant que j'ai du plaisir à partager la dynamique que je souhaite travailler. C'est aussi le temps que je m'accorde à travailler un nouveau tour de magie. Finalement, je prépare la colonne vertébrale de mon texte sur laquelle je vais trouver les mots qui correspondent à la dynamique que je veux insuffler.2 points
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Bonjour à tous, Comment faites-vous pour choisir comment vous allez présenter un tour de magie ? Est-ce que vous improviser sur le moment ? Préparez-vous un texte ?1 point
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Quel spectacle, que d’émotions, de la magie à l’état pur !!! Bravo aux organisateurs, bravo à tous ceux qui ont contribué à cet évènement de près ou de loin. Le plus beau spectacle que j’ai pu voir de toute ma vie ! Bravo et un moment unique et mythique !1 point
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Voici le retour de @Johan MAZEYRAT sur la conférence de @Pierre ONFROY (Féodor) [vmprod p=10053]1 point
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Alors perso ça dépend de où j'en suis dans le cycle d'appropriation d'un tour. Mais comme pour tout le monde (je pense) mes tours et mes routines ont des cycles de vie. Au début, lors des premières présentations, j'ai un texte quasi par cœur et assez rigide. Une fois que je l'ai rodé un minimum, j'adapte un peu plus le texte à mon public selon que j'aie des enfants, des ados, des adultes, des groupes, une personne seule... Quand le texte est parfaitement encré dans ma tête et que je suis hyper à l'aise avec et que je n'ai plus aucun souci de technique, je me permets tout un tas d'agréments : Improvisation. M'interrompre pour caler au milieu de la routine un effet supplémentaire et complémentaire. Humour décontracté / ou au contraire, dramatisation accentuée. Pour les rôlistes : je joue au maximum la carte du rôle play. Donc in fine, ça devient de l'impro mais après être passé par une étape de travail du texte assez rigide. Grandma's miracle Un exemple me vient à l'esprit, j'ai publié un test sur Grandma's miracle dans lequel j'avais donné mon premier script de scénarisation. Aujourd'hui il a grandement évolué et je pars en impro totale avec un fil rouge qui me permet de garder les points principaux de mon scénario de base. Mais aux débuts, j'avais un texte certes efficace mais sacrément copieux et verbeux pour un effet pas si long que ça.1 point
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Sujet délicat car chacun va avoir des avis différents suivant sa sensibilité. Voici donc juste mon ressenti. Ce que j'ai bien aimé : - L'introduction avec Jamel Debouze et Zizou, le fil conducteur avec le porteur de la flamme qui vole de toit en toit, qui fait des acrobaties, qui passe par le Louvre, l'épisode avec les Mignons. - Les chanteuses, en particulier Juliette Armanet et Céline Dion. L'association de la garde républicaine (qui s'est lâchée) et d'Aya Nakamura, qui m'a fait rire. - L'originalité et la prouesse technique du cheval mécanique sur la Seine. - Le choix des porteurs de flamme (quel plaisir de revoir Nadia Comaneci que je suivais dans ma jeunesse). Ce que je n'ai pas aimé ou moins aimé : - Quelques longueurs (pour moi) : remontée de la Seine avec le cheval mécanique, remontée de la Seine avec quatre des porteurs de la flamme, spectacle de lumières de la tour Eiffel. - Le tableau avec une parodie de la Cène (en tant que croyant, cela m'a dérangé) et le défilé de "mode", ou plutôt de genre (on aurait pu plutôt mettre en avant notre savoir faire de la haute couture, par exemple). Je pense que les jeux olympiques, c'est l'occasion de réunir tous les pays et toutes les croyances. J'ai bien compris que le but était de montrer qu'il faut accepter toutes les personnes, et c'est louable, mais cela aurait pu être fait de manière plus subtile. Bon, je sais que sur ce sujet, plein de personnes ne vont pas être d'accord avec moi, mais c'est mon ressenti.1 point
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Une version publiée en 1876 dans le livre "Modern magic" du professeur Hoffman. La version de Marlo de 1953 (ou il y a cependant une question, voyez votre carte dans un des 3 paquets) mais une seule distribution, " 21 card trick streamlined". Je fais le malin car je n'y connais rien en cartes, mais le tour revisité est dans le "Automatic Card Shows Vol 1" de @Philippe MOLINA. [vmprod p=10045]1 point
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Bonjour A voir ou revoir sur NRJ 12 et NRJ Play le Jeudi 8 aout 2024 à 21h10 Bonne journée Philippe1 point
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Jusqu’à Marlo les magiciens présentaient le tour avec trois distributions comme dans l’une des premières descriptions connues, qui date de 1593 A partir de Marlo en 1953, il n’y a plus qu’une seule distribution et deux questions (The Cardician et en français le VERY BEST OF ED MARLO traduit par Richard VOLLMER) En 1983 Ed Marlo trouve une amélioration avec une seule distribution et pas de véritable question En 1998 Mimosa publie « le tour des 21 cartes revisité » dans la revue Arcane numéro 91 D’après Philippe Billot plus qu’une variante des 21 cartes, il s’agit d’une variante du tour « Mental Discernment » de Ralph W. Hull Et d’après moi il s’agit d’une variante du tour « Look at a card » de Moe de Pittsburgh de 1930. Un spectateur mélange son propre jeu, coupe, regarde la carte de coupe et replace cette partie coupée sur le jeu qui est égalisé. Le spectateur donne le jeu à Moe qui trouve la carte ...1 point
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scoop : Stefan Leyshon et Katel Sevestre ont réussi avec leur entreprise de production Madgicprod de placer une vingtaine de magiciens pour mettre un peu de magie et de gaité dans les divers endroits des jeux. Principalement close up et magie de salon. Chapeau ! Vive Paris, vive la magie Française ! otto1 point
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Au delà des polémiques (il y en a, il ne faut pas les nier), je crois que cette cérémonie d'ouverture restera surtout dans l'histoire comme la première où les téléspectateurs ont été clairement ciblés au détriment des spectateurs. Bonne chose ? Mauvaise chose ? Économiquement, c'est sûrement une bonne chose : que pèsent quelques dizaines de milliers de spectateurs à Paris contre 22 millions de personnes devant leur TV en France et plus d'un milliard dans le monde ? Bob (qui a bien aimé l'audace de cette cérémonie)1 point
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De nouveau : Paris la capitale mondiale du spectacle ! Je ne regrette pas ma décision de venir vivre à Paris, c'était il y a un demi-siècle.... Je vous aime ! otto1 point
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Chui assez dubitatif... Plus rapide certes, c'est déjà le cas depuis des décennies... Faut voir quelle serait la capacité d'apprentissage d'une IA sans référentiel par exemple. Ça reste un agrégateur de données Sans humain ; pas d'IA. Je suis plutôt fan de l'IA et de la tech en général. Mais je trouve qu'on s'emballe beaucoup. Je ne nie pas la révolution en marche depuis un moment et qui se poursuit avec l'IA. Mais j'ai l'impression qu'on s'emballe avec des superlatifs un brin exagérés1 point
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: https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/05/07/fred-dewilde-dessinateur-et-survivant-de-l-attentat-du-bataclan-s-est-suicide_6232062_3224.html0 points
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