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Bonjour, je viens de voir la vidéo de Alexis, et celle ci a attiré mon attention du côté des book test. 

N'y connaissant pas grand chose j'aurai besoin de vos conseils : 

-Est ce que l'utilisation d'un book test nécessite un travail de mémoire et d'apprentissage élevé ? Qu'en est il de The Abyss ?

- Est ce que ce book test conviendrait à un débutant ?

 

J'ai vraiment besoin de vos réponses car l'achat d'un produit à ce prix doit être réfléchi :)

 

Merci d'avance

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Membres les + Actifs

Publié le

"One of the greatest accomplishments of magicians in the last century is the ability to take something inherently profound and render it trivial." -Max Maven

En gros facile à prendre en main et très facile à mal présenter comme d'habitude.

Il y a un travail de mémoire que je qualifierais de moyen pour un book test (si on veut maîtriser tous les principes). Après en comparaison d'un chapelet c'est de la rigolade.

 

  • J'aime 1

#Ma_grand_mere_s_appelle_suzanne #Trex_Vaincra

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Publié le

Je ne peux pas te répondre sur Abyss que je viens juste de commander à cause (grâce B|B|) au VM (Alexis mon banquier souhaite te parler). Mais ayant utilisé de nombreux booktests je rejoins totalement Dreda le plus difficile reste la présentation. C'est un peu finalement comme un jeu marqué cela demande de la subtilité et de la réflexion dans la présentation.  

www.dedales-hypnose.fr

Publié le

D'accord, oui la présentation doit toujours rester subtile pour les tours de mentalisme en général :)

Merci pour vos réponses alors, je pense me le prendre (j'aurai claqué 300€ de gimmick en 1 mois) :')

  • J'aime 1
Publié le

Hello, 

Même s'il existe de nombreuses présentations permettant d'introduire un livre comme Abyss, je suis toujours un peu mal à l'ais c'est pourquoi je préfère Pi ou les quelques bouquins de LuDo, dont l'utilisation est aisément justifiable. Sauf que...

Ben oui sauf que Abyss, de ma faible expérience dans le domaine, est quand même l'un des meilleurs outils actuellement sur le marché. Je n'utilise pas tout son potentiel mais quand même : je perçois le mot lu par un spectateur au début d'une page librement choisie puis je perçois ensuite un mot lu à n'importe quel autre page quelque soit l'endroit sur la page.  Pour finir, je transforme le spectateur (pas de complice) en mentaliste en choisissant un mot d'une page quelconque que je lui transmets par la pensée . Tu fais quoi de plus fort, après :) ?

My2Cents

:cool:

Woody

Publié le (modifié)
il y a 22 minutes, Woody a dit :

 

 

il y a 22 minutes, Woody a dit :

Tu fais quoi de plus fort, après :) ?

My2Cents

:cool:

Woody

j'adore Abyss. Mais depuis que j'utilise close up book test avec la révélation du mot en allant sur un dico en ligne, je peux te dire que c'est très très fort et juste impossible pour la personne qui saisie elle l' URL sur son smartphone.

Et l'erreur d'un mot révélé qui au final est juste. je trouve cela très original et inattendu pour le spectateur.

il est tout de même dur de savoir quel effet est le plus fort mais je dirai qu'ils dont différents et créés des émotions propre à chaque effet.

Modifié par maroine
Publié le

1 ère lecture du bazar et c'est juste impressionnant. J'ai passé + de temps à me dire comment ils ont pu monter ceci, cela, qu'a réfléchir à la routine.

Le taf proposé, c'est du jamais vu. Je comprends pk mes amis virtuels me le conseillent depuis un moment.

Bravo messieurs, j'ai rien compris au kraken mais j'ai deja assez de matiere à bosser pour le moment ;)

  • J'aime 2

« Quand on vous a eu, Tom et toi, ta mère m'a dit un truc que j'ai jamais vraiment compris. Elle m'a dit à partir de maintenant, il faut qu'on devienne des souvenirs pour eux. »

• Interstellar •

Publié le (modifié)

Tellement de choses ont déjà étaient dites. Souvent on critique quand des choses ne vont pas mais en dehors de la qualité des livres je voulais souligner le grand professionnalisme de nos deux auteurs.

Grace aux avis notamment sur VM et souhaitant renouveler mon booktest, je commande the Abyss sur le site des créateurs la veille de Noël. Je m'attendais donc à le recevoir en 2017. 3 jours après je reçois un paquet super bien protégé avec en plus une dédicace personnalisée. Je salue donc le serieux, l'attention et le professionnalisme des créateurs. Je les soupçonne d'avoir passé un accord secret avec le Père Noël...

Pour le reste c'est vraiment un travail titanesque ou tout a été pensé avec une minutie extrême. Je n'avais encore jamais vu un booktest avec de multiples possibilités garder un côté aussi anodin. Le petit plus pour l'utilisateur de système Alpha que je suis est vraiment sympathique. Et l'effet booktest inversé est vraiment magnifique.

 

Modifié par darlone
  • J'aime 1

www.dedales-hypnose.fr

Publié le

Je n'ai pas encore eue l'occasion  de lire tout le sujet sur The Abyss, mais la seule chose qui me freine, c'est qu'en marquant "livre the abyss" sur google, le premier site proposé est MDT (peut-être que ça a été dit, ou peut-être que quelque chose a déjà été fait pour remédier à cela), et un spectateur pourrait bien avoir l'envie de regarder un peu sur internet, même si bien amené, on est censé éloigner les spectateurs de cette possible curiosité..

Certains book test ou même autre produits il me semble ont des noms différents pour pallier à ce problème. Je pensais à l'outil Doodle pour Iphone par exemple

Publié le
il y a 7 minutes, NetScorp a dit :

Je n'ai pas encore eue l'occasion  de lire tout le sujet sur The Abyss, mais la seule chose qui me freine, c'est qu'en marquant "livre the abyss" sur google, le premier site proposé est MDT (peut-être que ça a été dit, ou peut-être que quelque chose a déjà été fait pour remédier à cela), et un spectateur pourrait bien avoir l'envie de regarder un peu sur internet, même si bien amené, on est censé éloigner les spectateurs de cette possible curiosité..

Certains book test ou même autre produits il me semble ont des noms différents pour pallier à ce problème. Je pensais à l'outil Doodle pour Iphone par exemple

Le booktest ne s'appelle pas The Abyss, c'est simplement le nom du produit ;)

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    • Je reviens au sujet du livre, car c'est ce que j'ai choisi comme lecture récréative pour les vacances. La citation de Pierre Etaix sur la 4e de couverture a failli me faire passer pour un intellectuel auprès de mes beaux-parents (chez qui je passe une partie desdites vacances) parce qu'ils sont très... "Télérama". Mais j'ai senti à la tête de belle-Maman quand elle a vu la couverture (pourtant dudit Pierre Etaix) et à l'attitude de beau-Papa quand il a feuilleté le livre que leur furtif espoir de s'être trompés sur le compte du zigoto choisi par leur fille pour leur faire des petits-enfants avait encore été déçu.  J'en suis à la page 183, ça se lit agréablement. C'est étonnamment bien écrit pour quelqu'un qui a appris le français en écoutant Coluche. Je me suis marré plusieurs fois à voix haute et j'ai été étonné d'y trouver quelques remarques qui m'ont fait réfléchir sur la construction d'un numéro (dans le chapitre consacré au Champion de l'élégance). Par contre, je ne regarderai plus jamais les saucisses de Strasbourg de la même manière.  Une remarque négative, cependant, à @Otto WESSELY : pourquoi ne pas avoir mis la photo de la page 174 EN COULEURS, vu que tu dis qu'elle est belle en couleurs ?! Quelle frustration ! (Les autres, je vous entends penser "Frustration totale !", je lis dans vos pensées, je suis le plus grand des mentalistes). Je la trouve super, j'aimerais l'avoir en haute résolution pour l'imprimer en poster. Merci d'avance. Bisous. Un admirateur  (Je n'ai pas le courage de me taper les 36 pages du sujet pour voir si la question de ladite photo a déjà été soulevée)
    • Et si l'on parle de "bouffée de l'humanité" : quelques portraits de la Fism à Rimini, là où l'humanité était encore plus palpable.... Qui me cite les noms ?   
    • Bonjour, Heureux si j'ai pu partager avec certains quelques unes des émotions ressenties pendant les six jours de cette FISM. À propos d'émotions, le numéro du 1er prix en magie de salon en débordait. (précision : lors de son second passage sur "Fool Us" le tout début de ce numéro a déjà été montré : si vous ne l'avez pas déjà vu...alors tant mieux, gardez-vous de le regarder, vous vous gâcheriez une partie du plaisir de la version intégrale) *** Asi WIND dans « Incredibly Human » ou Derren BROWN dans son dernier livre se posent la même question : pour que dans un spectacle vivant et interactif une émotion sincère puisse naître, il faut que surgisse une connexion authentique entre l’artiste et son public. Dès lors, comment concilier en magie cette authenticité de la relation humaine avec un art qui est, lui, tout entier tourné vers l’artifice ? Ce jeudi 17 juillet à TURIN au matin, lors de la compétition de magie de salon, Mortenn CHRISTIANSEN a à sa manière si particulière fait surgir cette bouffée d’humanité dans un auditorium comble. *** Dès le départ tout est allé de travers pour le candidat danois Mortenn CHRISTIANSEN, appelé sur scène alors qu’il n’était absolument pas prêt. Mais alors pas prêt du tout, du tout, du tout. Le jeune homme bien portant boulottait des chips en douce dans les coulisses au moment d’entrer en scène, mais dans la précipitation, c’est la cata : sa main droite s’est coincée dans son tube de chips. Son désarroi est palpable. Pour tenter de sauver la mise de demander malgré tout une carte à un spectateur (Shawn FARQUHAR s’y colle, va pour le 4 de cœur) avant de s’apercevoir que son paquet de cartes est coincé dans la poche arrière droite de son pantalon -pas de bol, pile du côté de sa main bloquée dans le paquet de chips : au prix de moult contorsions Mortenn parvient à faire remonter peu à peu le paquet de cartes qui émerge de sa poche et finit par chuter sur scène. Il le ramasse de sa seule main libre -la gauche- sort les cartes et enchaine une série de piètres manipulations d’une main. Les maladresses succèdent aux maladresses, Mortenn peste, marmonne combien il n’était pas prêt, laisse lamentablement choir toujours plus de cartes, bref sa prestation tourne à l’embarras complet. Mais attendez, voilà que Mortenn ne tient plus qu’une seule carte, dos au public…se pourrait-il ? *** À cet instant la routine bascule : Mortenn fanfaronne : « Eh eh…vous avez cru que je n’étais pas prêt…et bien c’était pour de faux, j’étais prêt, archi-prêt… ». Qu’on se le tienne pour dit, on va voir ce qu’on va voir. Non pas bien sûr que quiconque dans la salle ait réellement cru à la farce de Mortenn pas prêt – même si cette séquence du pauvre garçon en prise aux pires coups du sort aura quand même suffit à susciter notre empathie immédiate envers lui-, mais nous voilà, nous dans la salle, passés en un clin d’œil de spectateurs à spect-acteurs, projetés dans le rôle qui nous est assigné : celui d’adultes face à un petit enfant trop content d’avoir roulé son monde dans la farine ; et nous allons, pour lui faire plaisir, faire comme si nous avions effectivement gobé la bonne blague de sa déroute feinte. Par sa personnalité scénique et sa mise en scène, ayé, le (vrai) tour est joué : le bras de fer potentiel public-magicien est illico désamorcé, nous consentons à entrer dans le monde de Mortenn, nous jouons à faire comme si nous avions vraiment cru qu’il était pris de court, et ainsi nous nous livrons pieds et poings liés au garnement. Mortenn est un enfant mais pas à la manière mettons d’un Rubi FEREZ- enfant lunaire, rayonnant et malicieux, qui s’émerveille de tout. Non, pour Mortenn le monde est vaste et compliqué ; puéril et hypersensible (donc hyper-attachant) il est en butte aux gens et aux choses qui le rendent bien, bien, malheureux. Et la magie est son salut. Et la vraie magie est que tout le reste de la routine va puiser sa justification précisément dans le personnage même de Mortenn CHRISTIANSEN, dans sa « revanche » face aux grandes personnes. *** Car à cet instant la routine bascule aussi en termes de nature d’effet magique : on va passer d’une démonstration burlesque d’habilité à retrouver une carte par des manipulations faussement maladroites, à un tout autre effet : une prédiction. Ou plutôt des prédictions. Les magiciens ont sans doute tendance à surestimer l’impact réel des effets de prédiction sur leur public, et, pour donner un semblant de construction dramatique à leur numéro, à multiplier les révélations sur le mode : « vous avez librement choisi le 4 de cœur…observez miracle ! C’est la seule carte à dos rouge dans ce paquet bleu… non seulement cela, mais j’ai aussi un 4 de cœur tatoué sur mon bras…et attendez un peu…une carte et une seule dans mon portefeuille le 4 de cœur… ». Le kicker jusqu’à plus soif. La surenchère de prédictions au lieu de décupler l’effet bien souvent l’amoindrit. On avait saisi le message dès la première prédiction révélée : ok le magicien a prévu l’avenir, quel besoin a-t-il donc de nous le « prouver » encore et encore ? L’insistance superflue éveille la suspicion : lors d’un spectacle vu il y a quelques temps j’entendis ainsi soupirer un spectateur au moment de la « trop parfaite » énième révélation : « Bon ok donc c’est le 4 de cœur tous les soirs... » (sic) (pages 46-47 de « Notes from a Fellow Traveler » D.BROWN explique la réécriture du final de son show « Enigma » suite à un exemple semblable d’accumulations d’effets redondants qui s’affaiblissaient mutuellement au lieu de créer la montée dramatique escomptée). Mortenn CHRISTIANSEN va réemployer cette structure « discutable » et lui aussi multiplier les prédictions de la carte choisie -au moins 5 de mémoire : alors pourquoi ici cela fonctionne-t-il si bien, jusqu’à déclencher une standing ovation ? Premièrement le choix initial est on ne peut plus convaincant, transparent : le spectateur nomme librement la première carte qui lui passe par la tête -le jeu n’est même pas encore sorti, et puis quelles manipulations possibles avec une main fourrée dans un paquet de chips ? Comme notre esprit rationnel est tranquillisé de ce côté-ci par une procédure rapide et limpide, il va se faire d’autant plus facilement submerger ensuite par notre esprit émotionnel. Car, deuxièmement, l’accumulation de révélations de prédictions de cette carte est motivée dramatiquement (et donc notre esprit rationnel le cède d’autant plus aisément à notre esprit émotionnel) : c’est juste le personnage immature de Mortenn qui piaffe ; il nous a bien eu, et vlan, vlan, vlan, prédiction après prédiction, le petit enfant jubile d’avoir joué un si bon tour à ces grands bêtas d’adultes. Et nous qui avions si volontiers consenti à entrer dans son jeu nous voilà refaits, désarçonnés face à une avalanche d’impossibilités grandissantes. Ici c’est donc du personnage que part la construction dramatique de la routine et sa multiplication des effets de prédictions. Et non pas d’un personnage de magicien surplombant qui pour accroitre son prestige, prédictions après prédictions, essaierait (vainement) d’étoffer le mystère ; mais bien d’un personnage enfantin qui a gagné notre sympathie et que l’on regarde tendrement trépigner d’avoir enfin le dessus sur les « grandes » personnes que nous sommes. Le martèlement des effets reflète la psychologie de Mortenn. D’un point de vue magique, la rafale de révélations sature notre esprit rationnel : à peine est-il parti en chasse d’un début d’explication potentielle d’une des prédictions qu’une autre surgit encore plus mystérieuse (on n’est pas ici face à un même effet strictement répété avec des méthodes différentes qui se protègent mutuellement - voir la carte ambitieuse dans "Le Chemin Maqique" de J.TAMARIZ- mais bien face à une même carte prédite de manières très variées). Le crescendo est assuré par l’animation puérile croissante du personnage trop content de nous avoir bien eus, par des prédictions de plus en plus incompréhensibles donc (variées aussi en échelle et supports), et enfin par une série d’effets annexes qui rythment l’emballement final du numéro et brisent l’enchainement de prédictions seules : production de deux verres de jus d’orange, une carte transformée en chips, une autre en écouteurs, et même un quick change mi-foiré - l’enfant Mortenn a mis sa chemise à l’envers. Et tout cela en harmonie avec le personnage :  on se souvient comment il avait au début joué sans ambages de sa morphologie pour péniblement extraire les cartes de son pantalon (d’ailleurs comme un callback il se dandinera une seconde fois au cours de la routine pour extraire une seule carte de son autre poche arrière), c’est cette sincérité-là vis-à-vis de ce qu’il est, physiquement et mentalement, qui fait qu’on se figure assez Mortenn se couper d’un monde compliqué pour lui avec ses écouteurs, en mangeant ses chips, parfois même peut-être essaye-t-il de socialiser en offrant des verres de jus d’orange sans voir qu’on rigole dans son dos de ce qu’il est mal fagoté. Tout un petit monde, toute une humanité simple, dans les pas dix minutes d’un « bête » tour de cartes. *** Plus tard ce même jour alors que j’évoque avec Shawn FARQUHAR son documentaire « Lost in the Shuffle » il soupire, soulagé : enfin quelqu’un qui lui parle d’autre chose que de ce satané 4 de cœur de la compétition du matin avec Mortenn CHRISTIANSEN. Il a visiblement été assailli toute la journée par des spectateurs persuadés de sa complicité avec le magicien danois – une complicité pourtant clairement interdite par le règlement du concours. Le 4 de cœur ?, me dit-il, c’est tout simplement la carte qui avait été choisie lors de sa propre victoire à la FISM en 2009.
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