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Publié le
Il y a 2 heures, Fredzik a dit :

Toujours est il que ça peut être un bon compromis, même si attention, Redford recommande bien de mémoriser à froid plutôt que de passer par une formule.

Complétement, la mémorisation "à la dure" permet énormément de choses...

La mémorisation à froid galvanise le pratiquant et multiplie ses possibilités.

Alors qu'à l'inverse, la galvanisation à froid ne mémorise rien du tout. ;)

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Un endroit où la main de l'homme n'a jamais mis le pied... (Alphonse Allais)

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Publié le (modifié)
Le 03/11/2018 à 09:13, Isidore Buc a dit :

je me suis arrêté sur le stack actuel

Une question me taraude l'esprit depuis un long moment, par avance désolé pour les non-Isisiens que cette notion n'intéressera que peu...

Peut-être que ton choix deviendra évident à la lecture de ta réponse, mais la division en 1/2 stack que tu suggères n'est pas classiquement high/low (1-26/27-52), mais s'articule autour des rangs 41-14/15-40 (+/- 2 cartes selon usage). En effet, ce choix de division est très pertinent au regard des tours contenus dans ce seul 1/2 stack. Néanmoins à l'usage, cette séparation est souvent casse-pied lorsqu'il s'agit de travailler avec ce 1/2 stack tout en utilisant la notion d'ordre (pour illustrer, lorsque le 1/2 stack est classé c'est bien, mais lorsqu'il faut faire des calculs à partir de cet ordre, ex: quelle est la 18è carte, c'est casse pied, idem pour diviser en 1/4 de stack). Pour la culture, pourrais-tu détailler pourquoi avoir choisi de placer le RK sous le jeu au lieu du 8C stp? Gros merci. :) 

Modifié par TanMai (Aurélien)

We're looking for a better solution to the problem when we should be looking for a better problem to work on.

Publié le
Le 03/11/2018 à 12:47, Edler (Jean-Jacques) a dit :

ISIS est un très bon chapelet mémorisé, aux capacités étonnantes. J'avoue que si je devais en mémoriser un, c'est vers lui que je me tournerais. Il suffit de voir les miracles qu'Isidore fait avec lui.

Quant à Si-Stebbins, je ne lui vois guère d'utilité devant l'impossibilité de l'étaler, sauf à distribuer des petits paquets. Mais même encore, son stack est archi évident. Autant laisser les cartes dans l'ordre des paquets neufs, c'est aussi un chapelet sans mémorisation. Mais il y a quand même d'autres chapelets qui lui sont supérieurs.

Quant à moi je préfère de loin celui de Bart Harding, depuis des années, et je m'y tiens. Je mourrai avec lui, c'est certain. 😊 Il y a aussi SUM de Card-Shark, en stack Mnemonica. Ce sont les deux seuls que j'utilise régulièrement et qui ne m'ont jamais trahi. Mais chacun a un avis différent sur ce sujet et c'est tant mieux.

Je ne suis pas tout à fait d'accord avec Toi Jean-Jacques (pour une fois). Pour avoir étudié les chapelets SiStebbins et C-PAP et autres chapelets périodiques comme le Stanyon. sur presque 500 pages, cela dépend des versions du SiStebbins (au sujet de l'étalement) mes SiStebbins Pro et C-PAP pro n'ont pas ce problème tout comme les CPAP étendus que j'ai développés). Bon d'accord avec mes CPAP étendus, on passe dans le monde des chapelets dits classiques. Et comme il a été dit, l'étalement d'un SiStebbins, Stanyon, CPAP ne pose aucun problème tellement il y a de moyens de cacher ce qui gêne.

Les chapelets dits "périodiques" comme SiStebbins, Stanyon et autres C-PAP ont des propriétés autres que le calcul de la position-carte (et inversement) calculée. Je pense les avoir quasiment toutes décrites dans mes bouquins et quand on les utilise à bon escient on a des bombes.

Mais comme dit plus haut, le meilleur chapelet est celui que l'on maîtrise et que l'on pratique.

Thierry Périchon
http://www.moonlightanimations.fr
 

Publié le
Il y a 2 heures, Moonlight (Thierry) a dit :

Mais comme dit plus haut, le meilleur chapelet est celui que l'on maîtrise et que l'on pratique.

Tout à fait d'accord. Et j'ai pu apprécier ce que tu étais capable de faire avec de tels chapelets, en partant du C-PAP de base de Patrick Dessi.

Pour ma part, je suis beaucoup plus simple (et moins exigeant dans le sens où je ne vais pas aussi loin), j'ai absolument besoin d'un chapelet que je peux manipuler et étaler simplement (même devant des magiciens), mais avec calcul rapide de la position de n'importe quelle carte et inversement calcul de l'identité d'une carte à n'importe qu'elle position. Plus optionnellement connaître l'identité d'une carte de loin, face en bas (d'où l'utilisation de cartes DMC, comme la merveilleuse v4). Et comme je ne souhaite pas mémoriser un chapelet, la réponse est toute faite : Bart Harding, SiStebbins ne répondant pas du tout à mes besoins.
Avec Bart Harding, je couvre 99% de mes besoins (le 1% restant à l'aide de cartes SUM) et je serai toujours opérationnel, même si je reste six mois sans l'utiliser. Le plus drôle est que je finis par mémoriser Bart Harding, à la longue. 😊

Mais ce n'est pas pour autant que je méprise les autres chapelets, qui permettent de faire des trucs géniaux et je salue les efforts méritants des chercheurs et de ceux qui les mémorisent. Simplement, ils ne sont pas adaptés pour l'usage que j'en fais.

Citation
Quand on veut on peut.
Publié le
Il y a 10 heures, TanMai (Aurélien) a dit :

Une question me taraude l'esprit depuis un long moment, par avance désolé pour les non-Isisiens que cette notion n'intéressera que peu...

Peut-être que ton choix deviendra évident à la lecture de ta réponse, mais la division en 1/2 stack que tu suggères n'est pas classiquement high/low (1-26/27-52), mais s'articule autour des rangs 41-14/15-40 (+/- 2 cartes selon usage). En effet, ce choix de division est très pertinent au regard des tours contenus dans ce seul 1/2 stack. Néanmoins à l'usage, cette séparation est souvent casse-pied lorsqu'il s'agit de travailler avec ce 1/2 stack tout en utilisant la notion d'ordre (pour illustrer, lorsque le 1/2 stack est classé c'est bien, mais lorsqu'il faut faire des calculs à partir de cet ordre, ex: quelle est la 18è carte, c'est casse pied, idem pour diviser en 1/4 de stack). Pour la culture, pourrais-tu détailler pourquoi avoir choisi de placer le RK sous le jeu au lieu du 8C stp? Gros merci. :) 

Salut Aurélien.
La raison est assez simple.
A l'époque, je raisonnais très peu en stack number et encore moins en groupes, mais plus en réservoir.
Le roi de pique en première carte (donc le roi de carreau en 52) était conditionnée par le début de la séquence Rusduck et les épellations. Placer le neuf de pique en 1 n'était donc pas une bonne solution.
Avec l'évolution de mon travail sur les groupes et l'utilisation des stack numbers, la problématique que tu soulèves s'est imposée, et utilisant moins le réservoir le roi de pique en 1 est moins pertinent. 
Il y a deux solutions évidentes, soit changer les groupes, c'est jouable et je pense qu'au bout de quelques semaines de nouvel apprentissage il y aura peu de chance de se planter, soit changer les stack number (sic).
Une autre soluce est de placer le groupe 41-52 sous le groupe 1-15 et de jouer avec +ou- 25, ce qui j'en conviens, est lourdingue. :)

 

  • Merci 2

Ce qui a de l'importance ce n'est pas le terme, c'est le voyage.

Publié le
Le 05/11/2018 à 21:43, TanMai (Aurélien) a dit :

Une question me taraude l'esprit depuis un long moment, par avance désolé pour les non-Isisiens que cette notion n'intéressera que peu...

Peut-être que ton choix deviendra évident à la lecture de ta réponse, mais la division en 1/2 stack que tu suggères n'est pas classiquement high/low (1-26/27-52), mais s'articule autour des rangs 41-14/15-40 (+/- 2 cartes selon usage). En effet, ce choix de division est très pertinent au regard des tours contenus dans ce seul 1/2 stack. Néanmoins à l'usage, cette séparation est souvent casse-pied lorsqu'il s'agit de travailler avec ce 1/2 stack tout en utilisant la notion d'ordre (pour illustrer, lorsque le 1/2 stack est classé c'est bien, mais lorsqu'il faut faire des calculs à partir de cet ordre, ex: quelle est la 18è carte, c'est casse pied, idem pour diviser en 1/4 de stack). Pour la culture, pourrais-tu détailler pourquoi avoir choisi de placer le RK sous le jeu au lieu du 8C stp? Gros merci. :) 

Je ne sais pas si ça peut te servir, mais pour les calculs sur le "demi" stack (je fais ma séparation en général à 41-17/18-40) le truc assez simple que j'utilise pour les calculs à partir de l'ordre 41-17, c'est -12 au delà d'une valeur de 12 (les 12 premières étant les 41 à 52 il est assez intuitif de les associer au 12 premières places) et ensuite, par exemple la 18, c'est moins 12, donc la 6... (et +12 dans l'autre sens évidemment, pour connaître la place à partir de la carte).

J'imagine bien que tu dois avoir envisagé ça de ton côté, mais du coup je trouve que ce n'est pas si casse-pieds comme calcul. Peut-être que j'ai mal compris la problématique que tu soulevais.

Le 06/11/2018 à 08:51, Isidore Buc a dit :

(...) Il y a deux solutions évidentes, soit changer les groupes, (...)

Tu veux dire séparer en 1-26 et 27-52 ?

Le 06/11/2018 à 08:51, Isidore Buc a dit :

(...) soit changer les stack number (sic). (...)

Arf ! :D

Cela dit, je crois qu'Aurélien n'en est pas à son premier chapelet... Un nouvel apprentissage ne doit pas être en dehors de sa portée...

Un endroit où la main de l'homme n'a jamais mis le pied... (Alphonse Allais)

Publié le
Le 10/11/2018 à 10:07, If.... (Olivier) a dit :

J'imagine bien que tu dois avoir envisagé ça de ton côté

Effectivement. ;) En fait j'alterne la stratégie selon les besoins: si je n'ai besoin que d'un 1/4 de chapelet séquentiel, alors je travaille avec le groupe 1-13, le reste du 1/2 stack étant en désordre (ex:  unforgettable), et si j'ai un 1/2 chapelet séquentiel, alors c'est la stratégie que tu dis.

Le 10/11/2018 à 10:07, If.... (Olivier) a dit :

Cela dit, je crois qu'Aurélien n'en est pas à son premier chapelet... Un nouvel apprentissage ne doit pas être en dehors de sa portée...

Le problème de réapprendre avec ce décalage c'est que je possède une grosse béquille, et le problème d'une béquille c'est qu'on a une fâcheuse tendance à l'utiliser car ça reste beaucoup moins cher qu'un apprentissage... :P

Le 06/11/2018 à 08:51, Isidore Buc a dit :

A l'époque, je raisonnais très peu en stack number et encore moins en groupes, mais plus en réservoir.

En fait c'est un peu ce que je me disais, ;) j'imagine bien que le principe du réservoir semble être la solution la plus immédiate pour choisir sa carte de coupe, mais finalement ce critère n'est peut-être pas forcément le plus pertinent (bon je dis ça, ce n'est pas pour critiquer ton travail colossal, bien évidemment ;)  ). Je ne compte pas me lancer dans la création d'un chapelet, mais le critère de la séparation en groupe peut être un critère à considérer pour choisir sa carte de coupe... (le groupe étant lui-même choisi en fonction du principe du réservoir, mais sur les 26 cartes les plus pertinentes...).

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  • 2 months plus tard...

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    • Merci Yves pour toutes ces précisions très intéressantes. Mais à partir du pont, si tu dois l'utiliser, tu es bien obligé de toucher le jeu, non ?
    • Hello, Effectivement, pas mal de tips pour pratiquer de la jazz magie. Je suis en train de relire pour la troisième le bouquin de Berglas pour lequel j’utilise le Mnemocica pour approcher l'effet Berglas. . Je dois dire que l’effet Berglas est dévastateur et que le spectateur assiste à un moment de vraie MAGIE ; effet pour lequel Berglas ne touche jamais le jeu Je me suis donc lancé et j’y prend énormément de plaisir aussi bien dans l’apprentissage que dans l’utilisation. J’ai appris le chapelet dans les 4 sens : de bas en haut et de haut en bas mais aussi à partir du pont du haut vers le bas et du bas vers le haut : ce qui correspond à connaître la position virtuelle de 208 cartes (mais en fait beaucoup plus avec les subtilités…). Pour cela, je me suis concocté un chemin de mémoire avec une table de rappel : PAOP (personnage – action – objet- personnage) : pour faire court cela me donne la position des cartes dans les 4 états possibles. J’utilise comme table de rappel un double centium : encodage des nombres de 00 à 99  en PAO (que je connais sur le bout des doigts). Pour résumer, cela me donne 52 images complexes disposées sur 52 lieux qui se suivent (voir extract attaché) Parcours de mémoire avec les images que je visionne en moins d’une minute mais en une fraction de seconde pour arriver à la carte choisie et toutes ses positions possibles. Bon, certes, j’ai quelques facilités avec la mnémotechnie mais une fois appris, on réalise de vrais miracles sans efforts (pas de calcul, juste la vision de l’image complexe). Et si jamais des morceaux d’une image devait manquer, il est facile de la reconstituer car tout se calcule sur une base de 26/53 pour constituer les paires. En outre,après un long temps de latence pour cause de non utilisation de l'effet, il est extrêmement facile de réactiver ce parcours avec une rapide révision : tout est là enfoui. Avec l’ajout de quelques subtilités (joker, cartes pub …) , on peut aisément arriver à son but dans 40 % des cas, sans toucher au jeu, et plus d’une fois sur 2 avec quelques manœuvres psychologiques. Si je devais ne pas arriver au nombre voulu alors je fais directement un Acaan façon Asi Wind ou Acaan donne en second ( voir jean jacques Sanvert dans les donnes en second) . Et/ou encore Acaan impromptu de Barrie Richardson Mais il va sans dire que le Berglas Effect reste la perfection et chamboule vraiment le spectateur extractberglasparcoursV2-compressed.pdf
    • Clair Obscur est un ouvrage, écrit par @Geoffrey CHEMINOT et édité par Studio52 Magic, en 2025. Pour ceux qui connaissent Geoffrey CHEMINOT, c’est l’auteur de Turnover (3 Monkeys Publishing, 2022) – une monographie dédiée au saut de coupe au retournement, publiée en français et en anglais. En 2025, il publie avec Studio52 Magic un livre résolument différent : Clair Obscur ; que j’ai lu au printemps.   1/ La forme Sur la forme, Clair Obscur est superbe. Le livre de 125 pages est en couverture rigide et en reliure pleine. Il est rédigé en langue anglaise. La couverture est en tissu, avec un débossage minimaliste sur la couverture : les lettres « C O » et la signature de Geoffrey CHEMINOT. Ces éléments sont repris sur la tranche, ainsi que le logo de l’éditeur. Le papier est glacé et agréable. Là où Clair Obscur est un vrai délice pour les yeux, c’est une fois ouvert. Les photographies sont très à propos – avec une utilisation marquée du clair-obscur. Elles sont magnifiques et sont un des attraits du livre. Elles sont en pleine page et ajoutent beaucoup aux descriptions des effets. Le contenu est bien formaté sur les pages. Cela en rend la lecture très agréable. Vraiment, sur la forme, il s’agit là d’un des plus beaux livres de ma bibliothèque. Il est remarquable.   2/ Le fond Clair Obscur contient un nombre limité d’effets – 7 au total. J’apprécie particulièrement la magie de Geoffrey CHEMINOT, que je trouve moderne, épurée, dans l’air du temps. Les effets sont travaillés, dans la méthode et dans le raisonnement qui sous-tend à cette méthode. On retrouve l’influence de Benjamin Earl de manière marquée. Il est d’ailleurs crédité à presque chaque effet. J’ai particulièrement apprécié Spiral – une belle carte déchirée et reconstituée. Paradox est aussi un bijou. Ce que j’ai aimé dans ces effets, c’est la compréhension de l’effet magique qui en ressort très nettement. Geoffrey CHEMINOT comprend ce qu’est un moment de magie et comprend qu’il est à la fois visuel et profondément ancré dans l’esprit du spectateur. Tout est empreint de finesse et de subtilité. On ne retrouve pas ici d’effets compliqués et qui n’ont aucun sens. On est bien loin d’Aldo COLOMBINI et consorts : rien de confus, mais tout est net et ciselé. Cette compréhension fine de l’effet magique se retrouve aussi dans l’essai introductif, qui présente le système et la conception de la magie de Geoffrey CHEMINOT. Une philosophie clairement décrite et un système intriguant, qui me parle beaucoup, et qui est assez aisée à appliquer pour chacun. J’ai passé un très bon moment avec Clair Obscur. Un livre où la philosophie de la magie est clairement mise en valeur, et irrigue tous les effets décrits – dans un magnifique écrin qu’est cet objet fabriqué avec soin. A ce jour, le livre est épuisé chez l’éditeur. Je vous recommande de chercher à acquérir Clair Obscur en seconde main – même si je ne sais pas trop le prix qu’il peut atteindre aujourd’hui. Sinon, attendez une réédition.
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