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Publié le
Le 30/06/2018 à 09:54, thementalist13 a dit :

Achète toi inject 2 à la place. 

le seul inconvénient est qu'il faille une connexion 4G (recommandée). Combien de fois en faisant une prestation dans le fin fond de la seine et marne ou le val d'oise, j'obtiens une connexion en EDGE et même avec la 3G, la page a du mal à apparaître. l'avantage qu'à Marty est qu'il y a une fonction OFF LINE qui permet de faire l'effet sans connexion et d'envoyer par SMS la photo au spectateur en souvenir.

Bref, pour revenir à Marty, je dois avouer que depuis une toute nouvelle mise à jour qui doit dater d'hier, la reconnaissance se fait largement mieux sur Android et même bien mieux que la toute 1ere version.

Depuis ce matin, sur 20 essaies je n'ai eu qu'une carte foirée contre 30% auparavant. J'aurais dorénavant moins d’appréhension à le présenter en live.

Je pense que l'exaspération c'est fait car la plupart comme moi attendait à avoir la même fonctions que sur IOS et rajouter aux bugs qui ont empiré l'usage comme jamais, la déception etait trop forte.

Malgré beaucoup de temps et surtout une manière de faire que je n'apprécie vis à vis de ceux qui ont eu confiance en secret studio , je tiens à remercier tout de même les concepteurs d'avoir vite réagi.

  • J'aime 2
Publié le
il y a une heure, aureLP91 a dit :

j'ai du mal à comprendre pourquoi nous n'avons pas la même fonction. 

Je pense qu'il y a de bonnes raisons mais aucune com de leur part concernant cette différence.

mon idée est que travailler sur l'algorithme temps réel demande énormément de boulots et la priorité sur Android fut de réparer les bugs et compte tenu des modèles de téléphones différents cela doit être très compliqué de trouver une solution fonctionnelle avec un parc de téléphone diversifié.

Une autre raison est peut être le prix de l'app. sur Android il est à 35€ et 45€ sur Apple.

Me concernant je n'attends rien de plus de cette application, le job se fait et cela me convient.

  • J'aime 1
Publié le

Salut à tous
& merci pour tous vos retours d'expérience :)

J'ai testé Marty tout le week-end (iPhone 7+) et je dois dire que c'est vraiment bluffant !

  • Je l'ai testé sur mes spectateurs crash-tests habituels (amis et famille) et malgré une présentation que moi même je n'aimais pas, j'ai eu des réactions très impliquées, ça leur a plu !  Bien plus qu'a moi quelque part...

En fait je suis un brin déçu... (mais pas par l'application)

Alors donc, pas déçu par l'application qui, sur iPhone en tout cas, va au delà de mes attentes les plus folles ! C'est techniquement extraordinaire ! Le moment le plus savoureux c'est quand je déverrouille le téléphone, Wahou ! Quelle idée sacrément bien pensée !!

Comme le disait l'arbre au bucheron : "Je suis scié !" :D

Non, le problème vient de moi... Je n'arrive pas à comprendre le fil temporel/le déroulé du tour. Je m'explique :

  • Comment justifier qu'il ne regarde pas sa carte ?
  • Comment justifier qu'il en pioche/pense une autre après ?
  • ET SURTOUT : Comment faire le lien entre la première photo prise et le choix de la carte après ?
  • Il n'y a pas de routine de fournie ? A part la démonstration plus technique qu'autre chose du tuto ?

L'outil est puissant, très puissant ! Et sur iPhone en tout cas, vraiment propre et fiable. Mais je ne trouve pas de scénario crédible pour mettre en œuvre Marty :(

Si une âme charitable voulait bien me mettre sur les rails... J'ai l'impression d'avoir un outil hyper puissant entre les mains et de n'en exploiter que 10% du potentiel.

Publié le

@Natas il faut que tu prenne le temps de te construire ta propre routine avant de continuer à le présenter car si là ton publique à été conquit, par la suite ils le seront encore bien plus avec une routine qui tien la route. 

Moi je joue sur le thème de l'influence. Je prend la personne en photo et je lui dis qu'on y reviendra plus tard. Je laisse le tel sur la table et j'enchaine quelque tour de carte donc sur le thème de l'influence pour installer un climax qui va les préparer au final. 

J'essai de faire monter le niveau de l'impossibilité.

1. je lui fait choisir une carte. Je pense que tout le monde a compris la technique utilisé ici.  

2. Il choisi une carte de lui même dans le paquet étalé sur le tapis. 

3. Le final. Il pense à une carte. 

Toute la magie est dans le boniment qui accompagne et qui a chaque étape met de plus en plus le doute dans la tête du spectateur pour finir par l'achever.  

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  • Merci 1
Publié le (modifié)

Salut Aurel :)

Merci pour ta réponse !

Ta présentation me parait totalement justifiée et justifiable ! :D très bonne idée de jouer sur "l'influence". Voire, le hasard, la détermination ou mieux encore : la prédestination.

C'est un axe qui colle très bien au processus de Marty !

Merci également pour ton conseil, je réfléchie déjà au thème que je souhaite aborder ainsi qu'aux effets que je veux mettre en avant avec Marty. Mais pfiou pas facile ! Autant avec des book-tests je suis très inspiré, autant avec Marty j'ai dû mal à justifier le processus à mes yeux.

  • Scénario officiel de Marty et le voyage dans le temps :

Ce que je voudrais comprendre c'est le scénario "officiel" présenté par Secret Studio.

Si je résume, on nous vend une histoire dans laquelle on revient du futur et on a vu à l'avance (puisqu'on vient du futur) quelle carte le spectateur allait tenir.

Et c'est précisément ce scénario que je ne comprends pas quand je me retrouve face à l'application.

  • Le spectateur tient sa carte et on l'immortalise
  • Ensuite le spectateur doit piocher une carte
  • Et c'est la carte qu'il a pioché qui se retrouve en photo
  1. Pourquoi diable piocherait-il pile poil la carte qu'il tenait avant ?
  2. En quoi j'ai fait un voyage dans le temps en montrant une photo que j'ai prise quelques minutes avant ?

Le première question étant le point crucial qui m'empêche d'y croire personnellement... Je ne comprends pas comment justifier qu'il repioche encore la même carte... Et c'est pour ça que ton explication sur l'influence me parait fort pertinente.

Modifié par Natas
  • J'aime 1
Publié le

Perso je ne comprends pas bien ce qui te gène dans le scénario "officiel"...

Le fait qu'on soit capable de voyager de 3 mn dans le futur justifie bien qu'on soit capable de connaître la carte qui sera choisie 3 mn après, et le fait qu'elle doive être choisie après la photo justifie bien que le spectateur ne doive pas regarder la carte, pour ne pas être influencé.

A part ça, pour la carte finale, plutôt que de piocher une carte, je pense qu'il est sans doute mieux de faire citer au hasard une carte par plusieurs spectateurs (l'un choisit la valeur, l'autre la couleur, etc) pour qu'ils soient bien persuadés que le choix est libre.
Par contre, l'idée d'Aurel de forcer la 1ère carte me paraît bonne. Mais dans ce cas, plus de voyage dans le futur.

  • Merci 1

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    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
    • Merci pour cette précision. Je pensais que Dani concourrait uniquement en invention. Il reste dommage que dans la catégorie GI, on exige deux illusions différentes. Pas certain que des effets additionnels de magie générale suffisent avec une seule grande illusion. C’est du moins ce que l’on m’a expliqué à plusieurs reprises, mais peut-être les choses ont-elles changé ( ou mériteraient d’évoluer dans le cas contraire). 
    • Entre temps, j'ai eu un retour de @Pathy BADD qui a demandé à Peter DIN le vice président de la FISM et en charge des notations.  Sa réponse  Cela répond donc à ta question sur les 120 points 😜
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