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Publié le

le mot franchouillard est parlant

on a une facilité à pouvoir débattre de tout .

ça peut être une force comme un défaut.

le débinage, l'humour, la magie, l'art ont bon dos.

l'ennemis c'est forcement l'autre.

et sur un forum ça tourne vite au pugilat pour peu que l'on considère ceci comme une joute .

alors que le sujet et la discussion n'ont aucun sentiment.

comme tu le dis Sheek cela ne pourrait être qu'une discussion .

cela est peu être trop demandé.

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Publié le

Vous ne semblez pas appréhender les enjeux de cette "joute", il ne s'agit pas d'une aimable conversation entre amis autours d'une bière mais bien d'une guerre qui engage l'avenir de notre profession.

J'adore discuter et refaire le monde, mais dans ce cas le mal est irréversible et nous sommes tous (et toutes) obligé de subir les conséquences du débinage sans possibilité de nous défendre... d'où mon insistance pour tenter de créer une prise de conscience et je ne suis pas près de m'arrêter... j'irais jusqu'au bannissement qui arrivera tôt ou tard.

Publié le

oui alors ouvrons un débat sur l'avenir d'une profession .

mais il me semble qu'a la base comme tout les arts la musique, la danse, la peinture il s'agit d'une passion .

le fait que l'on puisse vivre d'une passion est une autre pair de manche.

le fait de prendre ceci comme un guerre n'est pas une bonne optique

je me demande qui serais l'ennemis.

Une lutte contre des moulins a vent tout au plus.

Je ne pense pas qu'il s'agisse d'un magicien masqué d'un pen et teller ou du dream bag d'eric Antoine qui vont entaché l'avenir d'une discipline.

Publié le

C'est bizarre ces cris de vierges effarouchées lorsqu'un livre ou un DVD sont illégalement téléchargés ou lorsqu'un magicien preste pour un salaire de misère, si ce n'est en black, juste pour le plaisir. Et ces hourras d'admiration béate et béante dès qu'un supposé clown, sous prétexte d'humour, casse un outil. Alors, le sabotage n'est plus un acte illégal mais devient de l'Art. Pourtant tous ces sacripants : "plagieurs, téléchargeurs, blackworkeurs", volent aussi bien le pain de l'artiste non-consentant que les comi-délateurs. Non ?

T'as vu ? Y'en a plus !

Publié le
Si vous êtes musicien, il est bien évident que ce problème n'est pas aussi important pour vous que pour nous.

Non les problèmes sont les même !!

j'ai eu la chance de faire les 2 de côtoyer le monde des acrobates du théâtre etc

des 2 passions c'est la musique qui s'est présenté le plus souvent pour moi.

et de pouvoir en vivre sans prétention et avec les galères qui sont commune pour tous .

Croire que le débinage soit la source d'une quelconque difficulté pour vivre de cette discipline est une illusion.

c'est une sorte de faux dépôt de la pensée.

Publié le

Non le débinage n'empêche pas de vivre de la magie. D'ailleurs nombreux sont ceux qui en vivent sans en faire. Le débinage ne tue pas la magie, il la banalise, la salit. Il la vulgarise en la rendant vulgaire. Mais jusqu'à présent rien à craindre comme disaient les propriétaires des salles de cinéma à l'arrivée de la télévision. Combien de temps, encore, les gens se déplaceront pour voir des choses dont ils connaissent les ficelles, ou du moins les principes ? Jadis je considérais les grandes illusions comme de la grande magie car manipuler des êtres humains comme des cartes ou des boules, il faut le faire. Aujourd'hui, après quelques dénonciations, ce genre de prestation ne m'étonne plus, je dirais même plus (Dupond et Dupont) ça me rase et me déconstipe. Bien sûr c'est parce que je suis initié ... comme bientôt tout le monde.

Et pourquoi encore engager un magicien puisque Monsieur "Tout le Monde" peut le faire, et gratos. Mais si les contrats sont de plus en plus juteux et n'arrêtent de pleuvoir pour des salles qui ne cessent de s'ouvrir alors tout est parfait. Champagne !

A propos pourquoi les églises se vident ? C'est un peu parce qu'avant la messe était en latin, alors on y comprenait rien et le mystère restait entier.

T'as vu ? Y'en a plus !

Publié le

même si ça fluctue d'une année sur l'autre, les cinémas sont toujours plein avec bien plus de films, de salles et de séances que par la passé...

(et pourtant, pour les films "de genre", les spectateurs connaissent les ficelles des effets spéciaux grâce aux "making of")

Publié le (modifié)

10.000 spectateurs remplissent facilement 3 salles (dont la surface se réduit comme peau de chagrin), mais quid des 10.000 salles de jadis ? Savez-vous que jadis la première partie consistait en numéros de music-hall, avec une place d'honneur pour la magie, et la deuxième partie par le film ?

Modifié par GRANDOZZIO

T'as vu ? Y'en a plus !

Publié le

j'suis pourtant pas quelqu'un de forcément cynique mais, là, j'ai envie de vous répondre "et alors ? rien n'est éternel !?" même si ça avance en rien la discussion.

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    • Qu’est-ce que The Age of Disclosure, le documentaire qui dévoile des secrets sur les ovnis ? Dan Farah souhaite révéler au grand public des dissimulations vieilles de 80 ans. C’est une question qu’on s’est tous posée au moins une fois : sommes-nous seuls dans l’univers ? Si Dan Farah tente de convaincre dans son documentaire The Age of Disclosure (l’âge de la divulgation) que les ovnis sont bien à prendre au sérieux, il souhaite avant tout éveiller les consciences sur les différentes dissimulations mises en place par le gouvernement des États-Unis.  https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/Qu-est-ce-que-The-Age-of-Disclosure-le-documentaire-qui-devoile-des-secrets-sur-les-ovnis-
    • Voici un extrait de la FISM : Le règlement est très vague et de ce fait, on peut arguer que la simple disparition d'un FP dans un foulard aurait compté. Maintenant comme on peut voir plus haut, Dani n'a pas été éliminé. A moins, de discuter avec les juges, il est donc difficile de savoir ce qu'il lui aurait permis d'avoir plus de points.
    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
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