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Publié le (modifié)

T'es vraiment lobotomisé à mort.

En France on ne déforeste plus (on a déjà ratiboisé toutes les forêts primaires d'Europe depuis un moment), par contre on importe du bois des forêts tropicales, mais pas pour le chauffage.

Relis ta phrase, tu te contredis toi même.

Viens un peu chez moi et tu verras les coupes qui sont faites. Il faudra au moins 20 ans pour régénérer les bois.

Le chauffage électrique est le plus polluant car il y a de très grosses déperditions : il faut faire chauffer de l'eau dans des centrales (en France à 80 % avec du nucléaire) qui fait tourner des turbines pour générer de l'électricité, puis acheminer cette électricité (grands réseaux : sur des centaines de km) jusqu'à chez toi, puis retransformer cette électricité en chaleur. Le rendement du chauffage électrique est donc très mauvais. Mais très profitable à EDF, c'est pourquoi on continue à construire des habitations avec du chauffage électrique, alors que c'est aberrant. C'est aussi une des raisons des pics de consommation d'électricité en hiver.

Parce que le fuel et le gaz ça pousse dans mon jardin. Il faut l'extraire, le ramener, le raffiner, le distribuer et ensuite le bruler avec tous les gaz générés. Tu peux me donner le rendement ??

Le nucléaire zéro CO2. Quand à la vapeur d'eau, tous les scientifiques te le dirons, l'impact de l'être humain est minime du simple fait que la terre est couverte aux 2/3 d'eau. Rappelons que la vapeur d'eau est le principale GEF.

Les centrales électriques à énergies fossiles sont très polluantes et tu fais un amalgame bien connu.

Modifié par Bill
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Publié le
T'es vraiment lobotomisé à mort.

Hé oh on arrête les insultes tout de suite, là.

En France on ne déforeste plus (on a déjà ratiboisé toutes les forêts primaires d'Europe depuis un moment), par contre on importe du bois des forêts tropicales, mais pas pour le chauffage.

Relis ta phrase, tu te contredis toi même.

Viens un peu chez moi et tu verras les coupes qui sont faites. Il faudra au moins 20 ans pour régénérer les bois.

En quoi je me contredis? En France lorsqu'on coupe, maintenant, en général on replante. La surface de forêt reste à peu près constante. Par contre on importe du bois. J'ai vu au Brésil les immenses navires pleins à craquer de bois tropical, en partance pour l'Europe.

Le chauffage électrique est le plus polluant car il y a de très grosses déperditions : il faut faire chauffer de l'eau dans des centrales (en France à 80 % avec du nucléaire) qui fait tourner des turbines pour générer de l'électricité, puis acheminer cette électricité (grands réseaux : sur des centaines de km) jusqu'à chez toi, puis retransformer cette électricité en chaleur. Le rendement du chauffage électrique est donc très mauvais. Mais très profitable à EDF, c'est pourquoi on continue à construire des habitations avec du chauffage électrique, alors que c'est aberrant. C'est aussi une des raisons des pics de consommation d'électricité en hiver.

Parce que le fuel et le gaz ça pousse dans mon jardin. Il faut l'extraire, le ramener, le raffiner, le distribuer et ensuite le bruler avec tous les gaz générés. Tu peux me donner le rendement ??

Les énergies fossiles sont celles qui ont le meilleur rendement, il suffit de les bruler. Un litre de pétrole correspond à 2,3 kwh d’énergie mécanique, ce qui correspond à environ 4 jours de travail humain.

Par contre elles ont un impact écologique énorme; elles ne se reforment pas comme des arbres; elles ont mis des millions d'années à se former.

Le nucléaire zéro CO2.

TOTALEMENT FAUX. Ca, c'est la propagande d'Areva et compagnie.

EDF elle-même a reconnu (dans la Revue Générale Nucléaire de janv/fev 2000) qu'en faisant un bilan global pour la "construction, l'extraction, le traitement, la conversion, le transport, le retraitement et le stockage des déchets", ses centrales nucléaires sont responsables de l'émission de 2.25 MILLIONS DE TONNES DE CO2 par an.

Certaines études montrent qu'une centrale à gaz en cogénération, à équivalence d'énergie produite et en prenant en compte le cycle complet, ne produit pas plus de CO2 qu'une centrale nucléaire.

Par ailleurs le nucléaire produit des déchets dont on ne sait toujours que faire.

Quand à la vapeur d'eau, tous les scientifiques te le dirons, l'impact de l'être humain est minime du simple fait que la terre est couverte aux 2/3 d'eau. Rappelons que la vapeur d'eau est le principale GEF.

Les centrales électriques à énergies fossiles sont très polluantes et tu fais un amalgame bien connu.

Oui, je n'ai pas dit le contraire.

Le mieux, ce sont les renouvelables évidemment. Energie de base gratuite (soleil, vent...) et inépuisable.

Publié le (modifié)
Un litre de pétrole correspond à 2,3 kwh d’énergie mécanique, ce qui correspond à environ 4 jours de travail humain.

la question est : Quelle est la dépense d'énergie pour amener ce litre de pétrole dans la chaudière ? Quelles sont les pollutions générées ?

Tu verras que ce chiffre est un leurre total.

Et aussi:

co210.jpg

Modifié par Bill
Publié le

Le chiffre de 6 g de CO2 par kWh d'électricité nucléaire provient d'EDF. C'est en prenant ce chiffre qu'on arrive à 2.25 millions de tonnes de CO2 par an.

Des sources indépendantes donnent des chiffres très différents. 33 g pour l'hydraulique, 35 g pour le nucléaire.

Et ton tableau ne parle pas des centrales à gaz en cogénération, où la chaleur est récupérée pour le chauffage, ce qui n'est pas faisable avec le nucléaire.

Quant au fuel et au charbon ce sont les plus polluants en CO2, je suis bien d'accord. Je ne vois pas de quel leurre tu parles pour le fuel. Il est très facile à transporter. Oleoducs, pétroliers, puis camions. L'énergie nécessaire au transport est relativement minime, et le fuel est très facile à utiliser, tout cela explique que le pétrole et ses dérivés soient largement utilisés, bien que très polluants. Il n'y a à l'heure actuelle malheureusement aucune alternative au pétrole pour faire rouler les voitures (bien qu'on parle de l'électrique entre autres) et voler les avions.

Publié le

"Adopter une poule

Et après 2 ans hop! Poule au pot."

On redécouvre le fil à couper le beurre.

Il y a 20 ans encore, tout le monde dans mon village avait des poules.

On leur filait ainsi certains de nos déchets alimentaires, on avit aussi par ce moyen des oeufs, et de temps en temps de la viande à manger.

Une bonne partie des gens à la campagne fonctionne encore comme cela.

Melvin

Publié le

La gélatine est une substance solide translucide, transparente ou légèrement jaune, presque sans goût et sans odeur, obtenue par l'ébullition prolongée de la peau animale (porc) et des tissus conjonctifs. Elle possède de nombreuses applications dans le domaine culinaire, de la médecine ou de l'industrie.

En outre, la gélatine est considérée comme un ingrédient en termes d'étiquetage (norme européenne3) et non pas comme un additif, c'est pourquoi elle n'a pas de numéro E. On peut néanmoins encore la trouver avec l'attribut E441, puisqu'elle reste considérée par certaines firmes agro-alimentaires comme un additif gélifiant.

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9latine

Gélatine

Le E441 (Gélatine) est autorisé en france

Famille: Epaississant

Utilisé en tant que: Émulsifiant.

Origine du E441 :

Issu de porcs

Régimes spéciaux :

Musulman Cet additif est haram

Souvent fait a partir de porc, parfois de bétail ou de poisson.

Végétarien Cet additif n'est pas végétarien

Juif Cet additif n'est pas casher

Description de l'additif E441 (Gélatine) :

Souvent fait à partir de porc, parfois de bétail, parfois de poissons.

Source : http://www.les-additifs-alimentaires.com/E441.php

Haram : http://fr.wikipedia.org/wiki/Haram

***

Si vous ne regardez pas toute cette vidéo, allez directement à 4'44, on y évoque "un sujet très sensible", à savoir le porc dans certains aliments mais non présenté comme tel :

[video:youtube]

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    • Bonjour, Heureux si j'ai pu partager avec certains quelques unes des émotions ressenties pendant les six jours de cette FISM. À propos d'émotions, le numéro du 1er prix en magie de salon en débordait. (précision : lors de son second passage sur "Fool Us" le tout début de ce numéro a déjà été montré : si vous ne l'avez pas déjà vu...alors tant mieux, gardez-vous de le regarder, vous vous gâcheriez une partie du plaisir de la version intégrale) *** Asi WIND dans « Incredibly Human » ou Derren BROWN dans son dernier livre se posent la même question : pour que dans un spectacle vivant et interactif une émotion sincère puisse naître, il faut que surgisse une connexion authentique entre l’artiste et son public. Dès lors, comment concilier en magie cette authenticité de la relation humaine avec un art qui est, lui, tout entier tourné vers l’artifice ? Ce jeudi 17 juillet à TURIN au matin, lors de la compétition de magie de salon, Mortenn CHRISTIANSEN a à sa manière si particulière fait surgir cette bouffée d’humanité dans un auditorium comble. *** Dès le départ tout est allé de travers pour le candidat danois Mortenn CHRISTIANSEN, appelé sur scène alors qu’il n’était absolument pas prêt. Mais alors pas prêt du tout, du tout, du tout. Le jeune homme bien portant boulottait des chips en douce dans les coulisses au moment d’entrer en scène, mais dans la précipitation, c’est la cata : sa main droite s’est coincée dans son tube de chips. Son désarroi est palpable. Pour tenter de sauver la mise de demander malgré tout une carte à un spectateur (Shawn FARQUHAR s’y colle, va pour le 4 de cœur) avant de s’apercevoir que son paquet de cartes est coincé dans la poche arrière droite de son pantalon -pas de bol, pile du côté de sa main bloquée dans le paquet de chips : au prix de moult contorsions Mortenn parvient à faire remonter peu à peu le paquet de cartes qui émerge de sa poche et finit par chuter sur scène. Il le ramasse de sa seule main libre -la gauche- sort les cartes et enchaine une série de piètres manipulations d’une main. Les maladresses succèdent aux maladresses, Mortenn peste, marmonne combien il n’était pas prêt, laisse lamentablement choir toujours plus de cartes, bref sa prestation tourne à l’embarras complet. Mais attendez, voilà que Mortenn ne tient plus qu’une seule carte, dos au public…se pourrait-il ? *** À cet instant la routine bascule : Mortenn fanfaronne : « Eh eh…vous avez cru que je n’étais pas prêt…et bien c’était pour de faux, j’étais prêt, archi-prêt… ». Qu’on se le tienne pour dit, on va voir ce qu’on va voir. Non pas bien sûr que quiconque dans la salle ait réellement cru à la farce de Mortenn pas prêt – même si cette séquence du pauvre garçon en prise aux pires coups du sort aura quand même suffit à susciter notre empathie immédiate envers lui-, mais nous voilà, nous dans la salle, passés en un clin d’œil de spectateurs à spect-acteurs, projetés dans le rôle qui nous est assigné : celui d’adultes face à un petit enfant trop content d’avoir roulé son monde dans la farine ; et nous allons, pour lui faire plaisir, faire comme si nous avions effectivement gobé la bonne blague de sa déroute feinte. Par sa personnalité scénique et sa mise en scène, ayé, le (vrai) tour est joué : le bras de fer potentiel public-magicien est illico désamorcé, nous consentons à entrer dans le monde de Mortenn, nous jouons à faire comme si nous avions vraiment cru qu’il était pris de court, et ainsi nous nous livrons pieds et poings liés au garnement. Mortenn est un enfant mais pas à la manière mettons d’un Rubi FEREZ- enfant lunaire, rayonnant et malicieux, qui s’émerveille de tout. Non, pour Mortenn le monde est vaste et compliqué ; puéril et hypersensible (donc hyper-attachant) il est en butte aux gens et aux choses qui le rendent bien, bien, malheureux. Et la magie est son salut. Et la vraie magie est que tout le reste de la routine va puiser sa justification précisément dans le personnage même de Mortenn CHRISTIANSEN, dans sa « revanche » face aux grandes personnes. *** Car à cet instant la routine bascule aussi en termes de nature d’effet magique : on va passer d’une démonstration burlesque d’habilité à retrouver une carte par des manipulations faussement maladroites, à un tout autre effet : une prédiction. Ou plutôt des prédictions. Les magiciens ont sans doute tendance à surestimer l’impact réel des effets de prédiction sur leur public, et, pour donner un semblant de construction dramatique à leur numéro, à multiplier les révélations sur le mode : « vous avez librement choisi le 4 de cœur…observez miracle ! C’est la seule carte à dos rouge dans ce paquet bleu… non seulement cela, mais j’ai aussi un 4 de cœur tatoué sur mon bras…et attendez un peu…une carte et une seule dans mon portefeuille le 4 de cœur… ». Le kicker jusqu’à plus soif. La surenchère de prédictions au lieu de décupler l’effet bien souvent l’amoindrit. On avait saisi le message dès la première prédiction révélée : ok le magicien a prévu l’avenir, quel besoin a-t-il donc de nous le « prouver » encore et encore ? L’insistance superflue éveille la suspicion : lors d’un spectacle vu il y a quelques temps j’entendis ainsi soupirer un spectateur au moment de la « trop parfaite » énième révélation : « Bon ok donc c’est le 4 de cœur tous les soirs... » (sic) (pages 46-47 de « Notes from a Fellow Traveler » D.BROWN explique la réécriture du final de son show « Enigma » suite à un exemple semblable d’accumulations d’effets redondants qui s’affaiblissaient mutuellement au lieu de créer la montée dramatique escomptée). Mortenn CHRISTIANSEN va réemployer cette structure « discutable » et lui aussi multiplier les prédictions de la carte choisie -au moins 5 de mémoire : alors pourquoi ici cela fonctionne-t-il si bien, jusqu’à déclencher une standing ovation ? Premièrement le choix initial est on ne peut plus convaincant, transparent : le spectateur nomme librement la première carte qui lui passe par la tête -le jeu n’est même pas encore sorti, et puis quelles manipulations possibles avec une main fourrée dans un paquet de chips ? Comme notre esprit rationnel est tranquillisé de ce côté-ci par une procédure rapide et limpide, il va se faire d’autant plus facilement submerger ensuite par notre esprit émotionnel. Car, deuxièmement, l’accumulation de révélations de prédictions de cette carte est motivée dramatiquement (et donc notre esprit rationnel le cède d’autant plus aisément à notre esprit émotionnel) : c’est juste le personnage immature de Mortenn qui piaffe ; il nous a bien eu, et vlan, vlan, vlan, prédiction après prédiction, le petit enfant jubile d’avoir joué un si bon tour à ces grands bêtas d’adultes. Et nous qui avions si volontiers consenti à entrer dans son jeu nous voilà refaits, désarçonnés face à une avalanche d’impossibilités grandissantes. Ici c’est donc du personnage que part la construction dramatique de la routine et sa multiplication des effets de prédictions. Et non pas d’un personnage de magicien surplombant qui pour accroitre son prestige, prédictions après prédictions, essaierait (vainement) d’étoffer le mystère ; mais bien d’un personnage enfantin qui a gagné notre sympathie et que l’on regarde tendrement trépigner d’avoir enfin le dessus sur les « grandes » personnes que nous sommes. Le martèlement des effets reflète la psychologie de Mortenn. D’un point de vue magique, la rafale de révélations sature notre esprit rationnel : à peine est-il parti en chasse d’un début d’explication potentielle d’une des prédictions qu’une autre surgit encore plus mystérieuse (on n’est pas ici face à un même effet strictement répété avec des méthodes différentes qui se protègent mutuellement - voir la carte ambitieuse dans "Le Chemin Maqique" de J.TAMARIZ- mais bien face à une même carte prédite de manières très variées). Le crescendo est assuré par l’animation puérile croissante du personnage trop content de nous avoir bien eus, par des prédictions de plus en plus incompréhensibles donc (variées aussi en échelle et supports), et enfin par une série d’effets annexes qui rythment l’emballement final du numéro et brisent l’enchainement de prédictions seules : production de deux verres de jus d’orange, une carte transformée en chips, une autre en écouteurs, et même un quick change mi-foiré - l’enfant Mortenn a mis sa chemise à l’envers. Et tout cela en harmonie avec le personnage :  on se souvient comment il avait au début joué sans ambages de sa morphologie pour péniblement extraire les cartes de son pantalon (d’ailleurs comme un callback il se dandinera une seconde fois au cours de la routine pour extraire une seule carte de son autre poche arrière), c’est cette sincérité-là vis-à-vis de ce qu’il est, physiquement et mentalement, qui fait qu’on se figure assez Mortenn se couper d’un monde compliqué pour lui avec ses écouteurs, en mangeant ses chips, parfois même peut-être essaye-t-il de socialiser en offrant des verres de jus d’orange sans voir qu’on rigole dans son dos de ce qu’il est mal fagoté. Tout un petit monde, toute une humanité simple, dans les pas dix minutes d’un « bête » tour de cartes. *** Plus tard ce même jour alors que j’évoque avec Shawn FARQUHAR son documentaire « Lost in the Shuffle » il soupire, soulagé : enfin quelqu’un qui lui parle d’autre chose que de ce satané 4 de cœur de la compétition du matin avec Mortenn CHRISTIANSEN. Il a visiblement été assailli toute la journée par des spectateurs persuadés de sa complicité avec le magicien danois – une complicité pourtant clairement interdite par le règlement du concours. Le 4 de cœur ?, me dit-il, c’est tout simplement la carte qui avait été choisie lors de sa propre victoire à la FISM en 2009.
    • Les réponses ici, et c’est impressionnant :   
    • Merci Otto pour ton compte-rendu très agréable à lire, tout en légèreté. J'en déduis que Voronin est quelqu'un de simple et de très sympa en plus d'être un grand artiste. Avec Finn Jon et Oguz Engin, il fait partie des quelques magiciens que j'aimerai rencontrer depuis que je suis gamin mais pour lesquels l'occasion ne s'est pas encore présentée. Par contre j'ai du mal avec la vodka mais mon père fait un très bon ratafia, ça fera l'affaire pour trinquer avec lui et les copains le jour venu.  
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