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Fred SILHOUETTE

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Tout ce qui a été publié par Fred SILHOUETTE

  1. Si... pour moi, c'est déjà bloqué sur mon calendrier !
  2. Intermittents et "numéro d'objet": ce qui va vraiment changer Par Chloé Leprince (Rue89) Une rumeur va enflant depuis quinze jours chez les intermittents: une réforme mise en place par l'Unedic mettrait en péril le système des cachets dans le monde du spectacle et l'audiovisuel à compter du 1er avril. C'est un texte du 2 avril 2007, publié au Journal officiel le 2 mai 2007, qui crée un "numéro d'objet" pour les employeurs d'intermittents. Sur le Net, ce dispositif méconnu provoque une bronca, un peu plus d'un mois avant son entrée en vigueur. Passage en revue de six questions soulevées par ce nouveau code, avec la réponse de la direction des affaires juridiques de l'Unedic et l'éclairage de Gilles Pajon, metteur en scène à la tête d'une petite compagnie de théâtre dans le Loiret. "Sans numéro d'objet, pas de cachet" FAUX L'Unedic est formelle: pour les intermittents, le numéro d'objet ne changera strictement rien. Dès lors qu'un intermittent obtiendra l'Attestation employeur mensuelle (AEM), son cachet sera pris en compte, que la structure qui le déclare ait, ou pas, ce fameux numéro d'objet. Pas de réforme notoire, donc, pour le statut des intermittents du spectacle, depuis le passage, houleux, aux 507 heures en dix mois (pour les techniciens) ou dix mois et demi (pour les artistes). "Le numéro d'objet s'applique seulement au théâtre et à la danse" FAUX Les services de l'Assurance-chômage sont très clairs sur ce point aussi: "Tous les employeurs d'intermittents sont concernés, quelle que soit leur discipline." Comme pour les changements précédents, ministère de la Culture et Unedic promettent que c'est d'abord pour lutter contre les abus que ce nouveau dispositif a été imaginé. Il doit permettre de repérer par exemple les sociétés de production audiovisuelle qui emploient des intermittents à l'année. "Les employeurs qui n'auront pas de numéro d'objet à compter du 1er avril seront sanctionnés" VRAI On connait même le montant de l'amende: 7,50 euros par artiste et par mois. Avec un plafond de 750 euros par mois d'entorse pour chaque employeur. Gilles Pajon, qui n'a pas encore eu d'informations sur l'obtention du code par sa compagnie, craint le pire: "Si je n'ai pas le numéro d'objet, la pénalité tue ma compagnie. Sur mon dernier spectacle, un cabaret politique qui s'appelle "El Grandioso Modesto Cabaret", j'emploie dix-neuf professionnels, comédiens ou musiciens. Si on fait le calcul, c'est une catastrophe. Or comment peut-on savoir quels critères seront retenus pour obtenir le numéro d'objet?" "L'attribution du numéro d'objet est arbitraire" A SUIVRE C'est en effet un point encore en suspens. Qui donnera son aval pour délivrer le numéro d'objet? La Drac (Direction régionale des affaires culturelles)? L'antenne locale de l'Assurance-chômage? La direction des affaires juridiques de l'Unedic assure que le système est "automatique et informatisé a priori". Plusieurs employeurs d'intermittents se sont pourtant inquiétés auprès de Rue89, faisant savoir qu'ils n'avaient à ce jour aucune garantie sur ce point. Et de nombreuses compagnies craignent l'arbitraire en la matière alors que le site de l'Assedic se borne à faire savoir: "Le Centre de recouvrement informera les employeurs des démarches à effectuer dans le courant de l'année 2008." "28 représentations minimum programmées dès la création pour obtenir le code: c'est la mort des petites compagnies." FAUX C'est l'autre grande rumeur du dossier et l'objet de toutes les craintes. Ainsi, Gilles Pajon, pour son cabaret politique, dont la première sera donnée le 30 avril, affirme avoir "assuré entre quinze et vingt dates aux artistes": "Si je me plante, c'est déjà un gouffre, quand on sait que chaque représentation me coûte autour de 5000 euros. Mais quinze dates, c'est déjà énorme et rares sont les petites compagnies qui peuvent s'y engager avant même la création. Il faut savoir en effet que c'est en voyant un spectacle que des gens décident de leur programmer à leur tour. Côté subventions, à l'heure actuelle, la région Centre ne nous demande par exemple que cinq représentations assurées. Personne ne peut annoncer ainsi 28 représentations d'entrée de jeu. Ou alors, il s'agit de très grosses compagnies mais on ne joue pas dans la même cour." Sur ce point, la direction des affaires juridiques est formelle: "Que ce soit à l'Unedic ou au ministère de la Culture, personne ne sait d'où sort ce chiffre de 28 représentations. Est-ce un amalgame avec une autre disposition? C'est en tous cas complètement faux." "Avec cette réforme, c'est la fin de la participation des artistes au développement local et rural." A SUIVRE Les compagnies et autres structures culturelles ne sont pas les seules à embaucher des intermittents du spectacle. Ponctuellement, des hôpitaux, des établissements scolaires, des prisons ou des centres sociaux peuvent faire appel à des artistes. Et il n'existe aucune garantie explicite que ces employeurs ponctuels se voient attribuer un numéro d'objet en tant qu'entreprise de spectacle. Il n'est pas certain que la réponse de l'Unedic les rassure: "Sur le papier pourquoi pas? Si un hôpital fait venir un clown pour amuser les enfants, il n'aura qu'à demander son numéro d'objet, et on verra bien."
  3. La loi Seguin sur l'aménagement du temps de travail était proposée en 1987 et il y bien longtemps que Seguin n'oeuvre plus dans la politique !! C'est de l'intox de merde... Donc intox, hoax des listes intermittentes !
  4. Ci-après, un copié/collé d'un message que j'ai reçu et dont la réflexion ne pas parue inintéressante... : "Bonjour tous. Tout d'abord, une petite remarque : rien n'est inéluctable. Sinon ça ne servirait à rien de se syndiquer, de revendiquer, de se mobiliser. En tout cas j'ose croire que ce n'est pas irrémédiable. Il y a quelques trucs abstrus dans ce dispositif : on nous dit qu'en l'absence de numéro d'objet, une pénalité de 7,50 € sera appliquée par AEM (entre nous, ça fait cher le code barre !) mais que ce numéro d'objet serait uniquement valable pour les nouvelles créations. Comment vont-ils pouvoir appliquer ces pénalités ? Comment peuvent-ils distinguer dans le flux des AEM celles qui concernent les nouvelles créa des anciennes ? Ce n'est pas possible car rien (en dehors du contrôle sur pièces) ne le permet. Je prends l'exemple concret de la compagnie avec qui j'ai travaillé ces derniers mois : nous avons fait une créa en 2007 et lancé une créa en 2008, pour laquelle j'ai déjà payé des répets et une représentation. Bilan : nous ne ferons pas de nouvelles créa avant 2010. D'ici là je pourrais donc me passer de numéro d'objet ? Sincèrement, j'en doute. Ou alors c'est que ce truc qui semble si utile (sic) ne l'est en fait pas tant que ça... Un autre truc : passer obligatoirement par Internet. Il me semble que c'est nouveau qu'on ait une obligation technique de ce genre. Libre à moi de ne pas avoir Internet... Il me semble qu'il devrait y avoir une possibilité alternative de demander des numéros d'objet (par courrier ou fax). Ça me parait vraiment bizarre. Sur le fond : la traçabilité... Quel vilain mot, j'ai l'impression de n'être qu'un morceau de veau... Ils veulent vérifier l'existence des spectacles !!! C'est incroyable que l'on nous prenne ainsi pour des fraudeurs A-PRIORI et que nous nous laissions faire de la sorte. Je vais vous dire mon sentiment et celui des nombreuses compagnies qui me contacte chaque jour par mail et téléphone (d'ailleurs je devrais envoyer une facture aux Assedic pour le temps passé à informer à leur place) : ce numéro d'objet est la goutte d'eau de trop. Nous avons l'impression d'être persécutés par les organismes sociaux, les partenaires institutionnels, les impôts, les offs qui nous demandent à chaque fois plus de pièces, les DRAC qui nous demandent des dossiers de 20 pages pour obtenir un renouvellement de licence... Moi, si je suis administrateur, ce n'est pas parce que je suis amoureux de la paperasse mais bien parce que j'ai envie de construire avec des créateurs des spectacles, de structurer des compagnies, d'accompagner des artistes... Amis artistes, une sourde colère gronde chez les administratifs. Beaucoup sont lassés par cette paperasse toujours plus envahissante, par cette éternelle suspicion, par les contrats toujours plus précaires proposés et qui ne correspondent jamais à nos compétences (qui veut de mon CAE, qui veut de mon Contrat Avenir ?), par la rémunération au pourcentage (comme si les chargés de diff étaient responsables de la qualité artistique des spectacles qu'ils s'évertuent à essayer de diffuser !), par le fait qu'en cas de baisse des subs, ce sont souvent les premiers à être touchés... À un moment, trop c'est trop... Et ce moment... c'est Maintenant. Ce numéro d'objet, en soi ce n'est pas grand chose mais c'est si révélateur d'un état d'esprit : on doit nous fliquer, on doit savoir ce qu'on fait, comment on le fait. Posons les vraies questions aux différents syndicats qui ont proposé ou qui sont pour ce 'machin' : - en quoi le numéro d'objet va-t-il résoudre le problème du déficit des annexes 8 et 10 ? - en quoi le numéro d'objet va-t-il améliorer la gestion de nos structures ? - en quoi un numéro sur une AEM permet-il de vérifier l'existence réelle d'un spectacle ? Ces syndicats qui se sont tus pendant des années sur les dérives des congés spectacles prétendent nous donner des leçons ? C'est aberrant ! Que représente la CFDT au sein du spectacle vivant ? Quelques salariés des scènes nationales, des scènes conventionnées et des CDN, pas grand-chose de plus. Quelle légitimité ont-ils ? Quelle connaissance du terrain ont-ils ? Entre nous, ils ont bien peu d'imagination et bien peu conscience des réalités pour proposer des machins pareils. On cherche des sous ? Allons voir du côté de la gestion de 4 caisses au hasard : les congés spectacles, le FNAS, le FCAP et l'AFDAS. Ils veulent que nos structures soient mieux structurées ? Qu'ils pensent à simplifier les démarches au lieu de proposer une nouvelle complication. Ils veulent qu'il y ait moins de 'fraudeurs' ? Qu'ils fassent des propositions pour que l'on sorte de l'hypocrisie des associations loi 1901 qui ne correspondent à rien ; qu'ils intègrent dans la liste de l'annexe 8 la profession de 'Directeur Artistique', ça évitera à beaucoup d'entre nous des déclarations fallacieuses qui pourtant ne sont là que pour légitimement payer le travail accompli (car oui, dans la très grande majorité de nos compagnies, il n'y a en fait pas de directeur artistique déclaré en tant que tel...). Des sujets à aborder aux Entretiens de Valois, ce n'est pas ça qui manque ; et la suppression de ce numéro d'objet doit être une priorité. Je finirais par une nouvelle proposition d'action, faisant suite à une idée qui m'a été soumise hier par une compagnie 'pas contente' : faisons des demandes par fax pour des dizaines et des dizaines de numéros d'objet pour nos compagnies. Si nous sommes obligés de faire la demande des numéros d'objet, rien ne nous oblige à les utiliser... On peut inventer des titres de spectacles et faire des demandes (après tout, demain je peux très bien avoir l'idée de créer un spectacle inspiré de la chanson d'IAM 'Eclater un type des Assedic'... alors je vais m'empresser de demander un numéro d'objet avec ce titre, pour ne pas être pris de court). Ils veulent nous faire faire de la paperasse ? Rendons leur la monnaie de leur pièce... Si nous convenons tous d'un jour pour une action de ce type, on ne doit pas avoir de mal à faire saturer leurs fax et à rendre encore un peu plus compliqué la mise en oeuvre de ce code barre... Merci à ceux qui ont lu jusqu'au bout ce mail. Yannis ----------------------- ETRE VIVANT"
  5. J'essaie de comprendre pourquoi l'un est "libre" et l'autre "prisonnier". J'imagine qu'ils ont signé le même contrat non ?! Pour chaque télé que j'ai faite, j'ai toujours signé un contrat, je ne vois donc pas par quelle magie Eric y aurait échappé...
  6. C'est essentiellement pour cette raison que j'ai laissé tomber mon statut d'artiste libre pour celui d'intermittent ! Que l'on ai travaillé ou pas, les charges tombent de toute façon et le mot "charge" est lourd de sens...
  7. Eric Antoine a cette video sur son site, car personne lui interdit de l'utiliser comme il veut et personne lui a fait signer des contrats qui le lient pour 10 ans et personne dans cette production lui veut du mal et qu'il tire un maximum de pub de cette emission et cette emission lui a fait bc de bien !! Amen otto Comment se fait-il que Sébasto soit dans une merde noire suite à ce contrat ?!
  8. M'en fout, je ne travaille qu'avec Fêtes parfaites... !
  9. Oui, sauf que le 1er avril, c'est très bientôt ! Vous souvenez-vous de la... rumeur... sur le N° d'objet ?! Vous avez vu à quelle vitesse elle est devenue réalité la rumeur ?! Je pense qu'on aura encore pas le temps de dire ouf, qu'on l'aura déjà bien profond !
  10. Et en passant par une "structure" qui a une licence, ce ne sera pas le casino, le resto ou la galerie marchande qui sera l'employeur... que vont-il privilégier le type d'employeur ou l'emploi ?
  11. Qu'importe le lieu, partout, ça reste pourtant du spectacle !
  12. Quand vont-ils nous lacher la grappe ! Personnellement, en tant qu'automate, je fais beaucoup de galeries marchandes, de salons, de foires, etc. C'est déjà très difficile de s'en sortir actuellement, alors si cette loi passe... je suis mort !
  13. T'as pas eu de chance Eric, on s'est rencontré lorsque je pesai 80 Kg, j'en fais 10 de moins maintenant !
  14. Que du bonheur ! Tu sais que Yanis aussi, il va falloir que tu le portes ? Ca te fera un bon exercice, pour la prochaine fois que tu devras ME porter !
  15. Suis-je le seul à ne pas avoir encore reçu le formulaire par La Poste ?
  16. Ils ont décliné le site "copainsdavant" en "famillesdavant", ce site permet d'établir son arbre généolique... pour les passionnés, comme moi ! J'ai pu ainsi découvrir que j'étais un descendant de Guillaume Le Conquérant, de Charlemagne et de Honoré de Balzac ! Prosternez-vous s'il vous plaît !
  17. Tout dépend à combien tu évalues ton attachement à ce magicien !
  18. .../... il y a à boire et à manger sur scène... Petitbonhomme C'est bien çà ! C'est bien ce que j'ai ressenti... Le chanteur (et ses costumes !) frisent le ridicule. Il s'appelle Fred (je ne sais plus comment, désolé et non, il n'est pas de ma famille ! ), doit, soit-disant sortir un album très prochainement. Je connais des chanteurs régionaux qui n'ont rien à lui envier, loin de là !
  19. Sorano, Pascal D., n'a pas l'air bien au courant... fais gaffes !
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