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Christian GIRARD

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Tout ce qui a été publié par Christian GIRARD

  1. Oui, une accumulation qui forme des piles dont voici une vue de face : Conclusion ? Einstein vaut mieux que deux tu l’auras. C. Dis Bob, tu la vois la petite chouette rose qui lit un bouquin, en bas ?
  2. Salut Bob Si souvent citée de façon incomplète, voici la citation dans son contexte : « Quand je m’examine, et examine mes façons de penser, j’en viens presque à la conclusion que le don de l’imagination a d’avantage compté pour moi que mon aptitude à assimiler des connaissances pures. L’imagination est plus importante que la connaissance. Elle a un impact réel en recherche scientifique. La connaissance est limitée, l’imagination embrasse le monde, stimule le progrès, donne naissance à l’évolution. » (Albert Einstein) http://www.virtualmagie.com/ubbthreads/ubbthreads.php/ubb/showflat/Number/30568/Searchpage/1/Main/3239/Words/einstein/Search/true/Re_Processus_de_Creation_Comme#Post30568 Entre la formule brève et péremptoire devenue citation et celle empreinte de doute dont témoigne la citation élargie (« j’en viens PRESQUE à la conclusion que »), il y a une sacrée nuance. Bob, y a-t-il une image cachée dans l’illustration que tu postes en lien ou ne faut-il y voir qu’une prétendue mise en évidence de ce que notre imagination serait capable de recréer dans leur complétude les mots n’apparaissant qu’en bribes ? Pour moi, cette capacité à reconstituer le texte complet est plus une preuve du potentiel réel de notre savoir qu’une démonstration de la portée de notre imagination. Pourquoi ces deux couleurs différentes ? Je cherche un second degré que je ne trouve pas… Help… C.G.
  3. Je suis sûr qu’il est sincère, quant à Mathilde Seigner, on la connaît, elle est cash, donc elle a vraiment aimé !
  4. Mathilde Seigner Alain Chabat ont été médusés. Pari gagné une fois de plus par Kamel. Et s’il avait la bonne recette pour cette émission ? Des moyens simples mais des tours forts ! Alain Chabat : « Bravo […]. Il m’avait fait le coup de la carte invisible la première fois que je l’avais rencontré, c’était… (il reste sans voix) […]. En fait, je crois que c’est un VRAI magicien […]. C’est de LA MAGIE […]. Y a pas d’truc. […] C’est juste… : il EST magicien ! […] C’est ÇA son boulot ».
  5. Vinaigre et bicarbonate de sodium, ballon de baudruche : Ballon qui se gonfle sans la bouche
  6. Déplacez le curseur : http://learn.genetics.utah.edu/content/begin/cells/scale/
  7. Quelle mâle adresse dans l’art est partie ?
  8. C'était un coup de coeur : un jeu de mot qui met le pied dans une contrepèterie, paraît qu'ça porte bonheur...
  9. La chasse aux pièces m’écœure.
  10. C'est ce qui s'appelle jeter un œil... À moins que ça ne soit une mise en orbite.
  11. Comme un garrot, dans le but d'empêcher le sang d'arriver jusqu'au coeur ? Quelles sont vos sources à part Google, et quel est le taux de fiabilité de cette info ? Par ailleurs, si la la veine vena amoris "relie l'annulaire de la main gauche au coeur", la venis Amora est celle qui permet à la moutarde de monter au nez. Christian
  12. Laisse béton ! Aargh, à 2’40, Detroit Rock City de Kiss remixé au synthé style Charly Oleg, c’est kitsch à souhait. Bon, ok, Kiss aussi c’était un peu kitsch, mais c’était drôle et ça plaisait aux ados de l’époque. [video:youtube]http://www.youtube.com/watch?v=TgsoJrzplUI&feature=PlayList&p=2ED2704CB64DAFC8&playnext=1&playnext_from=PL&index=13
  13. Voilà qui est fait ! Merci Pierre, ce type de précision est très représentative de ce pourquoi il est indispensable de faire appel à un professionnel ! Il y a eu pas mal de rectifications de ce genre au cours de la conférence, comment ne pas si perdre ? Vous comprenez ma prudence lorsque j’ai précisé d’emblée : « La question est trop complexe pour moi, je ne suis pas juriste. » Je le confirme ! Plus d’infos sur le contrat de représentation ici : http://fr.jurispedia.org/index.php/Contrat_de_repr%C3%A9sentation_(fr) On y trouve de jolies phrases sibyllines pour le profane : « C'est un contrat synallagmatique, conclu à titre onéreux et empreint d'un certain degré d'intuitu personæ. » :crazy: La licence d’exploitation, c’est plutôt ça : « La licence d'exploitation est un contrat par lequel un inventeur autorise un industriel a exploiter ou commercialiser son invention brevetée en contrepartie du versement d'une redevance (royalties). La licence d'exploitation accordée par l'inventeur peut être exclusive ou pas. » (Source : http://www.apisdeveloppement.com/conseils/L-licence-exploitation.php)
  14. – Si tu fais référence à la poule , oui je sais que ce n’est pas si simple puisque l’une de mes grandes passions est l’évolution, les différentes théories relatives à ses mécanismes, et que je potasse le sujet depuis des années. Si ma proto-poule n’est pas une simple vue de l’esprit, l’œuf en revanche pourrait tout aussi bien contenir un embryon de coq. Mais dans tous les cas, c’est bien l’œuf qui a précédé l’espèce dont il est à l’origine. – Si tu fais référence à la magie, tu as prouvé ici-même maintes fois ton intérêt et tes compétences pour ce qui concerne la question de la défense des droits des artistes. On t’écoute, on te lit. Ou acheter des produits originaux et une licence, ou inventer, ou trouver de nouveaux modes d’applications de produits existants... Poussons ton raisonnement jusqu’à son extrémité : si 95% des membres d’une profession sont dans l’illégalité (ce sont tes chiffres, pas les miens) alors il faut légaliser l’illégalité ? Les textes de loi existant déjà, ce n’est pas tant leur application que l’absence d’actions en justice qui fait défaut, un renoncement qui laisse le champ libre à la contrefaçon (par exemple) ou à la concurrence déloyale. Il y a également un manque patent d’informations. Non, aucune loi n’impose de payer des droits à des créateurs de l’antiquité, ni même à Robert-Houdin, désolé. Pour le « qui a fait quoi ? », les historiens de l’art magique sont en train de faire un bon boulot à ce sujet. Nous sommes dans une ère intermédiaire entre l’ignorance crasse ou le je-m’en-foutisme [ce que Sébastien Clergue, hier soir, me disait être une attitude d’amateur — au sens de « non qualifié » — vis-à-vis des règles légales, caractéristique des années qui nous ont précédés] et une ère de prise de conscience de l'intérêt pour tous de respecter les droits en magie. Vivement l’ère du magicien bien informé du passé de sa discipline (notamment grâce à des banques de données fiables) et respectueux des créateurs. Un juge n’aura pas le même regard qu’un magicien pour évaluer ce qui est de l’inspiration, du plagiat, de la copie, de l’originalité d’un numéro, ou que sais-je. En réalité la jurisprudence est souvent étonnante dans les affaires magiques, mais il y a encore trop peu d’exemples en la matière. Amitiés Christian
  15. Pas de philosophie là-dedans, juste du droit. Par ailleurs, c'est l'oeuf qui précède la poule. Un oeuf mutant, qui donne naissance à une poule, mais qui provient non d'une poule mais de ce que je nommerai pour faire court une proto-poule.
  16. La question est trop complexe pour moi, je ne suis pas juriste. Mais : Le vendeur ne peut vendre que ce qu’il a, s’il y a une licence d’exploitation, comment dire, « intégrée » à l’achat, tu l’auras, sinon, tu présentes le tour uniquement à tes proches. En l’absence de licence, il faut s’arranger contractuellement avec le créateur. Un simple mail ou un courrier ne suffit pas, il faut être accompagné d’un juriste pour ces démarches, ça vaut mieux ! Si tu achètes un tour avec une licence d’exploitation, ça ne veut pas dire que tu pourras l’exploiter totalement. En effet, si j’ai bien compris Pierre, il se peut que le tour que tu vas exploiter sous licence connaisse un fort succès et la licence pourra être revue à la hausse ! Corrigez-moi si je me trompe. La licence a un cadre d’utilisation et, semble-t-il, des limites. Un créateur mort a des ayants-droit, il faut passer par eux. Pierre a dit que les américains pourraient se lancer dans une campagne ravageuse s’ils décidaient d’être pointilleux sur les pratiques en France où tant de produits sont, semble-t-il, copiés. Toutes ces questions témoignent de ce que le droit entre petit à petit dans le monde de la magie qui semblait jusqu’à présent feindre de l’ignorer. Peter Din a fait référence à un syndicat disparu avec celui qui en tenait les rênes. La SIAM il y a quelques années a également essayé de jouer un rôle pour protéger les arts magiques, un rôle plus particulièrement informatif. La revue Imagik avait également publié plusieurs articles sur le droit d’auteur ; précédemment la société éditrice de cette revue avait d’ailleurs gagné un procès contre une société concurrente qui avait pratiqué un « dénigrement caractérisé » (je cite les termes de la publication judicaire). À l’époque, et depuis bien longtemps, les créateurs mal informés baissaient les bras car ils ne connaissaient pas l’étendue de leurs droits. Certains profiteurs sont passés un peu au travers, on a bidouillé, biaisé, trompé, truqué, ça allait même de pair avec une certaine idée de la magie. On faisait « comme si on ne savait pas », ce qui était vrai en partie mais profitait rarement à celui qui était exploité et trompé. C.G.
  17. Non, cela protège les inventeurs, certes, mais c’est aussi une incitation à la création et à la diversité : tous les tours peuvent être adaptés, transformés et personnalisés. Cependant, Pierre Fleury reconnaissait qu’il y avait une sacrée mauvaise foi généralisée sur ce point-là : quel sens donner à un tour vendu très cher (une grande illusion par exemple) et qu’on aurait le droit de n’exécuter que dans le cadre du cercle familial (c’était le terme) si vendu sans licence d’exploitation ? Conclusion : lors d’un achat, demandez au vendeur une licence d’exploitation !
  18. Hello Jean-Yves Je ne me lance pas dans un compte-rendu, le p’tit camarade qui était à mes côtés fera ça très bien, patience. Personnellement, je suis plongé depuis presque une dizaine d’années maintenant dans, comment dire, un litige, qui, de par le refus actuel d’une société de répondre à certaines obligations légales, va devoir se poursuivre une fois de plus sur le plan judicaire. J’ai été assez étonné lorsque, après son intervention, Pierre Fleury me fit part de ce qu’il connaissait mon « affaire » — mais je ne sais pas sous quel angle ni avec quel niveau de précision. J’ai retrouvé dans cette conférence une grande partie de ce que j’ai appris durant ces années, avec cet avantage que tout était bien structuré, exemples à l’appui même si le choix de certains d’entre eux me paraît dénoter une surreprésentation surprenante d’individus qui, dans le milieu magique, ont eu le plus affaire à ma connaissance, de façon directe ou indirecte, à la justice, et pas pour de nobles raisons. Il existe pourtant tant d’exemples pour lesquels les créateurs cités seraient irréprochables… C’est d’ailleurs le seul bémol que je donne à cette excellente conférence. Le conférencier a donc dressé un panorama remarquable avec des mots compréhensibles par tous (les formulations des textes de droit sont souvent obscures à la première lecture) et un ton sympathique, ce qui ne gâche rien. Ce qui a le plus marqué les esprits me semble être ce constat : sans une licence d’exploitation, il est interdit de présenter dans un cadre professionnel une grande partie des tours de magie qui sont actuellement à la vente. Une participation aux frais de 5 euros pour une intervention aussi riche, autant dire que « c’était cadeau ». Félicitation à Pierre, à Peter Din et à l’équipe organisatrice. Christian Girard
  19. Hem, tu n'as pas cliqué sur mon lien toi... Tu l'aurais vue, la photo !
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