La question plus générale de ce sujet est celle de la responsabilité de chacun face à l’ampleur du désastre écologique. On est tous concernés. Quant aux joueurs de foot on pourrait également comparer l’empreinte carbone de chacun en comparaison (actualité oblige) de celle de la défunte reine Élisabeth II, ça doit consommer (et douiller) de chauffer le palais de Buckingham ou le château de Windsor et consorts (tiens, ce terme tombe à pic), ne parlons même pas des transports de toute la fine équipe (famille royale, l’intendance, le personnel et j’en passe) qui ont dû générer une sacrée pollution durant des décennies – et personne pour pointer du doigt ? Bref, la question des jets privés des footballeurs est posée mais le problème de fond est vaste, tellement plus vaste…
Autre question : « L’Ukraine annonce ce dimanche la mise à l'arrêt du dernier réacteur en activité à la centrale nucléaire de Zaporijia, la plus grande d'Europe et occupée par les forces russes », les anti-nucléaires vont-ils se réjouir ?