Christian GIRARD

C'est fait ? Parce que la date limite de souscription, c'est aujourd'hui ! Pour ma part, j'ai trouvé l'ouvrage à l'instant, au pied d'un arc-en-ciel.

(Relire ce que j'avais mis en évidence dans mon message du 25 août 2016.) Le passage concerné a justement été isolé :

Merci SébastienO, j'adore ce type d'images de la planète qui montrent à quel point tout ce qui nous entoure est sublime, il suffit d'ouvrir les yeux. Je garde néanmoins toujours en tête qu'il s'agit d'un point de vue qui montre la face idyllique de la nature, mais qu'on pourrait également sélectionner des images atroces qui montreraient l'autre face du monde animal : la vie des bêtes n'est pas un long fleuve tranquille, c'est bien souvent l'horreur.

Ce qui est marrant de mon côté c'est que ça ne m'a pas fait marrer. Merci pour le partage mais chat n'est pas pour moi.

Merci. Quand on parle de "créer un personnage" et "d'habiller un tour", on est servi avec elle. Elle a réussi a provoqué un vrai sentiment de peur dans la première vidéo, pas mal ! Bon, le côté ambiance satanique risque d'en rebuter quelques-uns mais au moins c'est plutôt original.

Merci Pierre, c'est extrêmement intéressant (ton dernier point finalement concerne la question du débinage si souvent évoquée dans VM, qui donc au regard de la loi porte "atteinte au droit moral de l'auteur de l'oeuvre") et l'on peut constater à quel point il faut avancer prudemment dans ce type de réflexion, le cadre de révélation propre à Spreadwave a été beaucoup mieux défini dans ton message ci-dessus et seule la parfaite description de l'effet pourrait être laissée ainsi à l’appréciation d'un juge (avec une décision en cas de procès qui selon moi laisse quand même la possibilité de quelques spéculations...). Je n'ai pas le temps de développer mais je lirai les interventions à venir des uns et des autres avec intérêt. Dommage car j'ai beaucoup de questions qui me turlupinent, je me demande par exemple qui peut bien décider de ce que les spectateurs "perçoivent" d'un effet ? Mystère...

Il n'y a qu'à voir l'ambiance entre les ex-membres de l'équipe de LRDP 1 :

Bonjour Pierre Merci pour tes précisions, notamment pour les "deux aspects à distinguer". Je reste toujours très circonspect sur ces questions, les décisions d'un tribunal peuvent surprendre n'est-ce pas ? Ce débat commence à me rappeler les prises de position partisanes de différents camps lors de l'affaire Window et Window Pro... Je viens d'apprendre par mon bon ami Philippe Billot qu'une carte choisie (ou tout autre chose d'ailleurs, un mot quelconque, un nom de famille ou quoi que ce soit d'autre, c'est-à-dire un champ de révélations plus large que pour Spreadwave) était révélée de façon alphabétique (des lettres écrites sur des cartes donc) dans un tour décrit dans les années 50. Savoir si cette révélation écrite est présentée avec des cartes "étalées" ou pas n'est pas précisé dans la description qui est sommaire, mais en tout cas c'est possible : les cartes alphabétiques peuvent être simplement étalées (comme on le fait classiquement avec des cartes) ou mises les unes à côté des autres (à ce stade il s'agit plus d'une question de présentation que de méthode dans le tour en question car les lettres sont imprimées en entier et non par bribes). La formulation "le premier à avoir révélé le nom d'une carte à jouer au moyen d'un étalement" ne me semble pas assez étroite pour bien cadrer avec la méthode de Mathieu (il y a une grande quantité de méthodes pour révéler une carte au moyen d'un étalement, il faut en plus préciser les spécificités de celle de Mathieu). Je vois bien pour ma part les aspects particuliers de la méthode et du trucage ingénieux du jeu de Mathieu (j'avais acquis très vite la version en anglais lorsqu'elle était sortie, pas pour la présenter mais pour le plaisir d'avoir ce jeu particulier, un peu comme pour Cardtoon qui est également une façon originale de révéler une carte parmi 52, ou un jeu "invisible", etc.) Bref, dans la version du milieu des années 50, une carte choisie peut être révélée avec quelques cartes comportant des lettres qui permettent d'écrire le nom de la carte choisie. Je précise que les quelques cartes permettant de révéler la carte choisie (en réalité, le spectateur a juste écrit le nom de sa carte sur un papier qui est brûlé dès le début du tour !) sont les seules à être des lettres puisque le reste du jeu est présenté et qu'il est constitué de cartes tout à fait standard ! James H. Warner (ou ses ayants droit) est-il "protégé par le droit d'auteur, ce dans les 184 pays signataires de la Convention de Berne" pour sa façon de révéler le nom d'une carte (ou de n'importe quoi d'autre) via un Alphabet Deck, au regard de son tour intitulé The Letter Perfect Card Effect ? C'est une vraie question Pierre, qu'en penses-tu ? Les conditions de protection de cet effet relèvent-elles "du droit de la propriété littéraire et artistique" ? Par ailleurs, je pense que personne ne remet en cause "le processus technique novateur qui permet de le ["l'effet magique" en lui-même qui consiste à révéler le nom d'une carte au moyen d'un étalement] faire avec les 52 cartes du jeu". Mais, comme je l'écrivais plus haut, qu'en est-il de "l'outil" Spreadwave s'il est utilisé dans un autre objectif que celui de révéler une carte choisie parmi 52 ? S'il est intégré à un enchaînement d'effets différents et n'en constitue qu'un maillon ? Ah, et comme je suis dans les questions, en voici une toute simple : que dit le cadre juridique pour ce qui concernerait par exemple l'explication publique du tour Spreadwave par un gars à la télé par exemple qui voudrait montrer un "produit" ingénieux et dévoilerait tous les rouages du tours (sans faire de la magie en l’occurrence) ? En a-t-il le droit ?

Hello Marc Dans l'ensemble je suis assez en phase avec tout ce que tu as écrit et je m'étais fait la même réflexion que toi sur le passage ci-dessus, avec cette seule différence que ma conclusion est différente : dans la mesure où, pour un profane, une version avec le jeu de Mathieu ou via une carte f...ée est identique et qu'il existe des antériorités avérées de révélation de carte "choisie" sur la tranche d'un jeu (qu'il soit étalé ou pas d'ailleurs), on pourrait alors tout autant dire, en reprenant tes termes, qu'il serait "sage pour Mathieu BICH d'éviter de présenter une telle routine à la télévision ou dans une grande salle par respect pour le travail de ses prédécesseurs ." En fait c'est très simple : n'importe qui peu présenter une routine de carte choisie (ou apparemment choisie) qui sera révélée via un étalement de cartes permettant une lecture de la carte (par son nom ou parce qu'elle est imprimée comme cela se fait sur la tranche de certains livres), à condition d'avoir une présentation personnelle. Ensuite il faut séparer le droit de la déontologie (ne parlons pas d'éthique). Cette dernière fait que, dans la mesure du possible, il est préférable qu'un accord soit fait entre les deux parties, en bonne intelligence. Si Untel veut "à tout prix" faire le tour avec le jeu de Mathieu et la construction de la routine, pourquoi ne pas accepter de payer pour cela ? Réciproquement, pourquoi un créateur devrait-il monnayer systématiquement l’utilisation d'un tour qu'il commercialise ? Il peut parfois accepter gracieusement qu'un magicien présente le tour car (par exemple) le magicien est de qualité et qu'il mettra le tour en avant. Si le magicien est médiocre, on peut comprendre la réticence d'un créateur qui risque de voir son bébé gâché par une piètre présentation. Des tas de cas de figure peuvent se présenter. Une question plus complexe se pose si Spreadwave est utilisé mais dans un contexte différent de celui du tour original, alors ce jeu truqué devient un peu un autre outil. Pas simple tout ça hein ?

Dans cette histoire de révélation des pyramides, il faut savoir remettre les choses en perspective.

Comme pour Arc-en-ciel de Tamariz, il est de ces ouvrages pour lesquels aucune hésitation d'achat n'est permise. J'ai acquis en direct auprès de Jean Merlin les deux derniers volumes de sa série Book of Magic, à savoir le "Tome II." (oui, en chiffre romain et avec un point, ne me demandez pas pourquoi) et le "Tome 3" (en chiffre standard de notre système décimal). Même l'intérieur de la jaquette, spécialement imprimée, est drôlissime. La trilogie de Merlin constitue à mon avis une oeuvre indispensable à toute bibliothèque de magicien digne de ce nom. Jean faisait la promotion de ses ouvrages dimanche dernier à la très sympathique brocante magique qui s'est déroulée à Bobigny (j'y suis resté de 9 h à 20 h) avec son habituel talent de bonimenteur. Deux photos qui vous montrent la taille des pavés ! Impressionnant...

Pour avoir de l'eau chaude : (Source : http://www.geoforum.fr/sujet/7719-photos-etonnantes-ou-insolites/?page=3 )

Bonne pioche : Grigori Petrovith Grabovoï, alias... Dieu ! Oui, il se serait proclamé Dieu en juin 2004 d'après l'article en lien ci-dessous, à lire car ce Grabovoï est un "sacré numéro" : https://derive-sectaire.fr/grigori-petrovitch-grabovoi-dieu/

Tout aussi mystérieux que les pyramides d’Égypte, est-ce possible ? Pour certains, oui, jetez un œil sur l'extraordinaire temple de Kailâsanâtha (Ellora), mais d'abord quelques infos "officielles" depuis Wikipédia : Mais il en est pour qui les "ciseaux" ne sont pas compatibles avec la tâche titanesque consistant à excaver 400.000 tonnes de roches, deux vidéos sur le sujet :

Les Lames du Cardinal, II : L'alchimiste des Ombres, de Pierre Pevel Les Enchantements d'Ambremer Le Paris des Merveilles, II : L'Élixir d'Oubli

Merci, je connais ce Youtubeur qui en effet est très efficace dans ses analyses, le second épisode sur le thème des "révélations" des pyramides est encore plus "cassant" que le premier me semble-t-il : Voir et écouter également ceci :

En vue de faire la promo d'un second film sur les pyramides (et les "révélations" qui sont censées aller avec), une interview d'environ 4 h de Jacques Grimault (par, je crois, Laurent Freeman, le webmaster de StopMensonges, corrigez-moi si c'est une erreur). J'ai tenu deux heures, faut dire que j'adore le vide intersidéral... Mais je terminerai, cet échange est "surréaliste". Si vous ne connaissez pas StopMensonges, un débat critique ici : http://menace-theoriste.fr/stop-mensonges-tenl40/

Oui. Quelques hypothèses ici : CLIC.

En effet, il ne faut pas compter que sur le hasard, faut avoir du bol également.

Des très belles images sur la thématique des coulures sur Pinterest, ici : https://www.pinterest.fr/explore/coulure/?lp=true

Hello SoCa Sympa. Dans les année 80, un artiste (dont le nom m'échappe à l'instant où j'écris) mettait des blocs de différentes peintures glacées au sommet de grandes toiles ; en fondant peu à peu cela formait un tableau abstrait à base de coulures qui s’entremêlaient, c'était une approche conceptuelle pour un résultat finalement très plastique (on pense à Marcel Duchamp appelait les peintres des "artistes teintres" ). C'était aussi une façon de mettre en évidence la notion le temps qui passe mais aussi le fait que la création ne dépend pas forcément d'un suivi pas à pas, on peu laisser les "hasard" agir seul. Pollock en plus de projections de peinture (dripping) se servait également des coulures pour réaliser ses œuvres . Utiliser ce type de traces de coulures et les mettre en situation comme dans l'exemple que tu proposes et une approche plus ludique, plus poétique parfois, et cela peut ouvrir la porte à quelques gags. On n'est pas toujours forcé de se prendre au sérieux comme en art contemporain . Source : https://labutteauxcaillesahk.wordpress.com/2012/01/ *** Regardez également ici : https://www.google.fr/search?q=artiste+glace+qui+fond+coule+sur+tableau+couleur&tbm=isch&tbs=rimg:Cd6zEPjtjYbmIjg8f3fco7SgvVSH_1BPs3cAj1q5X88sQVyVMjwBNT9KhxQKC7Ox6IKJjj5nvDg7gJx7SSBjuOAaWoCoSCTx_1d9yjtKC9EUgIFWgYhcnIKhIJVIf8E-zdwCMRXzwIUoufwWEqEgnWrlfzyxBXJREXYXBMhoBP4ioSCUyPAE1P0qHFEXw0c9vAZSOsKhIJAoLs7HogomMRjlT3UMwhnowqEgmPme8ODuAnHhH3A5H4-n1gtCoSCdJIGO44BpagERqRw-LQ4Sta&tbo=u&sa=X&ved=0ahUKEwiTrc22qPzWAhWDthoKHRaODbYQ9C8IHA&biw=1920&bih=949&dpr=1

La couverture m'a inspiré pour trouver une illusion additionnelle, la voici :

Reçu aujourd'hui même. Socrate ne s'est pas contenté de reproduire des illusions d'optique connues comme c'est trop souvent le cas, il en a fait des variations personnelles rendant les propositions originales et il a imaginé de nouvelles façons ingénieuses de présenter certaines d'entre elles. Moi qui adore les ouvrages de ce type (non, ce "type" ce n'est pas Socrate, quoique j'aime bien Socrate hein ! Comprendre "de ce genre") et qui en possède beaucoup, j'y ai trouvé mon compte de nouveautés et de surprises. Un ouvrage instructif riche en exemples pertinents et créatifs, recommandé par le Guide Girard. Un petite remarque en passant : page 205, l'image censée être reproduite case à case dans la BD n'est pas stricto sensu "la même", comme le dit le texte, car la taille et la position des phylactères modifient l'image de fond dans chaque case. Fallait bien que je trouve un truc pour chipoter ! Plus sérieusement : vous êtes amateur d'illusions d'optique ? Cet ouvrage est donc l'un de ceux qui ne peuvent être absents de votre bibliothèque. Dans la foulée, une énigme topologique à réaliser avec un seul chouchou (cela faisait partie de mon atelier présenté à l'IPP 2017, un congrès d'amateurs de casse-tête et autres curiosités auquel a participé Philippe Socrate justement), un anneau élastique qui semble auto-enclavé !