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Olivier SSK (If....)

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Tout ce qui a été publié par Olivier SSK (If....)

  1. Très chouette. Félicitations. Je viens de passer un beau moment. Merci.
  2. Très chouette ta vidéo, HREJ. Très mignon.... Pas pu voir la tienne, Melvin. Actuellement indisponible chez moi....
  3. Eh ! C'est pas bien de débiner la méthode de 80 % des ACAAN... Plaisanterie mise à part, je suis assez d'accord avec munky. Avec cette précision que, pour l'exemple du restaurant, en plus du cadre, il faut aussi que la cuisine soit bonne.... Il arrive malheureusement, qu'un bon cadre, une table dressée avec soin, un lieu confortable, etc. impressionnent le client et permettent de faire "oublier" une cuisine médiocre... Un peu comme l'exemple de HREJ...
  4. Pour ma part je n'ai pas pu faire cet amalgame, puisque je n'ai pas parlé, jusqu'ici, des garanties nécessaires à l'obtention d'un logement. Pour ce qui est des deux premières propositions, je ne vois pas d'amalgame ; j'y vois la réalité. Je connais aussi des bailleurs (et des bayeurs, avec lesquels j'ai souvent plus d'affinités), il en existe de toutes sortes ; certains rencontrent des difficultés, d'autres sont des marchands de sommeils sans scrupules. On pourrait développer le sujet, mais ce n'est pas d'eux dont je parlais. Le bailleur, de quelque manière qu'il exerce sa pratique, qui peut le cas échéant également être critiquée mais là n'est pas le sujet, exerce justement, cette pratique. C'est à dire qu'il gère des logements loués. Je parlais d'investisseurs, dont les bailleurs peuvent à l'occasion être, disons, en quelque sorte, les employés. De groupes bancaires ou d'assurances qui possèdent des pâtés de maisons entiers, dont la "valeur" estimée figure dans leur portefeuille. Et qui ont donc intérêt à les laisser inoccupés, puisque ça fait grimper cette "valeur". Cette "valeur" repose donc sur l'inutilisation des dits logements et provoque ce que tu appelle un peu plus bas cette "crise du logement" qui est complètement artificielle. Mais j'anticipe. Tu reproches, dis-tu, au "discours que nous avons", de faire porter sur des investisseurs particuliers la question de la crise du logement (à Paris, dans notre discussion). Je ne sais pas qui, dans ce "que nous avons" dit quelque chose comme ça, mais je ne me sens pas concerné. Je ne parle pas de particuliers. Je parle de gros groupes d'investissement internationaux. La prétendue "crise du logement" n'existe pas. Elle est créée et entretenue pour garantir de gros profits. (Et je ne parle pas de petits propriétaires privés, je répète.) Ta comparaison du placard est mignonne, mais ne me semble pas très appropriée. Un puissant groupe financier qui achèterait une grosse partie des denrées alimentaires disponibles pour les revendre très cher au compte goutte à une population affamée par cette pénurie organisée, serait une métaphore plus judicieuse. Mais là on nage en pleine "science-fiction". Quand j'évoquais la "chance" dans la situation d'Alcalino, c'était pour évoquer une rencontre, une relation de confiance avec un propriétaire par exemple, ce qui, même si c'est rare, arrive à l'occasion. Quelqu'un de proche à trouvé récemment, de la sorte, un logement loué directement par son propriétaire. Une vraie relation s'est instaurée entre eux 2, et, malgré l'absence de garants et des revenus modestes, la location s'est faite. Il est vrai que c'était dans une ville de province, pas à Paris. Mais tout peut arriver ! Encore une fois, bon courage.
  5. Content d’apprendre que c'est clair pour toi, je ne suis jamais certain de m'exprimer avec clarté. Je te crois sans peine et il apparaît donc clairement que nous avons un avis différent sur la question. Ce qui, somme toute, est assez banal, et plutôt sain. J'en déduis, du coup, puisque tu as bien compris depuis le début, que c'est volontairement que tu as caricaturé mon propos, et non pas par incompréhension. Je n'ai pas dit qu'ils devraient les proposer, j'ai donné cet exemple comme une possible piste de solution, - il y en a certainement d'autres - au cruel problème du logement à Paris - puisque c'est de Paris dont on parle ici. Et ce n'est pas pour leur éviter des frais de gardiennage, mais pour montrer que, sauf à vouloir exploiter la situation extrêmement juteuse qui consiste à maintenir volontairement des gens à la rue, il y avait des possibilités de bon sens qui ne lèsent pas nécessairement les biens d'autrui - puisque cela semblait être ta préoccupation. (J'ai d'ailleurs donné cet exemple parce que je l'ai déjà vu, en vrai. Certes, il ne s'agissait pas d'un gros groupe d'investissement, et il s'agissait moins de "gardiennage" que d'entretien, mais c'est toujours instructif et réconfortant de voir ce genre de choses.) J'en suis persuadé également. Puisque tu as bien compris, il ne t'a pas échappé que c'est précisément ça dont je parlais : des gens qui ont bien étudié comment tirer le maximum de profit de la situation et qui, pour ce faire, maintiennent délibérément des logements vides afin d'en augmenter artificiellement le cours sur le marché, participant par là de façon active à maintenir des gens sans logement. (Et cela concerne notamment, comme Alcalino en est l'exemple, des personnes qui ont un travail et des revenus.) Que ce fait puisse être la norme aujourd'hui, être le modèle qui prédomine, voilà ce que je déplorais et que je déplore encore. Et c'est ça qui semble t'agacer. En tout état de cause, ce n'est pas parce qu'un modèle prédomine qu'on ne peut le désapprouver. Et vouloir autre chose. Et faire d'autres choses. On imagine aisément ce qu’impliquerait une telle prétention. Sans pour autant être nécessairement un auteur de Science fiction. Et, comme tu le fais remarquer, ce modèle ne prédomine que "pour le moment". Tout n'est pas perdu ! Pour paraphraser ta citation de Paul Auster, qui est un auteur que j'affectionne, on pourrait dire "les modèles ne prédominent que par ceux qui les acceptent". C'est dommage, parce que le travail d'un spéculateur ou d'un rentier vaut son pesant de caouettes. D'autant que s'ils devaient compenser par ce qu'ils savent faire, heureusement que la notion d'argent a été inventée, parce qu'en terme d'échange de compétences pouvant servir concrètement à autrui, ils seraient bien mal logés. C'est exactement ça, dub. Alors, Alcalino, désolé de participer à faire un peu dériver ton sujet de départ... La piste de personnes âgées, même si elle ressemble peut-être pour toi, à première vue, à une collocation, mérite d'être explorée. Selon la topographie des lieux, il est possible qu'il y ait un échange de services sans pour autant que vous viviez les uns sur les autres. Sinon, malheureusement, à moins d'un coup de chance qui peut toujours arriver, dont la probabilité est multiplié par l'exploration de pistes diverses, je crains que la collocation soit la solution la plus "simple". (malgré les inconvénients que tu as listés... ) Bon courage
  6. De retour d’Auvergne, dans la montagne, où je suis allé tailler des vignes, je reprends mon jeu de carte, et je m’émerveille de réussir un éventail.... Sinon, le plaisir d'apprendre, comme tu le formules Fab2, est vraiment le moteur, en magie ou dans d'autres domaines, pour moi. Pour un tour, je dirais, il y a longtemps, "les mélanges du mondes", que j'ai connu par B. Billis. Je trouve ce tour particulièrement ludique. A l'époque ça m'a donné envie de de faire des cartes. Puis le temps et la vie m'ont emmenés ailleurs. Puis j'y reviens depuis quelques mois et redécouvre un plaisir de chaque instant. Pour une technique, je ne sais pas, peut-être un emp.... aussi.
  7. Le fait qu'ils soient vides, vacants, inoccupés, inaffectés, ne veut pas dire qu'ils font parti du domaine public, et que l'on peut allègrement aliéner le bien d'autrui à son profit ! Ce genre de discours m'agace profondément.... Peut-être, Paul, pourrais-tu, assez facilement, t'éviter des agacements profonds : par exemple en n'interprétant pas précisément de la manière qui t'agace un extrait d'un message en en caricaturant le propos. Je te dis ça, juste parce que c'est jamais bon d'être agacé de bon matin. Pour ma part, si je devais extraire un bout de ton message pour en être agacé, ce serait : "...Ce genre de discours..." Ce n'était pas un discours. C'était un avis. Avec éventuellement quelques arguments. Quant au genre auquel tu insinues que ce prétendu discours appartient, tu ne le précise pas. Tu y fais juste allusion au passage. Lui donnant par là une existence supposée, puisque tu t'y réfères.... C'est bien là une façon de faire de magicien.... Mais, je t'assure, ce n'est pas une bonne idée de me faire dire ce que je n'ai pas dit pour pouvoir t'en agacer. Sur le fond, effectivement, ce n'est pas parce que des logements sont vides, vacants, inoccupés, inaffectés, qu'ils sont dans le domaine public... C'est amusant, que tu parles de profit, parce que c'est bien de ça dont il s'agit quand on aborde l'immobilier, à Paris ou ailleurs. Je ne pense pas qu'il failler "aliéner le bien d'autrui". En formulant les choses ainsi, on dirait que j'incite à spolier de pauvres petits particuliers qui ont acquis leur "bien" à la sueur de leur front.... C'est sur, c'est agaçant. La plupart de ces locaux vides sont la propriété de groupes d'investissement, principalement banques et compagnies d'assurances, qui les maintiennent vides pour en faire artificiellement augmenter la "valeur". En un mot , qui se livrent à de la spéculation. Ils spéculent sur le besoin d'avoir un toit, et participent par là a rendre inaccessibles ces dits toits à une partie toujours grandissante de la population. Ça aussi, c'est agaçant. Ce que je dis, c'est que la destination première d'un logement est de loger. Que par tout un tas de mécanismes qui génèrent des profits on en arrive aujourd'hui à une situation où ceci puisse être oublié, est ce qui m'agace, moi, terriblement. Et malheureusement, je n'ai pas la possibilité de mieux lire un message pour éviter cet agacement là. Parce que le fait, lui, demeure. On a les agacements qu'on peut.... On pourrait pourtant envisager plein de solutions de bon sens, qui ne lèsent personne. Souvent, ces locaux vides, sont "gardiennés", pour éviter justement qu'ils servent à quiconque. Cela coûte de l'argent. Pourquoi ne pas loger des gens, qui du coup entretiendraient l'endroit, évitant ainsi qu'il soit dégradé. Et gratuitement de surcroît. Ah oui, mais ça ferait baisser le cours du M2 dans le portefeuille.... c'est mieux que des gens dorment dehors... On va pas aliéner le droit d’autrui à spéculer sur la misère. Ce qui est ironique, c'est que la majeure partie de ceux qui spéculent là dessus seraient incapables de construire leur logement avec leurs propres(?) mains. Et que, dans un monde à peine différent, où seraient logés, de fait, ceux qui sont capables de se construire un logement, ce ne seraient pas les même qui seraient à la rue... encore que, ils trouveraient certainement à se faire héberger sans que l'on considère que cela aliène le bien d'autrui.... Désolé, j'ai fait un peu long. J'espère que ça servira à mieux faire comprendre ce que je voulais dire et éviter ainsi de grossières caricatures. Comme ça, si l'on n'est pas d'accord avec mon point de vue, au moins le sera t on sur celui ci, et pas sur des spéculations. Et, encore une fois, bon courage à toi, Alcalino, dans tes recherches.
  8. 610 euros ! faut foncer, c'est pas cher !!.... Non, dis, tu nous fais marcher, tu dis ça juste pour te moquer, 610 euros sur Paris, ça n’existe pas... Et avec une douche, en plus !... Et en sous-sol insonorisé, de surcroît !... C'est pas bien, de faire espérer, comme ça, les gens qui cherche un logement... (Je mets le smil, au cas où.) Désolé, j'ai pas pu m'empêcher. Sérieusement, à part le fait qu'il y ait au bas mot deux Millions (2 000 000) de M2 inoccupés, rien qu'à Paris intra-muros, qui permettent, certainement, à des spéculateurs de maintenir artificiellement un marché qui les intéresse à un niveau qui les intéresse, je ne sais pas trop quoi te dire.... A part, aussi, courage, bien sûr, et ne pas hésiter, même si ça n'a pas marché jusque là, de continuer a laisser des annonces dans des commerces, a discuter avec des gens, a poster des messages sur des forums.... Peut-être, même si c'est pas forcément ce que tu veux au départ, essayer de trouver des colocataires.... ça peut permettre de diminuer les charges.... mais faut se farcir les uns les autres. (Enfin, c'est une façon de parler...) Ou squatter.... Après tout, pendant que des gens dorment dans la rue, il y a des logements vides.... Alors que par définition, logement, ça implique une fonction : loger. Bientôt, un mot comme habitat ne sera plus qu'un concept folklorique, exhibé sous différente formes plus ou moins exotiques selon les modes ; mais jamais, au grand jamais, un endroit que l'on pourrait habiter ; c'est à dire rendre vivant. "Bientôt", dis-je ?... peut-être me suis-je déjà fait rattraper.... Ou partir à la campagne... Ou sur une autre planète... Bon courage.
  9. Merci Philip59 pour les précisions. Je me suis mal exprimé, effectivement. Je voulais parler de la "coupe" de "désimbrication" après le rassemblement des cartes qui suit l'effeuillage, vers 0:15 sur la vidéo de Meven ; et donc d'un "temps" entre ce rassemblement et cette "coupe" (ou apparence de) précise.
  10. Comme je l'ai déjà dit je ne suis pas du tout un spécialiste, alors je vais peut-être dire une connerie grosse comme moi (je ne prends pas beaucoup de risques, je ne suis pas très gros), mais Je suppose, albator, que tu parles d'une pause à l'intérieur du mélange en lui même ? Parce que sinon, il me semble qu'il faut bien un temps d'arrêt entre la partie "mélange" et la partie "coupe". Ça ne fait pas longtemps que je le bosse, je n'en suis pas au niveau de Meven, loin de là, mais il m'apparait important de marquer ce temps psychologique entre la fin de l'emboîtement des cartes et la "coupe", comme on le ferait "naturellement." Pardon d'aborder un point qui est certainement une évidence, et que Meven aura compris sans ambiguïté. Je pose la question pour vérifier que je bosse dans la bonne direction. En tous cas, continue de bosser meven, c'est chouette!
  11. Cool, j'aime bien ouvrir les boîtes. Ça a l'air bien sympa. Ça me fait penser à un jeu qu'on faisait il y a quelques années, avec mes frangins et des ami(e)s, où l'on se con-centrait exclusivement sur ce con pouvait faire avec le "con".... En voilà un petit aperçu : Nous connaissons (ou désirons connaître) le fameux con sensuel. Mais il existe aussi : Le con centré, qui n’est ni trop à gauche ni trop à droite. A l’opposé il y a le con cave qui est en dehors du « milieu ». Le con vexe, qui se gonfle d’orgueil. Le con casseur qu’on peut rencontrer dans une manif. Le con cernant, qui circonscrit sa proie. Le con certiste, dont la musique ravira l’amateur. Le con-cierge n’est pas une variété de con mais une pratique décrite par le Dr G. Brassens. On a parlé récemment du con clave, mais le Vatican m’a demandé de m’abstenir à son sujet. Le con citoyen qui est, quand il ne désigne pas un pléonasme (tel le con génital), une variété bien peu enthousiasmante. Le con combre reste un grand mystère de la science. Le con courant, grand sportif. Le con vergent, variété déviante. Le con cubin, à la grande barbe et aux idées marxistes. Le con damné, aux flammes de l’Enfer. Le con disciple, dévoué à son maître. Le con ditionné, de plus en plus fréquent, malheureusement. Le con fédéral, que l’on trouve surtout outre Lac Léman. Le con fesse, bien connu et apprécié des Chrétiens pour son exhaustivité. Le con fondant, sans doute à cause d’une chaleur excessive. Le con fraternel, à l’esprit de camaraderie. Le con gélateur, à éviter. De même que le con gère (ô froide économie !) Le con jugable, à tous les temps. Le con sacré, le Saint des Saints. Le con sentant, la rose ou autre chose. Le con sidérant, qui vous stupéfiera. Le con stricteur, dont il faut se méfier. Le con substantiel, qu’on ne peut pas rater. Le con torsion, aux prouesses acrobatiques. Le con tracté, qui a besoin d’aide pour se mouvoir. Le con tractuel : circulez, il n’y a rien à voir ! Le con ventuel, réservé à quelques privilégiés (cf. le con clave). Le con volvulus, un buisson peu connu. Le con voyeur, oh, le vilain ! Nous étions véritablement pris d'une frénétique con-passion.... Tu as parlé du con certiste, mais tu as délaissé le con certo, a consommer à toutes heures. Le con sommé, évidemment, qui ne fait pas toujours les choses par goût, malheureusement. Le con fût, qui est désolé d'avoir été. Le con G, il y en a qui en parlent en levant le poing. Le con fit, un cousin du fût, qui ne se con fère pas le droit de faire maintenant. Tu as évoqué le con vergeant, il faut rappeler le con verge, que Desproges décrivait comme l'appareil uro-génital des hermaphrodites. Le con génère, notamment ce genre d'hommage. Le con dort, quand il est fatigué, après de grandes envolées. Le con descendant, con croise dans les escaliers et qui nous regarde de haut. Le con scie, du bois parfois, en se dépêchant parce qu’il fait froid. Le con chie, comme tout le monde, et si ça ne vous plaît pas il vous ! Le con T, on l'aime sans ça. Le con venable, d'où qu'il sorte toujours impeccable. Le con qui, qu'on croit vingt culs, mais là ça devient trop con pliqué. Le con séquence, par moments. Le con volé, qui malheureusement finit par tomber sur une noce. Et enfin (pour l'instant) souvenez-vous : Le con finement nous emmène aux con fins de nous même. (Quand il est en forme.) D'autres à suivre, à mesure que je les retrouve...
  12. C'est ça.... Je suis génétiquement configuré pour le plaisir, ce qui me fait éviter la gêne en toute circonstance, y compris orthographique.... Content que ton sommeil soit également de bonne qualité... Non, je ne connaissais pas les nibarleys et maintenant je les connais. Merci, c'est bien sympa. C'est du NIB ART, en quelque sorte. Dans un texte qui s'appelle "Insultes à la France", qu'on peut trouver entre autres dans ses Œuvres Anthumes, Alphonse Allais s'est livré à un petit jeu de lettres comme il en avait le secret. En résumé c'est l'histoire d'un marchand de vins qui fait repeindre l'enseigne de sa boutique qui s'appelle AUX VIGNOBLES FRANÇAIS L'ouvrier commence par gratter les anciennes lettres. Après les 4 premières lettres, il part manger, laissant à la vue des passants, l'inscription : IGNOBLES FRANÇAIS Ce qui ne manque pas d'alarmer les dits passants, qui commencent à détruire la boutique et iraient volontiers en lyncher le propriétaire, si sur ces entrefaites le peintre ne revenait continuer son ouvrage. Après deux autres lettres grattées, on peut lire : NOBLES FRANÇAIS Ce qui inspire à Alphonse Allais cette fin magnifique : Il vaut mieux, bien sûr, lire le texte en entier. C'est tellement bien écrit. Ainsi que tout Allais d'ailleurs.
  13. Ok, oui, je comprends bien que sans "i" pas de "yin" (et donc pas de "yang"), mais ce "i", dans "yiang" me gène un peu quand même (même si c'est ["du" "dans le"] et pas ["le" "dans"])... Bon ça m’empêche pas de dormir non plus et c'est pas d'une importance capitale, mais du coup, qu'est ce que tu penses de mettre des parenthèses autour du "i" ?... Y(i)ang Ça évite d'accrocher sur le deuxième mot.... mais ça alourdit peut être aussi un peu... Sinon, c'est Boris Vian(g), il me semble, qui avait mis en évidence un truc dans le genre : Coquille La disparition du "q" crée une "e", mais c'est pas grave, on s'y retrouve à la fin, parce que ce fait même constitue une coquille...
  14. Dans son livre "Subtile Extraction", Duraty propose deux versions de cartes à la poche assez directes, qui devraient convenir dans ce type de conditions.... Il y a une vidéo sur son site où tu peux en voir une (pas le début avec les 4 cartes d'un coup, mais un peu plus loin, où les 4 valets sont sorti successivement des poches).
  15. Eh oui, il y a un peu de yin dans le yang, et réciproquement... N'y a t il pas, du coup, un "I" en trop?
  16. Très beau travail. Comme Paul, je ne suis pas un spécialiste de ce genre de chose, donc mon avis et mon regard n'auront peut-être pas le même intérêt pour toi que ceux de techniciens avertis. Mais je veux quand même te féliciter pour ton boulot. J'ai commencé, depuis quelques temps, à m'attaquer au push through, ce qui me permet un peu d'en mesurer l'étendue... et j'aimerai bien en être là ou tu en es.... (Et je ne parle pas des SDC, les débuts sont cruels et redoutables....) Donc en fait c'est aussi un merci que j'ai envie de te dire. Merci d'avoir posté ces vidéos, parce que, même à mon niveau, ça motive pour bosser.... Et en plus tu as une marge de progression et des conseils pour (encore) améliorer... Surtout, continue comme ça ! (Ah, au fait, moi c'est la troisième vidéo que je n'arrive pas à voir....)
  17. Est-ce que les tatouages sont indispensables, pour effectuer les routines de Peter Turner ?
  18. Oui, aussi, je trouve la performance belle et impressionnante.... Ça me paraissait tellement évident que je ne m'étais pas rendu compte que je ne l'avais pas dit.... Oui, son ronronnement, je suis pas près de l'oublier.
  19. Pas mal du tout. Très mignon, l'idée de rentrer dans l'imaginaire du petit garçon. La réalisation est un peu racoleuse, un peu trop "clip" à mon goût, mais c'est super bien fait. Ça me fait penser, du point de vue de la dramaturgie et du décor, à ça : [video:dailymotion] Que j’avais vraiment beaucoup aimé il y à.... 6ans déjà... le temps passe... Ça n'a rien à voir avec le sujet, mais le chat qui vivait avec moi vient de mourir ce soir. Il aimait bien les petites voitures.
  20. Hugh, Quelques réflexions en vrac que ce sujet m'évoque.... Pour commencer je précise que je ne suis plus intermittent depuis une dizaine d'année après l'avoir été pendant une dizaine d'année... Le statut a été régulièrement remis en cause et a été modifié... (avant les 507 heures, c'était sur 12 mois avec une durée d'indemnisation de 12 mois...) En 2003, la lutte a été assez importante, et surtout, n'a pas été menée uniquement corporatistiquement (sic !), de nombreuses passerelles ont été faites avec des précaires en tous genres et en lien avec la réforme des retraites d'alors (pas tout le temps et pas forcément jusqu'au bout). Malgré une très forte mobilisation, des réformes pas très avantageuses, que ce soit pour les intermittences ou les retraites, sont passées... (Peut-être - certainement - aurait-ce été pire sans ces luttes)... Le même genre de technique est fréquemment employée : désigner un bouc émissaire, un responsable, un profiteur, un "fainéant", etc. Aujourd'hui ce sont les intermittents. Cela peut être également les "rsastes" (anciennement "rmistes'). Je pense qu'il faut faire gaffe à ne pas tomber dans le piège d'une sorte de "corporatisme" qui sépare les uns et les autres. Je trouve la première partie de ton texte intéressante, Teddy, dans la mesure où elle parle de ce que tu vis, et que tu le partage avec d'autres, qui ne sont pas forcément au fait de ce que vivent les intermittents (et tous ne vivent pas exactement la même chose). Recalculer le salaire horaire en intégrant les heures de répétitions, préparations, entraînement, etc, serait une bonne idée. La deuxième partie me gène un peu, au moins dans sa formulation. Je comprends que tu veuilles montrer tes conditions de travail, mais le fait de dire "Qui accepterait de ?.... Nous si..." est une manière de se séparer des autres, et ce ne sont pas forcément ces autres qui t'"attaquent" (attaquent les intermittents). C'est même bien plutôt la stratégie de ceux qui veulent la disparition du statut, que de monter les uns contre les autres : "regardez ces fainéants, pendant que vous, vous trimez...." Du coup, ceux qui ont l'impression de trimer vont avoir un exutoire... Et en se défendant en répondant à ceux-là, comme si c'était eux qui avaient lancé le truc, "oui mais est-ce que tu accepterais ça?... Nous si... ", ça risque d'entretenir la séparation... lui, il peut être tenté de dire : "est-ce que tu accepterais de faire les trois 8 ?... alors viens pas me faire avec tes répétitions et tes déplacements".... Il me parait plus judicieux, dans cette circonstance comme dans une autre, de chercher ce qu'il peut y avoir de commun entre les gens pour qu'il puisse y avoir une vraie compréhension.... Par exemple des "....chômeur qui acceptent une PERPÉTUELLE recherche d'emploi à VIE comme un peu un condamné à perpet ? ...." il y en a, à qui on ne trouvera jamais de travail, qui ne sont pas forcement tout jeune, qui sont coincés dans des démarches perpétuelles et inutiles, et qu'on culpabilise de ne pas trouver de boulot.... En formulant les choses comme dans ton texte, sur ce point par exemple, tu exclus d'entrée les gens qui vivent cette situation. Et le terme "accepter" me semble malheureux aussi. Ce n'est pas parce que untel accepte telle chose inacceptable, qu'il faut que tout le monde l'accepte, ou accepte quelque chose d'équivalent. Formuler les choses ainsi, même si j'en suis certain ce n'est pas le but, c'est entretenir la course à l’acceptation. Il serait plus intéressant de faire le tour de tout ce qu'on accepte, individuellement et collectivement, d'en discuter, de voir ensemble si c'est judicieux et de chercher, ensemble encore une fois, des moyens de se libérer de ce qui ne l'est pas. Quelles situations pourraient naître de ce genre d'aventure ? Quand on est "IS", on devrait s'intéresser à ce genre de choses... Après, les histoires d'abus du statut, ce sont principalement les boîtes d'audio-visuel qui emploient des intermittents parce que ça leur coûte moins cher.... le reste n'est évidemment que de l’hypocrisie. Désolé d'avoir fait si long et pas forcément très clair.... Le sens de mon intervention est d'attirer ton attention (et pas que la tienne) sur le danger de se tromper d'ennemi, de faire gaffe à ne pas rentrer dans la stratégie de son ennemi (justement) ; et, au delà de ça, d'élargir les problématiques, plutôt que d'être centré sur "son petit problème d'intermittent". (Je formulerai la même chose pour n'importe quelle autre "catégorie". Ne nous enfermons pas et ne nous laissons pas enfermer dans des catégories.) Bien sûr, il s'agit d'une riposte parce que le statut est remis en cause, mais si ça se cantonne à ça, le risque est que les gens qui ont leurs propres problèmes se foutent des tiens. Qu'ils aient l'impression que les intermittents veulent juste que leur statut soit préservé mais qu'à part ça tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes..... If....
  21. Congratulation Blake Eduardo, tu vas pouvoir boire la bouteille pour fêter ça....
  22. Merci à vous pour les références. Je connaissais cette expérience mais n'ai pas vu le film (et n'ai pas encore eu le temps de le regarder) ; ce sera l'occasion de me repencher là-dessus. "La vague" m'avait également échappée, heureux reflux qui me la présente aujourd'hui. Le problème c'est toujours le temps.... Bonne journée...
  23. Hugh, Très chouette, très fluide, très joli. Je me suis bien laissé embarquer. D'accord avec Gilbus sur la petite "incohérence" "voyage/transformation-multiplication". En fait je ne me l'étais pas encore entièrement formulé, c'est en lisant le post de Gilbus que j'ai identifié le petit truc qui me gênait. Quand je dis "qui me gênait", c'est un bien grand mot, c'est juste que ça m'a un peu "décroché" l'espace d'un instant, mais vite repris par ta gestuelle assez envoûtante je trouve. A voir si d'autres ont cette impression, ça pourrait peut-être être une piste pour (encore) améliorer ton travail. C'est vraiment, autant que je puisse en juger, du très beau boulot. En tous cas j'ai vécu des instants magiques. J'aime beaucoup aussi, comme chrish, le "en deux temps" à la fin, enchaîné avec l'étalement. Seul petit bémol : je ne suis pas fan de la musique.... est-elle vraiment nécessaire ?... est-il nécessaire qu'il y ait de la musique ? Bravo en tous cas.
  24. Très beau livre, très intéressant. Même pour moi, qui suis une espèce de débutant, j'y trouve mon compte. D'abord, l'envie de travailler. Ce genre de livre est stimulant. C'est ce qui fait, quel que soit le domaine, qu'un livre est bon. Et donc, en plus d'être beau et intéressant, c'est un bon livre. Il y a des techniques que je "connais", et d'autres pas; des qui sont expliquées, d'autres pas. Ça fait cogiter, envie de chercher. Et comme, comme dans tout bon livre, il y a les références, y a moyen de chercher, ce qui en fait un très bon outil. Il intéresse, stimule, donne des outils, partage des réflexions, suggère des pistes. Et les tours se lisent comme des nouvelles, c'est aussi un plaisir de lecture. Dans un tout autre style, les livres de Duraty me font aussi cet effet. On a affaire là avec des auteurs à part entière. Ce qui est très agréable. Y a du boulot.
  25. Joli film. Bien écrit et pas mal réalisé du tout. Et bien interprété.
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