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Christophe (Kristo)

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Tout ce qui a été publié par Christophe (Kristo)

  1. Il parle d'échapper à la compétition pour la survie et à la prédation, et non d'échapper aux lois de la nature dans leur ensemble. Et échapper à cela, ce n'est pas se croire supérieur, c'est éventuellement au contraire se considérer à égalité avec les autres êtres sensibles. Donc, pour toi : tuer des animaux, c'est aimer la nature, et en faire partie à égalité avec tous les êtres vivants, et par contre, ne pas tuer d'animaux, c'est se placer au dessus d'eux, se croire supérieur. C'est vraiment pas sympa, pour ces animaux qui ne demandent qu'à être exterminés par leurs égaux, les humains. Pour résumer : si tu tues des animaux, c'est parce que tu les aimes beaucoup. Miam ! Il ne dit pas que la vie parasite est en danger ! Il dit "On est comme une plante parasite étouffant l'arbre qui la supporte." Le parasite met en danger le système qu'il parasite. Aujourd'hui, dans ma résidence, j'ai vu des buis parasités par la pyrale du buis, un petit papillon venu d'Asie. Ces buis sont en train de mourir. Melvin, tu raisonnes très souvent à l'envers, ou tu ne veux pas comprendre les choses simples qu'on t'explique. On est obligés de t'expliquer comme à un enfant, c'est fatigant, parfois... Quiz : saurez-vous retrouver Melvin sur ces dessins ?
  2. Pour tous les objectifs présentés, on voit qu'ils sont utiles même si on ne "croit" pas à l'hypothèse du réchauffement climatique : - isolation des logements - développement des énergies renouvelables - baisse de la consommation des véhicules à moteur à explosion Ces 3 objectifs permettraient de réduire notre consommation énergétique, donc de faire des économies, d'améliorer notre balance commerciale et de préserver les réserves pour l'avenir.
  3. Tous les magazines scientifiques refuseraient donc ce genre de tribune. Sans raison d'après toi? Ou bien, il y aurait une sorte de grand complot médiatique ?
  4. Et dans Valeurs Actuelles s'il vous plaît : une référence en la matière.
  5. ... qui est une chimère... C'est infaisable à grande échelle... J'ai l'impression que tu te répètes un peu, non ? Idem, une chimère. Plutôt que d'essayer de nettoyer des déchets, il vaut mieux arrêter d'en produire...
  6. Les conventions en question sont différentes suivant les pays... Aux USA on représente souvent l'Amérique au centre : En Chine avec l'Asie au centre : En Australie :
  7. Pour faire une face, tu n'as pas besoin de progresser beaucoup, si ?
  8. Ok bon on est entre nous, non ? On peut se lâcher un peu de temps en temps. Ceci dit, on nous met ce mot respect à toutes les sauces, mais toutes les idées ne sont pas respectables, ni toutes les personnes, on peut donc les traiter de nazes quand c'est nécessaire, ce qui n'est pas bien violent conviens-en. Mais tu as raison, plutôt que "ce naze de Ferry", j'aurais pu dire "ce Ferry aux idées souvent nazes", c'aurait peut-être été plus juste.
  9. Voilà un spectaculaire retournement de situation: ce n'était pas justement ce Bismuth (Paul de son prénom, pour être précis) qui avait dit "l'écologie, ça commence à bien faire" ?
  10. Ok et si ça peut te rassurer, j'ai eu aussi des cartes "classiques" et une mappemonde classique sous les yeux, avec les frontières et les noms des pays de l'époque. Et surtout, j'ai eu la chance de pouvoir voyager sur tous les continents (excepté l'Antarctique), pour pouvoir me faire une idée du monde.
  11. Pffh quel abruti... Il ne sait même pas aligner quelques mots sensés lorsqu'il est interrogé sur le Brexit, c'est surréaliste : On rigole bien : Une explication de la linguistique Trump :
  12. Un article du NY Times à ce sujet : https://www.nytimes.com/2018/01/19/health/trump-cognitive-screening-dementia.html
  13. Oui très intéressant d'entendre ce naze de Ferry alterner les âneries (très peu artistiques cette fois) et les fulgurances d'esprit et se contredire autant de fois en si peu de temps. Pour le réchauffement climatique, il parle d'effet de cliquet (donc effet irréversible), mais dit qu'il n'y a "pas d'urgence". Il parle de la crise des matières premières non renouvelables en disant qu'on "se heurte à un véritable mur en 2025 ou 2030 c'est à dire tout de suite" et donc que "le développement n'est pas tenable, la croissance mondiale est intenable" (il faudrait "4 planète pour alimenter la Chine" si les Chinois ont autant de voitures par habitant que nous autres occidentaux) puis dit que "la décroissance est impossible" sans comprendre que si on ne l'organise pas, elle s'imposera à nous. Il dit que "la décroissance c'est chômage, faillites d'entreprises etc" sans avoir une seconde réfléchit au fait que la croissance actuelle depuis des dizaines d'années, avec tous nos boulots remplacés par des machines, a justement entraîné chômage et faillites d'entreprises en série. Puis il dit que "la croissance verte ça a du sens" et "on peut même avoir une croissance dépolluante" et là on commence à rire sans pouvoir s'arrêter... mais on rit vert.
  14. Alors ça : ça m'étonne ! Que vous n'ayez pas encore parlé des Planisphères renversantes ? C'est quand même la meilleure carte du monde, non ? Je l'ai eu sous les yeux pendant des années... Et elle a été rééditée récemment... L'explication est ici. En résumé : Le mode de projection retenu est celui d’Arno Peters qui repose sur une représentation mathématique précise où les proportions des surfaces sont enfin exactes, ce qui évite également aux continents du Sud d’être arbitrairement réduits. Le choix du centrage de la carte a été fait sur le continent africain, berceau de l’humanité. (...) Cette carte insiste (...) sur ce que les planisphères géopolitiques ont tendance à vouloir effacer : les peuples. Même s’ils paraissent innombrables sur ce dessin, bien des peuples y manquent pourtant encore.
  15. En effet, rien à voir. Il y a des ânes qui sont de grands artistes. Enfin, il y en a eu un : Boronali ! Un grand peintre qui a bluffé tous les critiques d'art à Montmartre !
  16. J'ai essayé un samedi soir de fièvre, mais en général on me laisse pas entrer en boîte. Surtout je suis pas sûr d'être très artistique, et encore moins comestible. Même si je n'ai pas encore dépassé la date limite de consommation, je crois.
  17. Pourquoi est-ce plus fort ? Si une éolienne a un problème, on n'a pas besoin d'évacuer toute la région pour des décennies... On répare et basta. Parce que ça se vend pardi ? Parce qu'il y a des gens assez kons pour acheter... certaines oeuvres pour des millions d'ailleurs...
  18. En effet, c'est joli toute cette fumée. Plein de couleurs.
  19. « Si les abattoirs avaient des vitres, on serait tous végétariens » « Le temps des charcutiers végétariens », un entretien de Jonathan Duong avec Benoît Bréville 17 juillet 2018 - « Si les abattoirs avaient des vitres, on serait tous végétariens. [1] » Cette phrase, on la doit à l’ancien Beatles Paul McCartney, végétarien et soutien actif de l’association PETA, « Pour une éthique dans le traitement des animaux ». Depuis le XIXème siècle, la consommation de viande a été multipliée par quatre en Europe [2]. Autrefois signe de distinction et d’aisance matérielle, la viande a aujourd’hui changé de camp, et les classes populaires en consomment désormais plus que la bourgeoisie [3]. Pour encourager cette consommation, l’industrie agroalimentaire n’a cessé d’augmenter la productivité et les rendements, pour produire toujours plus et à moindre coût. La conséquence, c’est que les abattoirs industriels se sont transformés en usines de torture à la chaîne, régulièrement dénoncées par les militants de la cause animale, comme l’association L214. L’antispécisme, qui veut mettre fin à l’exploitation des espèces animales par l’espèce humaine, reprend du poil de la bête. La Confédération française de la boucherie, boucherie-charcuterie, traiteurs s’inquiète : les actions contre les commerces de viande se multiplient en France, par des militants animalistes qui s’en prennent aux vitrines et répandent du faux sang. Pendant ce temps, les multinationales de la viande sentent le vent tourner et sautent sur le cheval : si la viande n’a plus la cote, fabriquons des steaks sans viande ! Ça a la couleur de la viande, ça a le goût de la viande, mais ça n’est pas de la viande : c’est un savant mélange de dizaines d’ingrédients plus ou moins naturels concocté en laboratoire. Et si les usines de la foodtech avaient des vitres, serait-on tous végétariens ? Un entretien de Jonathan Duong avec Benoît Bréville, rédacteur en chef adjoint du Monde diplomatique. A écouter ici (là-bas, en fait) en accès libre
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