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Publié le (modifié)

Dans "notre histoire de la magie" il y a énormément de documents gravures... et donc il est difficile de faire un choix. Ils revendiquent beaucoup de documents inédit...Certes il y en a beaucoup surtout la partie 19 ème et 20 ème...

Je trouve un peu dommage de ne pas citer les sources des documents (musées..collection...)

Ils ont par exemple mis le tableau (de la collection de Volker Huber - Le magicien et le poisson sur la table) que peu de magicien connaisse à mon avis... ..C'est est un des tableaux les plus ancien représentant un magicien ... mais pourquoi omettre Le "Garden of love" de Francesco Giovani di Toscani qui est LE tableau le plus ancien connu à ce jour (1420)....

Pour ceux qui était à Vannes au congrès FFAP, Ils ont pu voir une magnifique copie de la partie droite du tableau...

Idem pour l'ouvrage le plus ancien contenant des gravures de magicien (incunable de 1488)... plus encore d'autres exemples...

(en cadeau dans le livre de Fanch Guillemin glissé dans la valise du mêle congrès FFAP...

pour ceux qui désirent un aperçu des documents cités.. je les ai publier sur facebook... Stéfane Laurens...

mais j'ai peut être sauté une ou deux pages dans les 650....

je dois le relire en janvier après le "chaud" de décembre....

mais c'est quand même à acheter les yeux fermé...

Modifié par Stéfane Laurens

" L'illusion est le premier de tout les plaisirs"

Voltaire

  • 1 month plus tard...
  • 3 années plus tard...
Publié le

J'ai acheté ce livre (épuisé depuis quelque temps déja) il y a quelques jours pour une bouchée de pain , et vraiment, c'est un des plus beaux livres que j'ai jamais vu, et il trône fièrement dans ma bibliothèque.

La qualité est irréprochable, les images magnifiques, bref, je manque de superlatifs.

Je ne sais pas ce que donne la nouvelle édition en taile réduite, mais à mon avis, foncez!

Publié le (modifié)

est-ce qu'on a perdu des choses entre les deux ?

J'ai lu ou entendu quelque part qu'il y aurait moins d'images et de photographies.

Mais ne retrouvant plus la source, je n'y mettrai pas ma main à couper !

Je suis certain que quelqu'un te donnera une réponse précise !

Modifié par Wunha
Publié le
Salut à tous,

vous devez savoir qu'il vient d'être réédité

Y a t il des différences entre les deux versions ?

Réédition : 544 pages

Original : 650 p.

est-ce qu'on a perdu des choses entre les deux ?

merci d'avance

Etant donné que la réédition est en "taille réduite", je pense que cela doit simplement être une nouvelle mise ne page.

Des photos ou affichent qui tiennent sur une double page sur le gros doivent par exemple ne tenir que sur une sur le petit...

Publié le
Livre trés pratique à lire aux toilettes....et en plus, j'ai du refaire toute ma bibliothèque pour pouvoir le mettre debout sur chant avec tous les autres livres...

Moi je viens de le commander. Est ce qu'il est plus efficace que du bicarbonate de sodium et pouvons nous l'utiliser en lieu et place du tabouret pour faire caca ?

  • 4 months plus tard...
Publié le (modifié)

Suite à un achat récent de Gérard BAKNER, je viens de me rendre compte que ce livre lancé à 150€ était disponible désormais pour 50€ frais de port inclus, directement chez l'éditeur !

Pour mémoire, il est relié sous coffret, 25,2 x 38,2 cm et comporte 544 pages.

Cela ne fait même pas 10 centimes la page de bonheur ! ;)

Je viens donc de le commander immédiatement (et en plus il prenne Paypal) ! :)

Si cela vous intéresse, c'est chez Taschen

Modifié par mathieu

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  • Messages

    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
    • Merci beaucoup @Sébastien MACAK (Splitter). 🙏
    • Apparitions de Guadalupe : des preuves matérielles qui désarment la science :  
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