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Publié le

J'aurais pu titrer "Double deception, comme son nom l'indique".

Reçu ma commande ce matin de la boutique US de Mark Mason.

Quinze jours de délai de livraison, correct. Une enveloppe, le gimmick et une carte avec un lien pour aller visualiser la vidéo. Je me connecte pour regarder la vidéo, ça rame à mort et surtout ça ne démarre pas. Je vois un bouton Download, je me dis que je vais télécharger la vidéo pour la regarder en local, c'est idem.

J'ai l'impression d'être revenu en ADSL (pour info ici on a une fibre très musclée). Je ne sais pas quand je vais pouvoir regarder la vidéo, mais je sais que Mark Mason va entendre mon coup de gueule depuis Brest.

On comprends qu'un lien en ligne ça coûte moins cher que de donner un DVD à chaque client. Encore faut-il que le serveur de l'autre côté de l'atlantique soit à la hauteur.

Pas content du tout, donc.

Hervé

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Publié le

J'ai acheté le set de pièces oui. Ici on pète du gros débit (940Mbps en down) et ça rame, ça rame... Bref, je ne doute pas un instant de la qualité des produits de Mark Mason, mais je suis un poil déçu !

Publié le

Au contraire @Mickaël ! C'est depuis le tram qu'on a du réseau ! Pour la petite histoire, Mark Mason m'a répondu immédiatement (la classe à Daoulas). Et bizarrement la vidéo a démarré entre temps. Bref, tout va bien.

Et mollo sur le kouign amann, si je peux me permettre 😉

  • Haha 2
Publié le
il y a 8 minutes, Hervé LG a dit :

Au contraire @Mickaël ! C'est depuis le tram qu'on a du réseau ! Pour la petite histoire, Mark Mason m'a répondu immédiatement (la classe à Daoulas). Et bizarrement la vidéo a démarré entre temps. Bref, tout va bien.

Et mollo sur le kouign amann, si je peux me permettre 😉

C'était pour la petite blague, camarade de la fin de la terre 😉

Et non, c'est trop bon le kouign amann 😃 j'aurais mieux fait de me casser une jambe le jour (le mois en fait) où j'ai appris à le faire !

Publié le
il y a 6 minutes, Mickaël a dit :

C'était pour la petite blague, camarade de la fin de la terre 😉

Et non, c'est trop bon le kouign amann 😃 j'aurais mieux fait de me casser une jambe le jour (le mois en fait) où j'ai appris à le faire !

En français on dit Finistère (la fin de la terre). En breton on dit Penn ar Bed (le début du monde). Comme en magie, tout est donc une question de point de vue.

Publié le
il y a 49 minutes, Hervé LG a dit :

J'aurais pu titrer "Double deception, comme son nom l'indique". Reçu ma commande ce matin de la boutique US de Mark Mason. Qunze jours de délai de livraison, correct. Une enveloppe, le gimmick et une carte avec un lien pour aller visualiser la vidéo. Je me connecte pour regarder la vidéo, ça rame à mort et surtout ça ne démarre pas. Je vois un bouton Download, je me dis que je vais télécharger la vidéo pour la regarder en local, c'est idem. J'ai l'impression d'être revenu en ADSL (pour info ici on a une fibre très musclée). Je ne sais pas quand je vais pouvoir regarder la vidéo, mais je sais que Mark Mason va entendre mon coup de gueule depuis Brest.

On comprends qu'un lien en ligne ça coûte moins cher que de donner un DVD à chaque client. Encore faut-il que le serveur de l'autre côté de l'atlantique soit à la hauteur.

Pas content du tout, donc.

Hervé

Je suis surpris.  Il peut y avoir un incident de serveur momentané aussi ?

Une remarque, tu peux aussi commander sur la boutique UK de Mark Mason, ça peut être plus rapide en livraison et moins dangereux en frais de douanes éventuellement.

En tout cas bon visionnage et bon amusement avec Double Deception. 

Publié le

Pour la petite histoire, j'ai envoyé un email au site de Mark Mason et c'est Mark Mason himself qui m'a répondu. Il y a eu un problème de connexion, le download était impossible. Bref, j'ai finalement réussi à regarder la vidéo en partie et découvrir le gimmick merveilleux pour reprendre l'expression de @Olivier (Thyl) !

Pour info @Fredzik j'ai passé ma commande sur le site UK pour payer en £ et en me disant que ça viendrait plus vite de UK que de US. C'est venu de Floride et j'ai donc mangé mes 15 jours de délai ! 

Publié le (modifié)
il y a une heure, Jon SPADE a dit :

Juste une question au niveau solidité de la chose. Dur à changer si l’e******** casse ?

Et s'il n'y en a pas ? 😉 

(Comprendre "s'il n'y en a pas besoin" : c'est censé être suffisamment solide...)

Modifié par Christian GIRARD
Pas assez clair dans ma première réponse !
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    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
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