Aller au contenu
Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !

Recommended Posts

Publié le
il y a 22 minutes, 16 art a dit :

Et avoir confiance en sa petite voix intérieure.

Heureusement je ne dis pas ça à mes patients, ce serait un beau bordel cataclysmique mdr

Je vais jusqu'où je suis. Je n'y suis pas encore.

 - Je suis plus intelligent que vous, Laissez-moi vous fournir un exemple... Pensez à un chiffre, n'importe lequel
- Euh, cinq  ...
- Faux. Vous voyez ?
mdr

Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
Publié le
il y a 18 minutes, 16 art a dit :

Et avoir confiance en sa petite voix intérieure.

Oui, enfin attention : si elle te dit des trucs bizarres, demande un deuxième avis quand même, hein ! xD

  • Haha 1

L'important, c'est que ça valide !

Publié le
il y a 5 minutes, 16 art a dit :

Il parait qu'il faut être un peu fêlé pour laisser passer la lumière ;)

oui un peu, les miens souvent des passoires mdr

Je vais jusqu'où je suis. Je n'y suis pas encore.

 - Je suis plus intelligent que vous, Laissez-moi vous fournir un exemple... Pensez à un chiffre, n'importe lequel
- Euh, cinq  ...
- Faux. Vous voyez ?
mdr

Publié le

Je pense que la majorité des techniques de magie existe déjà. Voire peut-être même toutes.

 

Idem pour les effets.

 

Ce qui va varier en revanche c'est la façon de le présenter. Pour la simple et bonne raison qu'on est tous différents, même si j'ai déjà vu des vidéos Youtube avec une reprise MOT POUR MOT du texte d'origine (comme "le jeu qui se mélange tout seul" de Duvivier présenté par un ado).

 

On peut aussi "bricoler" à partir de techniques/tours déjà existant.

 

Tout dépend aussi ce qu'on recherche, je me suis magistralement fait avoir par un superbe e******** par @lebel tout à l'heure !

J'ai aussi été bluffé par une magnifique d**** en s***** par un des vendeurs du Petit magicien.

 

Faiseur de trucs et de bidules.

Publié le (modifié)
Il y a 3 heures, Magic-Tony a dit :

Je pense que la majorité des techniques de magie existe déjà. Voire peut-être même toutes.

  

Idem pour les effets

Oulala, doucement, tu ne vas pas te faire que des amis toi.

Modifié par Niels PoP's
  • Haha 2
Publié le

Cher Tony

si à 16 ans, tu penses que tout à déjà été inventé, effets et méthodes, tu vas vite t'embêter... certes les bases solides resteront, et serviront, comme toujours de tremplin à d'autres, qui renouvèleront cette si géniale magie....

Des Yann Frisch, des Arthur Chabaudret , des Dani da Ortiz, des Hector Mancha, et tant d'autres font des travaux remarquables dans ce sens, ... c'est un peu comme la cuisine.....si un apprenti de 16 ans pense que tout a déjà été inventé... il restera surement dans sa tite cuisine.... mais il y a eu des Guérard, des Gagnaires, des Passart, des Troisgros, des Chapel, et maintenant tous les petits nouveaux de plus en plus géniaux (souvent)....

Bien sûr, les bases sont les même, comme il n'y a que 7 notes de musique... mais que de chemins variés, et sans cesse renouvelés....

et César, seize Art, la vraie phrase est:  Heureux soient les fêlés, car ils laissent passer la lumière...

Michel Audiard

vous raconterais le reste plus tard...

bonne soirée

Gaetan

  • J'aime 8
  • Merci 1
Publié le

La création ne peut venir qu'après avoir appris. Et même par la suite, quand on est pro, on apprend tous les jours.

Par contre, une fois que les techniques, méthodes, systèmes sont assimilés, pour moi il est hors de question de reproduire les routines que j'ai apprises dans mes prestations pros.

Les motivations pour la création est pour moi tout à fait simple. Je ne veux pas que d'autres reproduisent ce que je fais et je n'ai pas envie de faire ce que d'autres font.

Et en plus, il y a quand même une satisfaction intellectuelle à finaliser la création d'une routine unique.

Par exemple, j'ai complètement refondu Trilogy et le fait totalement différemment que tous les autres magiciens. Je créé aussi mes propres routines basées sur un chapelet par exemple.

Je pense que reproduire c'est bien au début mais quand on performe, il vaut mieux ses propres créations. Mais je continue de penser que l'apprentissage ne s'arrête jamais.

  • J'aime 3
  • Merci 1

Thierry Périchon
http://www.moonlightanimations.fr
 

Publié le

Bien que non-professionnel, je suis entièrement d'accord avec Moonlight sur le fait que l'apprentissage est perpétuel :) Pour parler de mon cas personnel, en tant que cartomane, je trouve important et intéressant de connaître les grands classiques (Twisting the Aces par exemple), mais comme dit précédemment, c'est un beau cheminement que de créer ses propres routines, ceci afin de se démarquer des autres ou tout simplement dans une recherche d'un effet particulier.

Effectivement, la création passe d'abord par l'apprentissage (notions psychologiques, stock technique) mais un point, à mon sens fondamental, réside également dans le boniment du tour. Évitons de copier mot pour mot, mettons-y de notre personne, créons afin de croire pleinement à notre effet nous aussi ;) 

  • J'aime 1
  • Merci 1

Damien

"Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait." - Mark Twain

Rejoins la conversation !

Tu peux publier maintenant et t'enregistrer plus tard. Si tu as un compte, connecte-toi maintenant pour publier avec ton identité.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Restaurer la mise en forme

  Only 75 emoji are allowed.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédemment saisis, a été restauré..   Effacer le contenu

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.



  • Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
  • Messages

    • A défaut, il te suffit de présenter n'importe quelle routine de ton répertoire à tes spectateurs pour que ceux-ci puissent expliquer par la suite qu'ils ont vu un tour de Pierre (et à une lettre près, on n'est pas si loin de la demande initiale. Sans que cela ne te coûte un centime. Merci qui 😜 ?)
    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
  • Statistiques des membres

    • Total des membres
      8227
    • Maximum en ligne
      4524

    Membre le plus récent
    Niranjan SHIVARAM
    Inscription
  • Statistiques des forums

    • Total des sujets
      84k
    • Total des messages
      679k

×
×
  • Créer...