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Le dernier épisode des Meilleurs Jeux Marqués de @Sébastien FOSSAT est enfin en ligne !

Quatrième étape et on passe au cran au-dessus. Les jeux que voici vous offrent de jouer au chapelet... sans avoir besoin de l'apprendre !

Le S.U.M. Deck, The Code et le Marksman Deck donnent d'autres indications, et permettent, entre autres, de réaliser sans mémorisation tous les effets possibles du Mnemonica.

Découvrez vite qui remporte la coupe https://www.virtualmagie.com/articles/tests/matos/les-meilleurs-jeux-marques-episode-4-jeu-marque-phoenix-s-u-m-deck-2-0-the-code-marksman-deck/

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Publié le

Effectivement le nouveau S.U.M. Deck (appelé temporairement S.U.M. 2) en cartes Phoenix de CardShark est une pure merveille. Basé sur le stack Mnemonica, il permet son utilisation en donnant l'identité de la carte précédente, le rang de la carte dans le stack, la valeur de la carte, le nombre de cartes coupées, le nombre de cartes noires coupées et l'orientation de la carte de dos et de face. Le rang de la carte et le nombre de cartes coupées ne sont toutefois pas visibles de loin.

En découpant une petite fenêtre en haut à droite de l'étui (en suivant les lignes) et en laissant le cellophane, une carte coupée et insérée n'importe où par le spectateur permet de connaître l'identité de cette carte. Et c'est invisible.

 

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Citation
Quand on veut on peut.
Publié le (modifié)

@Thomas

Citation

permettent, entre autres, de réaliser sans mémorisation tous les effets possibles du Mnemonica.

A ma connaissance le seul moyen de pouvoir instantanément savoir où se trouve dans un jeu qui paraît mélangé une carte nommée par un spectateur, c'est soit d'utiliser un chapelet apériodique (qu'il faut mémoriser donc), soit d'utiliser une formule mathématique (mais dans ce cas, c'est rarement instantané... à moins qu'on soit comptable 🙂

Modifié par Laurent KUBASKI (Lorenzo)

Lorenzo E.M

Publié le
il y a 9 minutes, Laurent KUBASKI (Lorenzo) a dit :

@Thomas

A ma connaissance le seul moyen de pouvoir instantanément savoir où se trouve dans un jeu qui paraît mélangé une carte nommée par un spectateur, c'est soit d'utiliser un chapelet apériodique (qu'il faut mémoriser donc), soit d'utiliser une formule mathématique (mais dans ce cas, c'est rarement instantané... à moins qu'on soit comptable 🙂

C'est une citation de @Sébastien FOSSAT ! 🙂

Du coup, je le laisse te répondre.

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Publié le
il y a 53 minutes, Laurent KUBASKI (Lorenzo) a dit :

@Thomas

A ma connaissance le seul moyen de pouvoir instantanément savoir où se trouve dans un jeu qui paraît mélangé une carte nommée par un spectateur, c'est soit d'utiliser un chapelet apériodique (qu'il faut mémoriser donc), soit d'utiliser une formule mathématique (mais dans ce cas, c'est rarement instantané... à moins qu'on soit comptable 🙂

Je pense que Laurent a raison, j'aurais dû dire "une grande partie des effets possible du Mnemonica" !😅

Dans ma conclusion, j'insiste d'ailleurs sur tout le bien que je pense de connaître un chapelet, et en particulier celui de Tamariz. C'est en effet la seule façon, comme le dit Laurent, de connaître immédiatement la position dans le jeu d'une carte nommée.

Mais, si on choisit "physiquement" une carte, les chapelets spécifiquement marqués permettent de connaître son nom, sans mémorisation, et sans être obligé de regarder secrètement de la face de la carte située juste avant ou après la carte choisie.

Et si le marquage donne des informations supplémentaires, comme pour la Marksman Deck, vous avez des possibilités d'effet supplémentaires, et toujours sans le stress de la mémorisation.

Les jeux marqués non spécifiques (BW, Maiden, etc.) vous autorisent aussi à réaliser des effets initialement décrits pour les chapelets, mais avec un jeu mélangé par le spectateur ! J'adore en particulier All of a Kind, p. 94 du livre de Tamariz : dans cette routine, le chapelet ne sert qu'à trouver plusieurs cartes en se servant de leur position ; avec un jeu marqué, vous les retrouvez par lecture du marquage...

Pour ma part, j'utilise un jeu marqué non spécifique (et pas cher, pour pouvoir faire signer, faire un Card Warp, un T'n'R,...), organisé en Mnemonica que je connais, et j'ai donc accès au meilleur des deux mondes, sans jamais être obligé de regarder plus ou moins discrètement la face des cartes...😉

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Publié le
Il y a 2 heures, Laurent KUBASKI (Lorenzo) a dit :

@Thomas

A ma connaissance le seul moyen de pouvoir instantanément savoir où se trouve dans un jeu qui paraît mélangé une carte nommée par un spectateur, c'est soit d'utiliser un chapelet apériodique (qu'il faut mémoriser donc), soit d'utiliser une formule mathématique (mais dans ce cas, c'est rarement instantané... à moins qu'on soit comptable 🙂

Tout à fait d'accord. La mémorisation c'est l'idéal. Par contre il faut être très sûr de soi et pratiquer souvent, pour risquer un sans faute en public. Sinon la solution, en dehors des jeux marqués, reste un chapelet à calcul. J'en ai essayé plusieurs, pour choisir définitivement celui de Bart Harding. 100 % indétectable, il nécessite juste un petit calcul mental simple, relativement rapide à faire. Là aussi il y a ceux qui possèdent une mémoire sans faille et qui préfèrent la mémorisation, c'est normal. Et ceux qui peuvent calculer aisément et rapidement mentalement et qui préfèrent le calcul. À chacun ses préférences. Avec de l'habitude, le calcul mental est vraiment très rapide et il est rarement nécessaire de devoir identifier une carte à la vitesse de la lumière. Sauf pour égrener un chapelet, mais est-ce vraiment utile ? Dans ce cas un chapelet marqué est tout aussi efficace.

Mais il y a mieux : en pratiquant le chapelet calculé, je me suis rendu compte qu'à la longue certaines cartes se mémorisaient toutes seules. Et que d'autre part certaines particularité permettaient d'en mémoriser d'autres, sans effort. C'est ainsi qu'environ la moitié du chapelet Bart Harding s'est auto mémorisé pour moi. Une chance sur deux d'avoir besoin de le calculer, avec en plus la possibilité d'avoir recours au calcul en cas de doute.
Si, en plus, on utilise un jeu marqué très discrètement et visible de loin (non marqué en chapelet), comme DMC, nul besoin de regarder la face des cartes et là les possibilités deviennent vraiment intéressantes.

Mais, une fois encore, la mémorisation c'est ce qu'il y a de mieux.

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Quand on veut on peut.
Publié le (modifié)
Il y a 2 heures, Sébastien FOSSAT a dit :

Je pense que Laurent a raison, j'aurais dû dire "une grande partie des effets possible du Mnemonica" !😅

Là encore, c'est restreindre l'utilisation d'un chapelet à la prise de  connaissance de l'identité d'une carte choisie ...

Si la carte est pensée par exemple,  comme pour un ACAAN,  le marquage ne sert pas à grand chose 😉 

Modifié par Frédéric NOWACKI
Publié le
il y a 18 minutes, Frédéric NOWACKI a dit :

Là encore, c'est restreindre l'utilisation d'un chapelet à la prise de  connaissance de l'identité d'une carte choisie ...

Si la carte est pensée par exemple,  comme pour un ACAAN,  le marquage ne sert pas à grand chose 😉 

Là encore, c'est restreindre l'utilisation du chapelet à la découverte d'une carte... 🤣😉

  • Haha 5

Circulez !

Publié le
il y a 26 minutes, Frédéric NOWACKI a dit :

Là encore, c'est restreindre l'utilisation d'un chapelet à la prise de  connaissance de l'identité d'une carte choisie ...

Si la carte est pensée par exemple,  comme pour un ACAAN,  le marquage ne sert pas à grand chose 😉 

Nous disions, et @Laurent KUBASKI (Lorenzo) en premier, que le chapelet était la seule façon, non pas de prendre connaissance de l'identité d'une carte choisie, mais de connaître immédiatement la position dans le jeu d'une carte nommée... indispensable pour un ACAAN (pour certaines versions en tout cas) !

Et associer un marquage à la connaissance du chapelet peut permettre de repérer l'endroit où tu vas devoir couper pour amener la carte pensée à la bonne position, sans avoir à regarder la face des cartes.

En général, après avoir fait nommer carte et nombre, après avoir fait mon petit calcul pour savoir où couper, j'étale le jeu en main, face en bas, racontant que personne ne peut savoir où se trouve la carte nommée, bla bla ; connaissant mon chapelet, je sais grossièrement dans quelle partie du jeu va se faire la coupe, et je repère donc très vite la carte que je dois amener sur le dessous ; je referme l'étalement, break sous celle-ci, Turnover Pass en donnant le jeu au spectateur qui va pouvoir distribuer  jusqu'au nombre choisi...

Le meilleur des deux mondes...

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Publié le
Il y a 3 heures, Sébastien FOSSAT a dit :

Nous disions, et @Laurent KUBASKI (Lorenzo) en premier, que le chapelet était la seule façon, non pas de prendre connaissance de l'identité d'une carte choisie, mais de connaître immédiatement la position dans le jeu d'une carte nommée... indispensable pour un ACAAN (pour certaines versions en tout cas) !

Et associer un marquage à la connaissance du chapelet peut permettre de repérer l'endroit où tu vas devoir couper pour amener la carte pensée à la bonne position, sans avoir à regarder la face des cartes.

En général, après avoir fait nommer carte et nombre, après avoir fait mon petit calcul pour savoir où couper, j'étale le jeu en main, face en bas, racontant que personne ne peut savoir où se trouve la carte nommée, bla bla ; connaissant mon chapelet, je sais grossièrement dans quelle partie du jeu va se faire la coupe, et je repère donc très vite la carte que je dois amener sur le dessous ; je referme l'étalement, break sous celle-ci, Turnover Pass en donnant le jeu au spectateur qui va pouvoir distribuer  jusqu'au nombre choisi...

Le meilleur des deux mondes...

Je fais exactement la même chose, avec des cartes DMC rangées en chapelet Bart Harding. Ou bien en promenant un pendule sur les cartes, pour le faire mettre en mouvement au-dessus de la carte choisie.

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    • C'est génial, c'est vraiment une madeleine de Proust pour beaucoup d'entre nous! Les plus grincheux se poseront la question de rendre accessible à un grand nombre (le tirage de Pif était d'un demi-million d'exemplaires!) des tours qui parfois sont la miniaturisation de grandes illusions. Est-ce là livrer des secrets à une énorme quantité de moldus? Quoi qu'il en soit, PIF a constitué à intéresser toute une génération à l'émerveillement de moments magiques dans les cours de récréations ou en famille. Ce sont des joyeux souvenirs. p.s.: pour rappel Pif était à l'époque financé par le parti communiste dans l'optique de concurrencer les grands Comics impérialistes étasuniennes (DC, Marvel mais aussi le journal de Mickey et Picsou magazine).
    • Les personnages passent de 15 à 14. On pourrait néanmoins articuler une histoire inspirée d’un thème folklorique que j’ai découvert lors d’un voyage en Islande, celui des 13 lutins de Noël (en islandais : jólasveinarnir ou jólasveinar) car « leur nombre et leur description a d'abord beaucoup varié suivant les localités, chaque lutin pouvant être considéré comme un simple farceur ou un monstre mangeur d'enfants » :  https://fr.wikipedia.org/wiki/Lutins_de_Noël Notez ceci : « Après la crise financière de 2008, les Islandais se sont inventé un nouveau lutin, Kortaklippir, qui s'amuse à couper les cartes bancaires des gens un peu trop dépensiers ». Ce qui porte le total des lutins à 14. 
    • C'est justement la question! Le postulat est que s'il n'y a pas de conscience alors il n'y a pas de temps tel que nous le concevons. "Pas de temps sans conscience" est un axiome philosophique depuis Kant jusqu'à Daniel Tchapda Piameu en passant par Bergson: nous ne pouvons concevoir le temps QUE parce que nous avons une faculté de conscience qui nous permet de percevoir et d'organiser les phénomènes temporels. Et donc l'interrogation est comment se peut-il qu'en l'absence de sujet doté d'un cerveau et donc en l'absence de conception du temps, le temps soit "advenu" ....sachant évidemment qu'il n'existait pas au moment du Big Bang puisque les lois de la physique telles que nous les comprenons (y compris le temps) n'y existaient pas. Par conséquent, je ne trouve pas que l'association conscience/temps soit si alambiquée et je trouve la question assez essentielle pour un agnostique comme moi. De là à y apporter une réponse... 😅
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