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Publié le
il y a 36 minutes, 16 art a dit :

Une mise en scène liée à la Magie doit être associée, visant l'esprit, et étant un don du magicien. De même qu'on est obligé de faire pour qu'il y est Magie, il doit falloir une forme et un fond.

Je comprend bien chaque partie de ta phrase, mais je bloque un peu sur sa teneur globale...

Tu pourrais développer, ça me semble intéressant... :)

Gilbus

  • Haha 1

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

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Publié le

A mon temps perdu, je cherche à diviser ma conception des choses sous différents angles. Je ne veux plus savoir ce que je crois/ressens/vis "vrai", mais je m’intéresse à la conception des autres.

Je me dis qu'on ne peut pas séparer la Tête (réflexion), le Cœur (émotion), et l'Expérience (spiritualité, philosophie). Je cherche alors à viser des sensibilités que je ne peut toucher (l'esprit du public) de par mes limites, avec ma propre expérience (don).

Pour cela, il m'a fallu conscientiser mes limites, et chercher à les mettre en forme pour parler au public qui est forcément différent de moi. Le fond étant ce que je suis, et la Magie que je peux créer. Faire est l'action de vouloir partager.

La mise en scène est ma démarche pour que mon moi communique au mieux avec le moi du public.

  • J'aime 1

OSEApprendre Objectif, Système, Expérimente 🧠🎈🌈

Publié le
Il y a 7 heures, 16 art a dit :

...

Je me dis qu'on ne peut pas séparer la Tête (réflexion), le Cœur (émotion), et l'Expérience (spiritualité, philosophie). Je cherche alors à viser des sensibilités que je ne peut toucher (l'esprit du public) de par mes limites, avec ma propre expérience (don).

...

Et si on disait que l'émotion magique vient de l'expérience d'une réflexion impossible?

Gilbus

  • J'aime 1

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

  • 4 années plus tard...
Publié le (modifié)
Il y a 2 heures, Michael VESSEREAU a dit :

Quel beau sujet @Gilbus. Je suis étonné qu'il se soit terminé si vite... Je relance, on ne sait jamais... 

Arf, tu en veux encore ? 

Ben, par exemple, on peut se poser la question sur les moyens de construire la magie dans l'esprit du spectateur...

Basiquement, il y a bien sûr la technique magique, qui permet de montrer le phénomène impossible... 

Je dis "Basiquement" , car c'est sans doute l'aspect le moins important. 

O, l'exécution doit être bonne, bien sûr, mais ce n'est pas le point principal : c'est ce qui se passe dans les mains du magicien, ce n'est pas de la magie avant d'arriver dans l'esprit du spectateur.. 

Il y a ensuite plusieurs niveaux "contextuels" :

Sommes nous en spectacle avoué, ou dans une démonstration impromptue, ou dans une action qui n'était pas sensée avoir de spectateurs ? 

Dans chacun de ces cas, le point de départ de l'expérience du spectateur est différente. 

Et le chemin qu'on lui fera parcourir sera différent. 

Autre niveau de contexte : la relation entre magicien et spectateur. 

Nous savons tous que faire naître la magie dans l'esprit de nos proches est plus difficiles qu'avec des inconnus, car nos proches savent bien combien nous sommes "ordinaires". 

Cela bride l'imagination du spectateur, qui est un allié puissant pour le magicien. 

De la même façon, un "magicien" réputé ne peut faire que de la belle magie bien truquée. 

C'est pour cela que beaucoup deviennent mentalistes, hypnotiseur ou acteurs : le terme même de "magicien" est tellement entaché de "trucs" qu'il faut ramer pour faire naître de l'impossible dans l'esprit des gens, car il y a toujours l'explication "il y a un truc"... 

Il y a différentes méthodes pour passer cet écueil du truc, naturellement... 

Ensuite, on a les différents degré de communications avec le spectateur (le scénario, le ton, le personnage, l'aspect corporel, la confirmation par le groupe, la crédibilité et la cohérence etc... La liste et longue, et chaque point mérite d'être réfléchi...) , et les différents degrés de réalité de l'expérience : dans un contexte de spectacle, par exemple, on a la connaissance qu'on est "au spectacle", que l'on regarde un acteur(au sens large...), donc on voit le personnage, l'acteur qui est derrière, et ce que cherche à nous faire croire le personnage ET l'acteur. 

On peut donc ajouter un personnage intermédiaire : l'acteur joue un personnage, mais l'acteur que va percevoir le spectateur derrière le personnage est à son tour un personnage qui est chargé de convaincre un peu plus le spectateur... 

Et ainsi de suite, les moyens de faire en sorte que le spectateur construise la magie dans son propre esprit peuvent être un bon moyen de continuer la discussion, si ça vous tente... 😉

Gilbus

Modifié par Gilbus
  • J'aime 5

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

Publié le (modifié)

 

Le 28/12/2017 à 11:11, Gilbus a dit :

Contrairement aux autres arts qui font appels à la suspension du refus de croire, la magie, elle s’en fiche :

Elle fait des miracles dans la vraie vie.

Tout magicien doit néanmoins un jour ou l'autre se pencher (sans tomber) sur cette fameuse « suspension consentie de l'incrédulité ». Pour ceux que ça intéresse, j'ai écrit un préambule de six pages dans Retour aux sources sur ce sujet, avec des données historiques mais aussi quelques réflexions connexes, sous-titré :

« 1817 – Suspension consentie de l'incrédulité et responsabilité du magicien »

J'y évoque également, dans la veine des propos originaux de Coleridge (dont je propose deux traductions) ceux afférents d'Harry Lorayne et Peter Samelson par exemple, mais aussi hors magie ceux de Richard Feynman (qu'on ne présente plus), Dan Ariely [professeur de psychologie et d'économie comportementale ayant a écrit un ouvrage au titre évocateur, Toute la vérité (ou presque) sur la malhonnêteté : Comment on ment à tout le monde à commencer par soi-même], Schopenhauer, etc. 

Extrait :

 [...] Pour autant, si certaines disciplines artistiques et autres domaines de l’expression culturelle impliquent de fait la suspension d’incrédulité (le cinéma et le théâtre par exemple), les illusions produites par les magiciens, même exemptes de mise en scène ou d’habillage scénaristique, peuvent être diablement efficaces, ce qui peut induire a contrario un éveil de l’esprit critique du spectateur au lieu de l’amener à jouer de son ingénuité et de sa faculté à vivre l’expérience de la naïveté. La science lutte contre la mésinterprétation ou l’ignorance des faits alors que la magie demande au contraire de se libérer au moins en partie du filtre de scepticisme qui nous protège et de voir le Monde à travers un prisme d’irréalité. [...] (C. G. dans R.A.S. page 16)

  

Le 27/12/2017 à 17:42, Gilbus a dit :

« La magie ne nait pas dans les mains du magicien, mais dans l’esprit du spectateur »

Dans la famille des petites phrases aux grandes conséquences, celle-ci me semble bien placée dans le peloton de tête

Dans le même article je donne également les sources « magiques » les plus anciennes (selon les P & P et jusqu'à preuve du contraire) relatives à cette autre réflexion capitale que beaucoup reprennent à leur compte (je ne vise personne et encore moins Gilbus qui sait très bien qu'il s'agit d'une réflexion de naguère, notre ami VM-iste ne faisant que pointer du doigt cette idée d'importance souvent négligée en magie). En voici un extrait :

[...] En ce sens, impossible d’affirmer que « la VRAIE magie n’existe pas » puisque ce serait nier son existence sur la seule scène où elle peut vraiment se produire : dans l’esprit des spectateurs ! Or un phénomène mental est tout ce qu’il y a de plus réel, il peut n’être qu’une construction de l’esprit permise par des associations libres et l’assemblage fautif d’informations savamment distillées par le thaumaturge, le tout limité par le champ de l’imagination ; il peut relever de l’ordre de l’émotion ; il peut aussi dans le meilleur des cas procéder d’une subtile association de ces deux modes de connexion intime avec le Monde. Ce sentiment trouble et exaltant de vivre un moment magique est rare, l’art des magiciens est de savoir planter, faire germer et croître ces graines donnant accès au merveilleux, d’offrir une nouvelle perspective via d’autres forces et d’autres énergies que celles du commun, du quotidien et de l’habituel, à savoir des forces invisibles certes mais qui, comme contrôlées le temps d’un tour ou d’un spectacle, semblent agir sur notre réalité pour en modifier les lois et le fonctionnement. [...] (C. G. dans R.A.S. page 14)

 

Pour terminer, un dernier extrait de l'article concernant cette fois-ci la responsabilité du magicien :

  [...] L’analyse d’Ariely devrait questionner les magiciens et autres mentalistes sur leur responsabilité à ne pas rendre « insensibles aux petits mensonges » dans cette actuelle période de fake news (« informations fallacieuses ») afin qu’ils ne contribuent pas à la confusion presque générale qui règne dans ce qu’il nomme cette « ère de p o s t-vérité dans laquelle nous vivons ». [...]   (C. G. dans R.A.S. page 17)

Modifié par Christian GIRARD
  • J'aime 5
Publié le
Il y a 1 heure, Christian GIRARD a dit :

les illusions produites par les magiciens, même exemptes de mise en scène ou d’habillage scénaristique, peuvent être diablement efficaces, ce qui peut induire a contrario un éveil de l’esprit critique du spectateur au lieu de l’amener à jouer de son ingénuité et de sa faculté à vivre l’expérience de la naïveté. La science lutte contre la mésinterprétation ou l’ignorance des faits alors que la magie demande au contraire de se libérer au moins en partie du filtre de scepticisme qui nous protège et de voir le Monde à travers un prisme d’irréalité. [...] (C. G. dans R.A.S. page 16)

Merci christian😁

Mais il va falloir développer, car je ne comprends pas tout (c'est pas nouveau, mais bon...) :

Dans l'extrait ci dessus (voir parties soulignées) , tu dit dans un premier temps que la magie éveille l'esprit critique, et dans un second temps qu'elle libère du filtre du scepticisme, ce qui me semble, à moins de chipoter sur les définitions, deux propositions plus ou moins opposées... 

C'est peut être ce que tu voulais dire, mais effectivement, l'illusionnisme a tendance souvent à provoquer l'esprit critique, les gens veulent savoir... 

Et ensuite, ce que tu semble lui reprocher, c'est que la magie gagne le combat, et donc crée une illusion de monde non rationnel... 

C'est ce que tu voulais faire passer ? 

Il y a 1 heure, Christian GIRARD a dit :

L’analyse d’Ariely devrait questionner les magiciens et autres mentalistes sur leur responsabilité à ne pas rendre « insensibles aux petits mensonges »

Arf, j'ai souvent du mal avec les double négations... 😉

Tu veux dire qu'il est de notre responsabilité de rendre sensible aux mensonges ? 

Tu as raison de dire qu'il faut s'interroger, pour ma part, je ne vois aucun problème, car je ne suis pas un redresseur de tord, ni un thérapeute, ni un scientifique (même si j'aime bien ces derniers...) 

Qui serais-je pour dire aux gens ce qu'ils doivent penser ? 

L'illusionnisme, comme toute oeuvre de fiction, n'a pas pour but la réalité objective. 

SI on arrive à une réalité subjective, c'est déjà pas mal... 

Je sais bien que l'illusionnisme est "convaincant", par nature, puisqu'il porte ses propres preuves qui ne sont pas perçues comme fictives (quand tout se passe bien...) 

Il faut donc choisir entre :

-le gentil magicien qui prévient "attention, je vais tricher, si vous me croyez, vous êtes trop crédules..." et qui ensuite fait tout pour qu'ils y croient... 

-le vilain méchant magicien, qui les emporte dans un monde de poésie et de miracle... 

Pour ma part, je trouve le monde déjà trop rationnel, trop pauvre en poésie, trop loin du rêve... Alors ça ne me dérange pas de faire le méchant magicien qui perverti l'esprit d'un public crédule... 

Surtout quand le public n'a pas payé pour du rationnel, mais pour un peu de rêve... 😉

Mais c'est une position personnelle, et vu le nombre de magiciens qui se sentent obligés de dire qu'ils trichent, ce n'est pas partagé par tout le monde, c'est sûr... 😁

Gilbus

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Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

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    • Autre détail : si tu confies le briquet à un spectateur et garde donc les aimants entre pouce et index, tu vas sans doute me demander comment je les remet sur le briquet pour la table suivante (en se plaçant dans la situation ou, comme moi, tu vas de table en table). Il faut que je précise que jusqu'à présent j'utilise un porte-monnaie avec des petits morceaux de papier flash dedans et un mouchoir en papier. Ce porte-monnaie est initialement dans ma poche extérieure gauche de veste avec le boulon dedans et les morceaux de papier flash (rectangulaires, à peine plus longs que le boulon et une position debout/couchée alternée, à angles droits les uns par rapport aux autres si vous préférez). Le mouchoir en papier est dans ma pochette (c'est le nom de la petite poche extérieure, de face, sur une veste). Le briquet équipé de ses aimants est dans la poche à briquet (c'est la poche intérieure gauche, en bas d'une veste qui s'appelle ainsi). 1ère table : je sors le porte-monnaie que je pose sur la table ou dans la main d'un spectateur e lui disant "résistez à l'envie de voir tout de suite ce qu'il y a dedans, je vais vous le montrer dans 30s" puis le briquet. Je fais cela pour éviter tout contact malencontreux entre le porte-monnaie et le briquet. Je demande au spectateur d'ouvrir le porte monnaie vers moi pour garder le mystère jusqu'au bout, je prend le boulon et un morceau de papier flash avec ma main gauche (j'arrive à en prendre un seul grâce au positionnement alterné des morceaux rectangulaires "allongés/debout"). Le boulon doit être dissimulé derrière le morceau de papier et le bout des doigts gauches et j'allume tout de suite le briquet (le bruit de la molette ou du piezo et la flamme attirent l'attention vers le briquet). J'enflamme et fait apparaître le boulon. Je présente la routine du boulon dont l'écrou se dévisse seul avec l'idée de Gaëtan BLOOM d'utiliser le briquet. Là : soit je remet le boulon dans le porte-monnaie et je range tout comme au départ pour la table suivante, soit un spectateur veut essayer d'allumer le briquet près du boulon. Je lui donne. Je récupère les aimants entre pouce et index comme je l'ai décrit dans mon message précédent et je prend le mouchoir en papier que j'ai dans ma pochette entre pouce et index droits (qui ont déjà les aimants) car le meilleur moyen d'avoir une position des doigts naturelle, justifiée est de tenir un objet. Lorsque le spectateur a terminé son essaie, le boulon a noirci un peu donc je lui tend le mouchoir pour qu'il me l'essuie et lui demande de me redonner le briquet. Là, vous l'aurez compris, je conserve les aimants comme avec le briquet lorsqu'il prend le mouchoir en papier et je reprend le briquet en replaçant les aimants dessus et hop, direct dans la poche à briquet. J'attends qu'il m'essuie bien le noir sur boulon (je plaisante un peu là dessus) et lui demande de mettre l'écrou à mi-chemin dessus (je l'embête un peu en lui disant "encore 2 tours et demi" ou je ne dis rien et en récupérant les spectateurs je dis "encore un tour ?"; Après leur "oui" je fais de manière exagérée un tour de plus à l'écrou sur la vis puis je leur dis "nan, vraiment, je vous montre encore un mystère rigolo...et là je sors les rondelles avec le trou que l'on fait voyager ou le clou qui se tord ou le stylo qui se tord, etc...ça dépend de mon envie du moment). Evidemment je range le boulon dans le porte-monnaie et c'est reparti...pour un tour ! Je précise aussi que lorsque je dis "pour la table suivante", en fait je parle non pas de la table que je vais aborder après mais de celle encore après car en table à table, j'ai deux enchaînements de 3 routines chacun et j'alterne une table sur deux. Un des enchaînement occupe mes poches gauches (intérieures et extérieures) et l'autre mes poches droites. Ainsi les spectateurs d'une table ne voient pas ou plus difficilement ce qui les attend. Deux tables voisines n'auront pas le même "numéro" et comme je dis souvent, le premier plaisir d'un spectateur par rapport à la magie, c'est de voir le numéro mais le second (et quelque part encore plus important) est de le raconter à des personnes qui ne l'ont pas vu le lendemain dans la famille, au boulot ou autre. Et là, entre tables, il n'est pas rare qu'ils échangent en disant "ils vous a fait le coup du...?" ou "t'as vu le tour avec ....?". Bien entendu, il n'est pas rare qu'une table me demande à voir un effet dont un voisin de la table d'à côté lui a parlé ou qu'il a entrevu de loin. Dans ce cas, selon le cas, je refais le tour en question ou un autre du même tonneau. Attention : sur certaines vestes, la poche à briquet et au même niveau que la poche extérieure gauche. Dans ce cas, l'aimant peut être trop près du boulon et l'activer malencontreusement. Dans mes vestes, la poche le fond de la poche à briquet est toujours plus bas que celui de ma poche extérieure gauche de veste et le porte-monnaie n'est pas gros mais assez rigide et épais (ce qui limite encore le risque et évite que le spectateur à qui je le confie sente le boulon ou en tout cas une chose dure au travers du cuir). Chaque détail compte pour moi. C'est au fil du temps que je trouve chacun de ces détails pour les routines que je présente mais ça, ce n'est pas un mystère, c'est évident. On s'écarte un peu des billets de Finn Jon alors pour "rattacher le wagon", je dirais que je n'ai jamais testé sa version des billets. Je trouve qu'elle n'est pas adaptée pour le table en table mais que c'est la plus nette pour la scène ou le salon (car les transformations sont à vue et douces, sans accoups et sans pliage des billets).
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