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Publié le

Entièrement d'accord, cette version de la femme coupée est également ma préférée. Pourtant, on ne voit rien (elle n'est pas transparente, on ne voit ni la tête ni les mains dépasser), mais elle dégage un "charme" qui la rend plus magique que toutes les autres !!! Surtout présenté par Jean Régil, car je l'ai vue présentée par Jan Rouven à Kirwiller et...ça le faisait beaucoup moins...

Ernest.

J'aime ceux qui cherchent, je me méfie de ceux qui trouvent... (François Mitterrand)

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Publié le

Donc ça ne dépend pas du tour, mais de la façon dont il est présenté.

Quand on presente une énigme on cherche une solution.

Quand on presente de la magie, on sait bien qu'il n'y a pas de solution pas besoin (envie?) de chercher.

Circulez !

Publié le

Parfaitement d'accord il faut donner l'envie au gens de nen pas chercher de solution!!!

La méthode la plus simple étant bien sur de montrer de la MAGIE et non pas une sorte de defi que l'on lance au spectateur en leur disan :

"Regardez ca, vous l'avez bien vu, ha ha ha vous avez rien compris!!" :mad:

J'espere être encore longtemp émerveillé.... :blush: :blush: :blush:

  • 7 années plus tard...
Publié le
une jolie demoiselle dans une boîte horizontale en trois parties, et le magicien décale la partie haut vers la gauche, celle du milieu vers la droite, alors que la demoiselle continue de sourire et de bouger la main, je sais pas comment s'appelle ce tour.

je crois que ce tour s'appelle la femme ZigZag.

La solution est simple pourtant :

[video:youtube]

Publié le (modifié)

… en effet, ça ouvre quelques perspectives.

Et pour reprendre le fil de ce post, il m’arrive parfois de ne pas vouloir savoir… de préserver l’ambiance (la magie) de la présentation.

En fait, j’aime entrer dans l’univers créé par le magicien et « dériver » au rythme de son histoire… cerveau curieux/critique en mode off ! (et puis ça repose du boulot) :crazy:

Après, j’essaie modestement de développer cet aspect de conteur, plus que d’enchaîneur d’effets qui risque de lasser le spectateur ; la maitrise technique au service de…, l’importance du rythme et de la voix ; car au final, je pense que le spectateur (non magicien) se fiche de la complexité technique ; il garde + le souvenir des émotions, des images et de la magie du spectacle...(mer.., c'est reparti, j'analyse !)

… et puis j’aime me laisser aller à ma paresse cérébrale naturelle. mdr

Bonne journée. zzz

Modifié par Djinn

Abdul Al-Hazred a trouvé la lumière... moi, je la cherche...

Publié le

Salut l'canard! Pour ma part je n'ai pas eu vraiment de tour que je ne voulais pas regarder les explications par peur de perdre les frissons. Au contraire, ça ne me donne qu'envie d'apprendre et ça me donne encore plus un autre genre de frisson.

Ces frissons du travail bien fait avec les spectateurs qui sont sur le cul, ça ça done des foutu frissons énormes.

Pour ce qui est de la malle des Inde, je vais te dire le truc. C'est pas comme si tu pouvais venir ici et m'éclater la tête sur mon clavier. Alors le truc est simple, c'est qu'au moment où la 2ieme personne apparait sur le coffre, c'est parce qu'POESrJ`ns«klrd;o«usd;«os8y079GWPR3R5UB2;SDGH08p^08dg^hsdfsb;e05y8soh;fnfs.kf89gh;sjfn

Publié le (modifié)

Je comprend totalement cette sensation bien que de mon coté elle s applique uniquement au close up . J ai pendant quelques année arrêté totalement la pratique et l apprentissage de la cartomagie a cause de ça car en accumulant les connaissance j ai fini par ne plus voir la coté magique d un tour mais uniquement le coté performance du magicien .

Avant : HOOOOOOOooooOOO WTF comment il a fait pour changer la carte la !!!!!!

Âpres : Ha ouai joli la LD bien maitrisée gg gars .

C est uniquement le fait d avoir eu l occasion de voir Bébel travailler en live qui ma décidé a reprendre car il ma fait retrouvé cette sensation . Bébel : l homme qui fait croire a la magie a un magicien .

Modifié par Antho000
Publié le

Le... "canard" ne répond pas à la provocation et travaille sa zénitude depuis le 1er janvier 2013, minuit (bonne résolution n°2). Quant à la malle des Indes, hélas, deux clampins aussi doués pour la magie de scène qu'un pic-vert pour la broderie, m'en ont fait découvrir les subtilités, de façon bien involontaire ma foi, puisque lors de la présentation de leur numéro, la dite malle était tournée du mauvais côté...

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    • Bonjour  J'ai trouvé ça extrait du New York time  Philippe  Version francaise (traduite) : Werner Reich, qui a appris la magie à Auschwitz, est mort à 94 ans Il avait 16 ans lorsqu’un codétenu, un magicien, lui enseigna un tour de cartes dans les baraquements du camp d’extermination. Il appelait cela un « miracle ». Dans les baraquements d’Auschwitz, où des hommes affamés, émaciés et mourants étaient entassés à six par lit, le plus proche voisin de Werner Reich était un homme allemand juif d’une trentaine d’années, courtois, nommé Herbert Levin, connu avant la Seconde Guerre mondiale sous le nom de Nivelli le magicien. Un jour, au début de 1944, M. Reich, alors âgé de 16 ans, revint au baraquement après une corvée, grimpa sur la couchette supérieure de son lit à trois étages et observa M. Levin battre un jeu de cartes sale que les gardes du camp lui avaient donné pour les divertir — une manière d’éviter d’être envoyé à la chambre à gaz. « Et je n’arrivais pas à y croire, vous savez — avoir un jeu de cartes à Auschwitz, c’était comme trouver un gorille dans sa salle de bain », se souvenait M. Reich dans une conférence TEDx en 2020. « Puis M. Levin s’est tourné vers moi, m’a tendu le jeu et m’a dit : “Choisis une carte.” Alors j’ai choisi une carte, et il a fait un tour pour moi. » Pour un adolescent qui n’avait jamais vu un tour de magie, c’était un « miracle ». M. Levin lui expliqua le truc, et M. Reich en mémorisa chaque étape durant tout son temps à Auschwitz — une distraction qui l’aida à survivre à l’horreur — puis pendant une marche de la mort de 55 kilomètres, dans la neige et la glace, vers le camp de Mauthausen, en Autriche. Ce n’est que plusieurs années plus tard, une fois libéré et arrivé en Angleterre, qu’il acheta un jeu de cartes et tenta le tour par lui-même. « Et ça a marché », dit-il. « Ça a magnifiquement marché. » Après avoir émigré aux États-Unis, M. Reich devint ingénieur, sans jamais perdre son amour pour la magie. Il exécutait des tours de cartes et de pièces devant de petits groupes, dans des temples ou lors des anniversaires de ses fils. Il est décédé le 8 juillet à son domicile de Smithtown, dans l’État de New York, a indiqué son fils David. Il avait 94 ans. Enfance et déportation Werner Reich est né à Berlin le 1er octobre 1927. Sa mère, Elly (Dux) Reich, reçut la Croix de fer pour son service comme infirmière sur le front de l’Est pendant la Première Guerre mondiale. Son père, Wilhelm, était ingénieur. La vie confortable des Reich fut bouleversée en 1933, lorsque les nazis prirent le pouvoir et que Wilhelm fut renvoyé de son emploi parce qu’il était juif. La famille se réfugia en Yougoslavie, où le père mourut de causes naturelles à Zagreb en 1940. Quand les nazis envahirent le pays en 1941, la mère de Werner envoya ses deux enfants, Werner et sa sœur Renate, se cacher dans des familles différentes. Werner vécut environ deux ans chez un couple membre de la résistance, avant d’être arrêté par la Gestapo. Commence alors sa vie de prisonnier, notamment dans un commissariat à Graz, en Autriche, où il aperçut sa mère dans la cour de la prison — la dernière fois qu’il la vit avant qu’elle ne soit vraisemblablement assassinée. À Theresienstadt (aujourd’hui en République tchèque), il fut contraint de tuer des nuisibles avec le pesticide à base de cyanure Zyklon B, le même utilisé dans les chambres à gaz. À Auschwitz, il dut courir nu devant le Dr Josef Mengele, qui décidait qui était assez fort pour travailler et qui serait envoyé à la mort. « Nous courions pour nos vies », raconta-t-il au New York Times en 2017. « On essayait d’avoir l’air fort, on souriait — tout pour paraître apte au travail. » Il survécut à Auschwitz, à la marche de la mort (au prix de plusieurs orteils amputés pour cause de gelures) et aux derniers mois à Mauthausen, avant d’être libéré par l’armée américaine le 5 mai 1945. Il avait 17 ans. Il pesait 29 kilos. Une nouvelle vie De retour en Yougoslavie, il s’enfuit deux ans plus tard vers l’Angleterre, où il devint outilleur-ajusteur et rencontra sa future épouse, Eva Schiff. Celle-ci faisait partie des 669 enfants tchèques, principalement juifs, sauvés avant la guerre par Sir Nicholas Winton, un agent de change britannique, grâce à des pots-de-vin, de faux papiers et des contacts secrets avec la Gestapo. Werner et Eva se marièrent en Angleterre et émigrèrent aux États-Unis en 1955. Après avoir obtenu un diplôme à City College of New York, il travailla comme ingénieur chez Nabisco et dans la chaîne de supermarchés Hills. Durant les 25 dernières années de sa vie, il témoigna dans des écoles, des synagogues et des associations de son expérience de la Shoah. Aux élèves, il transmettait un message contre le harcèlement : « Il disait que de bonnes personnes n’avaient rien fait — qu’il s’agisse d’un ami ou d’un pays », raconta son fils David. « Il disait : si tu vois quelqu’un se faire malmener, défends-le. Fais quelque chose. » Outre David, il laisse un autre fils, Mikal, et quatre petits-enfants. Son épouse est décédée en 2016. Sa sœur, Renate Romano, survivante de l’Holocauste, a immigré aux États-Unis en 1948 et est morte en 1999. Le legs d’un tour de magie Le tour de cartes de M. Levin resta gravé dans la mémoire de M. Reich toute sa vie. « Nous aimions tout ce qui pouvait nous arracher à Auschwitz ne serait-ce qu’un instant, tout ce qui pouvait détourner nos esprits de nos souvenirs et de l’horreur autour de nous », dit-il en 2017. En Angleterre, il se plongea dans la magie : il acheta un jeu de cartes, puis d’autres tours et livres de magie. « Il y a une ligne très, très fine entre un passe-temps et la folie », plaisantait-il dans sa conférence TEDx. M. Reich ne revit jamais M. Levin après Auschwitz et ignorait que celui-ci avait lui aussi émigré aux États-Unis, repris sa carrière de magicien et vécu à Rego Park, dans le Queens. M. Levin mourut en 1977, mais M. Reich ne l’apprit qu’environ 30 ans plus tard, en lisant un article dans The Linking Ring, la revue mensuelle de la Fraternité internationale des magiciens, dont il faisait partie. Le révérend William V. Rauscher, prêtre épiscopal à la retraite et magicien, rédigea cet article puis collabora avec M. Reich à son autobiographie, The Death Camp Magicians (2015), qui raconte aussi l’histoire de M. Levin. « C’était un assez bon magicien », dit M. Rauscher. « Il venait chez moi, sortait des cartes et des pièces et faisait des tours sur la table du salon. » « Les autres magiciens le trouvaient fascinant à cause de son lien avec Nivelli. » M. Reich n’oublia jamais M. Levin, ni le cadeau de ce simple tour de cartes qui, un instant, avait offert à un garçon terrifié une évasion et un geste d’humanité. « Ce n’est ni la valeur ni la taille d’un cadeau qui comptent vraiment », disait-il dans sa conférence TEDx. « C’est la façon dont tu le gardes dans ton cœur. »                  
    • @BoB Magicien est l’élève le plus ancien de @Philippe MOLINA et est aujourd’hui devenu un professionnel accompli, vivant de son art en tant qu’animateur et magicien. Dans ce programme, Bob partage 9 routines de cartes originales, accompagnées d’explications détaillées, d’astuces issues de sa pratique quotidienne sur le terrain, et de réflexions théoriques enrichissantes. Sa solide expérience du public, acquise au fil des années, se reflète dans chaque aspect de ce contenu. 🎁 Bonus exclusif – Bon Plan VM : Les Bavardes – PM & Friends S1E07 de Philippe MOLINA offert avec l’achat de la conférence ! 🎬 Durée : 2h45 Disponible en streaming + téléchargement, avec chapitrage pour un accès direct aux effets et explications. Un extrait avec une huile et eau : En promo dutant le Black Magic jusqu'à lundi minuit. https://www.virtualmagie.com/boutique/videos-magie/conferences-ateliers-videos-magie/philippe-vous-presente-bob-magicien/
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