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Publié le

Je viens d essayer par le tuto dan and Dave .Si je place mon pouce comme le gars je suis gêné dans la rotation notamment à l arrivée par la fourche de de mon pouce .Le coin inférieur droit de la carte rentre en butée ds ma main..J essaierai de vous faire une petite vidéo ça sera plus simple

Publié le
Le 16/01/2017 à 21:51, garcipat a dit :

Les explications de Matt RBT ne seront comprises que des personnes qui ont acquis le tour. 

Je ne vois la aucun débinage. D'ailleurs le mot a t'il encore un sens lorsque l'on voit des tutos à foison sur you tube pour quasi tous les tours existants ! !!

 

Effectivement, l'explication reste obscure pour celui qui ne sait pas de quoi on parle, il n'y a donc pas de problème à priori... quoique c'est toujours mieux de poser ce type de questions dans la partie secrets...

 

Pour ce qui est du sens du mot débinage, dire qu'il n'y en a plus, puisque tout est déjà débiné, c'est un raisonnement tendancieux:

Cela reprend plusieurs grands principes :

-Si c'est pas moi qui le fait, un autre le fera.

-On a déjà fait pire.

-C'est pas très important

-De toute façon, je fais ce que je veux.

 

Ces grands principes, qui justifient tous les débinages youtube, sont bien sûr des façons attrayantes de dire :

j'en ai rien à foutre de l'éthique.

Et bien naturellement, cela ne s'applique pas qu'en magie, ces principes très pratiques permettent de nier toute valeur à une morale ou une éthique quelconque.

Heureusement, ce n'est pas le cas ici, puisqu'on n'y comprend rien à vos histoires d'éventails...

Ouf.

Gilbus

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Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

Publié le
il y a 34 minutes, nuno91 a dit :

bonjour a tous donc petite vidéo faite dans ma voiture pour patienter:

merci a vous;)

Pour ne pas bloquer contre la fourche pouce/index (je ne sais pas non plus le nom du bout de peau qui traine la ;) ), tu peux simplement positionner les doigts plus prés de la petite tranche :

En allant au delà de ton blocage de peau, tu as raison, l'éventail aura un angle de fermeture plus petit, donc montrera plus de cartes, si c'est bien cela que tu veux faire :)

Si cela bloque malgré tout:

Joue sur la position du pouce plus ou moins au centre de la petite tranche.

Assures toi que tes doigts (pouce et index qui servent de pivot) sont tendus au départ.

et travail sur la régularité de l'éventail, pour éviter le gros bloc:

Pour cela,

-Entraine toi avec un jeu presque neuf, cela peut aider (beaucoup!).

-Joue sur la pression du pouce droit, qui étale les cartes : Tu peux presser les cartes plus ou moins en poussant avec ce pouce qui étale, de façon à jouer sur la pression.

-Tu peux aussi jouer sur l'angle de cette pression, et avoir une position de ce pouce qui varie en cours d'éventail, sur la tranche : Tu commences avec la pulpe du pouce sur le dos, mais la pointe du pouce sur la tranche prés des faces du jeu.

Dans le mouvement tournant, tu relèves la pointe du pouce tout en maintenant la pression sur le dos, et tu laisses filer des cartes de plus en plus près des dos.

Cela devrait au moins éviter les gros blocs indésirables.

La régularité est ensuite affaire de pratique...et surtout d'usure des cartes:

Autre idée toute bête:

Essaie de traiter tes cartes avec de la poudre à éventail.

les cartes glisseront moins bien, mais beaucoup plus régulièrement, ce qui est le but.

 

Gilbus

 

 

 

 

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Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

Publié le

difficile d'expliquer mais beaucoup de paramètres rendre en compte. comme la pression du pouce qui effectue un mouvement circulaire et de la pression de la main qui tient le paquet. en fait, en le faisant je pense qu'il faille éviter de réfléchir et essayer de se rapprocher du mouvement jusqu'à qu'il devienne naturel et devienne un réflexe.

il faut donc pratiquer et pratiquer jusqu'à obtenir l'éventail satisfaisant.

 

Publié le (modifié)

Difficile d'aider par vidéo, mais contrairement à ce que tu dis ton dernier éventail qui "ira dans le bêtisier" n'est pas si mauvais et devrait même être l'axe de travail à suivre: plutôt que de vouloir quelque chose de "propre", vu ton problème pour l'instant ton critère devrait être que toutes les cartes soient étalées comme sur ce dernier coup. Donc ne pas hésiter à avoir un étalement bien dégueux comme sur le dernier, mais faire et refaire encore, et peu à peu tes doigts devraient apprendre à jouer sur la pression, comprendre le toucher à avoir, et ainsi gagner petit à petit en propreté... Ca prendra un peu de temps.

Désolé, pas facile d'aider à distance...

Modifié par TanMai

We're looking for a better solution to the problem when we should be looking for a better problem to work on.

Publié le

Allez je rajoute moi aussi ma dose de conseils... 

 

Premièrement ne te focalise pas trop sur la position exacte montrée dans la vidéo de D&D. Il faut avant tout que tu te sentes à l'aise et que les cartes ne se bloquent pas. Par exemple je n'ai pas du tout (mais alors pas du tout) la même position pour faire mon éventail et ce dernier n'est pas trop dégueulasse pour autant.

 

Pour ce qui est de la pression du pouce (droit) elle n'est pas si forte du moins chez moi. Cela doit aussi dépendre des personnes cela dit...

 

Enfin dernier point, le plus important à mon avis. Il faut veiller à ce que ton pouce gauche (cette fois ci !!) commence par "pousser" le bloc de cartes principalement sur les cartes du bas puis progressivement "remonte" pour pousser les cartes du haut du paquet. C'est avant tout ceci qui va faire en sorte que toute les cartes vont être en éventail. C'est la partie la plus dure et seul un entrainement régulier (sur des cartes neuves ou en très bon état) t'apprendra comment gérer cela.

 

Bon courage (et puis pour casser ta routine, pourquoi ne pas mêler Faro et éventail pour faire un éventail géant ;-) 

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    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
    • Bonjour, Un peu plus haut en évoquant combien l''humanité" du personnage de Mortenn CHRISTIANSEN participe de la construction de son numéro, la citation de Derren BROWN que j'avais en tête est extraite de "Notes from a Fellow Traveller", page 416 :  
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