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Il y a 6 heures, TanMai (Aurélien) a dit :

Moi aussi je vote pour un monde harmonieux où tout serait régi par notre bonne vieille règle de trois. Aux chiottes l'exponentielle! Equa diff = caca ! Qu'est-ce qu'ils vont nous faire ch.er au Giec avec leurs modèles à la noix...

C'est à dire que la loi de Myhre (qui est approximative) ne s'applique que sur Terre et pas sur Venus. En fait il n'y a pas l'équivalent de cette loi sur Venus, donc j'ai pris l'hypothèse qu'une molécule de CO2 sur Terre et sur Venus rayonne de la même façon.

C'est très bien de faire des modèles, mais l'hypothèse de départ ne devient explication que lorsque le modèle est au point pour affirmer que l'hypothèse choisie est la bonne. Or dans le cas du RCA, les modèles ne sont pas encore au point, donc l'hypothèse reste hypothèse et rien de plus contrairement à ce qui est affirmé de manière tonitruante.

Melvin

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Encore une qui croyait à la fonte inexorable de l'arctique :

https://kairn.com/de-retour-en-bretagne-anne-quemere-revient-sur-son-aventure-arctique/

"De retour en Bretagne, Anne Quemere revient sur son aventure arctique"

“Pour mon départ, j’avais rêvé de jolies conditions météo, mais il faut savoir parfois se contenter de ce que la nature nous offre, et je suis donc partie sous une petite pluie fine, un ciel couvert et une température de 5 degrés” se remémore Anne Quéméré.

Bateau pris dans les glaces

Le lundi 16 juillet, après avoir longé la péninsule de Tuktoyaktuk et alors que le soleil fait enfin son apparition, le solar boat « Icade » est pris dans un labyrinthe de glaces. La navigatrice tente de slalomer entre elles, mais se retrouve très vite encerclée.

Sous la pression des blocs, l’hélice du moteur du bateau se casse. Anne Quéméré plonge alors dans une eau à 2 degrés pour la réparer… “A cet instant, l’horizon n’était qu’icebergs et plaques de banquise !” raconte la navigatrice.

L’aventurière est éblouie par ce qui l’entoure. “C’était vraiment un voyage incroyable : des paysages absolument magiques et des rencontres insolites, notamment avec les grizzlis !”

Anne Quéméré l’a découvert dès les premiers jours de son aventure : l’été polaire n’aura pas lieu cette année en Arctique. “L’an dernier, à la même époque, les températures oscillaient entre 10 et 15 degrés. Cette année, nous étions autour de 0 degré…un été plutôt revigorant !” explique la navigatrice.

Mais, dans la nuit du 31 juillet, une violente tempête s’abat sur la côte…

Contrainte de faire escale, Anne Quéméré fait alors la rencontre d’une équipe de scientifiques canadiens. Face aux rafales de vent de plus en plus violentes, la navigatrice décide de les suivre dans leur avion en attendant la fin de la tempête.

Aujourd’hui encore, elle mesure à quel point cette rencontre fortuite, sur une côte désertique où il n’existe aucun havre où se réfugier, fut miraculeuse : “Je n’en reviens toujours pas d’avoir eu la chance incroyable de croiser cette petite équipe qui m’a récupérée au vol avant que l’expédition ne tourne au drame !”

Malgré la déception de ne pas avoir pu franchir le mythique Passage du Nord-Ouest, le parcours réalisé par le solar boat dans des conditions si extrêmes relèvent d’une prouesse aussi technique qu’humaine : “« Icade » a fait un petit pas de plus dans l’aventure arctique ! Ce fut une aventure extraordinaire et j’attends avec impatience de pouvoir écrire la suite de l’expédition Arctic Solar by Icade… 2019”

Sauvée par un avion, des batteries et des matériaux composites perdus en arctique : c'est beau l'écologie !

Melvin

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Le 03/10/2018 à 07:14, Melvin (Jean-Claude) a dit :

Encore une qui croyait à la fonte inexorable de l'arctique :

https://kairn.com/de-retour-en-bretagne-anne-quemere-revient-sur-son-aventure-arctique/

"De retour en Bretagne, Anne Quemere revient sur son aventure arctique"

“Pour mon départ, j’avais rêvé de jolies conditions météo, mais il faut savoir parfois se contenter de ce que la nature nous offre, et je suis donc partie sous une petite pluie fine, un ciel couvert et une température de 5 degrés” se remémore Anne Quéméré.

Bateau pris dans les glaces

Le lundi 16 juillet, après avoir longé la péninsule de Tuktoyaktuk et alors que le soleil fait enfin son apparition, le solar boat « Icade » est pris dans un labyrinthe de glaces. La navigatrice tente de slalomer entre elles, mais se retrouve très vite encerclée.

Sous la pression des blocs, l’hélice du moteur du bateau se casse. Anne Quéméré plonge alors dans une eau à 2 degrés pour la réparer… “A cet instant, l’horizon n’était qu’icebergs et plaques de banquise !” raconte la navigatrice.

L’aventurière est éblouie par ce qui l’entoure. “C’était vraiment un voyage incroyable : des paysages absolument magiques et des rencontres insolites, notamment avec les grizzlis !”

Anne Quéméré l’a découvert dès les premiers jours de son aventure : l’été polaire n’aura pas lieu cette année en Arctique. “L’an dernier, à la même époque, les températures oscillaient entre 10 et 15 degrés. Cette année, nous étions autour de 0 degré…un été plutôt revigorant !” explique la navigatrice.

Mais, dans la nuit du 31 juillet, une violente tempête s’abat sur la côte…

Contrainte de faire escale, Anne Quéméré fait alors la rencontre d’une équipe de scientifiques canadiens. Face aux rafales de vent de plus en plus violentes, la navigatrice décide de les suivre dans leur avion en attendant la fin de la tempête.

Aujourd’hui encore, elle mesure à quel point cette rencontre fortuite, sur une côte désertique où il n’existe aucun havre où se réfugier, fut miraculeuse : “Je n’en reviens toujours pas d’avoir eu la chance incroyable de croiser cette petite équipe qui m’a récupérée au vol avant que l’expédition ne tourne au drame !”

Malgré la déception de ne pas avoir pu franchir le mythique Passage du Nord-Ouest, le parcours réalisé par le solar boat dans des conditions si extrêmes relèvent d’une prouesse aussi technique qu’humaine : “« Icade » a fait un petit pas de plus dans l’aventure arctique ! Ce fut une aventure extraordinaire et j’attends avec impatience de pouvoir écrire la suite de l’expédition Arctic Solar by Icade… 2019”

Bizarre, dans le passage que tu cites, il manque notamment (comme par hasard) le point qui avait un rapport avec le réchauffement climatique, je cite :

Citation

Anne Quéméré l’a découvert dès les premiers jours de son aventure : l’été polaire n’aura pas lieu cette année en Arctique. “L’an dernier, à la même époque, les températures oscillaient entre 10 et 15 degrés. Cette année, nous étions autour de 0 degré…un été plutôt revigorant !” explique la navigatrice. Outre cette météo exceptionnelle pour cette région du monde, l’érosion des côtes, observable au quotidien, est l’un des autres effets du changement climatique qu’Anne Quéméré a pu observer. “Beaucoup pensent là-bas que Tuktoyaktuk n’existera plus d’ici 10 ou 15 ans…”.

Melvin, un oubli volontaire ou bien l'article d'origine a-t-il été modifié ?

Il manque également ces données catastrophiques :

Citation

Cette décision fut en effet salutaire : à son retour sur la côte, Anne Quéméré constate que la tempête a tout balayé sur son passage. Le bateau, bien qu’ayant été solidement amarré, se trouve trop endommagé pour reprendre la route…. “Les vents de 47 nœuds (environ 90 km/h) et la mer déchaînée avaient précipité le solar boat sur la grève, du côté de Clinton Point.”

 

 

Citation

Sauvée par un avion, des batteries et des matériaux composites perdus en arctique : c'est beau l'écologie !

Une pensée écologique cohérente aurait impliqué de laisser mourir cette femme sur place selon toi ? Il ne faut pas tout mélanger...

Par contre je te rejoins sur un point : assumer une pensée écologique jusqu’au bout, c'est très difficile (et ça nécessite parfois d'assumer quelques contradictions) et je me demande même si c'est compatible avec la notion de "voyage". Chaque fois que l'on fait du tourisme par exemple, on pollue d'une façon ou d'une autre la planète pour des raisons un peu égoïstes. En même temps, vivre toute sa vie terré dans son trou comme une taupe n'est peut-être pas le rêve ultime et l'accomplissement d'un humain équilibré, écologiste ou pas. 

 

 

Modifié par Christian Girard
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Il y a 9 heures, Christian Girard a dit :

Outre cette météo exceptionnelle pour cette région du monde, l’érosion des côtes, observable au quotidien, est l’un des autres effets du changement climatique qu’Anne Quéméré a pu observer. “Beaucoup pensent là-bas que Tuktoyaktuk n’existera plus d’ici 10 ou 15 ans…”.

J'ai écourté l'article effectivement.
Ce que tu cites est une ânerie de plus de la navigatrice. Le phénomène d'érosion est un phénomène géologique permanent et n'a rien à voir avec le réchauffement.

 

Il y a 9 heures, Christian Girard a dit :

la tempête a tout balayé sur son passage.

Une tempête n'a rien d'exceptionnel dans ces milieux hostiles. Elle croyait vraiment que le voyage serait libre de glace. Croire que parce qu'une année la météo a été clémente, les années suivantes le seront aussi, c'est vraiment avoir une méconnaissance totale des surprises que nous réservent la météo.

Bref, voilà plusieurs navires qui ont dû rebrousser chemin récemment en Arctique.

  • Merci 1

Melvin

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Il y a 5 heures, Melvin (Jean-Claude) a dit :

J'ai écourté l'article effectivement.
Ce que tu cites est une ânerie de plus de la navigatrice. Le phénomène d'érosion est un phénomène géologique permanent et n'a rien à voir avec le réchauffement.


Je suppose que tu t'es mal renseigné. En quelques secondes, on trouve sur internet l'explication de l'érosion à Tuktoyaktuk et son lien avec le réchauffement. cf https://www.cbc.ca/radio/thecurrent/the-current-for-october-13-2017-1.4352029/why-homes-along-arctic-coastline-are-at-risk-of-falling-into-the-ocean-1.4352216

D'après le scientifique de cet article, deux choses font que l'érosion y est si prononcée : premièrement, le permafrost fond, donc l'eau de la glace qui fond s'écoule dans l'océan. Deuxièmement, les températures plus chaudes impliquent que la glace gèle plus tard en hiver et casse plus tôt au printemps, ce qui entraîne plus d'écoulements d'eau et plus de tempêtes qui frappent la côte.

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Il y a 10 heures, Kristo (Christophe) a dit :


Je suppose que tu t'es mal renseigné. En quelques secondes, on trouve sur internet l'explication de l'érosion à Tuktoyaktuk et son lien avec le réchauffement. cf https://www.cbc.ca/radio/thecurrent/the-current-for-october-13-2017-1.4352029/why-homes-along-arctic-coastline-are-at-risk-of-falling-into-the-ocean-1.4352216

D'après le scientifique de cet article, deux choses font que l'érosion y est si prononcée : premièrement, le permafrost fond, donc l'eau de la glace qui fond s'écoule dans l'océan. Deuxièmement, les températures plus chaudes impliquent que la glace gèle plus tard en hiver et casse plus tôt au printemps, ce qui entraîne plus d'écoulements d'eau et plus de tempêtes qui frappent la côte.

Tu confonds "fonte" et "érosion".

Melvin

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Là aussi on nous prédisait des disparitions... qui n'ont pas eu lieu !!!

http://www.climatedepot.com/2018/10/02/1988-failed-prediction-sea-level-is-threatening-to-completely-cover-maldives-1196-islands-30-years-2018-reality-still-1196-islands-still-there/

Modifié par Melvin (Jean-Claude)

Melvin

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    • « Si vous voulez… »   Dear Jean, « Si vous voulez… », suivi d’une pause dramatique Slydinienne, puis d’une vérité plus ou moins assassine, c’était votre phrase récurrente, votre tic verbal. C’était le signe de ralliement, le début des hostilités, l’entrée dans la Merlinosphère. « Si vous voulez », c’était comme le « Say Please » de Goshman, le « It can’t be done any slower » de René Lavand,  le « Watch! » de Richiardi. Dès que le premier « si vous voulez » fusait, ça ne rigolait plus et il fallait se préparer à la suite.  Si vous voulez…  Ben oui Jean, on voulait bien. On voulait bien venir chez vous pour la bonne bouffe, l’apéro à la carte et le menu confectionné sur mesure, par vos soins : les mêmes mises en pages, les mêmes polices de caractère que Mad Magic, mais un numéro spécial rien que pour vos invités ! On repartait gonflés d’importance, une relique entre les mains et des idées plein la tête.   On voulait bien venir pour une anecdote « c’était mieux avant », ou savoir s’ « il était gentil Slydini ?». Et puis, au cours de la soirée, cueillis comme les spectateurs qui ne voyaient pas la boulette partir, on découvrait que c’était vous qui posiez le plus de questions. Le passé restait à sa place et vous partagiez le dernier spectacle vu à Londres, le futur voyage planifié  avec votre bénite Patricia, ou votre enthousiasme pour le miraculeux Yann Frisch, grâce à qui c’est mieux maintenant aussi.   Ben oui Jean, on voulait bien.    On voulait bien venir chez vous avec la timide intention de vous acheter tel ou tel ancien numéro de Mad Magic ou autre livre. En serrant un peu les fesses, parce qu’avec vous, on ne rigolait pas avec le pognon. Un sou est un sou, voire deux, en comptabilité Merlin. Et puis on ressortait toujours content : d’abord, vous vous êtes sans doute fait arnaquer sur tous vos livres, ils valent chacun trois fois leur prix. Ensuite, parce que votre sens de l’accueil et de la fidélité sont toujours restés hors-commerce.    Ben oui Jean, on voulait bien.    On voulait bien être littéralement convoqué  (car il n’y a pas d’autre mot) chez vous, après votre visionnage de « In & Of Itself » de Derek DelGaudio. « Et je vous préviens, il n’y aura pas de vin car j’ai des questions précises à vous poser et je souhaite rester concentré ». Nous sommes restés concentrés, les questions ont été posées, et puis il y a quand même eu un peu de vin après.    On voulait bien se rappeler, au fil des visites, que derrière « Tonton Merlin », ultra-organisé et un brin cabotin, se cachait l’hypersensible Jean. Il fallait le mériter, celui-là. Une routine en plusieurs phases. Ce Jean-là, c’était l’artiste à fleur de peau. Il ne parlait plus de la meilleure façon de négocier son cachet ou ranger ses ballons, mais de spectacles passés et à venir, du métier d’artiste et de sa finalité sur Terre. Son œil scintillait à l’évocation du music-hall. Il s’embuait parfois aussi.    Ben oui, dear Jean, on voulait bien.   Et on aurait bien voulu encore un peu plus longtemps.     Sébastien Clergue 
    • Le livre sur le pouvoir de la narration magique (que je lis actuellement) offre un certain nombre de méthodes, considérations, exemples qui rentrent effectivement dans le storytelling.  Je suggère à celui qui serait intéressé le livre de Nancy Duarte "Vibrations" : (Vibrations: Transformez vos présentations en histoires visuelles pour captiver et conquérir votre auditoire : Les secrets des plus grands orateurs).  Un ouvrage très agréable à lire, très illustré et apportant de nombreuses illustrations de ce storytelling (avec chaque fois une analyse de la structure) : discours de Reagan après le drame de Challenger, Steve Jobs, Martin Luther King, une conf de Richard Feynman sur la physique,... On y parle de "présentations" en tressant le parallèle avec la dynamique de la musique : le rythme, les moments forts, les règles à respecter... des analyses qui sont parfaitement cohérentes  avec le livre ci-dessus. Notre approche du "Story telling" doit s'inspirer de multiples sources (pas nécessairement magiques) car l'art et la "manière de raconter une histoire" est en définitive universel et s'applique à toutes sortes de circonstances.  Le livre Scripting Magic de Peter Mc Cabe (Vanishing Inc.) m'est aussi d'une grande aide : beaucoup d'exemples appliqués à la magie avec le détail du discours associé et l'explication de la plupart des tours. Excellent !   
    • Effectivement, modifier la préparation peut solutionner le problème ^^ Mais j'aime bien comprendre en 1er lieu la description de l'auteur, et ensuite si besoin, trouver des alternatives. Clairement pour Daortiz, il a amené ce genre de style à un tel niveau...c'est l'autre extrémité de celle du magicien tiré à 4 épingles avec une gestuelle millimétré Merci encore, et effectivement le principal est de s'approprier les tours, après tout c'est comme ca que chacun d'entre eux ont évolué !
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