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Étienne Klein - Qu'est-ce qu'un objet ? :

[video:youtube]

Merci pour ce bon moment!

j'ai adoré.

et il me semble que cela apporte une réponse sur la réalité de l'existence:

Oui, ça doit être réel, mais ce n'est pas du tout ce qu'on pensait...

Car comment l'appréhender, en dehors d'une vision mathématique comprise uniquement par quelques génies, tout comme il y a des visions philosophiques uniquement comprises par d'autre génies, ou parfois les mêmes...

C'est la révolution quantique que les tenant du matérialisme "réel" ont ratés:

"le réel, c'est quand on se cogne"?

C'est limiter la réalité à un niveau, alors qu'il y en a plein...

Élargissons notre champs de vision, pour qu'enfin 1+1 ne fasse pas forcément deux...

Merci encore! :)

Je vais regarder ses autres conférences dés que j'ai un moment!!!

Gilbus

Modifié par Gilbus

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

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Merci pour ce bon moment!

j'ai adoré.

Heureux que ça te plaise Gilbus :) (quoique ça ne m'étonne pas).

Je vais regarder ses autres conférences dés que j'ai un moment!!!

Et il y en a beaucoup !, toutes fascinantes et pédagogiques (quant aux inévitables redites, elles permettent de mieux comprendre les questions évoquées). Tu vas encore te régaler !

il me semble que cela apporte une réponse sur la réalité de l'existence

Ce sujet en fait, malgré son titre, traite plutôt des "signes" de "l'existence" de la "réalité" (oui, il faut des guillemets presque partout :crazy: ) .

Oui, ça doit être réel, mais ce n'est pas du tout ce qu'on pensait...

C'est ce qu'on tente de faire "comprendre" à Kristo depuis le début, sa vision étant celle d'un réel empirique plutôt matérialiste justement (ce qui n'est pas incompatible avec les autres visions du "réel", c'est juste trop limitatif).

Publié le
Oui, ça doit être réel, mais ce n'est pas du tout ce qu'on pensait...

C'est ce qu'on tente de faire "comprendre" à Kristo depuis le début, sa vision étant celle d'un réel empirique plutôt matérialiste justement (ce qui n'est pas incompatible avec les autres visions du "réel", c'est juste trop limitatif).

J'ai parlé de ce sujet il y a quelques jours avec des amis.

Une amie disait qu'elle avait eu plusieurs fois des rêves prémonitoires ou qui se réalisaient à peu près au moment où elle les avait rêvés (par exemple elle avait rêvé d'une amie en galère avec sa voiture). Cette personne rêve beaucoup et tient un carnet où elle note tous ses rêves.

On en est venus au sujet de la réalité de l'existence.

Ils m'ont soufflé une expérience que je soumets à ceux qui croient à l'inexistence de notre réalité, elle est très simple :

- aller dans la rue, sur un trottoir

- fermer les yeux (sans tricher hein)

- traverser la rue

Ceux d'entre vous qui auront tenté l'expérience et qui en reviennent pourraient-ils nous en faire part ici ?

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...

Ils m'ont soufflé une expérience que je soumets à ceux qui croient à l'inexistence de notre réalité, elle est très simple :

- aller dans la rue, sur un trottoir

- fermer les yeux (sans tricher hein)

- traverser la rue

Ceux d'entre vous qui auront tenté l'expérience et qui en reviennent pourraient-ils nous en faire part ici ?

Dans mon univers, je peux le faire sans problème :

D’une part c’est une rue très peu passante.

D’autre part j’ai des oreilles, et une voiture entrant dans la rue sera identifiée tout de suite.

C’est un peu comme ça que les aveugles évoluent dans leur univers, d’ailleurs ;)

Que d’autres ayant des univers différents aient des problèmes, c’est normal…

Mais bon, ce n’est pas parce qu’on se fera écraser par une voiture que l’univers sera comme tu désires qu’il soit.

Il y a plein d’énergies, d’ondes et de flux et reflux, la réalité de la voiture en tant qu’objet matériel et percutant est une vision très partielle de la réalité.

La cohérence d’une situation ne veut pas dire qu’elle est réelle :

Cela, ce n’est pas à des illusionnistes qu’on devrait avoir à le rappeler ;)

La vision macroscopique de l’univers « réel », avec ses objets, ses déplacements, son temps uniforme, tout cela est faux si on veut une explication la plus proche du réel possible.

Au mieux une vision simplifiée et trompeuse, à usage des handicapés de la compréhension et de la perception que sont les humains.

On va alors parler de réalité, en se référant à notre usage courant des concepts du quotidien, comme les objets solides, un espace uniforme, un temps identique… et heureusement, car sinon, on serait bien embêté pour traverser la route. D’ailleurs, on ne sait toujours pas pourquoi les poules traversent la route…

Mais bon, il ne faut pas oublier que tout cela est faux.

Les objets solides n’existent pas, l’espace est tordu, le temps n’est pas uniforme…

Ce qui est bien, c’est que des expériences pratiques ont montré que les physiciens avaient raison :

On ne peut donc plus traiter tout cela de fariboles mathématique…

L’état de l’art n’est donc pas dans nos livres scolaires, avec leur culture newtonienne, ni même dans la relativité qui ne traite après tout que de gravitation.

Et plus la science avance, plus notre univers de rue et de voitures apparait comme faux.

Donc, oui, la réalité, c’est quand on se cogne, mais c’est vraiment une perception de la réalité parmi beaucoup d’autres…

La version qui se rapproche le plus de l’univers réel, pour l’instant, n’est pas une réalité ou on se cogne…

Ceci dit, je n’aime pas me cogner non plus, donc je suis aussi immergé dans l’illusion que les autres…

Gilbus

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

Publié le
Dans mon univers, je peux le faire sans problème :

D’une part c’est une rue très peu passante.

D’autre part j’ai des oreilles, et une voiture entrant dans la rue sera identifiée tout de suite.

C’est un peu comme ça que les aveugles évoluent dans leur univers, d’ailleurs ;)

Tu as raison, on peut s'en sortir en utilisant d'autres sens. Ca reste tout de même bien rationnel, ça.

Que d’autres ayant des univers différents aient des problèmes, c’est normal…

Mais bon, ce n’est pas parce qu’on se fera écraser par une voiture que l’univers sera comme tu désires qu’il soit.

Ok, mais si quelqu'un qui ne croit pas à l'existence de la réalité, se fait rattraper par celle-ci en passant sous une voiture, ça montrera tout de même qu'il s'est trompé.

La vision macroscopique de l’univers « réel », avec ses objets, ses déplacements, son temps uniforme, tout cela est faux si on veut une explication la plus proche du réel possible.

Au mieux une vision simplifiée et trompeuse, à usage des handicapés de la compréhension et de la perception que sont les humains.

On va alors parler de réalité, en se référant à notre usage courant des concepts du quotidien, comme les objets solides, un espace uniforme, un temps identique… et heureusement, car sinon, on serait bien embêté pour traverser la route. D’ailleurs, on ne sait toujours pas pourquoi les poules traversent la route…

Mais bon, il ne faut pas oublier que tout cela est faux.

Les objets solides n’existent pas, l’espace est tordu, le temps n’est pas uniforme…

Ce qui est bien, c’est que des expériences pratiques ont montré que les physiciens avaient raison :

On ne peut donc plus traiter tout cela de fariboles mathématique…

Les physiciens ont raison mais ne remettent pas en cause l'existence de la réalité telle qu'on la perçoit. La relativité du temps, la courbure de l'espace-temps, la mécanique quantique ne remettent pas en cause notre monde à notre échelle. Ils en décrivent le fonctionnement avec plus de précision que ce qu'en dirait le sens commun, par contre. A notre échelle, il est rare qu'on se déplace à une vitesse proche de celle de la lumière, ou qu'on s'approche d'un trou noir. Après, on peut philosopher...

L’état de l’art n’est donc pas dans nos livres scolaires, avec leur culture newtonienne, ni même dans la relativité qui ne traite après tout que de gravitation.

Et plus la science avance, plus notre univers de rue et de voitures apparait comme faux.

Donc, oui, la réalité, c’est quand on se cogne, mais c’est vraiment une perception de la réalité parmi beaucoup d’autres…

La version qui se rapproche le plus de l’univers réel, pour l’instant, n’est pas une réalité ou on se cogne…

Ceci dit, je n’aime pas me cogner non plus, donc je suis aussi immergé dans l’illusion que les autres…

Immergé dans la réalité, tu veux dire (ou dans notre réalité, disons, proche de la réalité). Puisque la réalité c'est quand on se cogne, et que tu n'aimes pas te cogner toi non plus.

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Le Code de la conscience de Stanislas Dehaene :

61h8xqXDFML.jpg

D'où viennent nos perceptions, nos sentiments, nos illusions et nos rêves ? Où s'arrête le traitement mécanique de l'information et où commence la prise de conscience ? L'esprit humain est-il suffisamment ingénieux pour comprendre sa propre existence ? La prochaine étape sera-t-elle une machine consciente de ses propres limites ? Depuis plus de vingt ans, Stanislas Dehaene analyse les mécanismes de la pensée humaine. Dans ce livre, il invite le lecteur dans son laboratoire où d'ingénieuses expériences visualisent l'inconscient et démontent les bases biologiques de la conscience. Grâce à l'imagerie cérébrale et même à des électrodes introduites dans la profondeur du cortex, nous commençons enfin à comprendre les algorithmes qui nous font penser. Détecter la présence de la conscience, décoder à quoi pense un individu, un bébé ou même un animal, sortir les patients du coma, doter les machines d'un début de conscience... Le Code de la conscience ouvre d'extraordinaires perspectives pratiques et intellectuelles, en accordant une importance égale aux implications technologiques, philosophiques, personnelles et éthiques de la résolution du dernier des mystères.

[video:youtube]

Comme un intervenant en parle dans la vidéo, quelques mots sur Benjamin Libet :

Benjamin Libet, né le 12 avril 1916 à Chicago et mort le 23 juillet 2007 à Davis en Californie, était un scientifique pionnier dans le domaine de la conscience humaine. Il était chercheur au département de physiologie à l'université de Californie à San Francisco. Il est le premier à recevoir, en 2003, le « prix Nobel virtuel de psychologie » de l'université de Klagenfurt, « pour ses résultats dans le domaine de la conscience, l'initiation de l'action, et le libre arbitre ».

Source : CLIC

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    • Bonjour  J'ai trouvé ça extrait du New York time  Philippe  Version francaise (traduite) : Werner Reich, qui a appris la magie à Auschwitz, est mort à 94 ans Il avait 16 ans lorsqu’un codétenu, un magicien, lui enseigna un tour de cartes dans les baraquements du camp d’extermination. Il appelait cela un « miracle ». Dans les baraquements d’Auschwitz, où des hommes affamés, émaciés et mourants étaient entassés à six par lit, le plus proche voisin de Werner Reich était un homme allemand juif d’une trentaine d’années, courtois, nommé Herbert Levin, connu avant la Seconde Guerre mondiale sous le nom de Nivelli le magicien. Un jour, au début de 1944, M. Reich, alors âgé de 16 ans, revint au baraquement après une corvée, grimpa sur la couchette supérieure de son lit à trois étages et observa M. Levin battre un jeu de cartes sale que les gardes du camp lui avaient donné pour les divertir — une manière d’éviter d’être envoyé à la chambre à gaz. « Et je n’arrivais pas à y croire, vous savez — avoir un jeu de cartes à Auschwitz, c’était comme trouver un gorille dans sa salle de bain », se souvenait M. Reich dans une conférence TEDx en 2020. « Puis M. Levin s’est tourné vers moi, m’a tendu le jeu et m’a dit : “Choisis une carte.” Alors j’ai choisi une carte, et il a fait un tour pour moi. » Pour un adolescent qui n’avait jamais vu un tour de magie, c’était un « miracle ». M. Levin lui expliqua le truc, et M. Reich en mémorisa chaque étape durant tout son temps à Auschwitz — une distraction qui l’aida à survivre à l’horreur — puis pendant une marche de la mort de 55 kilomètres, dans la neige et la glace, vers le camp de Mauthausen, en Autriche. Ce n’est que plusieurs années plus tard, une fois libéré et arrivé en Angleterre, qu’il acheta un jeu de cartes et tenta le tour par lui-même. « Et ça a marché », dit-il. « Ça a magnifiquement marché. » Après avoir émigré aux États-Unis, M. Reich devint ingénieur, sans jamais perdre son amour pour la magie. Il exécutait des tours de cartes et de pièces devant de petits groupes, dans des temples ou lors des anniversaires de ses fils. Il est décédé le 8 juillet à son domicile de Smithtown, dans l’État de New York, a indiqué son fils David. Il avait 94 ans. Enfance et déportation Werner Reich est né à Berlin le 1er octobre 1927. Sa mère, Elly (Dux) Reich, reçut la Croix de fer pour son service comme infirmière sur le front de l’Est pendant la Première Guerre mondiale. Son père, Wilhelm, était ingénieur. La vie confortable des Reich fut bouleversée en 1933, lorsque les nazis prirent le pouvoir et que Wilhelm fut renvoyé de son emploi parce qu’il était juif. La famille se réfugia en Yougoslavie, où le père mourut de causes naturelles à Zagreb en 1940. Quand les nazis envahirent le pays en 1941, la mère de Werner envoya ses deux enfants, Werner et sa sœur Renate, se cacher dans des familles différentes. Werner vécut environ deux ans chez un couple membre de la résistance, avant d’être arrêté par la Gestapo. Commence alors sa vie de prisonnier, notamment dans un commissariat à Graz, en Autriche, où il aperçut sa mère dans la cour de la prison — la dernière fois qu’il la vit avant qu’elle ne soit vraisemblablement assassinée. À Theresienstadt (aujourd’hui en République tchèque), il fut contraint de tuer des nuisibles avec le pesticide à base de cyanure Zyklon B, le même utilisé dans les chambres à gaz. À Auschwitz, il dut courir nu devant le Dr Josef Mengele, qui décidait qui était assez fort pour travailler et qui serait envoyé à la mort. « Nous courions pour nos vies », raconta-t-il au New York Times en 2017. « On essayait d’avoir l’air fort, on souriait — tout pour paraître apte au travail. » Il survécut à Auschwitz, à la marche de la mort (au prix de plusieurs orteils amputés pour cause de gelures) et aux derniers mois à Mauthausen, avant d’être libéré par l’armée américaine le 5 mai 1945. Il avait 17 ans. Il pesait 29 kilos. Une nouvelle vie De retour en Yougoslavie, il s’enfuit deux ans plus tard vers l’Angleterre, où il devint outilleur-ajusteur et rencontra sa future épouse, Eva Schiff. Celle-ci faisait partie des 669 enfants tchèques, principalement juifs, sauvés avant la guerre par Sir Nicholas Winton, un agent de change britannique, grâce à des pots-de-vin, de faux papiers et des contacts secrets avec la Gestapo. Werner et Eva se marièrent en Angleterre et émigrèrent aux États-Unis en 1955. Après avoir obtenu un diplôme à City College of New York, il travailla comme ingénieur chez Nabisco et dans la chaîne de supermarchés Hills. Durant les 25 dernières années de sa vie, il témoigna dans des écoles, des synagogues et des associations de son expérience de la Shoah. Aux élèves, il transmettait un message contre le harcèlement : « Il disait que de bonnes personnes n’avaient rien fait — qu’il s’agisse d’un ami ou d’un pays », raconta son fils David. « Il disait : si tu vois quelqu’un se faire malmener, défends-le. Fais quelque chose. » Outre David, il laisse un autre fils, Mikal, et quatre petits-enfants. Son épouse est décédée en 2016. Sa sœur, Renate Romano, survivante de l’Holocauste, a immigré aux États-Unis en 1948 et est morte en 1999. Le legs d’un tour de magie Le tour de cartes de M. Levin resta gravé dans la mémoire de M. Reich toute sa vie. « Nous aimions tout ce qui pouvait nous arracher à Auschwitz ne serait-ce qu’un instant, tout ce qui pouvait détourner nos esprits de nos souvenirs et de l’horreur autour de nous », dit-il en 2017. En Angleterre, il se plongea dans la magie : il acheta un jeu de cartes, puis d’autres tours et livres de magie. « Il y a une ligne très, très fine entre un passe-temps et la folie », plaisantait-il dans sa conférence TEDx. M. Reich ne revit jamais M. Levin après Auschwitz et ignorait que celui-ci avait lui aussi émigré aux États-Unis, repris sa carrière de magicien et vécu à Rego Park, dans le Queens. M. Levin mourut en 1977, mais M. Reich ne l’apprit qu’environ 30 ans plus tard, en lisant un article dans The Linking Ring, la revue mensuelle de la Fraternité internationale des magiciens, dont il faisait partie. Le révérend William V. Rauscher, prêtre épiscopal à la retraite et magicien, rédigea cet article puis collabora avec M. Reich à son autobiographie, The Death Camp Magicians (2015), qui raconte aussi l’histoire de M. Levin. « C’était un assez bon magicien », dit M. Rauscher. « Il venait chez moi, sortait des cartes et des pièces et faisait des tours sur la table du salon. » « Les autres magiciens le trouvaient fascinant à cause de son lien avec Nivelli. » M. Reich n’oublia jamais M. Levin, ni le cadeau de ce simple tour de cartes qui, un instant, avait offert à un garçon terrifié une évasion et un geste d’humanité. « Ce n’est ni la valeur ni la taille d’un cadeau qui comptent vraiment », disait-il dans sa conférence TEDx. « C’est la façon dont tu le gardes dans ton cœur. »                  
    • @BoB Magicien est l’élève le plus ancien de @Philippe MOLINA et est aujourd’hui devenu un professionnel accompli, vivant de son art en tant qu’animateur et magicien. Dans ce programme, Bob partage 9 routines de cartes originales, accompagnées d’explications détaillées, d’astuces issues de sa pratique quotidienne sur le terrain, et de réflexions théoriques enrichissantes. Sa solide expérience du public, acquise au fil des années, se reflète dans chaque aspect de ce contenu. 🎁 Bonus exclusif – Bon Plan VM : Les Bavardes – PM & Friends S1E07 de Philippe MOLINA offert avec l’achat de la conférence ! 🎬 Durée : 2h45 Disponible en streaming + téléchargement, avec chapitrage pour un accès direct aux effets et explications. Un extrait avec une huile et eau : En promo dutant le Black Magic jusqu'à lundi minuit. https://www.virtualmagie.com/boutique/videos-magie/conferences-ateliers-videos-magie/philippe-vous-presente-bob-magicien/
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