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Les Signes de l'Existence de la Réalité


Patrick FROMENT

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Le 16/10/2019 à 19:30, Patrick (Shiva) a dit :

J’ai emprunté la formulation "en matière d’expérience consciente, l’apparence est la réalité" au philosophe de l’esprit John Searle.

Il dit exactement :

Là où il est question de la conscience, l’existence de l’apparence est la réalité.
John Searle - The Mystery of Consciousness, 1997

 

J'ai retrouvé une citation de John Searle sur ce sujet dans l'ouvrage de Markus Gabriel Pourquoi je ne suis pas mon cerveau :

 

Citation

Ce qu'il y a d'extraordinaire dans la conscience c'est que, si on a l'illusion de posséder une conscience on en possède effectivement une. Avec elle, il est impossible d'avoir, comme pour d'autres phénomènes recours à la différence habituelle entre apparence et réalité.

 

Ce raisonnement de John Searle, assez simple mais vertigineux, ruine, à mon avis, toutes les théories "illusionnistes" au sujet de la conscience qui ont été évoquées par ici (Daniel Dennett, François Kammerer...).

 

 

Le jour où tu te rends compte que le monde n'existe pas, la vie devient plus simple.

Paul Binocle

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Je cale la vidéo de ce cours d'Étienne Klein sur certains points qui devraient susciter l’intérêt de Shiva (et pas seulement ceux que je relève ci-dessous) :

« On n'a pas de définition de la matière donc... tout va bien. On ne peut définir la matière que de façon négative. [...] On peut non pas la définir mais la caractériser. » « On n'a pas de définition du temps... les concepts fondamentaux n'ont pas de définition. » 

"Étienne Klein : Cours n°1 - La naissance de la physique quantique."

 

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Et si le cerveau était bête ? Un titre attire l’œil... et l'esprit (mais l'original est The Mind is Flat: The Illusion of Mental Depth and The Improvised Mind) :

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Citation

 

Le subconscient et la " vie intérieure " ne seraient-ils qu'une illusion ?

Dans cet essai novateur, le psychologue et comportementaliste Nick Chater propose une nouvelle approche révolutionnaire du fonctionnement de l'esprit humain.

Le subconscient et la " vie intérieure " ne seraient-ils qu'une illusion ?

Nous aimons penser que nous avons une vie intérieure, que nos croyances et nos désirs proviennent des profondeurs obscures de notre esprit, et que si nous savions comment accéder à ce monde mystérieux, nous pourrions vraiment nous comprendre nous-mêmes. Pendant plus d'un siècle, les psychologues et les psychiatres se sont efforcés de découvrir les secrets de notre conscience.


Nick Chater révèle que cette entreprise est vouée à l'échec. S'appuyant sur l'état de la recherche en neurosciences, en psychologie du comportement et de la perception, il démontre que notre esprit n'a pas de " profondeurs cachées " et que la pensée inconsciente est un mythe. Notre cerveau, tel un grand improvisateur, génère en fait nos idées, nos motivations et nos pensées dans le moment présent.
À travers des exemples visuels et des expériences contre-intuitives, nous comprenons que notre esprit s'invente en permanence, improvisant constamment notre comportement à partir de nos expériences passées.
Original et délicieusement provocateur, ce livre nous oblige à reconsidérer ce que nous pensions savoir sur le fonctionnement de notre esprit.

 

 

Citation

Nick Chater est professeur de sciences du comportement à la Warwick Business School. Il y a fondé le groupe d'étude des sciences du comportement, qui est le plus important du genre en Europe. Il est également conseiller auprès du Behavioral Insights Team, l'agence de mise en application des sciences du comportement rattachée au gouvernement britannique.
Il est membre du Comité britannique sur le changement climatique et membre de la Cognitive Science Society et de la British Academy.

 

 

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Et si la conscience était aussi une affaire de cœur... 💗 :

Citation

C'est aussi une histoire de cœur. Aussi extraordinaire que cela paraisse, « la réponse cérébrale à ses battements serait à l'origine de la conscience de soi », la conscience trônant, on l'aura vu, comme grand titre de couverture de ce mois-ci de La Recherche. Grâce à sa position centrale dans notre corps, le cœur constituerait un « point d'ancrage » pour différentes régions du cerveau (cortex somatosensoriel, cortex cingulaire, insula) et participerait à la « stabilité du soi » (lire p. 41). De telles explications, émanant de Catherine Tallon-Baudry, de l'École normale supérieure de Paris, qui évoque dans nos pages ce qu'elle nomme un « soi minimal », ont déjà de quoi bouleverser. De fait, c'est tout le dossier piloté par le journaliste spécialisé Gautier Cariou qui se révèle renversant.

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 La Recherche n° 554, décembre 2019, en ce moment en kiosque. 

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Il y a 9 heures, Christian GIRARD a dit :

C'est aussi une histoire de cœur. Aussi extraordinaire que cela paraisse, « la réponse cérébrale à ses battements serait à l'origine de la conscience de soi »

Ah ! Revoila le Shen !

Citation

Le Shen ou Esprit-Shen  est en Médecine Traditionnelle Chinoise une notion très complexe , la forme la plus immatérielle du Qi.
Il regroupe l'ensemble de nos fonctions psychiques et spirituelles.
Sur un plan spirituel l'esprit Shen peut être perçu comme la connexion de notre être à l'univers.
(...)
Le Shen est la conscience de notre moi ,C'est grâce à lui que nous pouvons juger et discerner avec un esprit clair et serein ,Il régule nos émotions et évite les extrêmes.

Citation

Selon la médecine traditionnelle chinoise le Shen réside dans le cœur.

Source ICI et ICI

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A noter que cette conception selon laquelle le cœur est le siège de la conscience (et non le cerveau) est très courante dans les spiritualités orientales (on retrouve largement cette idée dans le bouddhisme tibétain).

Cette conception est aussi présente chez les anciens Egyptiens :

Citation

Dans  le processus  de  momification , le cerveau était tout  simplement  détruit , ce qui  montre le  peu  d'intérêt  que lui  montraient les  anciens  Egyptiens.  Quatre  viscères, le  foie  les   poumons  l'estomac  et les intestins étaient modifiés et placés  près du  sarcophages dans  des  vases   traditionnellement  appelés  vases  canopes[...]. Le cœur , lui  subissait  un sort très  différent puisqu'il  était  replacé dans le  cadavre  momifié avant que  celui-ci  ne fut  inhumé. C'est  que les anciens  égyptiens lui  avaient  déjà  reconnu un rôle  particulier. Non  qu'ils  aient anticipé la  découverte de  la circulation  sanguine par  Harvey , mais au  moins avaient-ils fait le lien entre les  battements  du  cœur  et le  pouls en reconnaissant  que  "le  cœur  parle  dans les  vaisseaux  de  chaque membre" comme nous l'apprend un  célèbre   papyrus  médical  .Par là,  le  cœur  devenait le  facteur  intégrant  nécessaire  pour   connecter les  différentes parties  du  corps et  faire  de  ce  dernier une  entité qui  ne  se réduise pas  à ses parties.
Mais au-delà de  cette fonction  d'intégration , le  cœur devient  déjà   à  cette  époque  le  réceptacle  des  émotions,  du  désir  et  de l'affectivité comme  il le reste  dans nos  langues modernes en  dépit  des progrès  de  nos  connaissances physiologiques , Il est  aussi  pour les  anciens  Egyptiens  , le  siège  de  l'esprit,  de  l'intelligence  créatrice,   du  savoir et  finalement  de la  conscience, alors que le  rôle du cerveau  comme  on l'a vu,  leur  est  totalement  méconnu.

Serge Feneuille - Paroles d'éternité

 

Aristote avait, également, une conception proche. Il pensaiteffectivement, que le centre de la conscience était dans le cœur et que le cerveau ne servait pas à penser, mais à refroidir le sang ! 🙂

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Paul Binocle

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Le cœur génère un champ de concience unifié
"Les sentiments des humains et notamment le champ magnétique généré par le cœur quand il éprouve certaines émotions, s’étendent au-delà de notre corps". D’après le conférencier: "Lorsqu'un groupe de personnes se réunirait pour créer une émotion de calme, de paix dans leur cœur, celle-ci serait capable d'influencer le champ magnétique qui maintient la vie sur Terre".

"Cet effet peut également être corrélé à l'expérience du centième singe", poursuit Stéphane Eyrault. Il s’agit de recherches menées par une équipe de scientifiques au Japon sur le macaque Fuscata. Leurs observations portaient sur l’étrange propagation d’une habitude innovante, à savoir laver une pomme de terre dans l’eau, à des colonies entières de singes sur d’autres îles, et ce de façon inexpliquée et simultanée.
Ils ont établi que le point de bascule avait eu lieu dès lors qu’un énième singe de l’île avait adopté cette pratique: soit le centième.
Les scientifiques ont ainsi émis l’hypothèse selon laquelle chaque espèce serait reliée à une grille de conscience et un réseau spécifique ; dès lors que l’un d’eux initierait un comportement pour mieux s'adapter à l’environnement, qui serait repris par l’ensemble, un nombre suffisant d’individus touchés permettrait l’adoption d’un nouveau rite collectif. Un principe qui vaut également pour l'espèce humaine.

Des sagesses ancestrales
Si la science a commencé à l’étudier récemment, en réalité, cette pratique date de la nuit des temps. "Les chamanes mayas, les Celtes, les Égyptiens, les chrétiens, toutes les grandes traditions connaissent ce principe, rendu hermétique en usant de métaphores", soulève Stéphane Ayrault. L’une des paraboles l'illustrant est celle de Jésus : "Je vous le dis en vérité, si vous avez la foi comme un grain de sénevé, vous direz à cette montagne : “Déplace-toi d’ici à là" et elle se déplacera et rien ne vous sera impossible". Selon notre expert, cette parabole vieille de deux mille ans nous enseigne que la foi dont parle le Christ est bien davantage que de simples mots : "C’est un langage puissant par lequel choisir une certaine réalité parmi les possibilités infinies qui existent".

On reconnaît aujourd’hui "la coexistence de plusieurs réalités à l'intérieur d’une soupe cosmique de possibilités", comme la nomme Gregg Braden, ce qui donne à cette métaphore ancestrale une saveur toute contemporaine.
Ainsi, nous serions tous interreliés ! soulève Stéphane Ayrault : "Plus nous serons nombreux et réguliers, plus nous aurons la possibilité que la conscience collective bascule dans un champ de sagesse, comme en témoigne la théorie du centième singe...

Scanné dans la revue Inexploré de Janvier 2020.

 

La parole est d’argent, mais le silence est d’or.

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Il y a 10 heures, Christian GIRARD a dit :

Du coup peu crédible... 

la foi qui déplace les montagnes, c'est plus que peu crédible !
mais le singe qui lave sa patate, c'est un simple constat statistique
tout comme les inventions historiques qui apparaissent simultanément à plusieurs endroits du globe au même moment, bien avant l'avènement des voyages planétaires et d'internet

...et ce malgré le mental hypertrophié de l'homme dont la conscience, chez certains, est moins développée que celle du singe: le mental restant toujours le premier obstacle à l'appréhension de la réalité

La parole est d’argent, mais le silence est d’or.

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Il y a 2 heures, Christian DELAMORINIERE a dit :

le singe qui lave sa patate, c'est un simple constat statistique

Hello Christian 🙂 

On a déjà évoqué le centième singe dans VM.

 

Mais d'abord voici ce qu'on trouve en un clic sur Wikipédia à ce propos, extraits :

Citation

L’expérimentation examinée

En 1985, Elaine Myers examina la recherche en question dans le journal In Context. Elle y affirme que la recherche en référence (par le centre des singes japonais, vol. 2, 5 et 6 paru dans Primates) n’est pas suffisante pour étayer les affirmations de Watson. Elle y trouve bien la propagation naturelle d’un nouvel apprentissage mais n’y voit pas le supposé phénomène du centième singe en particulier dans sa diffusion aux autres îles.

Citation

L'histoire est devenue populaire dans le courant New Age et fait office d'anecdote favorite dans diverses conférences de ce type.

Les mouvements sceptiques ont critiqué l’interprétation de la recherche, en soulignant en particulier que la transmission du savoir ne se serait faite qu’aux jeunes singes et cela au fil de plusieurs années et qu’un des singes au moins aurait pu nager jusqu’à une autre île et transmettre cette méthode de lavage des patates douces. Selon Les Sceptiques du Québec, l'histoire narrée par Lyall Watson dans Lifetide est fausse, la partie sur la transmission mystérieuse aux îles environnantes serait un mensonge de l'auteur.


 

Citation

Le primatologue japonais Masao Kawai a également repris les recherches de Lyall Watson et a observé pour sa part des singes nageant d'îles en îles, ainsi que l'apparition spontanée de la même technique de nettoyage à l'eau sur d'autres îles.

En 1985, le professeur en philosophie des sciences et pseudosciences de l'Université d'Hawaï Ron Amundson publie dans le Skeptical Inquirer une contre-analyse de l'étude de Lyall Watson. En reprenant les données collectées, il étaye que le nombre 100 semble plus être un choix symbolique qu'une réalité mesurée. Il affirme également que les données ne permettent pas de valider qu'une transformation instantanée et généralisée s'opère à partir du moment où le 100e sujet est impacté par le comportement de la minorité visible.

Le lien pour l'article complet https://fr.wikipedia.org/wiki/Centième_singe

Pour info, voici le sujet qui existe depuis 2013 dans VM ayant un lien avec cette histoire (présentée d'entrée par l'internaute qui a ouvert le sujet comme « douteuse ») :

https://virtualmagie.com/forum/sujet/28439-the-100th-monkey-de-chris-philpott/

 

 

Il y a 2 heures, Christian DELAMORINIERE a dit :

tout comme les inventions historiques qui apparaissent simultanément à plusieurs endroits du globe au même moment, bien avant l'avènement des voyages planétaires et d'internet

Hum, là cela fait référence à tout ce qui tourne autour de la sphère des « champs morphogénétiques », une idée propagée essentiellement par Rupert Sheldrake. Désolé mais :

Citation

Le champ morphogénétique (ou « champ morphique », « résonance morphique » ou « champ de forme ») est une expression qui définit un champ hypothétique qui contiendrait de l'énergie ou de l'information sans être constitué de matière (atome, électrons, etc.). Ces champs seraient déterminants dans le comportement des êtres vivants notamment en ce qu'ils hériteraient d’habitudes de l’espèce par « résonance morphique » et que leurs actions influenceraient les dits « champs de forme ».

Il s'agit d'un concept qui n'est pas scientifiquement validé, donc qui se limite à une croyance.

 

Citation

Les promoteurs de cette croyance, à l'instar de Rupert Sheldrake, établissent une analogie entre cette notion et celle de champ de force, telle qu'elle est définie en physique. Cependant, les champs de forme n'ont aucun support vérifiable ni réfutable, ils échappent donc par définition à toute possibilité d'expérimentation scientifique.

L'idée a été adoptée par diverses pensées pseudo-scientifiques. Les ondes et champs de forme ont été popularisés par la spiritualité New Age.

Citation

Le concept de champ morphogénétique a d'abord été introduit en 1922 par Alexandre Gourvitch. Pendant l'embryogenèse, un facteur extérieur à l'embryon semble déterminer son développement : le champ embryogénique. Le concept de champ fut encore développé par l'ami de Harrison, Hans Spemann, et puis par son disciple à Yale Paul Weiss en 1939 et d'autres. Dans les années 1930, les travaux des généticiens, notamment Thomas Hunt Morgan, ont démontré l'importance des chromosomes et des gènes dans le développement.

Le concept a été recyclé en 1981 par Rupert Sheldrake dans A New Science of Life: The Hypothesis of Morphic Resonance. Il déplace le concept de champ morphogénétiques à un domaine invisible et transcendant (donc non réfutable), concept qui résonne avec des notions comme l'inconscient collectif de Carl Gustav Jung ou la notion d'égrégore de l'ésotérisme occidental.

Source et article complet ici https://fr.wikipedia.org/wiki/Champ_morphogénétique

 

Quant à Sheldrake, voici comment il est qualifié :

Citation

Rupert Sheldrake (né le 28 juin 1942), est un auteur parapsychologue anglais.

Lire la page Wiki ici https://fr.wikipedia.org/wiki/Rupert_Sheldrake

 

Il faut bien différencier ce qui a vraiment trait à la science (au regard des connaissances actuelles) et ce qui peut être le support imaginaire à la narration dans la cadre d'une routine de magie par exemple, et c'est à cette fin que je relaie de temps en temps dans VM des infos sur ces domaines « qui font rêver » et suscitent la curiosité. J'ai évoqué Sheldrake ici par exemple :

https://virtualmagie.com/forum/sujet/8470-presse-la-télépathie-téléphonique-réalité-ou-statistique/?do=findComment&comment=342506

 

ou là :

https://virtualmagie.com/forum/sujet/22751-la-cause-animale/?do=findComment&comment=568638

 

 

 

Il y a 2 heures, Christian DELAMORINIERE a dit :

... et ce malgré le mental hypertrophié de l'homme dont la conscience, chez certains, est moins développée que celle du singe : le mental restant toujours le premier obstacle à l'appréhension de la réalité

Allons bon !

Pour info, l'homme ne peut pas avoir une conscience « moins développée que celle du singe » pour deux raisons : « un singe », ça ne veut pas dire grand chose dans le cas présent car il en existe de nombreuses espèces différentes, sans doute avec des « niveaux de conscience » différents. Par ailleurs, l'homme (au sens Homo sapiens) fait lui aussi partie de ce qu'on appelle les « grands singes » (avec « les gibbons, les orang-outans, les gorilles et les chimpanzés ») donc ta phrase serait peut-être un poil mieux tournée comme ceci « ... et ce malgré le mental hypertrophié de ce grand singe qu'est l'homme dont la conscience, chez certains, est moins développée que celle d'autres Simiiformes : le mental restant toujours le premier obstacle à l'appréhension de la réalité ». Ceci dit dans les cercles véganes peuvent se poser des questions du type « Entre un homme dans un coma profond depuis des années, un "légume" comme on dit, et un cochon en pleine possession de ses facultés mentales, lequel a le plus de conscience ? »

  Pour terminer, je ne sais pas comment on évalue le niveau de conscience d'un humain et celui d'autres d'un membre d'une autre espèce pour pouvoir les comparer, il existe un instrument de mesure pour ça ? Pas la peine de me répondre, j'ai bien compris que c'était une sorte de saute d'humeur mais j'aimerais bien que tu me définisses ce qu'est « le mental » dont tu parles et qui serait un obstacle majeur à « l'appréhension de la réalité ».

Oups, la « réalité » 😆, ça fait huit ans et 155 pages qu'on en débat dans VM, ici  :

https://virtualmagie.com/forum/sujet/22298-les-signes-de-lexistence-de-la-réalité/

 

L'année 2020 😂 commence fort 

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