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Christian GIRARD

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Tout ce qui a été publié par Christian GIRARD

  1. Mon Dieu ! Quelque chose de diffus me pousse à penser que les premiers sont des ignares et les seconds sont les théistes.
  2. c'est plus qu'un handicap! Handicap..? L'accent est mis sur un problème de "sans t"... Merci pour la perche Pop Trèèèèès bon Monsieur M ! Chapeau bas ! Benoît : C’est vrai qu’elle déboussole, j’suis complètement à l’ouest ! La preuve, j’aurais écrit « Quatrième Guerre mondiale » s’il n’y avait eu cette radicalisation… Lors d’une rencontre du troisième type ?… Oui, ce doit être dangereux, surtout s’il s’agit d’un sale type. Merci à Lancelot pour tous ses petits messages instructifs : Plus de précisions ici : TLF : "Pour Ac. 1932, convoler signifie « se remarier » et ne s'emploie qu'en parlant d'une femme, ce qui ne semble pas confirmé par les ex. rencontrés ds la docum. 2. Certains dict. (Lar. 19e-20e, BESCH. 1845, LITTRÉ, GUÉRIN 1892, QUILLET 1965) enregistrent le subst. masc. convol. Action de contracter un second mariage." Mais il ne s’agit plus du sens actuel du verbe qui signifie désormais (« passer à autres chose » ou) « se marier ».
  3. Hello Frantz Merci pour le document, je vois où se situe le problème. Dans l’impossibilité de résumer toutes les règles relatives aux majuscules, concentrons-nous sur le seul cas du nom de guerre qui prend une minuscule dès lors qu’il est suivi d’un complément ou d’un adjectif (c'est-à-dire de déterminants précis permettant de comprendre de quelle guerre il s’agit), par exemple « la guerre de Trente Ans ». Le nom « guerre » est ici un banal nom commun. Mais, sans complément, il est convenu d’entériner la majuscule pour une époque marquante de l’Histoire (« avec une grande hache » disait Perec), par exemple à « Grande Guerre » (l’adjectif « Grande » prenant également une majuscule parce que placé DEVANT le nom à majuscule, c’est la règle). Lorsque l’on écrit « Seconde Guerre mondiale », le cas de figure est très particulier puisque le substantif est « entouré » par deux adjectifs (cas soulevé par ton lexique de l’Imprimerie nationale), un devant et un derrière (Mmmm, c’est bon !). Mais les majuscules dans « Seconde Guerre (mondiale) » étant entérinées (ce qui n’est pas le cas par exemple pour « guerre de 1939-1945 ») et « mondiale » étant un adjectif comme un autre (en minuscule puisque placé derrière le substantif), le choix de « Seconde Guerre mondiale » s’impose. La « majuscule de signification » (et non la « majuscule de position ») permet de donner du sens qui différencie la référence historique d’une « seconde guerre mondiale des marchands de logiciels » par exemple. Tout ceci montre à ceux qui ne s’en doutaient pas le véritable casse-tête qu’est le quotidien d’un correcteur. L’exemple ci-dessus n’est que l’un des nombreux problèmes auxquels il doit se confronter, beaucoup bien plus épineux d’ailleurs. Christian
  4. Je pense à toi, courage ! Bisous Christian
  5. – Le Petit Robert universel des noms propres (dirigé, faut-il le rappeler ?, par Alain Rey) orthographie « Première Guerre mondiale » et (ainsi que je l’affirmais comme tout à fait possible dès mon premier message) « Deuxième Guerre mondiale ». – Le Petit Larousse donne « Première » et « Seconde Guerre mondiale », toujours avec les majuscules. – Toute l’orthographe (B. Gaillard et Jean-Pierre Colignon [« Spécialiste de la langue française et correcteur au journal Le Monde, Jean-Pierre Colignon est l'auteur d'une vingtaine d'ouvrages sur la langue française. »], Collection Les dicos d’or de Bernard Pivot). Je cite : « Les noms d’événements historiques, d’époques, etc., prennent une majuscule pour éviter un risque de confusion avec un autre sens du mot : […] l’Antiquité, la Renaissance, le Moyen Âge, la Seconde Guerre mondiale […] » – Par ailleurs, l’un de mes livres de référence lorsque je suis amené à trouver des réponses relatives à la majuscule d’un mot est La majuscule, c’est capital ! du même Jean-Pierre Colignon. Le livre ne traite QUE de cette question. L’auteur y affirme sa nette adhésion à la dénomination de « Seconde Guerre mondiale » pour les raisons déjà évoquées plus haut mais là aussi, la majuscule s’impose. Oui, mais alors là on n'en sort plus... [...] (Dois-je expliquer toutes les graphies et raisons qui font que le texte est bien écrit correctement ?) Je n’explique pas le choix que je fais, j’utilise la différence admise par certains entre « second(e)" et « deuxième » et j’opte pour le mot qui évite un quiproquo. C’est tout, je ne commente pas. Certes. (Tu remarqueras cependant que je ne t'en ai jamais fait le reproche... ) Hum, j’avais pourtant cru lire : Ton assertion ci-dessus était donc mal formulée puisque je n’ai jamais dit ou écrit qu’il y aurait une majuscule à « mondiale » dans ce nom de guerre — ce que sous-entend nettement ta phrase. Ma source sur ce coup là est le Lexique des règles typographiques en usage à l'Imprimerie nationale, édition 2002, p. 96... On va donc dire que l'on a tous les deux raison (ou tort...) Mon objectif personnel n’est pas de savoir si j’ai tort ou raison, c’est juste de comprendre, de trouver ce qui semble le plus juste. Si tu peux numériser et m’envoyer cette fameuse page 96 du lexique de l’Imprimerie nationale, ça me ferait vraiment plaisir, merci d’avance. J’aimerais connaître l’argumentation qui contredit les règles orthographiques défendues par les institutions ou références solides que j’ai citées. Dans l’attente, je persiste et signe quant à l’orthographe de « Seconde Guerre mondiale » ou de « Deuxième Guerre mondiale ». (Je précise que Frantz et moi, on est copains et que cette discussion fleure bon le débat d’idées. Faut dire qu’il s’agit d’une énigme de niveau 4, normal qu’on pinaille !)
  6. Oui Benoît, je n'en suis pas dupe, j’appelle ça le syndrome Petitbonhomme, nouvelle citation personnelle (désolé) : Le lien (voir la fin du message) : Syndrome Petitbonhomme
  7. Hello Frantz Je suis tellement d’accord avec ceci que j’applique généralement moi-même ces recommandations ! (voir le lien donné plus haut L’Énigme des trois médaillons) : Christian Girard C’est clair, non ? Frantz : Frantz, je n’ai pas relevé la moindre faute à « mondiale » , tu peux relire chacune de mes interventions point par point (et oui !, je suis attentif à la typographie mais là il s’agit d’orthographe, tout simplement). Pour ce qui est des majuscules à « Seconde Guerre», je te renvoie au dictionnaire de l’Académie française (neuvième édition), je cite : Libre à toi cette fois-ci de ne pas suivre les recommandations de L’Académie française. Voici le lien : Dictionnaire de l'Académie Il arrive à Christian Girard de se tromper, comme cela arrive à tout le monde, mais j’ai l’impression que sur ce coup-là il s’agit d’un faux procès. C.G.
  8. Non ! Benoît, je persiste et signe. Un bon professeur de français n’aurait pas commis les erreurs présentes dans ta maladroite formulation initiale (que tu as perfidement modifiée à la suite de mon premier message et des remarques de Popnorges ). Ton texte d’origine était : Benoît Indépendamment de l’orthographe et de la syntaxe hasardeuses qu’on te connait (mais on t'aime bien quand même ), j’ai immédiatement donné ma réponse relative à la prétendue différence entre « second » et « deuxième », une question que je connais bien (pas sur la base d’un seul lien Internet pointant vers un site québécois comme tu le fais mais sur celle d’une très bonne documentation d’ouvrages traitant de la langue française et ses difficultés) et dont j’ai parlé ici-même en janvier 2009, je me cite : Je vous renvoie à la suite du sujet pour les détails : L'énigme des trois médaillons On peut y lire cette remarque de Sorano : :whistle: En tout état de cause, et comme je le soulignais, on ne peut orienter la réponse à ton énigme en se fondant sur cette erreur courante, l’affirmation d’une réelle différence (quoiqu’il y ait nuance) entre les deux termes étant totalement inexacte. Donc un professeur de français réputé n’aurait JAMAIS écrit la phrase que tu proposes, non sur la base de cette pseudo-ambiguïté qui est la clé (« pipée ») de ton énigme mais sur celle des autres fautes de français contenues à l’origine dans la « citation ». La différence subtile entre « second » et « deuxième » eut-elle été avérée, ton énigme ne serait pas dénuée d’intérêt. Mais force est de constater que seul le paradoxe inhérent à ta formulation d’origine permet de répondre avec un semblant d’honnêteté intellectuelle : un « bon » professeur de français ne pourrait commettre autant d’erreurs en une si courte phrase (la minuscule fautive et l’absence de point final), c’est donc que ledit « réputé professeur » n’existe pas, la réponse à ton énigme est donc bien « JAMAIS ». Christian Girard, pour servir et valoir ce que de droit
  9. Sans oublier que "les derniers seront les premiers, et les premiers seront les derniers." (Matthieu 20.16)
  10. Jamais, car un (bon) prof de français aurait mis une majuscule à "Deuxième" et n’aurait certainement pas oublié un point en fin de phrase. Je rappelle à Benoît que, contrairement à ce qu’il pense, le terme de « second » n’est en aucun cas un choix meilleur à « deuxième » dans le cas de figure qu’il soulève, mais on en a déjà débattu ici. « Second » ne signifie pas qu’il n’y a pas de « troisième », et « deuxième » n’implique pas obligatoirement un (ou une) « troisième ». Christian, pressé, qui ne se relit pas…
  11. Ouvrez un document Word et tapez les lettres : ee Surlignez et passez en police Bookshelf Symbol 7. Surprise !...
  12. ... et qui ait un tigre dans son moteur !
  13. Romaric, jette un oeil sur ce sujet "à quatre pages" ( : Benoît ) : SAW V, saw-six et autres saw-sept vertes (Une remarque sérieuse en passant : le moteur de recherche de VM ne me donne pas satisfaction, et vous ?).
  14. Il n’est pas exclu que Gainsbourg aurait été sensible à cet humour, non ? Ludovic, tu pourrais peut-être intégrer ici une image de ta sculpture en hommage à Gainsbourg, elle est vraiment chouette. Christian Ah, regardez, c’est à 1’46 qu’il commence à… [video:youtube]http://www.youtube.com/watch?v=PDd7z9cfCgM
  15. Juste, les gagnats ? Et rien pour les perdats ? C'est pas marrat . Christia
  16. CORN-FLASQUE. Flocon de maïs grillé détrempé dans du lait. Mille mots dans une valise – Copyright © Christian Girard 2005 – Tous droits réservés
  17. Bravo Benoît, tu trouves même des réponses à des énigmes qui n’existent pas ! De plus en plus fort…
  18. Merci Ludo. De très belles choses sur son site aussi...
  19. Saut de coupe. Bon, je poste un poème : Des armes honnies Elle aimait l’art, Monika, la musique : elle aimait l’harmonica. Elle avait versé des larmes au Nicaragua à cause de l’arme honnie qu’avaient les soldats. L’harmonie qu’avait connue Monika se dés-harmonisa. Ni l’art (mot) ni K (lettre) n’apportèrent de réponse à sa tristesse. Elle se tira une balle dans le lard. ..................................................... Monique A. Copyright aussi, C.G.
  20. Oui Pop, c'est pourquoi j'écrivais "Mais d'autres ont fait "mieux et plus" depuis (et ne trouvent pas d'éditeur !)" car ces "autres" ont réussi ce challenge d'écrire un palindrome plus long mais porteur de sens. L'exploit quoi ! Quant à Georges Perec, il s’agit de l’un de mes auteurs fétiches, il restera l’un des écrivains marquants de la seconde moitié du XXe siècle. Je viens de jeter un œil dans ma bibliothèque, je trouve une quarantaine d’ouvrages relatifs à Perec (de lui ou sur son œuvre) et j’en ai encore pas mal en attente de lecture (oui, son apport est si important qu’il génère chaque année de nouvelles publications et études diverses). Mon admiration pour cet auteur est d’ailleurs l’un des éléments que j’utilise dans mon texte du tour La Prédiction de Dudeney que j’ai décrit dans Arcane n° 112. J’ai également fait plusieurs travaux personnels ayant un rapport direct avec son œuvre, le dernier en date, fort modeste, étant ma participation au Je me souviens spécial magiciens qu’avait organisé Spiouf sur VirtualMagie.
  21. Otto Wessely : Valérie Bègue et son yaourt fait pâle figure à côté ! ( Voir fichier-joint ci-dessous tiré de : http://arts.fluctuat.net/dita-von-teese/photos/10410.html )
  22. Si, la morte alitée s'écoule, mais il faut attendre quelques heures.
  23. (Très bon le vert missel, une énigme dans l'énigme...) Benoît joue du contrepet comme M. Jourdain fait de la prose, je relève : « Ça fend le talus. » « Par ma foi ! Il y a plus de quarante ans que je dis de la prose sans que j'en susse rien ». Molière, Le Bourgeois gentilhomme, acte I, scène 5. Benoît : Prétentieux ! Suis sûr qu’il ne tient pas aussi longtemps…………………………… ton cerveau ! Emi : Ah ben c’est gentil pour ceux qui bossent, merci aussi ! Emi : Tu n’as pas dû rencontrer les bonnes personnes… Des nouilles, des penne, du vermicelle, … Plus qu’une proposition et… tous à quatre pâtes ! Par ailleurs, mon amie Fabienne Gambrelle (qui fréquentait régulièrement Les Amis de la magie à l’époque de feu Pierre Jacques) a écrit entre autres ouvrages un beau livre sur les pâtes qui est loin de n’être qu’un recueil de recettes puisqu’il contient une recherche historique très détaillée sur l’origine de la pâte ! 100% pâtes Me sens comme un coq en pâte sur ce forum Quiz. Ce jeudi, c’est ravi au lit. C.G.
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