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Christian GIRARD

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Tout ce qui a été publié par Christian GIRARD

  1. Merci. J'ajoute ceci : Plus de 31 mille milliards de chiffres après la virgule ! (31.415.926.535.897, c'est marrant d'ailleurs car ça commence par 3 14 159... Quel hasard !). À lire ici : https://www.journaldugeek.com/2019/03/15/employee-google-pulverise-record-de-decimales-nombre-pi/
  2. Cherchant des infos sur Respighi (dont le prénom est Ottorino, on ne rit pas siouplaît !) et "Les Pins de Rome" (oui, ma vie est passionnante ), dont le finale « les Pins de la via Appia », par l'orchestre symphonique de Boston dirigé par Seiji Ozawa (oh, ça va !), je suis tombé (sans me faire mal) sur cette info qui fait sens ici : La Boutique fantasque Source, détails et argument ici : https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Boutique_fantasque URL pour l'ORL : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ottorino_Respighi
  3. Tu as mis moins de temps à réagir que celui nécessaire à regarder les vidéos, tu m'épateras toujours !
  4. Quelle émotion, quoi de plus magique que la transformation de son propre univers ! : "Un enfant daltonien teste des lunettes EnChroma" : https://actu.orange.fr/societe/videos/un-enfant-daltonien-teste-des-lunettes-enchroma-VID0000002nk6w.html Une réaction plus distanciée ici : Une réaction de Christian Chelman, Zappy, FRANK44, clémentVP, alexis, Cyril L. et Christopher sur le sujet peut-être, avez-vous essayé ce type de lunettes ?
  5. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Nyckelharpa Une pensée pour notre regretté Lancelot avec cette dame du lac :
  6. ... ce qui se comprend, Bob est à la mode, voir cette information qu'un camarade véhicule dans VM :
  7. Merci de mettre ainsi en lumière mon esprit plein de contradictions, j'assume mon côté "rebelle du jeudi matin". Saw long, Woody.
  8. On m'avait conseillé "Le chant du loup" mais je n'ai pas trop accroché (déjà, la bande annonce, hum), j'y suis allé car j'aime bien l'acteur François Civil (et pour faire plaisir à des proches). Une critique, dont je partage les grandes lignes, ici : https://www.avoir-alire.com/le-chant-du-loup-la-critique-du-film
  9. Môôôsieur Woody pris en flagrant délit de récupération d'une blague de 2008, non mais ! : Source (et rebondissements personnels sur la question) :
  10. Pour les amateurs qui auraient 10000 euros traînant au fond d'un tiroir : "AUTOMATE MAGICIEN. POSSIBLEMENT RENOU-JUMEAU. PORCELAINE. FRANCE. FIN XIXe S." C'est ici : https://www.ebay.fr/itm/AUTOMATE-MAGICIEN-POSSIBLEMENT-RENOU-JUMEAU-PORCELAINE-FRANCE-FIN-XIXe-S/264029125431?_trkparms=aid%3D333200%26algo%3DCOMP.MBE%26ao%3D1%26asc%3D20180409081753%26meid%3De0133de87bc54fea8e1c9a8e7ab2b146%26pid%3D100008%26rk%3D4%26rkt%3D8%26sd%3D163542914427%26itm%3D264029125431&_trksid=p2047675.c100008.m2219#viTabs_0 Attention quand même :
  11. Ceux pour qui ça rame ? Pour eux c'est la pagaille ! *** Cabinet de curiosités sociales de Gérald Bronner :
  12. (Bizarre et hyperréaliste aussi ce message qui semble une reproduction à l'identique du précédent.)
  13. Du coup se pose une question : peut-on parler d'hyperréalisme si le sujet représenté... n'existe pas ? Voir le sujet ouvert par Woody ici : Un message connexe :
  14. Du coup se pose une question : peut-on parler d'hyperréalisme si le sujet représenté... n'existe pas ? Voir le sujet ouvert par Woody ici : Un message connexe :
  15. Source et article complet ici : https://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article177 Classification phylogénétique du vivant Guillaume Lecointre et Hervé Le Guyader, illustrations de Dominique Visset. Belin, 2001, 36,44 €, 512 pages.
  16. Application du principe du ressort Slinky en sculpture :
  17. Mille mercis pour le conseil Teddy, j'en reviens, le spectacle était magnifique. "Raoul" figure désormais parmi la liste des spectacles recommandés par le Guide Girard, ne le ratez pas ! Le décor du tout début est déjà impressionnant, je ne vous raconte même pas la suite ! L'acteur y évolue en trois dimensions à la fois acrobate, mime, danseur, magicien, musicien... À ne pas rater !
  18. Site de l’artiste : https://www.gackoart.com/ https://www.gackoart.com/sculptures https://docs.wixstatic.com/ugd/36b762_87a79891d1624f21a3b8ee16d4403279.pdf
  19. Le 20e salon Culture & Jeux Mathématiques se tiendra du 23 au 26 mai 2019 place Saint-Sulpice, à Paris. https://www.cijm.org/salon
  20. La magie des illusions d'optique (mais pas seulement) : PRÉSENTATION PAR LES COMMISSAIRES DE L'EXPOSITION (MICHEL GAUTHIER ET ARNAULD PIERRE) : Si le nom de Vasarely évoque des images colorées jouant de l’illusion optique, toute l’envergure et la logique de son œuvre restent mal connues plus de vingt ans après sa disparition. La dernière grande exposition parisienne consacrée à l’artiste remonte à 1963, au Musée des arts décoratifs. La rétrospective que vous invite à découvrir aujourd’hui le Centre Pompidou aborde l’œuvre sous l’ensemble de ses facettes, plutôt que de ne privilégier que les aspects qui seraient conformes à l’idée communément reçue du Grand Art. Au travers d’un ensemble exceptionnel de près de quatre-vingts peintures, d’une intégration architecturale et d’une sélection très large de multiples, découvrez au fil de cette rétrospective une œuvre qui s’est hissée, avec la DS ou les fauteuils de Pierre Paulin, au niveau des grandes mythologies techniques et culturelles de son temps. Avec cette exposition, il s’agit de révéler le « logiciel » de Vasarely. Celui-ci possède une double dimension. En héritier des avant-gardes historiques de la première moitié du 20e siècle et tout particulièrement du Bauhaus, Victor Vasarely s’est lancé dans une entreprise radicale de sécularisation de l’art. En d’autres termes, il s’est attaché à définir des modes de conception et de production permettant une large diffusion sociale de l’art. Parallèlement, et c’est l’autre grande dimension de son œuvre, Vasarely a mis au point des formes qui sollicitent l’œil bien plus que ne le fait généralement la peinture abstraite : c’est à ce titre qu’il reste dans l’histoire comme l’inventeur de l’art optico-cinétique. L’exposition vous invite à découvrir chacune de ces deux dimensions et la manière dont elles s’articulent l’une à l’autre. Vasarely se forme à Budapest au contact des avant-gardes historiques. Son maître, Sandor Bortnyik, est l’une des figures majeures du modernisme hongrois. La première section de l’exposition révèle un Vasarely adaptant le langage du modernisme à la communication commerciale et mettant en place, dès les années 1930, dans ses travaux publicitaires et dans différentes études, les fondements de l’œuvre à venir. La série des Zèbres annonce ainsi de façon frappante les formes optico-cinétiques qui naîtront deux décennies plus tard. Une vingtaine de peintures, dont certaines appartenant à des collections privées n’ont jamais été exposées depuis plus d’un demi-siècle, viennent ensuite témoigner de la singularité de l’abstraction qu’invente Vasarely à la fin des années 1940. C’est une abstraction qui procède de l’observation du réel, de la nature et de l’architecture. L’accent est tout particulièrement mis, avec une dizaine de peintures, sur la série Gordes-Cristal. En 1948, l’artiste se rend pour la première fois à Gordes et, sous le soleil de la Provence, il fait une découverte capitale dans le développement de son œuvre : la géométrie angulaire du site et les puissants contrastes d’ombre et de lumière qui engendrent des jeux optiques et déstabilisent la vision. Le cristal, avec ses effets complexes de reflet, de transparence et de confusion des plans, devient un modèle pour son abstraction. L’instabilité de ces formes cristallines, les premières réflexions sur un vocabulaire plastique élémentaire et le désir de mettre en mouvement les formes inertes de l’abstraction se combinent pour préparer la formidable révolution esthétique que sera la naissance de l’art optico-cinétique au milieu des années 1950 – ce qu’on appellera dans la décennie suivante l’op art. Réduisant son langage au noir et blanc, Vasarely définit alors un vocabulaire qui emporte le regard dans le monde énergétique des ondes et des particules. L’exposition réunit ici quelques tableaux de premier plan qui vibrent ou clignotent. Avec eux, une forme sitôt saisie par le regard se transforme en une autre sans jamais se stabiliser. À l’orée des années 1960, Vasarely ouvre le chantier de ce qu’il appelle l’« alphabet plastique », constitué d’un lexique de six formes géométriques simples incrustées dans des carrés de couleur pure, les « unités plastiques ». Retrouvant l’un des rêves fondateurs de l’abstraction, il ambitionne de créer un langage visuel à portée universelle et offre ainsi à la société mondialisée les moyens d’engendrer un nouveau « folklore planétaire ». C’est un nombre presque infini de combinaisons que le jeu des formes et des couleurs autorise, susceptibles de multiples applications. Vasarely s’en assure la maîtrise par des méthodes de permutation et de programmation qui reflètent son intérêt pour la cybernétique et donnent à ses tableaux un aspect digitalisé avant l’heure. Dans la seconde moitié des années 1960, les teintes pures de l’« alphabet plastique » s’enrichissent de valeurs intermédiaires qui introduisent dans la mosaïque des tableaux des dégradés et des clairs-obscurs dont dépendent certaines des œuvres iconiques de l’artiste. Poursuivant l’idéal d’une socialisation de l’art qui fut celui des avant-gardes dont il est l’héritier et témoignant d’une intelligence proprement warholienne des médias, Vasarely s’engage à la fin des années 1960 dans la diffusion à grande échelle de ses formes et rencontre, le fait n’est pas si fréquent, l’adhésion de la culture populaire. La sécularisation de l’œuvre d’art emprunte différentes voies. Tout d’abord celle du multiple (et notamment du poster à grand tirage), et aussi celle des arts appliqués. De cette façon, l’artiste trouve le moyen d’assurer l’existence de son œuvre au-delà du cadre institutionnel de l’art. L’exposition, c’est l’une de ses caractéristiques, souligne l’étonnante fortune que connaît l’œuvre dans la société des Trente Glorieuses à partir des années 1965 et pendant la décennie suivante : on trouve du Vasarely dans les journaux de mode, sur les couvertures de livres et de magazines, les pochettes de disques (comme Space Oddity de David Bowie), sur les plateaux de télévision ou encore dans les films (d’Erotissimo à Peur sur la ville). La culture populaire visuelle de l’époque s’est véritablement approprié la forme vasarélienne. L’ambition d’un art social, séculier, qui accompagne le développement de l’« unité plastique » trouve son débouché logique dans la réalisation d’intégrations architecturales. Dès 1954, le chantier de la Cité universitaire de Caracas offre à Vasarely sa première occasion de concrétiser ses idées sur l’intégration de l’art à l’architecture, aux côtés de Arp, Calder ou Léger. Le début des années 1970 va voir l’artiste réaliser certaines de ses plus fameuses intégrations : dans le nouveau bâtiment de la gare Montparnasse ou sur la façade de l’immeuble de la station de radio RTL, à Paris ; ou encore dans la salle à manger d’honneur de la Deutsche Bundesbank à Francfort, remontée dans l’exposition du Centre Pompidou. Des diaporamas, dont l’un consacré à l’étonnant Centre architectonique d’Aix-en-Provence, inauguré en 1976, présentent ces intégrations. Vasarely en était venu à penser que l’architecture était le niveau où ses formes pouvaient se partager avec le plus d’efficacité. Des rêveries cosmiques, entre science et fiction, sont l’objet des effervescences formelles du dernier Vasarely. C’est un cosmos irradiant, multidimensionnel et respirant qui inspire les grandes séries qui voient le jour dans les années 1960 et 1970. Leurs titres en témoignent, qui font référence aux « signaux des mondes », aux « métagalaxies », au « bruit des quasars » et au « battement des pulsars ». En 1982, un ensemble de cinq sérigraphies de l’artiste est même emporté par le spationaute français Jean-Loup Chrétien à bord de la station spatiale orbitale soviétique Saliout 7, donnant à l’œuvre vasarélienne le cadre intersidéral dont elle rêvait. Une ultime façon de relier les deux grands axes de son œuvre : la positivité de la science dont la conquête spatiale est l’une des expressions les plus exemplaires ; le goût pour les distorsions, les excentricités géométriques et optiques, abondantes dans l’univers de la science-fiction. In Code couleur n°33, janvier-avril 2019, p. 10-15 https://www.centrepompidou.fr/cpv/agenda/event.action?param.id=FR_R-a47bfe3855b7b08b11fb8daf2c1ecf5&param.idSource=FR_E-a47bfe3855b7b08b11fb8daf2c1ecf5 https://twitter.com/hashtag/ExpoVasarely?src=hash https://www.cnews.fr/videos/culture/2019-02-16/lexposition-vasarely-au-centre-pompidou-813348 https://fr.wikipedia.org/wiki/Victor_Vasarely "L'affaire de la Fondation Vasarely" : https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Debbasch
  21. Méfiance : après l'op art, le pop art et le street art, ça sent le bob art !
  22. Casanova ? Avec un nom pareil, son livre fétiche devait être l'Encyclopédie des tirages. (Du coup, il ferait bien de se tirer... du domaine de la grande illusion.)
  23. Finalement comment s'est déroulée la greffe ?
  24. Par contre, en mettant le doigt dans l'œil du spectateur, on observera une forte rétractation de la pupille accompagnée d'une crispation des poings. Lecture de pensée immédiate : le spectateur n'est pas content, il est même très en colère. Il est temps de vous rétracter, vous lui en avez déjà mis plein la vue.
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