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Julien EHLNGR

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Tout ce qui a été publié par Julien EHLNGR

  1. Julien EHLNGR

    The Hypercards Project

    Bonjour, je cherche ´ The Hypercards Project ´ (sans Forcément beaucoup de cartes spéciales). est ce que quelqu’un aurait ça sous la main. merci beaucoup ! si quelqu’un l’a mais ne souhaite pas le vendre, pourrait il m’envoyer un MP pour me dire Ou il l’a trouvé, ce qu’il en a pensé etc... merci beaucoup, julien
  2. Bonjour, J'ai depuis longtemps une 'matchbox penetration' classique en laiton avec les stries parelles aux grands cotés. Je me demandais si il existait d'autres versions, dans différentes matières (en inox, et même pourquoi en bois), différentes tailles ou avec les stries (et le reste) parallèles aux petits côtés (pour faire ce qu'il y a a faire dans le mouvement de pousser le tiroir pour ouvrir la boite), etc .... J'ai bien trouvé industrial revelation qui je trouve génial... mais il est introuvable... Peut être que certains 'bricoleurs' magiciens en font 'à la demande' ? Enfin pour ce qui est de la version classique, y a t'il différents fabricants et donc différentes qualités ? Merci beaucoup, Julien
  3. Bonjour, Le bon plan est il toujours dispo ? Si oui, je voudrais l'offrir et donc, si possible, faire une dédiasse, non pas pour moi, mais a celui qui va le recevoir. Est ce que cela serait possible ? Comment je dois m'y prendre ? Merci beaucoup,
  4. Merci à tous pour vos retours je vais regarder vos conseils de près... J'ai déjà commencé et j'y ai découvert des choses/personnes, très intéressantes. --> Pour les entresorts sous forme d'illusions: Pour les entresorts sous forme d'illusions, j'avais oublié de mentionner le livre de Paul Osborne - Haunted Illusions (je ne l'ai pas lu). Si quelqu'un a, ou a lu, le livre de James Hodges (je ne l'ai pas lu non plus, - Décidément, je n'ai pas lu grand chose... ), pourriez vous me contacter en M.P. afin de m'en dire plus sur les qualités et défauts de son contenu. Également si quelqu'un souhaite se débarrasser de ce livre, le prêter, m'en envoyer une page par jour par la poste, etc... Je n'arrive pas vraiment à comprendre pourquoi ce type de manifestation a quasiment disparu des fêtes foraines (en France en tout cas)... C'est pourtant à mon sens, une branche de la magie très intéressante et qui provoque une émotion toute particulière pour le spectateur. Cette attraction de foire me semble avoir comme particularité, vis a vis des autres attractions, qu'elle est basée sur le principe de: "susciter la curiosité". Passer devant la 'baraque' de fête foraine nous annonçant sur des 10aines de panneaux et dessins que nous allons voir la femme sans tête, fait déjà partie du spectacle. La sensation d'être un privilégié, de voir quelque chose que peut de gens connaissent. La sensation de faire partie du secret,... La démarche du spectateur commence alors et l'imaginaire est hautement mis à contribution. On ne peut s'empêcher de fantasmer sur ce qu'il y a à voir dans cette baraque. Même si le spectateur n'est pas dupe et se doute qu'il ne va pas voir une véritable femme sans tête, le spectateur peut se laisser tenter par l'expérience. Ensuite, une fois le pas franchis, la curiosité du spectateur est récompensé par "l'étonnement". Sentiment qui se rapproche des classiques démonstrations de tours de prestidigitation. A la différence que, pour les entresorts, la notion de fantasme, d'imaginaire,..., est particulièrement présent et se rapproche également des spectacles de 'fantasmagorie' eux aussi quasiment disparus. Pour faire une comparaison un peu simpliste, l'entresort découvert par hasard sur une fête foraine serait comme la lecture d'un livre: le livre demande au lecteur de faire appel à son imagination pour combler tous les 'vides' laissés par l'auteur. Pour l'entresort, c'est un peu la même chose, l'imagination du spectateur est mis à contribution, avant, pendant et après le tour,... Comment, si une telle 'chimère' existait, vivrait-elle au quotidien ?, et si d'autres créatures existaient, à quoi ressembleraient elles ?, Comment ont t-elles été 'découvertes' ?, Comment se passerait une nuit érotique avec cet être (désolé je m'emporte)... Bien souvent, lorsque le spectateur va voir un spectacle de prestidigitation, il se laisse complétement guidé par le magicien et l'imagination du spectateur n'est pas particulièrement exploité...Ou, en tout cas, l'est différemment. Dans un spectacle d'illusion, les tours s'enchainent et on laisse peu de temps à la réflexion du spectateur. Dans un entresort, le spectateur a bien souvent, beaucoup de temps pour observer, réfléchir, imaginer, se poser des questions,.... Un peu comme si il regardait une œuvre d'art... Il se pose et observe. Et c'est là qu'arrive ma question concrète... il était temps... (désolé pour ce passage un peu long et pompeux, mais on arrive au concret....) -Connaissez vous un tour, un spectacle, un artiste,... qui arrive à recréer cet enchainement 'd'émotion' ? En particulier la partie: 'susciter la curiosité'... mais aussi le coté 'titiller l'imaginaire ' du spectateur (lui laisser la place, et le temps d'utiliser son imagination et non ne recevoir que celle du magicien). Étrangement, les entresorts présentés en illusion de spectacle me semble extrêmement peu efficaces, qu'en pensez vous ? Sans doute du fait que la démarche du spectateur compte beaucoup pour ce type de manifestation. Les entresorts sont souvent relégués à de l'illusion de 'théâtre' (ce n'est surtout pas péjoratif car elle y ont toutes leur place et sont souvent bien utilisées). Elles servent ainsi plus à illustrer, enrichir, sublimer,... mais ne sont pas l'illusion principale. -Ne seraient elles plus suffisantes en elles même pour étonner le spectateur ? -Pourquoi préférer on présenter un tour de tête coupée/raccommodée plutôt que de uniquement présenter une femme sans tête ? -Avez vous déjà vu un entresort de fête foraine, transposer efficacement en illusion de spectacle ? -Pensez vous que ces illusions ont un coté dépassé ? Et, si oui, pourquoi ? Ont elles un coté 'de seconde classe' ? --> Pour les exhibitions de freaks: Pour les exhibitions de freaks, je suis personnellement beaucoup plus 'dérangé' par ce genre de manifestation. Ou des émotions/sentiments peuvent se mélanger... -Voyeurisme ou fascination, -pitié ou admiration -humanisme ou exploitation -diversité ou communautarisme Je ne peux que recommander l'excellent film 'freaks, La Monstrueuse Parade' de Tod Browning. Un film plein d'humanisme. Également le film Elephant Man de David Lynch pour les mêmes qualités. Ce type de manifestation aurait été interdite (en France) au XIXe siècle. A noter que même si l'exhibition de 'monstre' n'est plus d'actualité, l'exhibition de 'curiosité de la nature' existe toujours et cela semble beaucoup moins dérangeant moralement pour le spectateur. Il n'est pas rare de voir (principalement à la TV, ou dans les magasines), la femme aimant, l'homme à la peau élastique, ... Le principe est globalement le même sauf que la particularité de la personne n'apparait ni 'handicapant' ni la faire souffrir d'aucune façon... -->Pour les musées des horreurs ambulants: Pour les musées des horreurs ambulants, il y a les véritables anomalies de la nature qui sont également visibles dans les musées 'classiques'(Le musée Fragonard pour les animaux par exemple, musée Dupuytren pour l'humain). Mais il y a surtout les fausses 'anomalies de la nature', les supercheries (Yeti, Alien, sirène,...). Cette dernière est à mon sens a rapprocher des entresorts présentés sous forme d'illusion. Je n'y vois pas de grande différence, ni sur l'approche, ni sur l'effet provoqué sur le spectateur (tant que la 'chose' présentée est suffisamment improbable pour que le spectateur sache que c'est faux, mais suffisamment bien fait pour que le spectateur se laisse emporter. Tim Topi
  5. Bonjour, Je suis à la recherche de livres,(à défaut sites internet), ... qui traiteraient des phénomènes de foires (entresort). Allant des classiques 'illusion' de la femme sans tête, femme sans corps, femme araignée, femme gorille,... Mais aussi les 'freaks' présentés comme des attractions foraines, tel que la femme à barbe, géant, lilliputien, elephantman, etc ... Ou encore les musées de phénomènes en bocaux, animaux siamois, monstres, yéti, alien, ... ou faux animaux monstrueux empaillés (veau a deux têtes, chimère, ...) J'ai trouvé pour les illusions, le livre de JAMES HODGES 'Les Entresorts Tome 1', mais le livre ne traite pas de l'aspect historique de ces illusions, ne donne pas de date, nom, photo, ou affiche d'époque, Pour les 'freaks', j'ai trouvé le livre de Martin Monestier 'Les monstres : Histoire encyclopédique des phénomènes humains'... mais ce livre ne traite pas spécifiquement des 'freaks' présentés comme des attractions foraines. Pour les 'musées' des horreurs ambulants, je n'ai rien trouvé.... Merci pour votre aide... Tim Topi
  6. le crucifix.. c'est une idée ;-) ce serait a tester ... des volontaires ? D'autant que la forme du papier a son importance. Par exemple: dans la version utilisant une amulette, le papier ne fait que se plier sur lui même. La forme du papier est bien repartie il n'y a donc pas d'autres mouvements. Dans la version utilisant une cuillère, ici le papier a tendance a tomber sur le coté car le manche est assé fin alors que le bout de la cuillère est plutôt lourd. Ma version préféré reste la chenille car la forme du papier (en longueur avec une tête un peut plus grosse) permet de faire faire a la chenille une roulade avant (il est parfois nécessaire d'incliner légèrement la main). PS: descriptif ici : www.prestidigitascience.fr
  7. Pour la couleur, j'utilise simplement un stabilo... pardon, un surligneur vert que je passe des 2 cotés du calque. Cela n'alerte pas les propriétés sauf si on le colorie de manière non homogène... Par contre, avec imprimante, si vous réalisez l'impression d'un seul coté du papier alors je pense en effet que le papier ne se pliera plus aussi bien et aussi rapidement. Je n'ai pas testé pour l'impression des 2 cotés...
  8. Bonjour, Vous trouverez la description d'une version utilisant du papier calque sous la forme d'une chenille via ce lien: Guedille la chenille acrobate L'avantage de l'utilisation du papier calque, et que vous pouvez vous amuser a fabriquer la chenille avec votre enfant qui ensuite s'émerveillera de la voir bouger dans sa main. Le fait qu'il la fabrique lui même est, je pense, beaucoup plus amusant pour nos chères têtes blondes. Cela prends la forme d'un atelier bricolage magique... Amusant non ?
  9. Bonjour à tous, Eh oui, marionnettes et télévision font parfois bon ménage. La preuve, le dimanche, 2 mars 2008 à 09:45 la chaine ARTE a la bonne idée de rediffuser le documentaire ‘Anima - L'esprit des marionnettes’ réalisé par Marc Huraux en 2004. Malheureusement, les émissions diffusées sur ARTE avant 19 heures ne sont disponibles qu'en numérique via CANALSAT, le câble numérique, l'ADSL ou la TNT. Date de diffusion : http://www.arte.tv/fr/semaine/244,broadcastingNum=826890,day=2,week=10,year=2008.html Par ce documentaire, Marc Huraux nous propose de découvrir 6 personnalités du théâtre de marionnettes d’aujourd’hui. "Chacun à sa manière, ils façonnent des mondes éphémères qu’anime seule la puissance de leur imaginaire." Descriptif du documentaire : http://www.arte.tv/fr/art-musique/Anima/Le-programme---Anima/863730.html Une occasion, par exemple, de contempler la magie des gestes d’Ilka Schönbein dans des extraits de son spectacle "Métamorphoses". (Si ce n’est déjà fait, je vous recommande vivement de découvrir cette formidable artiste). Un portrait : http://www.arte.tv/fr/art-musique/Anima/Le-programme---Anima/863780.html Une interview : http://www.fluctuat.net/3854-Ilka-Schonbein Un véritable hommage à ces artistes qu’il serait dommage de rater (les rediffusions sont assez rares). Tim.
  10. Merci Winfried pour ces explications, il y aurait tant a dire... tant a lire. je t'envoie a ce sujet un message privé au sujet de 'jacques delord'. Julien K.
  11. Winfried , En fait, je me demandais, si, l’effet ne devait pas être ’dirigé’ et ‘contenu’ par la présentation (au sens général) et donc que la présentation devait avoir une place légèrement plus importante que l’effet (en terme d’impact bien sur). Pour imager : que le spectateur ne pense pas ‘très bien son numéro de fil coupé avec l’histoire des 3 Moires’ Mais ‘très bien son numéro des 3 Moires avec le fil coupé’ Ca mériterait débat, et j’apprécierais beaucoup ton aide afin de mieux comprendre ces subtilités…
  12. Bonjour, Pour commencer, je te remercie ‘J’ pour ce partage. Je trouve en effet intéressent de débattre sur la ‘présentation’. On constate tous que cela semble être la chose la plus importante, la plus compliquée, mais c’est aussi la plus passionnante. Je trouve donc ton texte particulièrement bien adapté à ce numéro. Bon..., se permettre de donner son avis sans justification ça fait un peu léger alors, je m’explique (au risque d’être un poil barbant) : Ce numéro est, je trouve, naturellement ‘minimaliste’ visuellement, de part la neutralité de l’unique accessoire utilisé. Ce minimalisme invite, à mon sens, facilement à l’utilisation d’une référence ‘symbolique’ de l’objet (ici le fil de la vie). L’utilisation d’un texte n’utilisant pas l’objet en tant que symbole mais en tant qu’objet concret est évidement possible mais, à mon sens, il serait pour cela nécessaire de donner à l’objet plus de corps / plus de vie… en utilisant des accessoires plus travaillés ou des accessoires complémentaires, ou autre… On pourrait également être tenté de présenter ce numéro sans texte afin de ne pas ‘parasiter’ la simplicité visuelle de l’effet (je le présentais maladroitement de cette manière il y a quelques années). Mais, après réflexion, je trouve que cela provoque l’effet inverse : L’effet visuel occupe trop de place vis-à-vis de la présentation et le numéro devient une sorte de douce démonstration de ‘force’. Et c’est la que le texte de ‘J le ma-j-cien’ (peut être un cousin de ‘M le magicien’ de Massimo Mattioli?) a, à mon avis, toute sa place. Je le trouve (et au vu des commentaires je ne suis pas le seul) très fort (comprendre : envoûtant) et même plus fort que l’effet, ce qui je pense, est très nécessaire en ‘magie’. Je n’ai moi-même pas encore réussi à écrire un texte qui me convienne pour ce numéro (donc mon avis reste d’un intérêt relativement limité)… mais j’étais également parti il y a quelques années vers un texte symbolique utilisant cette fois le thème des ‘invisibles filins’ qui nous relient à notre destinée. Le texte change mais le but me semble le même… Le fait d’avoir utilisé des vers me semble également judicieux pour les raisons suivantes : Je trouve que cela incite forcement à la poésie (cela va de soi.. avec ce genre de commentaires on va pas avancer ;-) ) et également à une certaine ‘concentration’/‘captation’ pour le spectateur (peut être en partie due au rythme imposé par les vers) ce qui renforce pleinement le coté intimiste (ne surtout pas comprendre ‘close up’, mais ‘accessibilité du magicien en tant que ‘personnage’) qui je pense convient très bien pour ce numéro. Enfin l’utilisation de rimes permet d’ajouter relativement facilement une certaine ‘noblesse’ au texte. La qualité et la ‘force’ du texte (ici celui de J) font donc, pour le spectateur, passer en apparence l’effet au second plan…En apparence seulement car l’effet en ressort évidement pleinement grandit de part un juste équilibre d’impact entre le texte et le visuel. Cette subtilité ne semble pas consciemment perçue par le spectateur et il se laisse ainsi volontiers embarqué par l’histoire mettant complètement à terre le sentiment d’assister à une démonstration de ‘truc’. D’ailleurs l’effet devient pleinement une simple ‘illustration’ des propos ce qui je trouve participe à une certaine idée de théâtralisation de l’ensemble. Ce n’est pas clair ? Je veux dire par la que l’effet occupe complètement la place réduite qu’il lui est du et surtout pas plus. La ‘place’ qu’il occupe est bien sur relative aux autres éléments de la présentation (ici le texte). Tout ça pour dire que le texte de ‘J’ participe à réduire la place de l’effet pour finalement le mettre plus en valeur. C’est encore moins clair ? … bon… Tant pis. J’aurais cependant trouvé intéressant d’ajouter quelques lignes d’introduction afin de poser le ‘décor’ (pour bien comprendre ou/quand se situe l’histoire) et surtout donner au texte un temps d’avance vis-à-vis du visuel (l’accessoire ne serait pas visible durant cette l’introduction). Dans la même idée, quelques lignes de conclusion afin de ne pas donner le dernier mot a la ‘restauration’ visuelle mais bien à l’histoire, participerait à diminuer d’autant l’importance de l’effet et harmoniserait l’ensemble. (Cela reste un point de vue très discutable) Toute cette explication fait un peu ‘bateau’ et il est tellement compliqué d’expliquer par écrit ce genre de chose, mais je tenais à tenter d’argumenter mon ‘avis’ sur ce très joli texte. Tout ce blabla pour finalement dire (ahhh on en voit enfin le bout) : Merci ‘J’ car cela m’a donné l’envie, en utilisant de nouvelles pistes, de me replonger dans le texte que j’avais commencé à écrire pour ce numéro. Julien K.
  13. A l'occasion de la 21e cérémonie des Molières, France 2 diffuse 'La symphonie du hanneton' de 'James Thiérrée' le 15/05/2007 à 01H40. http://les-molieres.france2.fr/accueil.php?numsite=346 Branchez vos magnétos !
  14. J’en profite pour faire un petit coup de pub sur la ville de VAGNEY (ma ville natale) et ses environs. De jolies randonnées a faire et pas mal de concerts ;-)
  15. Des nouvelles de Roland : Son numéro de l’album à colorier a dégénéré (les enfants, eux, ont adoré).
  16. Peter, Très belle initiative (une fois de plus). J’ai hâte de lire tes auto-analyses de tout ca. Un bel exercice.
  17. Ne t’oublie pas Roland, ;-) Donc a toi aussi un grand merci, pour tout ce que tu as apporté a ce projet qui, j’me répète un peu, est une grande chance pour tout les VMistes d’avoir le point de vue de ces 5 ‘grands’ de la ‘magie’ pour enfants. Je confirme que cette discussion, et ces ‘discuteurs’, m’ont littéralement passionnés (tout comme toi Roland j’imagine) au point même d’en perdre la parole (bouche bée). Un document a voir et a revoir…
  18. Les Frères ennemis Voici un petit texte des ‘Frères ennemis’ (repris par les ‘Frères Taloche’ actuellement au Théâtre des variétés) : Le langage des fleurs (voir fichier attaché). Un bel exemple de ‘logique de l’absurde’. Ils ont dit d'eux : Michel Audiard : « Les gens bien intentionnés les qualifient d'amuseurs. Les gens moins bien intentionnés les classent parmi les "rigolos". Ils valent beaucoup mieux que ça. Le délire verbal, le coq-à-l'âne, la gymnastique des mots, est probablement le genre exigeant le plus de maîtrise, le plus de rigueur, en un mot : le plus de style. Ce n'est pas Raymond Devos qui me contredira. » Dvd des frères ennemis Un arcticlette (petit article) sur wikipedia Site des Taloche 113387-Lelangagedesfleurs.pdf
  19. Cette ‘discussion’ est en effet une mine formidable de ‘réels conseils’, et je pense qu’elle apportera autant aux personnes qui commencent a s’intéresser a ce public (c’est mon cas), qu’a ceux qui pratiquent régulièrement cette ‘magie’. J’encourage évidemment tous a visionner cette vidéo et aussi a donner son point de vue (question, précision, anecdote, divergence…). Merci a VM d’avoir rendu possible la création et la diffusion (a venir) d’un tel document.
  20. En plus des questions déjà soulevées : -La vision de l’enfant face a l’acte magique -Le rôle du personnage (l’utilisation d’un personnage magicien, la crédibilité du personnage,…) -etc D’autres questions me semblent intéressantes (si ca peut aider): -Le but du spectacle magique pour enfant (ce que doit apporter le magicien, et ce qu’il ne doit pas apporter). C’est un peut vaste dis comme ça… Mais bon -L’intérêt des tours ou l’on trompe le spectateur en lui faisant croire qu’il comprend le tour. Mais à la fin le magicien montre que tous avaient tord. Exemple : la présentation classique du sac a l’œuf (la réglette aux 3 cordes,etc). Cette mécanique semble régulièrement utilisée dans les tours pour enfants car elle engendre de fortes réactions mais j’ai comme un doute sur le résultat obtenu ... -La création d’émotions immédiates (durant le spectacle) La gestion des émotions a long terme (après le spectacle…Souvenir, mimétisme, etc) -La nécessitée de la double lecture enfant/adulte accompagnant les enfants. -2 messages différents sont compris indépendamment des enfants et des adultes (exemple lorsque mimosa fait une sculpture avec un ballon/préservatif d’un chien qui fait pipi) -1 même émotion/message est compris et intéresse de la même manière les enfants et les adultes -un mot sur le décor et les accessoires -quel impact pour l’enfant de lui faire réellement croire que ce qu’il voit existe. Ne risque t’il pas (par exemple) en rentrant chez lui de souffler comme un dingue sur son album a colorier pour faire disparaître les couleurs ? -comment faire un bon spectacle avec d’un public mixte composé d’une minorité d’enfants. -comment donner l’envie a l’enfant de revoir un spectacle de magie, voir de pratiquer la magie. A demain Julien K.
  21. ok pour moi peter, Je confirme que je me propose de tenter de retranscrire par ecrit ce qui ressortira de tout ca ;-) Je te contacte par MP à ce sujet bonne continuation magique (et bon courage pour le reste).
  22. Merci roland pour ton point de vue. ;-) L'ensemble de ce post est vaste et delicat voir penible (au sens pas simple), mais je pense très enrichissant. Si quelqu'un a une autre vision sur l'utilisation du personnage magicien face aux jeunes enfants qu'il n'hesite pas a apporter sa contribution, qu'elle aille ou non dans le sens de tout ce qui a été dit dans ce post, et je dirais meme surtout si votre point de vue est different de ce qui a été dit ;-) je citerais en justification une phrase de Gandhi (eh oui rien que ca): " Chacun a raison de son propre point de vue, mais il n'est pas impossible que tout le monde ait tort" C'etait la minute spiritualité ;-)
  23. Il est egalement possible de se confectionner un sac a forcer en plastique transparent grand modele en cousant tout simplement avec une machine a coudre 3 feuilles de plastique resistant les unes sur les autres sur les 3 cotés. Le resultat est propre et resiste a une utilisation reguliere et non menagée (melange un peu vif du spectateur etc...). Voir photo
  24. Voici une copie d'un message envoyé a Roland au sujet du personnage. Roland, Chose promise… Comme je te le disais, j’aimerais discuter avec toi, pour commencer, du ‘sens’ du personnage pour l’enfant. Premièrement, j’ai le sentiment qu’on pourrait faire 2 grosses catégories de personnages : 1- le magicien qui joue plus ou moins son rôle (il est son propre personnage par ex David Copperfield) 2- Le magicien joue un personnage réellement différent (ex Shirley et Dino,) Selon toi quelles sont les avantages et inconvénients de ces 2 approches ? Laquelle pratiques- tu ? Et pourquoi ? Quelle serait la meilleure pour un jeune public ? Pour moi, il y aurait un grand avantage à jouer un personnage réellement différent. En effet il s’agit souvent d’un personnage caricaturé/simplifié (un apprenti magicien, un poète, un aventurier, un explorateur, un personnage de cirque, un personnage de film, un savant,…) auquel on ajoute quelques traits de caractère spécifiques (la peur, la folie, le courage, la maladresse, …). Ce qui peut donner un savant fou, un aventurier peureux, un jongleur maladroit, …et permet de jouer facilement avec ses réactions et leurs prévisibilités. De plus, cela permet, en choisissant ces ‘tours’ en fonction du personnage, de mettre en place facilement une certaine unité et cohérence pour l’ensemble du spectacle. Cependant le fait de jouer son propre personnage a aussi de grands avantages. Premièrement, c’est beaucoup plus simple à jouer, mais surtout, cela peut apporter une certaine ‘légèreté’ et sûrement une facilité d’adoption du personnage par les enfants (complicité avec les enfants). Evidement cela va dépendre de chacun mais il me semble quand même important de comprendre les avantages et inconvénients de son personnage. Tu penses quoi de tout ca ? Tu parles de l’importance de l’entrée du personnage. Pourrais tu m’expliquer un peu plus comment ‘la première rencontre est perçue pour l’enfant. Et aussi comment faire en sorte que cette rencontre se passe au mieux ;-) ? Pour ma part, j’imagine que l’enfant ne se rend pas compte qu’il s’agit d’un personnage et que du fait, le magicien ne doit jouer qu’un seul personnage tout le long de son spectacle (sauf des personnages avec déguisements ou il ne peut être reconnu). De plus il me semble important que le personnage soit joué et cohérant du début à la fin. Je veux dire par la, qu’il soit joué des la première fois ou l’enfant voit le magicien jusqu'à la dernière. Par exemple lorsque le magicien se déplace pour un anniversaire il me semble important que, dès l’ouverture de la porte, le magicien joue son personnage, Qu’il s’installe en jouant son personnage et qu’il parte en jouant son personnage… Enfin, tu parles de l’importance des objets pour l’enfant. J’avoue que je n’avais pas vraiment pris conscience de cette particularité (bien que l’utilisant + ou - ‘naturellement’).D’ou vient, selon toi, ce besoin de rendre ‘vivant’ les choses inertes pour l’enfant. J’ai remarqué que les enfants étaient plutôt friands des marionnettes, et autre petits personnages vivants (le petit bonhomme en mousse, etc…) et cela doit sûrement avoir un rapport. Pourrais tu me donner quelques exemples d’utilisation d’objets personnages, le pourquoi, le comment, etc … Voila Roland un début de réflexion au sujet du personnage… En attendant ton avis sur tout ca, bonne continuation magique et a bientôt. Sa reponse arrive sous peu... ;-) Encor merci Roland pour tes conseils et ta participation
  25. Paul, Merci pour ta réponse qui m’apporte ce qu’il manquait à ma réflexion : du concret. Cela permet d’appréhender les choses différemment et de manière plus réaliste (ahhh l’utopie de l’enfant innocent ….). Je partage complètement le fait que le magicien (entre autre, bien sur) a une vraie responsabilité face aux jeunes publics. Et c’est justement cela qui m’apporte un doute. Je m’explique : pour l’adulte, il ne me semble pas vraiment ‘moral’ de lui faire réellement croire (même après le ‘spectacle’) que le magicien a de véritables ‘pouvoirs‘ (comme le fait Uri Geller par exemple). Et une phrase du type ‘S’il n’y a pas de truc, c’est fort, mais avouez que s’il y en avait un, ce serait encore beaucoup plus fort !’ permet, entre autre, en fin de numéro, de faire comprendre au public qu’il ne s’agit en aucun cas de véritable magie mais bien de prestidigitation (pour un numéro de mentalisme par exemple). Alors que pour l’enfant, il me semble important de lui faire réellement imaginer que ce qu’il voit est de la véritable ‘magie’, que le personnage que l’on joue est un personnage réel et, qu’il garde cette ‘image’ en tête même après le spectacle. Bien que cela me semble logique, je n’arrive pas vraiment à justifier cette différence. On pourrait penser qu’il s’agit de laisser à l’enfant une part de rêve mais pourquoi en serait-il différent pour l’adulte ?
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