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Jean-Jacques MEYER (Edler)

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Tout ce qui a été publié par Jean-Jacques MEYER (Edler)

  1. Mon intention n’est absolument pas de polémiquer sur les qualités et les défauts des cartes Bicycle et Phoenix, chacun étant libre de préférer les unes ou les autres. Mais, à titre uniquement d’information, voici ce que dit Card-Shark à propos de ces cartes (je ne juge pas, je me contente de répéter ses propos) : "Les cartes Phoenix Master Edition sont imprimées, tout comme les Bicycle, par US Playing Card Company. Les Bicycle en qualité Supermarché, les Phoenix en qualité Casino, qui est la plus haute qualité que peut imprimer l’US Playing Card Company. Les cartes Bicycle sont destinées aux joueurs de Poker et peuvent être utilisées par les magiciens. Les cartes Phoenix sont destinées aux magiciens et peuvent être utilisées par les joueurs de Poker (je doute un peu sur ce dernier point, car étant orientées de dos comme de face, elles pourraient faciliter des tricheries). Mais le plus important reste que depuis 2010 la politique de l’US Playing Card Company a changé pour les magiciens : - plus de cartes truquées pour lesquelles le design du dos, des Joker ou des As de Pique serait modifié ; - plus de cartes Jumbo (celles qui sont encore imprimées étant de mauvaise qualité) ; - plus de cartes blanches, à double dos ou à double face ; - plus de jeux marqués, de Twilight Angels (effet de Paul Harris)… - un nouveau design pour l’étui, qui ne montre pas le dessin exact du dos d’une carte au dos de l’étui, mais des différences importantes comme un tracé moins net, la taille différente des petits anges aux quatre coins et des couleurs différentes." C’est juste pour expliquer la raison de la naissance des cartes Phoenix, d’après Card-Shark. Cela dit, on continue de trouver des cartes Bicycle blanches, à double dos, à double face et des jeux marqués (Ultimate). Des anciens stocks ? Des impressions effectuées ailleurs ? Un changement de politique de la part de USPCC ? Avec une qualité réduite ?
  2. Moi aussi, j'ai placé deux jeux l'un à côté de l'autre et j'ai constaté qu'aucun paquet n'était plus épais. Alors, qui a raison ? J'ai placé une règle sur les jeux et elle était parfaitement parallèle à la table. De toute façon je n'ai jamais eu un problème lié à une quelconque différence d'épaisseur éventuelle. À mon avis, des différences de souplesse/raideur ou de glisse seraient plus importantes qu'un ou deux microns de plus en épaisseur. Mais j'y pense, tu avais laissé les deux jokers (voire les autres cartes supplémentaires), dans les Phoenix uniquement ? (je plaisante, bien sûr).
  3. Effectivement, les Phoenix large index sont très intéressantes. Non seulement elles sont de bonne qualité, mais les index ne sont ni trop gros ni pas assez, pour du salon ou même de la scène. Je les préfère aux Parlour, que je trouve de taille trop importante (et surtout celles que j'ai eues n’étaient pas de bonne qualité).
  4. Prodigieux. Du vrai Shin Lim. Bien sûr, en admettant que l'on ne pourra pas tout réaliser, si on n'est pas né sur la planète Mars, comme lui.
  5. Il suffit de placer l'un à côté de l'autre les deux types de jeux pour s'apercevoir que leur hauteur est strictement identique (ou alors, à quelques microns près ). Donc, même hauteur sur 52 cartes = assurément même épaisseur pour une carte.
  6. J'ai abandonné les Bicycle pour les Phoenix, depuis quelques années. Pour toutes sortes de jeux, normaux, marqués, marqués en chapelet Mnemonica, gros index, Double Decker et Parlour. Et je ne le regrette pas du tout. Mais celles de maintenant, en choisissant leurs cartes "AIR-CUSHION FINISH . MADE IN THE USA". Parce-que les anciennes, créées localement, avaient des problèmes de glisse et au bout de peu de temps des cartes adhéraient entre elles, par paquets. Il devenait impossible de faire un éventail proprement, par exemple ou de les étaler régulièrement. Mais avec les nouvelles, aucun problème. De plus, elles ont des avantages que n'ont pas les Bicycle, car elles elles ont été créées spécialement pour les magiciens. Et le dos de l'étui, en tous points identique au tarot d'une carte, permet des choses intéressantes. Contrairement aux Bicycle, où le dos de l'étui, mal dessiné, possède de plus des petits anges de taille inférieure à celle des anges figurant aux quatre coins du tarot d'une carte. Ce qui se voit beaucoup.
  7. Superbes également. Rien que leur présence fait la moitié de la valeur du tour.
  8. Superbes. Suffisamment lourds ? Et avec une belle sonorité ?
  9. Bien sûr, tout est étudié et important. Certains de ses tours demandent une lumière réduite. Et souvent aussi un public éloigné. Tout comme certaines grandes illusions, d'ailleurs.
  10. Infaisable ? Il faut souvent construire soi-même, détresser des cartes, insérer des aimants super fins dans des cartes, fabriquer un générateur de fumée ou bien la faire sortir par la bouche, faire des cartes changeant de couleur, des disparitions de cartes, etc... Mais c'est réalisable, à condition de se donner du mal. Il ne s'agit pas de tours fournis clés en main, mais de panoplies de super bonnes idées, à créer, recréer, modifier et adapter. Ensuite, atteindre la perfection et le talent de Shin Lim, c'est une autre histoire, bien entendu. Il y a de bonnes idées et tout n'est peut être pas à prendre. Par exemple, faire sauter un Sharpie d'une main à l'autre demande beaucoup d'entrainement, mais j'ai pu recréer certains de ses trucs et manipulations dans 52SOR, 52SOR V2, Dream Act et d'autres encore. Si certains trouvent que c'est trop contraignant, à la limite tant mieux, la concurrence sera beaucoup plus faible. Tout se mérite.
  11. Pour moi, la bonne façon de contrer un emm...deur, c'est de l'emm...der à son tour. Ce genre de type est incorrect, il ne faut pas le ménager et en l'observant il est facile de se moquer de lui. Parler fort, émettre des doutes sur les raisons de son comportement en le tournant en ridicule. Mais toujours poliment, sans l'insulter. Par exemple, invoquer la jalousie due visiblement à une incompétence. En tout cas, ne pas le laisser faire ce qu'il veut. Le laisser fouiller les poches, c'est de la soumission. Sinon, si on préfère tenir le rôle du giflé, s'en aller purement et simplement.
  12. Un avis personnel : je suis tout à fait d'accord avec le fait qu'une prédiction sur Facebook tue l'effet. Pour moi, le meilleur effet est celui où l'on photographie le spectateur avec sa carte. Puis, après le tour, prouver qu'il s'agit de la même carte. Comment quelqu'un peut-il penser que la carte a été changée, en deux secondes de manipulation pour ouvrir l'appareil photo ? Tandis qu'avec les possibilités d'Internet, au mieux Facebook devient juste une curiosité. Il y a d'autres applications où, grâce à Internet, il est possible de savoir ce qui est simplement vu. Avec Facebook, on se doute que la prédiction a été placée longtemps à l'avance et Internet tue l'effet. Avec l'appareil photo, c'est simple, normal et avec un décalage sur un délai très court. Enfin, la connexion Internet est assurée partout ?
  13. Et il n'est pas trop brillant ? Le kevlar n'a pas une réputation d'invisibilité phénoménale.
  14. Merci pour les renseignements et bravo pour tes recherches.
  15. Salut Zack, J'ai ton DVD de conférence, que j'ai beaucoup apprécié. Avant je n'arrivais pas à nouer des loops correctement et je dois dire que ta méthode m'a époustouflé : réussite à 100%, facilement et rapidement, je l'utilise toujours ainsi. Le reste du DVD m'a également beaucoup plu, en particulier la bouteille qui se met en mouvement toute seule, en s'éloignant. Et le reste. Par contre je ne détricote pas les bas de mémé, je préfère acheter le FEI en bobine (Legacy). Mais il y a une question qui me trotte dans la tête depuis ce fameux DVD : à un moment tu parles des possibilités des FEI, entre autres de la lévitation d'une carte. Et, hélas, en continuant par dire que c'est une autre histoire... Paf ! Cela m'aurait passionné et depuis je cherche comment y parvenir. J'ai essayé avec des aimants (en plus en en insérant dans une carte après l'avoir détressée - aimants de 0,23 mm d'épaisseur) et en utilisant des FEI pour la stabiliser, mais ça ne marche pas, aucune stabilité, des aimants en opposition de pôle ne sont bien entendu pas stables. Avec les Venom j'ai pu l'obtenir, mais autrement. Je parlais d'une carte en lévitation stable au-dessus d'un tapis, par exemple, maintenue par des FEI en croix (un peu à la façon de la bouteille). Mais ce ne doit pas être la bonne technique.
  16. Sans changer l'élastique ? Étonnant que ça ne casse pas. Et le Virtuoso est encore plus fragile.
  17. Marty utilise le téléphone de l'iPhone. Et ce téléphone ne possède pas les mêmes qualités en fonction du modèle d'iPhone employé. Ce que je disais, c'était pour résoudre le problème d'une mauvaise mise au point. C'est classique d'un appareil photo, sauf à pouvoir maîtriser l'ouverture, la vitesse d'obturation et/ou la sensibilité ISO. Ce que je rencontre le plus souvent, chez ceux qui connaissent ce genre de problème, c'est principalement la précipitation : il faut laisser le temps à l’appareil de régler la distance. Ensuite une luminosité limite et les autres problèmes apparaissent. Sans oublier le flou de bougé. Je n'ai aucun problème non plus avec l’appareil photo du téléphone, ni avec Marty (que j'aime beaucoup également), mais je suis attentif à les éviter. Et en général, avec une bonne lumière, il n'y a aucun problème.
  18. Leurs usages sont très différents : - Science Friction agit, comme son nom l'indique, par friction : une seule surface devant être traitée, par effet de rugosité entraînant une carte suivante non traitée, sans intervention d'une pression. - Roughing Fluid agit lorsque deux surfaces sont traitées avec lui, en les faisant adhérer plus ou moins légèrement en fonction de la pression exercée. - Roughing Stick agit un peu entre les deux, mais ce n'est pas une friction. Ni un collage entre deux surfaces traitées de cette façon. Simplement, il fait adhérer une carte à une autre, même non traitée. On pourrait dire que Roughing Stick possède les avantages des deux autres. Ou bien leurs inconvénients, c'est selon. En fait, c'est l'usage que l'on veut en faire, qui permet de choisir lequel utiliser (facilité de manipulation, efficacité, longévité, zones à traiter ou à ne pas traiter, visibilité, traitement définitif ou bien plus ou moins en impromptu...). Personnellement, après avoir beaucoup pratiqué les trois, mon choix est vite fait : Science Friction. Avec un Roughing Stick de côté, en cas de besoin occasionnel rapide. J'ai écarté définitivement Roughing Fluid, en raison de sa trop forte adhérence et de la nécessité de traiter deux surfaces en contact. Avec Science Friction utilisé sur différentes zones judicieusement choisies, tout devient possible, y compris utiliser un jeu emprunté (par ajout de la carte traitée). Et pas de problème de longévité ni de mauvais fonctionnement. Mais je n'ai pas du tout fait entrer le critère "prix" dans ma décision, pour moi seul le résultat compte.
  19. Non, pas de problème de mise au point. Il faut attendre que le petit carré de mise au point se soit bien installé et stabilisé, puis ne plus reculer ou avancer et surtout éviter le flou de bougé, en touchant sans appuyer. De plus, très fréquent en cas de mauvaise luminosité, l'automatisme génère une ouverture trop importante et également une vitesse d'obturation trop faible, ce qui provoque des flous). Le "patient" ne doit pas bouger non plus (adapter la présentation est facile). Il ne faut pas non plus être trop près, la distance de mise au point générant un flou si elle est trop faible. Il est toujours possible d'opérer un léger zoom, en compensation.
  20. Effectivement, ce jeu n'est pas du tout adapté aux faros. Bonne idée, pour le délai de lecture. Tout ce qui peut justifier un tel délai est bon à prendre, y compris y revenir plusieurs fois pour scruter les zones l'une après l'autre, en profitant des temps morts pendant la présentation.
  21. Effectivement, pour certaines cartes ce n'est pas très clair. Je m'en suis sorti en grattant très très très légèrement certaines toutes petites parties qui auraient dû l'être. Attention, travail d'orfèvre et il faut bien comprendre pourquoi certaines marques se remarquent moins et comment résoudre le problème. Mais avec de l'habitude on arrive à lire avec un délai suffisant. Il est aussi possible de faire semblant de se concentrer sur un jeu tenu fermé tenu serré entre les deux mains, comme si on essayait de s'imprégnier d'émanations en provenance du jeu. À ce moment, un délai est tout à fait justifié, en se penchant sur le jeu pour simuler une forte concentration.
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