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Aaaaah le SDC....

C'est comme les frites Mc Cain : on en parle beaucoup, mais on le fait peu !

Je n'ai jamais vu une manipulation dont on parle autant et qu'on voit faire aussi peu (et pour cause).

Personnellement, il n'y a qu'une routine dans laquelle j'aurais aimé savoir le faire : une routine qui avait été présentée par Paul Wilson qui est assez bluffante à partir du moment où on sait intervertir invisiblement la moitié supérieure et la moitié inférieur du jeu....

L'effet était bluffant. Il utilisait un SDC.

 

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C'est souvent plus un (faux) cauchemar qu'autre chose en fait c'est comme l'empalmage au début tu en fais toute une montagne puis ensuite tu empalme à toute patate !

Puis si tu n'est pas trop sur de ton SDC est bien tu le place pendant une action en transite, genre tu est tourné sur la gauche et tu vas te tourner carrément sur la droite pour t'adresser au spectateur de droite et BAM tu envoie le SDC une grosse action qui cache une plus petite !

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Il y a 1 heure, Ali NOUIRA a dit :

Coucou je confirme mon ami depuis 2016 au Japon et maintenant en anglais 😊 

Non c’est pas le même, celui ci Akira l’a fini l’année dernière et m’avais prévenu qu’il sortirait il y’a un mois et que la version anglaise allais arriver mais qu’il a des pb avec le gars qui fait la trad...😅😅

Publié le
Il y a 3 heures, Yann HARDY a dit :

Non c’est pas le même, celui ci Akira l’a fini l’année dernière et m’avais prévenu qu’il sortirait il y’a un mois et que la version anglaise allais arriver mais qu’il a des pb avec le gars qui fait la trad...😅😅

Coucou Yann, de souvenir en 2016 à Milan Ginjiro nous avons dit que le DVD a bien été tourner et finalement quelque temps après et sorti d’Akira Fujii «contrôle collection » où il explique son SC et le DVD entièrement consacré n’a jamais vu le jour, bon le bonne nouvelle c’est que cela arrive, même si j’ai déjà eu la chance d’être en séminaire Eric John’s et moi toute la journée à bosser le SC avec lui et bien d’autres choses, que c’était Sympa le symposium à Milan 😊

 

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Publié le
il y a 6 minutes, Ali NOUIRA a dit :

Coucou Yann, de souvenir en 2016 à Milan Ginjiro nous avons dit que le DVD a bien été tourner et finalement quelque temps après et sorti d’Akira Fujii «contrôle collection » où il explique son SC et le DVD entièrement consacré n’a jamais vu le jour, bon le bonne nouvelle c’est que cela arrive, même si j’ai déjà eu la chance d’être en séminaire Eric John’s et moi toute la journée à bosser le SC avec lui et bien d’autres choses, que c’était Sympa le symposium à Milan 😊

 

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Coucou mon ami... oui control collection est très interressant et il y’a les débuts de son travail sur les sdc.. j’ai passé de nombreuses nuit par Skype avec lui car on c’est rendu compte qu’on avait pleins d’idées similaires, sur les sdc mais aussi d’autres techniques...😉😉 si son dvd ne contient ne serais ce qu’un début de tout ce que l’on a pu échanger ça va être une balle!!..👍👍

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Il y a 22 heures, Gael GAGNEPAIN a dit :

C'est souvent plus un (faux) cauchemar qu'autre chose en fait c'est comme l'empalmage au début tu en fais toute une montagne puis ensuite tu empalme à toute patate !

Puis si tu n'est pas trop sur de ton SDC est bien tu le place pendant une action en transite, genre tu est tourné sur la gauche et tu vas te tourner carrément sur la droite pour t'adresser au spectateur de droite et BAM tu envoie le SDC une grosse action qui cache une plus petite !

Je suis assez d'accord avec ça. Moi-même je travaille souvent le SDC sans réfléchir en regardant un film ou autre, du coup ma technique a progressé (enfin j'espère !). Alors je ne sais pas s'il est génial mais en tout cas, je l'ai encore placé à Noël dernier pendant un temps faible, et le SDC est passé comme une lettre à la poste. Pourtant face à un public familial qui n'est pas le plus facile. Bref, je mets le SDC dans le même panier que d'autres techniques comme le top change, le demi SDC ou l'emp...ge : même si la technique est seulement "correcte", elle passera beaucoup mieux quand l'attention du spectateur n'est pas braquée sur nos mains (c'est mon avis de petit amateur). 

Publié le
il y a 47 minutes, Jérôme BLS a dit :

Bref, je mets le SDC dans le même panier que d'autres techniques comme le top change, le demi SDC ou l'emp...ge : même si la technique est seulement "correcte", elle passera beaucoup mieux quand l'attention du spectateur n'est pas braquée sur nos mains

Oui, ce sont des techniques à utiliser sur un temps faible.

Mais je trouve que dans le cas du top change (ou du filage, pour faire plaisir à M. Toubon), c'est quand même plus facile de créer ce temps faible car le spectateur n'est pas concentré sur tes mains (qui sont éloignées l'une de l'autre).

L'important, c'est que ça valide !

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    • Qu’est-ce que The Age of Disclosure, le documentaire qui dévoile des secrets sur les ovnis ? Dan Farah souhaite révéler au grand public des dissimulations vieilles de 80 ans. C’est une question qu’on s’est tous posée au moins une fois : sommes-nous seuls dans l’univers ? Si Dan Farah tente de convaincre dans son documentaire The Age of Disclosure (l’âge de la divulgation) que les ovnis sont bien à prendre au sérieux, il souhaite avant tout éveiller les consciences sur les différentes dissimulations mises en place par le gouvernement des États-Unis.  https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/Qu-est-ce-que-The-Age-of-Disclosure-le-documentaire-qui-devoile-des-secrets-sur-les-ovnis-
    • Voici un extrait de la FISM : Le règlement est très vague et de ce fait, on peut arguer que la simple disparition d'un FP dans un foulard aurait compté. Maintenant comme on peut voir plus haut, Dani n'a pas été éliminé. A moins, de discuter avec les juges, il est donc difficile de savoir ce qu'il lui aurait permis d'avoir plus de points.
    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
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