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je vous ai lus en diagonale, très grosse diagonale, entre le premier message de Melvin (Jean-Claude), 15 juillet 2018 dans Forum Général, et le dernier de Vincent (jeckel) publié hier à 15:04... Et personne pour s'inquiéter du blues du spectateur se réjouissant de se rendre à un spectacle de magie... et plouf, la magie, il ne l'a pas vu, eu, ni avec le magicos, ni avec ses tours 😞 !

Jean-Yves Loes (Petitbonhomme)

http://www.lamagiedupetitzebulon.com/

Publié le
Le 05/08/2019 à 02:15, PaulMagie a dit :

Nous avons la chance, au milieu du tumulte que cela procure par ailleurs, de vivre à l'heure du web, avec toute la créativité possible que cela implique... Site web, plateforme de diffusion vidéo, réseaux sociaux, et tout ce qui n'a pas encore été inventé... C'est le "théâtre" de demain. Ce n'est pas toi qui te déplaces mais bien le spectateur qui vient à toi.

Il y a de très bonnes idées dans le reste du message, mais j'ai un doute pour la magie pour le net:

On peut bien sûr faire de très belles choses, mais il y manque un élément essentiel à mon sens.

Le spectateur.

On ne joue pas sur le net pour un spectateur, mais pour une caméra.

Oh, il y aura bien entendu des vrais gens à regarder au final, mais l'interprète, lui, est face à une caméra.

On peut s'en servir, et il y a même des techniques spécifiques pour en tirer partie.

Mais je trouve cela très limitatif, cette absence du public réel.

Les misdirections seront réduites le plus souvent à leur aspect psychologique, laissant de côté le visuel, le contrôle du regard, la gestion des zooms d'attention, pour les remplacer éventuellement par des zooms caméra, mais c'est bien différent...

Il n'y a pas d'interactivité, ou pire, une interactivité simulée...

Il n'y a pas de retour instantané, pas d'occasion de rebondir dessus, pas d'échanges d'émotions, ou si peu...

Dans certains cas, pour une interprétation très théâtralisée, c'est adapté (il me vient baltasse à l'esprit, qui est top même sur un écran!!!...), mais pour une magie plus standard, on perd vraiment beaucoup, voire trop, à ne le faire qu'en vidéo.

Trouve un vrai public, fais du spectacle vivant, pas en conserve, et trouve le plaisir dans le contact avec les gens, pas avec des "likes" 😁

Gilbus

  • J'aime 1
  • Embarrassé 1

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

Publié le
Le 05/08/2019 à 06:21, Magic-Tony a dit :

 

 

il y a 14 minutes, Gilbus a dit :

Il y a de très bonnes idées dans le reste du message, mais j'ai un doute pour la magie pour le net:

On peut bien sûr faire de très belles choses, mais il y manque un élément essentiel à mon sens.

Le spectateur.

On ne joue pas sur le net pour un spectateur, mais pour une caméra.

Oh, il y aura bien entendu des vrais gens à regarder au final, mais l'interprète, lui, est face à une caméra.

On peut s'en servir, et il y a même des techniques spécifiques pour en tirer partie.

Mais je trouve cela très limitatif, cette absence du public réel.

Les misdirections seront réduites le plus souvent à leur aspect psychologique, laissant de côté le visuel, le contrôle du regard, la gestion des zooms d'attention, pour les remplacer éventuellement par des zooms caméra, mais c'est bien différent...

Il n'y a pas d'interactivité, ou pire, une interactivité simulée...

Il n'y a pas de retour instantané, pas d'occasion de rebondir dessus, pas d'échanges d'émotions, ou si peu...

Dans certains cas, pour une interprétation très théâtralisée, c'est adapté (il me vient baltasse à l'esprit, qui est top même sur un écran!!!...), mais pour une magie plus standard, on perd vraiment beaucoup, voire trop, à ne le faire qu'en vidéo.

Trouve un vrai public, fais du spectacle vivant, pas en conserve, et trouve le plaisir dans le contact avec les gens, pas avec des "likes" 😁

Gilbus

Je sais ton aversion pour la toile et les dérives qu'elle a apporté à notre art, mais pour autant je pense que c'est un outil formidable qui permet à beaucoup de sortir de leur solitude et de leur isolement.

Et encore au delà de ça, si nous jetons un coup d'œil dans le rétro, ces 20 dernières années ont été incroyables en développement et en changements à beaucoup de titres, et majoritairement celui du Web (en majuscule incluant: web 2.0, réseaux sociaux, smartphone, applications, startup, e-commerce, e-learning, marketing digital... Et bien d'autres choses).

Je suis un fervent défenseur de la créativité et de l'innovation. Je pense qu'il y a énormément à faire en croisant les compétences et les outils. Le spectacle prend aujourd'hui un tas de formes nouvelles, et la digitalisation des évènements ne veut pas nécessairement dire leur dématérialisation. 

Je partage tout à fait ton avis sur l'interaction comédien/spectateur, l'art est vivant, et chaque prestation est différente d'une autre pour autant que nous présentions les mêmes effets avec les mêmes mots... À des spectateurs différents ! C'est cette interaction, ce côté vivant qui rend chaque instant différent et rend le spectacle intéressant. 

Il y a tellement de nouveaux médias qui émergent chaque jour, mois... Des objets connectés, du live, des plateformes de streaming, des plateformes éphémères, de bots... Prenons juste l'exemple de Marco Tempest, qui est un esprit novateur et qui propose des expériences où le spectateur n'est pas nécessairement impliqué, je pense aussi au travail de @Gérard Bakner, dont les œuvres sont une invitation à la réflexion par l'illusion... Et je suis sur qu'il y a d'autres exemples. 

La question est de ne pas rester enfermé dans une vision négative d'un outil mal exploité (ou exploité par facilité). Prenons juste youtube, il y a énormément de chose à faire où la magie n'a pas été explorée : réalité augmentée, casque 3d, vidéo interactive,... C'est d'abord une question de créativité, d'investissement, de passion et de temps.

  • J'aime 2

Mon regard sur les publications Close-Up :

http://closeupcritique.wordpress.com/

Publié le

Du peu que j'ai vu de "magie pour le net", ça ressemble parfois plus à une démonstration de trucs qu'à de la vraie magie (y a pas un sujet style "c'est quoi la magie ?" ?).

 

J'ai deux exemples en tête : une chaîne avec deux jeunes qui pour le moment n'a publié qu'une vidéo faites de clips pour Instagram et Kamel le magicien. Je passe sur le côté vulgaire de ce dernier à mes yeux.

 

En vidéo on n'a pas la même dynamique qu'en réel et malgré mon niveau, il m'est déjà arrivé de voir des techniques comme un éléphant dans un couloir.

Faiseur de trucs et de bidules.

Publié le
il y a 29 minutes, PaulMagie a dit :

 

Je sais ton aversion pour la toile et les dérives qu'elle a apporté à notre art, mais pour autant je pense que c'est un outil formidable qui permet à beaucoup de sortir de leur solitude et de leur isolement.

 

Hihihi: je n'ai d'avertion que pour les dérives, pas pour la technologie elle même...

La preuve, on discute sur le net, et on y prend plaisir...

Et j'ai passé toute ma vie active à faire en sorte que ces technologies soient abordables pour le grand public ( télématique, web, applis etc...)

Le problème du virtuel, outre l'absence du public que j'indiquais dans le message d'avant, et sur lequel nous sommes d'accord, c'est aussi parfois une erreur sur le média pour certains tour, qui ne sont pas fait pour passer en vidéo sans modifications importantes...

Pour le mélange des disciplines, je suis naturellement pour, par principe, mais il y a des métissages délicats :

Marier magie et technologie m'à toujours semblé compliqué, car notre technologie actuelle est tellement "magique" qu'elle laisse bien peu de place au mystère...

Le top me semble d'utiliser la technologie de façon cachée, pour ne pas induire d'explication trop facile au public, l'explication, même si elle est erronée, tuant tout mystère...

Si on veut marier les deux de façon visible, cela demande énormément de travail...

étant d'un naturel paresseux...

Gilbus

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

Publié le
Il y a 16 heures, Jean-Yves LOES a dit :

Et personne pour s'inquiéter du blues du spectateur

Eh non, sans doute parce que ce n'est pas le sujet 😉 ?

Digression pour digression, on peut aussi évoquer le blues du polochon :

Citation

Un clip vidéo sur une chanson de Gotainer réalisé en 1986. Avec un prix d'interprétation obtenu au festival de Blanquefort en Gironde

 

  • Haha 1
Publié le

Donner le blues aux spectateurs... bien après il faut savoir apprécier et chercher ce qui est bien dans un spectacle . C'est un peu comme une affiche publicitaire, qui annonce quelque chose, mais à l'arrivée, on s'imagine beaucoup de choses et en fin de compte, l'affiche reste toujours plus attractive.

Le spectateur est dans l'attente de "son idée", ce qu'il a imaginé, ce qui en général , est loin de la réalité . 

Dans une prestation de magie, il a toujours du bon et du mauvais, car chacun voit les choses à sa manière 🙂 

Et parfois, on passe souvent à côté de l'essentiel ( c'est de passer un bon moment ) . 

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  • Messages

    • Qu’est-ce que The Age of Disclosure, le documentaire qui dévoile des secrets sur les ovnis ? Dan Farah souhaite révéler au grand public des dissimulations vieilles de 80 ans. C’est une question qu’on s’est tous posée au moins une fois : sommes-nous seuls dans l’univers ? Si Dan Farah tente de convaincre dans son documentaire The Age of Disclosure (l’âge de la divulgation) que les ovnis sont bien à prendre au sérieux, il souhaite avant tout éveiller les consciences sur les différentes dissimulations mises en place par le gouvernement des États-Unis.  https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/Qu-est-ce-que-The-Age-of-Disclosure-le-documentaire-qui-devoile-des-secrets-sur-les-ovnis-
    • Voici un extrait de la FISM : Le règlement est très vague et de ce fait, on peut arguer que la simple disparition d'un FP dans un foulard aurait compté. Maintenant comme on peut voir plus haut, Dani n'a pas été éliminé. A moins, de discuter avec les juges, il est donc difficile de savoir ce qu'il lui aurait permis d'avoir plus de points.
    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
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