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Il existe des aimants ultras plats permettant de s’insérer entre le dos et la face des cartes prealablement décollés, tu devrais assez facilement trouver des tutos. Pour le vieillissement il existe des jeux déjà style vieillis et qui ne sont pas trop chers ce qui évitera de t’embêter.Apres il y a des méthodes avec du thé , cire...évite les méthodes au Marc de café qui laissent une forte odeur.

Modifié par darlone (Michel)
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www.dedales-hypnose.fr

Publié le (modifié)

Mon souci serait plutôt d'éviter que les cartes vieillissent. 🙂
Au fait, j'attends actuellement les nouvelles NOC de Shin Lim.

Pour aimanter les cartes (les rendre aimantées, pas aimantables), j'ai une longue pratique à ce sujet.
Il faut commencer par détresser deux cartes, en conservant pour chacune d'elles l'étresse et le par-devant pour l'une, l'étresse et le tarot pour l'autre. Eh oui, on se retrouve avec deux étresses pour une carte, mais étant donné la très faible épaisseur d'une étresse, c'est vraiment négligeable. Par contre, l'aspect final empêchera toute distinction avec une carte normale, c'est la perfection.
Le détressage se fait de façon classique, en tapotant le coin de la carte sur une surface dure, pour commencer une séparation d'une partie fine de la carte). Puis en pelant cette couche fine (par-devant ou tarot) en diagonale à partir de ce coin. Cette partie fine sera perdue, elle va se déchirer et il va falloir reprendre le travail plusieurs fois, en grattant à partir d'une autre emplacement (j'utilise un petit couteau dague, un cutter risquerait de trouer le papier). C'est long, pénible, mais c'est la seule façon de parvenir à un résultat parfait.
Je place les cartes détressées entre deux feuilles de papier et sous presse une nuit (une très grosse pile de livres posée par dessus).
Le lendemain elles sont totalement plates.

Puis je place deux aimants de Shin Lim (0,23 mm d'épaisseur pour 1 cm de diamètre) en les collant en diagonale sur une étresse (colle cyano). J'ai essayé toutes sortes d'aimants, ceux de Shin Lim sont les seuls qui me donnent toute satisfaction, invisibles et avec une bonne aimantation. Un seul aimant peut suffire, mais comme je fais des cartes aimantées qui se collent deux à deux de façon parfaite (cf. Shin Lim), il en faut deux et en diagonale pour assurer éventuellement une synchronisation parfaite de deux cartes.
Puis je colle les deux parties d'une carte avec les aimants à l'intérieur, au Rubber Cement. Cette colle a l'avantage de ne pas coller instantanément, de ne rien abîmer, d'être sans odeur, de coller parfaitement et d'autoriser le nettoyage aisé de petites boules de colle éventuelles qui déborderaient). Ce qui permet des ajustages entre les parties à coller, simplement en tapotant les bords de la carte sur une table). Et de permettre la synchronisation fine des aimants d'une seconde carte par attraction magnétique, la colle restant fluide le temps que le placement automatique soit parfait.

Encore une nuit sous presse légère (il ne faut pas que les aimants s'impriment dans l'épaisseur des cartes) et le résultat est l'obtention de cartes aimantées parfaites.
Je peux les donner à l'examen, personne ne se rend compte qu'elles contiennent des aimants (avec l'habitude on constate une très légère raideur due à la présence des aimants, mais il m'arrive même de devoir utiliser un aimant pour pouvoir les repérer. Elles ressemblent de façon parfaite à une carte quelconque, planéité totale, absence totale de marques, pas de sur-épaisseur visible. Et ça tient sans problème dans le long terme.

C'est long et pénible, mais le résultat en vaut la peine.

Modifié par Edler (Jean-Jacques)
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Quand on veut on peut.
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On a mis le pied sur la lune, bientôt un humain fera de même sur Mars et personne n'a encore inventé un produit simple à badigeonner sur la carte pour la rendre aimantée, quelle misère !! 😊

En tous les cas merci d'avoir partagé ce savoir faire 

Philippe 

Publié le
il y a 4 minutes, Philippe S a dit :

On a mis le pied sur la lune, bientôt un humain fera de même sur Mars et personne n'a encore inventé un produit simple à badigeonner sur la carte pour la rendre aimantée, quelle misère !! 😊

En tous les cas merci d'avoir partagé ce savoir faire 

Eh bien si, j'ai un liquide aimanté (par contre il est rangé je ne sais où et je n'ai pas de références) qui permet de créer ses propres magnets. J'ai pu rendre aimantées des petites feuilles de papier de différentes couleurs (pour un tour). Cela fonctionne très bien... pour le genre magnet. Par contre, pour aimanter des cartes, c'est minable : de très très loin pas assez aimantées.

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Quand on veut on peut.
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Le 02/03/2019 à 13:42, Philippe S a dit :

Est-ce que vous connaissez un moyen de donner un aspect vieillot aux cartes et aussi de les aimanter ?

Certains jeux sont vendus "vieux", comme les jeux 1800. J'aime bien leur aspect.

Pour aimanter les cartes, au contraire du tuto donné plus haut, il m'est arrivé d'utiliser une méthode plus directe : deux cartes collées l'une à l'autre, avec 2 lames de rasoir mécanique insérées entre les deux cartes.

Ceci te confère une carte clé facilement utilisable, et selon l'aimant que tu utilises en face, elle possédera une grande force d'attraction (pouvant facilement emporter une ou plusieurs cartes avec elle).
Si tu ne souhaites pas la double épaisseur de la carte clé, alors détrames et insères les lames entre les épaisseurs.

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David

mnemonaute_tn.jpg

Publié le

La technique décrite par @Chakkan (David) est la méthode traditionnelle, décrite dans les ouvrages classiques (Tarbell, notamment).

Néanmoins, l'inconvénient, c'est que la cartes ne va pas forcément se positionner exactement là où on le voudrait : l'aimant et les lames de rasoir seront forcément l'un sous l'autre, mais la carte peut "pivoter" autour de l'axe de l'aimant. Selon l'effet recherché, cela peut poser problème...

J'ai la chance d'avoir des cartes magnétiques fabriquées par @Edler (Jean-Jacques), avec plusieurs aimants par carte, ce qui assure que les cartes vont toujours se positionner exactement l'une sur l'autre, et je dois admettre que ce n'est pas comparable à la version classique 😍

Je les utilise notamment avec mon portefeuille F1 wallet : une carte magnétique dans le PF, l'autre dans le jeu. C'est la garantie que les cartes volées seront toujours parfaitement alignées avec le PF.

Ceci dit, pour certains effets, l'alignement n'a pas besoin d'être parfait, et la technique de la double carte aimantable est tout à fait satisfaisante.

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L'important, c'est que ça valide !

Publié le
Il y a 1 heure, Chakkan (David) a dit :

Certains jeux sont vendus "vieux", comme les jeux 1800. J'aime bien leur aspect.

Pour aimanter les cartes, au contraire du tuto donné plus haut, il m'est arrivé d'utiliser une méthode plus directe : deux cartes collées l'une à l'autre, avec 2 lames de rasoir mécanique insérées entre les deux cartes.

Ceci te confère une carte clé facilement utilisable, et selon l'aimant que tu utilises en face, elle possédera une grande force d'attraction (pouvant facilement emporter une ou plusieurs cartes avec elle).
Si tu ne souhaites pas la double épaisseur de la carte clé, alors détrames et insères les lames entre les épaisseurs.

Bien sûr, cette technique est intéressante et je la pratiquais auparavant, faute de mieux.
Mais on parlait ici de cartes aimantées, pas de cartes aimantables. C'est-à-dire contenant des aimants.
De plus bonjour l'épaisseur de la carte finale, entre celle des deux cartes et celle des lames de rasoir.
Mais cela peut être utile, il est vrai.

Pour faire adhérer deux cartes (en donnant l'illusion de faire disparaître ou apparaître l'une d'elles, il faut impérativement des cartes aimantées. Et que leur finesse soit assurée.

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Quand on veut on peut.
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Le ‎02‎/‎03‎/‎2019 à 22:31, Edler (Jean-Jacques) a dit :

Le détressage se fait de façon classique, en tapotant le coin de la carte sur une surface dure, pour commencer une séparation d'une partie fine de la carte). Puis en pelant cette couche fine (par-devant ou tarot) en diagonale à partir de ce coin. Cette partie fine sera perdue, elle va se déchirer et il va falloir reprendre le travail plusieurs fois, en grattant à partir d'une autre emplacement (j'utilise un petit couteau dague, un cutter risquerait de trouer le papier). C'est long, pénible, mais c'est la seule façon de parvenir à un résultat parfait.

Je croyais que la technique du micro onde était mieux encore...

mais je n'ai pas encore eu le temps de tester

Monswiller Magic Club - Club de magie à Monswiller (proximité Saverne en Alsace) - http://monswiller-magic-club.fr

Publié le
il y a 28 minutes, Yann (Dr_Zaius) a dit :

Je croyais que la technique du micro onde était mieux encore...

mais je n'ai pas encore eu le temps de tester

La technique du micro-ondes, je l'ai largement testée. C'est vrai, les différents composants de la carte se détachent très bien, sans problème. Sauf que le résultat n'est pas du tout satisfaisant, si on recherche la qualité.
Les couches séparées sont fripées, même si on les fait sécher sur une plaque de verre et sous presse. En tout cas c'est une technique que je n'emploie jamais, maintenant.
Mais certains peuvent s'en contenter, tout dépend de ce que l'on recherche.

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    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
    • Bonjour, Un peu plus haut en évoquant combien l''"humanité" du personnage de Mortenn CHRISTIANSEN participe de la construction de son numéro, la citation de D.BROWN que j'avais en tête est extraite de "Notes from a Fellow Traveller", page 416 : "I may be alone in thinking about this, but in a craft building on foundations of untruth, it is a worthwile occupation to seek to bring it to a place of honesty."
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