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Bonsoir,

Je viens vous solliciter pour un conseil dans le choix des cartes et/ou leur préparation.

En ce moment, je commence à m'exercer à reproduire l'empalmage invisible de Bernard Bilis.

Outre le fait que je suis bien loin de réussir cette routine somme toute assez simple, je rencontre un problème de "coussin d'air" :) – j'ai bien tenté de limiter cet effet avec le stick de Harry&Lawrence (avec modération) mais …. ce n'est pas encore ça.

Est-ce qu'il y a un coup à prendre pour poser les cartes (ce que je commence à croire) ou bien existe-t-il une "recette" pour améliorer la pose ?

Veuillez vraiment m'excuser pour cette question qui doit être évidente pour beaucoup d'entre vous.

Merci d'avance.

Thierry

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Oisif touche à tout mais bon à rien 

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Publié le

Salut,

je ne pense pas que cette routine soit si simple que ça ! Bernard Bilis y exécute des mouvements qui ne sont pas évidents du tout à réaliser en conditions réelles, devant des spectateurs. Les versions "révélées" sur Youtube ne sont souvent que très approximatives...

Pour ta question précise, je pense que la surface sur laquelle tu travailles est importante (elle doit être antidérapante), de même que la qualité des cartes (surface plane). Je ne peux pas en dire trop sur cette partie du forum. Il y a quand même des coups à prendre mais ne te décourage pas, tu vas y arriver avec de la pratique, sans t'aider de quoi que soit d'autre que ton tapis et tes cartes. Ça fonctionne et il n'y a pas besoin d'être un dieu pour y arriver. Je n'exécute pas encore parfaitement ces techniques, mais avec le temps j'ai fait beaucoup de progrès, inespérés au tout début. Souvent, on se demande si il n'y a pas effectivement des "trucs décisifs" pour réaliser une technique correctement, ce n'est pas forcément le cas. Il suffit souvent de pratiquer longtemps pour débloquer les situations petit à petit, palier par palier. Travail, questionnement (pas trop non plus...) et patience...

Si il y a une "clé", c'est peut-être le fait d'apprendre à exécuter les techniques posément mais franchement, sans hésitation. L'hésitation et le doute engendre l'erreur...

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Fredopathe

Publié le

Le problème de coussin d'air peut se résoudre....en chassant l'air.

Tu prend les cartes par la tranche, tu les fait plier un peu dans un sens, dans l'autre, et hop, plus d'air...

La réponse était dans la question, je pense :) 

Tu as bien posé la question ;) 

Ensuite, comme il a été dit, c'est mieux de travailler sur un tapis, qui va limiter les à coup sur les cartes posées.

Gilbus

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

Publié le

Un grand merci à vous.

J'ai déjà le tapis, il me reste à m'entraîner encore et encore.

Encore merci.

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Oisif touche à tout mais bon à rien 

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Publié le

Je te recommande le DVD d’ @Yves CARBONNIER « Doubles sur table », dans lequel il explique plusieurs techniques de LD et de dépôt sur la table et donne des astuces (choix du tapis, usure des cartes, mains sèches et fraîches, etc.)

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L'important, c'est que ça valide !

Publié le

Je rejoins les conseils donnés précédemment. Chasser l'air est un bon moyen d'arriver à tes fins (petite courbure avant le dépôt). Pour un dépôt encore plus trompeur, et sans en dire trop sur cette partie du forum, tu peux regarder la subtilité de Vallarino, de mémoire présente dans le DVD Inspiration Marlo en compagnie de Bebel ;)

  • Merci 1

Damien

"Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait." - Mark Twain

Publié le
il y a 9 minutes, Dam Ien a dit :

tu peux regarder la subtilité de Vallarino, de mémoire présente dans le DVD Inspiration Marlo en compagnie de Bebel ;)

et également expliquée (mais peut-être moins en détail) sur le DVD Doubles sur Tables mentionné plus haut ;)

(non, je ne touche rien sur les ventes, mais avec un peu de chance, je peux me faire inviter au restau par @Yves CARBONNIER xD)

  • Haha 1

L'important, c'est que ça valide !

Publié le

Bonsoir

Pour chasser l air il y a la méthode des 3 points d appui 

Vous tenez donc la LD, le pouce au milieu de la grande tranche extérieure au dessus et l index et l annulaire en dessous toujours sur la grade tranche extérieure mais plus du côté supérieur pour l index et le côté inférieur pour l annulaire, cela permet de ne pas faire "baver" la LD, vous appuyez sur chaque doigt et cela courbe légèrement la LD et cela chasse l air

Vous posez la LD délicatement sur la table sans la lancer, avec de l entraînement ça fini par être bon 

La façon de poser je l ai regardé sur un DVD de Jennings "classic magic" sur l empalmage invisible

La façon de tenir la LD m a été montré par Bebel

Encore merci à eux

Cdt

Roberto 

  • Merci 1
Publié le
Il y a 3 heures, Donato a dit :

Vous tenez donc la LD, le pouce au milieu de la grande tranche extérieure au dessus et l index et l annulaire en dessous toujours sur la grade tranche extérieure mais plus du côté supérieur pour l index et le côté inférieur pour l annulaire,

L'annulaire ? Ce ne serait pas plutôt le majeur ?

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    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
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