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Vous avez bien de la chance concernant la qualité, il est aussi possible que vous soyez tombé sur fabrication "2.0" le produit ayant été un court instant en rupture , le fabricant à peut-être revu sa copie ! Si c'est le cas on ne peut que féliciter la démarche :)

En tout cas tant mieux pour vous ;)

Ici c'est le chaudron !!!

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De mon coté la qualité est aléatoire ... mais ça reste tout de même très correct !

le rapport qualité/prix me semble bon et ça permet de s'amuser avec des effets que je ne pourrai jamais m'offrir avec des pièces gimmickées ... (quoi que Tango reste abordable)

Concernant les co...illes, je n'ose pas les utiliser je les trouves vraiment trop grosses ! mais les sp..t sont top, et pour un public de base, ça marche très bien ! vive le 3 fly !

 

Publié le
Il y a 11 heures, djédi a dit :

je me lèche les doigts !! c'est pas très distingué mais j'ai trouvé que ça ...

Tu as aussi une solution de gel que tu trouveras dans le film   "Marie à tout prix" :D

Tu peux même cumuler les deux ! xD

Si Dieu existe j'espère qu'il a une bonne excuse.

Woody Allen

Publié le
Le 02/01/2017 à 15:09, Gilbus a dit :

 

Les splits sont très bien, notamment la tranche noire qui est très discrète.

Mais comme il a été dit, les décoller est parfois un peu difficiles, et je m’explique :

Une force d’attraction un tantinet plus légère m’aurait mieux convenu.

J’ai les mains très lisses, et la pulpe des doigts glisse sur le jeton, sans décoller la chose.

Cela me posait déjà des problèmes avec les cartes, et idem avec certaines manips de jetons, du coup…

Mais bon, en humidifiant les doigts, pas de problème.

Ceux ayant des « doigts ventouses », qu’il suffit de passer sur une carte pour qu’elle suive sans forcer ni déraper,  n’auront sans doute pas de problème avec ces splits…

Les autres feront comme moi : soit produit pour mains sèches (mais du coup, j’ai un peu peur de tacher les jetons…), soit humidification de la pulpe… (j'envisage de coller une éponge sous ma table, à cet effet : marre de passer mon temps à me lécher les doigts... ;) )

J’imagine aussi qu’il faut prendre l’habitude du geste de splitage...

A part cela, l’utilisation des splits est très agréable et très facile.

 

Gilbus

Bonsoir, voici ma modeste contribution. Je ne suis absolument pas pratiquant de la magie des pièces, imagination coin me suffit à mon répertoire mais je me suis laissé séduire par sucker. poker, jetons, mode du poker toussakoi.

Donc reçu ce mercredi 11, commandé chez BM pour faire plaisir à Alexis ( :D ).

Je viens de me taper les 22 pages du sujet car j'avais le soucis cité par Gilbus et je cherchais un pauvre malheureux dans le même cas que moi qui soulèverait ce petit hic, mais j'y reviendrai.

Tout d'abord pour le set reçu, toutes les pastilles sont correctement centrées. Pour la qualité et comparaison poids/taille je ne me prononcerai pas car aucune expérience sur ce sujet aussi bien en pièces qu'en jetons. Les vidéos sont propres, soignées, Eric fait bien son job de coach.

Viens mon soucis avec les splits et ce problème d'attraction un peu forte. Du coup les mouvements d'Eric deviennent moins ( pas du tout ) évident et surtout moins fluides.

Alors effectivement en humidifiant les doigts ça fonctionne un peu mieux mais voilà quoi, c'est le petit moins qui, perso, freinerait mon apprentissage. Mais je lâche pas l'affaire. Peut-être que sans la peau sur les doigts ça ira mieux!

Publié le (modifié)
Citation

Peut-être que sans la peau sur les doigts ça ira mieux!

Oh oh Karl, quelle idée audacieuse... Non, non, Je te suggère plutôt de procéder de la façon suivante : tu prends une balle mousse (Goshman) que tu imbibes avec un peu de sirop de grenadine (celui de Monoprix est parfait, mieux que du Teisseire - c'est dire -  mais ne me parle pas des sirops Monin, que l'on trouve souvent dans les bars, je vais m'énerver). Tu déposes la balle mousse ainsi préparée dans la poche opposée à celle où tu conserves tes j'tons. Tu es prêt.

Au moment de présenter ta routine, tu fais semblant de chercher dans tes poches. Dans l'une tu attrapes tes j'tons, dans l'autre tu imbibes secrètement tes doigts de sirop de grenadine et roulez jeunesse  :) !

Bien sur, tu ne limites pas ton set à une routine de j'tons - j'aime bien dire "j'tons" :) -, tu auras certainement une routine de cartes, de cordes ou de balles éponges  à proposer après ta routine de j'tons ou, si celle-ci est en final de ton set, comment faire pour enchaîner à la table d'après avec tes doigts qui collent ?  Bah ce n'est pas un problème pour le magicos professionnel : tu trouveras très certainement à la table que tu viens de quitter ou à celle que tu approches, un verre d'eau dans lequel rincer discrètement tes doigts. Toutefois pour ne pas risquer d'entamer ou de poursuivre un set les doigts mouillés, n'oublie pas de les essuyer sur l'épaule d'un spectateur (en général, en entrée ou sortie de table, tu peux poser la main sur l'épaule de l'un des convives en geste de décontraction amicale, pour saluer si tu quittes la table ou créer de la proximité si tu abordes la dite table).

Enfin, vieux truc du métier, si tu as oublié ta balle mousse, pas de panique, tu trouveras très certainement le verre de coca d'un gosse dans lequel tremper subrepticement les doigts. Ce n'est pas l'idéal mais cela dépanne et de toute façon, cela vaut mieux que de te retrouver les mains sèches et de ne pas pouvoir séparer correctement tes pièces car alors là, pour le coup, c'est ta routine qui risque de faire split (ah ah un peu d'humour ne nuit pas :) ).
 

La prochaine fois, je vous expliquerai comment conclure élégamment votre routine de carte ambitieuse lorsque vous avez la diarrhée.

 

Modifié par Woody
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    • A défaut, il te suffit de présenter n'importe quelle routine de ton répertoire à tes spectateurs pour que ceux-ci puissent expliquer par la suite qu'ils ont vu un tour de Pierre (et à une lettre près, on n'est pas si loin de la demande initiale. Sans que cela ne te coûte un centime. Merci qui 😜 ?)
    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
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