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Oui, mais de là à dire lui-même qu'il est le meilleur... et j'en passe... faut pas pousser... Ce n'est pas parcequ'on a des complexes qu'il faut se la jouer.... On peut combler les manques autrement...

Heureux les humbles ...

« La préservation de la vérité objective et de la capacité de chaque individu à former des jugements objectivement vrais est la condition première et absolument nécessaire d’une vie libre » (James Conant, in Orwell ou le pouvoir de la vérité, p. VIII).

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JPour faire écho (et un peu de redite) à ce que vient d'écrire notre ami :

Je ne pense pas que Dani dise de lui qu'il est le meilleur.

Il dit avoir essayé avec ses armes d'apporter du sang neuf à cet art et tenter de réveiller l'intérêt du grand public en lui montrant que la magie pouvait être du vrai grand spectacle. Il a su puiser et revister le répertoire de la GI et ses grands classiques, de façon plutôt originale, tout en s'inscrivant dans la tradition de la magie de la belle et grande époque qui avait aussi ses montreurs et phénomèmes de foire. Cela a aussi à voir, sans doute, avec le music hall, à l'instar de Shirley et Dino. Avec ses cotés un peu désuets et kitshs, pourquoi pas. Jeter donc un oeil sur les affiches et illustration de l'époque (Site Internet ) vous verrez que le bonhomme ne déparait pas avec les mises en scène et les personnages qui sévissaient alors.

Marigny, Mogador.., cela faisait belle lurette que des salles parisiennes n'avaient osé faire leurs affiches sur un spectacle entiérement dédié à la magie.

OK, Copperfied... A ce propos, je ne crois pas que Lary se compare lui-même à Copperfield. Ce sont les médias qui par facilité l'affuble très souvent du raccourci de "Copperfield français." C'est tellement plus simple (et compréhensible) même si je pense que leur magie et show n'ont rien à voir. Vous avez d'un côté un magicien en col blanc et son armada de techniciens et metteurs au point, de l'autre un magicien en col bleu qui met les mains dans le camboui et bricole son truc, avec les imperfections que certains d'entre vous ont parfois pertinemment relevé. Avec injustice et méchanceté parfois, aussi.

Je pense que si certains de vos collégues peuvent aujourd'hui se produire dans la capitale et titiller davantage l'attention des médias, voir leur projet prendre forme, c'est aussi parce que Dani Lary a su secouer le cocottier, provoquer et saisir les opportunités qui se présentaient à lui. C'est tout ceci que raconte son bouquin, son parcours, ses audaces (qui peuvent passer auprès de certains comme de l'arrogance et de la prétention mal venues), ses coups de blues, aussi. Ca n'a pas, je crois, plus de prétention que celà. Alors peut-être est-il parfois, à l'image de son auteur sur scène, ici et là un peu maladroit dans sa manière de raconter et dire les choses.

http://petitbonhomme.canalblog.com/

Modifié par petitbonhomme

Jean-Yves Loes (Petitbonhomme)

http://www.lamagiedupetitzebulon.com/

Publié le (modifié)
... beaucoup de gens le critiquant devrai peut-être faire preuve d'un peu plus de modestie avant de critiquer cet artiste...

Je comprends ce que tu veux dire, mais quand même.

Je ne vois absolument pas ou se situe le manque de modestie dans la critique d'un spectacle.

Si je me base sur ta réflexion, on ne peut plus rien dire et tout est beau et merveilleux et merci. Un peu facile non ?

Je critique pas le bonhomme, ne le connaissant pas.

Par contre ce qu'il présente laisse nous le droit d'aimer ou de ne pas aimer. Tout comme nous avons le droit d'émettre une opinion sur ce qu'il laisse transparaitre de lui (homme public et médiatisé) dans son bouquin.

Qu'il y ait beaucoup de travail derrière dans son spectacle (et à tous les niveaux) ne sera jamais la preuve d'une grande réussite. Ni même le colossale budget du reste et le plan médiatique. Nous avons tant d'exemples de comédies musicales par exemple ou de films qui se sont pris des bides monumentaux alors qu'il y avait des comédiens, des artistes de talent au générique.

Prends le cas des "Bronzés 3" réussite commerciale sans aucun doute, mais est ce le bon film de divertissement que tout le monde attendait ? Combien de spectateurs ont été satisfaits ? Et ce malgré les 3 années à écrire le scénario, le budget, les comédiens qui ont fait leurs preuves.

Quand la mayonnaise ne prend pas, elle ne prend pas, même si les œufs sont frais pondus, l'huile de qualité, le fouet en argent, le bol en cristal et le cuisto de grand renom.

Modifié par Kozou

Amitiés magiques

Kozou

L'illusion de la Vie... la Vie de l'illusion

Publié le

je te suis tout à fait dans cette réflexion, et j'aime beaucoup le parallèle avec la mayonnaise.

« La préservation de la vérité objective et de la capacité de chaque individu à former des jugements objectivement vrais est la condition première et absolument nécessaire d’une vie libre » (James Conant, in Orwell ou le pouvoir de la vérité, p. VIII).

Publié le

j'aime bien le personnage un peu gauche, le fait qu'il s'agit d'un artiste plutôt dispo, avec qui on peut parler, échanger des idées, après 2 heures de show, bien sur il y a une explication commerciale que je n'oublie pas, je ne dis pas qu'il est tt beau, tt gentil, je trouve certaines de ces créations plutôt interessantes, les différents shows que j'ai pu voir et tester en live, m'ont paru bien ficelé, je ne parle pas de ses prestations dans le PGCDM qui me paraissent souvent trop réduites pour faire prendre la mayo (probleme du format tv pour la GI), bien entendu il ne s'agit que d'un avis, les goûts de chacun ne se discutent pas...

Le peu que je sais, c'est à mon ignorance que je le dois.

  • 2 weeks plus tard...
Publié le

Préambule :

- j'ai l'occasion d'avoir Anita, la soeur de Dani, au téléphone de temps en temps

- j'ai eu la chance de passer un après-midi avec Dani dans les coulisses de Marigny

- j'ai eu l'audace de lui faire part de critiques au sujet de son spectacle dès notre 1ère conversation

Donc inutile de me faire des remarques sur ma "neutralité" au sujet de Dani ;)

Je viens de finir son livre que j'ai dévoré en 2 jours :

- effectivement, certains passages mis en évidence par Guillaume me semblent excessifs

- par contre, j'ai adoré le reste du livre : il nous fait partager sa passion, son amour de la Magie, son parcours, des anecdotes de sa vie d'artiste.

Donc un bon p'tit livre "grand public" pour découvrir Dani avec toutes ses qualités et ses défauts : ne nous y trompons pas, c'est le but de ce livre.

Sinon, à quand une biographie de Gaëtan Bloom ????

Je ne suis pas écrivain, mais si tu as besoin d'un coup de main Gaëtan, je suis volontaire !!! :grin:

  • 5 années plus tard...
Publié le (modifié)
[...] moi qui aime beaucoup Copperfield, je ne considère pas un instant qu'il ait une once de talent de comédien au sens théâtral du terme.

Mais DC est un comédien entertainer dans une forme de Music Hall Broadway Végassisé flirtant un peu avec Kubrick...

Et Lary flirte peut-être avec un Music Hall à la Pagnol...

mdr Ça fait du bien de relire du Husky de temps en temps... :whistle:

[video:youtube]

Modifié par Christian Girard
Publié le

Sinon, à quand une biographie de Gaëtan Bloom ????

Je ne suis pas écrivain, mais si tu as besoin d'un coup de main Gaëtan, je suis volontaire !!! :grin:

Oui moi non plus ne suis pas écrivain (même si j'aime bien m'amuser avec mes petits acrostiches), mais si tu as besoin d'un "scribouillard" pour ta bio Gaëtan je suis partant à 200% !!!!

NIRAG

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Publié le
[...] moi qui aime beaucoup Copperfield, je ne considère pas un instant qu'il ait une once de talent de comédien au sens théâtral du terme.

Mais DC est un comédien entertainer dans une forme de Music Hall Broadway Végassisé flirtant un peu avec Kubrick...

Et Lary flirte peut-être avec un Music Hall à la Pagnol...

mdr Ça fait du bien de relire du Husky de temps en temps... :whistle:

[video:youtube]

La vache ça rajeunit pas tout ça ! Pourquoi tu remontes ce truc ? C'est donc ça le machin secret sur lequel tu bosses ? C'était donc Lary ? mdr;)

Sympa sinon la vidéo !

Love U2 !

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    • Et si l'on parle de "bouffée de l'humanité" : quelques portraits de la Fism à Rimini, là où l'humanité était encore plus palpable.... Qui me cite les noms ? 1er prix : Mon corps pendant 10 mn. Deuxième pris : une nuit d'amour avec moi; Troisième pris : Une vie avec moi !  
    • Bonjour, Heureux si j'ai pu partager avec certains quelques unes des émotions ressenties pendant les six jours de cette FISM. À propos d'émotions, le numéro du 1er prix en magie de salon en débordait. (précision : lors de son second passage sur "Fool Us" le tout début de ce numéro a déjà été montré : si vous ne l'avez pas déjà vu...alors tant mieux, gardez-vous de le regarder, vous vous gâcheriez une partie du plaisir de la version intégrale) *** Asi WIND dans « Incredibly Human » ou Derren BROWN dans son dernier livre se posent la même question : pour que dans un spectacle vivant et interactif une émotion sincère puisse naître, il faut que surgisse une connexion authentique entre l’artiste et son public. Dès lors, comment concilier en magie cette authenticité de la relation humaine avec un art qui est, lui, tout entier tourné vers l’artifice ? Ce jeudi 17 juillet à TURIN au matin, lors de la compétition de magie de salon, Mortenn CHRISTIANSEN a à sa manière si particulière fait surgir cette bouffée d’humanité dans un auditorium comble. *** Dès le départ tout est allé de travers pour le candidat danois Mortenn CHRISTIANSEN, appelé sur scène alors qu’il n’était absolument pas prêt. Mais alors pas prêt du tout, du tout, du tout. Le jeune homme bien portant boulottait des chips en douce dans les coulisses au moment d’entrer en scène, mais dans la précipitation, c’est la cata : sa main droite s’est coincée dans son tube de chips. Son désarroi est palpable. Pour tenter de sauver la mise de demander malgré tout une carte à un spectateur (Shawn FARQUHAR s’y colle, va pour le 4 de cœur) avant de s’apercevoir que son paquet de cartes est coincé dans la poche arrière droite de son pantalon -pas de bol, pile du côté de sa main bloquée dans le paquet de chips : au prix de moult contorsions Mortenn parvient à faire remonter peu à peu le paquet de cartes qui émerge de sa poche et finit par chuter sur scène. Il le ramasse de sa seule main libre -la gauche- sort les cartes et enchaine une série de piètres manipulations d’une main. Les maladresses succèdent aux maladresses, Mortenn peste, marmonne combien il n’était pas prêt, laisse lamentablement choir toujours plus de cartes, bref sa prestation tourne à l’embarras complet. Mais attendez, voilà que Mortenn ne tient plus qu’une seule carte, dos au public…se pourrait-il ? *** À cet instant la routine bascule : Mortenn fanfaronne : « Eh eh…vous avez cru que je n’étais pas prêt…et bien c’était pour de faux, j’étais prêt, archi-prêt… ». Qu’on se le tienne pour dit, on va voir ce qu’on va voir. Non pas bien sûr que quiconque dans la salle ait réellement cru à la farce de Mortenn pas prêt – même si cette séquence du pauvre garçon en prise aux pires coups du sort aura quand même suffit à susciter notre empathie immédiate envers lui-, mais nous voilà, nous dans la salle, passés en un clin d’œil de spectateurs à spect-acteurs, projetés dans le rôle qui nous est assigné : celui d’adultes face à un petit enfant trop content d’avoir roulé son monde dans la farine ; et nous allons, pour lui faire plaisir, faire comme si nous avions effectivement gobé la bonne blague de sa déroute feinte. Par sa personnalité scénique et sa mise en scène, ayé, le (vrai) tour est joué : le bras de fer potentiel public-magicien est illico désamorcé, nous consentons à entrer dans le monde de Mortenn, nous jouons à faire comme si nous avions vraiment cru qu’il était pris de court, et ainsi nous nous livrons pieds et poings liés au garnement. Mortenn est un enfant mais pas à la manière mettons d’un Rubi FEREZ- enfant lunaire, rayonnant et malicieux, qui s’émerveille de tout. Non, pour Mortenn le monde est vaste et compliqué ; puéril et hypersensible (donc hyper-attachant) il est en butte aux gens et aux choses qui le rendent bien, bien, malheureux. Et la magie est son salut. Et la vraie magie est que tout le reste de la routine va puiser sa justification précisément dans le personnage même de Mortenn CHRISTIANSEN, dans sa « revanche » face aux grandes personnes. *** Car à cet instant la routine bascule aussi en termes de nature d’effet magique : on va passer d’une démonstration burlesque d’habilité à retrouver une carte par des manipulations faussement maladroites, à un tout autre effet : une prédiction. Ou plutôt des prédictions. Les magiciens ont sans doute tendance à surestimer l’impact réel des effets de prédiction sur leur public, et, pour donner un semblant de construction dramatique à leur numéro, à multiplier les révélations sur le mode : « vous avez librement choisi le 4 de cœur…observez miracle ! C’est la seule carte à dos rouge dans ce paquet bleu… non seulement cela, mais j’ai aussi un 4 de cœur tatoué sur mon bras…et attendez un peu…une carte et une seule dans mon portefeuille le 4 de cœur… ». Le kicker jusqu’à plus soif. La surenchère de prédictions au lieu de décupler l’effet bien souvent l’amoindrit. On avait saisi le message dès la première prédiction révélée : ok le magicien a prévu l’avenir, quel besoin a-t-il donc de nous le « prouver » encore et encore ? L’insistance superflue éveille la suspicion : lors d’un spectacle vu il y a quelques temps j’entendis ainsi soupirer un spectateur au moment de la « trop parfaite » énième révélation : « Bon ok donc c’est le 4 de cœur tous les soirs... » (sic) (pages 46-47 de « Notes from a Fellow Traveler » D.BROWN explique la réécriture du final de son show « Enigma » suite à un exemple semblable d’accumulations d’effets redondants qui s’affaiblissaient mutuellement au lieu de créer la montée dramatique escomptée). Mortenn CHRISTIANSEN va réemployer cette structure « discutable » et lui aussi multiplier les prédictions de la carte choisie -au moins 5 de mémoire : alors pourquoi ici cela fonctionne-t-il si bien, jusqu’à déclencher une standing ovation ? Premièrement le choix initial est on ne peut plus convaincant, transparent : le spectateur nomme librement la première carte qui lui passe par la tête -le jeu n’est même pas encore sorti, et puis quelles manipulations possibles avec une main fourrée dans un paquet de chips ? Comme notre esprit rationnel est tranquillisé de ce côté-ci par une procédure rapide et limpide, il va se faire d’autant plus facilement submerger ensuite par notre esprit émotionnel. Car, deuxièmement, l’accumulation de révélations de prédictions de cette carte est motivée dramatiquement (et donc notre esprit rationnel le cède d’autant plus aisément à notre esprit émotionnel) : c’est juste le personnage immature de Mortenn qui piaffe ; il nous a bien eu, et vlan, vlan, vlan, prédiction après prédiction, le petit enfant jubile d’avoir joué un si bon tour à ces grands bêtas d’adultes. Et nous qui avions si volontiers consenti à entrer dans son jeu nous voilà refaits, désarçonnés face à une avalanche d’impossibilités grandissantes. Ici c’est donc du personnage que part la construction dramatique de la routine et sa multiplication des effets de prédictions. Et non pas d’un personnage de magicien surplombant qui pour accroitre son prestige, prédictions après prédictions, essaierait (vainement) d’étoffer le mystère ; mais bien d’un personnage enfantin qui a gagné notre sympathie et que l’on regarde tendrement trépigner d’avoir enfin le dessus sur les « grandes » personnes que nous sommes. Le martèlement des effets reflète la psychologie de Mortenn. D’un point de vue magique, la rafale de révélations sature notre esprit rationnel : à peine est-il parti en chasse d’un début d’explication potentielle d’une des prédictions qu’une autre surgit encore plus mystérieuse (on n’est pas ici face à un même effet strictement répété avec des méthodes différentes qui se protègent mutuellement - voir la carte ambitieuse dans "Le Chemin Maqique" de J.TAMARIZ- mais bien face à une même carte prédite de manières très variées). Le crescendo est assuré par l’animation puérile croissante du personnage trop content de nous avoir bien eus, par des prédictions de plus en plus incompréhensibles donc (variées aussi en échelle et supports), et enfin par une série d’effets annexes qui rythment l’emballement final du numéro et brisent l’enchainement de prédictions seules : production de deux verres de jus d’orange, une carte transformée en chips, une autre en écouteurs, et même un quick change mi-foiré - l’enfant Mortenn a mis sa chemise à l’envers. Et tout cela en harmonie avec le personnage :  on se souvient comment il avait au début joué sans ambages de sa morphologie pour péniblement extraire les cartes de son pantalon (d’ailleurs comme un callback il se dandinera une seconde fois au cours de la routine pour extraire une seule carte de son autre poche arrière), c’est cette sincérité-là vis-à-vis de ce qu’il est, physiquement et mentalement, qui fait qu’on se figure assez Mortenn se couper d’un monde compliqué pour lui avec ses écouteurs, en mangeant ses chips, parfois même peut-être essaye-t-il de socialiser en offrant des verres de jus d’orange sans voir qu’on rigole dans son dos de ce qu’il est mal fagoté. Tout un petit monde, toute une humanité simple, dans les pas dix minutes d’un « bête » tour de cartes. *** Plus tard ce même jour alors que j’évoque avec Shawn FARQUHAR son documentaire « Lost in the Shuffle » il soupire, soulagé : enfin quelqu’un qui lui parle d’autre chose que de ce satané 4 de cœur de la compétition du matin avec Mortenn CHRISTIANSEN. Il a visiblement été assailli toute la journée par des spectateurs persuadés de sa complicité avec le magicien danois – une complicité pourtant clairement interdite par le règlement du concours. Le 4 de cœur ?, me dit-il, c’est tout simplement la carte qui avait été choisie lors de sa propre victoire à la FISM en 2009.
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