51e FFAP à Saint Malo du 2709 au 011017

[Dominique MICHALET]

il y a 41 minutes, Danilsen a dit :

  Ton souhait  va être exhaussé !Bonne nouvelle pour toi !  le congrès d'Arcachon 2018 aura lieu à St Malo 

J'annonce la nouvelle à l'équipe 

[Thomas BARTHES]

Il y a 16 heures, fredv a dit :

Le seul côté négatif que je garde de ce congrès, ce sont les championnats de France Close up et Scène. 

Etant groupe B j'ai pu assister à tout le Close Up mais le samedi la Scène se chevauchait avec mes conférences. C'est dommage car il y avait un gros trou en fin d'après midi et deux ou trois choses en même temps le matin.

Parait-il que c'était pour "donner du temps aux marchands".

Qui plus est, en tant que candidat, quand tu vois une partie de la salle se lever avant ton passage pour partir assister à une conférence... ben c'est pas le meilleur moyen de te mettre mentalement en condition.

Il y a 16 heures, fredv a dit :

une cérémonie de prix un peu gâchée par le timing.

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[Didier MORAX]

Les honneurs de la presse régionale pour Gildas Borghetto et sa fille .....

Borghetto Gildas

 

OUEST FRANCE

Saint-Brieuc. Ce coiffeur et sa fille sont champions de mentalisme

Modifié le 05/10/2017 à 16:29 | Publié le 03/10/2017 à 02:19

 

Lola et Gildas Borghetto : complicité et passion pour la magie.

(PHOTO Damien Vayssouze)

 

 

Gildas Borghetto, un coiffeur briochin, et sa fille Lola se sont distingués au championnat de France de la Fédération française des artistes et prestidigitateurs (FFAP). Ils ont remporté le 2e prix en « mentalisme ».

« S'il n'y a pas de truc c'est formidable, mais s'il y a un truc, reconnaissez que c'est encore plus formidable... » Sourire mystérieux, Gildas Borghetto aime reprendre cette phrase que lançaient, en fin de spectacle, Myr et Myroska, stars de la télépathie et du mentalisme dans le milieu du music-hall.

Coiffeur dans la vie de tous les jours, ce Briochin vient, avec sa fille, Lola, 14 ans, de décrocher la deuxième place au championnat de France de magie dans la catégorie « mentalisme ». Le papa et le magicien n'est pas peu fier de cette distinction reçue lors de cet événement organisé le week-end dernier, à Saint-Malo, par la Fédération française des artistes et prestidigitateurs (FFAP).

La magie et Gildas Borghetto ? Une histoire qui dure depuis presque trente ans. « Je mange magie, je bouge magie, je pars en vacances magie... », résume-t-il avec humour.

En France et à l'étranger

Spécialiste du close-up ou magie de proximité, autodidacte, il se perfectionne au gré de numéros lors de mariages, fêtes de famille, auprès des clients de son salon de coiffure, puis pendant des congrès de magie, en France et à l'étranger.

En 2009, Gildas Borghetto termine troisième du championnat de France de magie. Maîtrisant bien le close-up et toujours à la recherche de défis, il décide de se lancer dans le mentalisme, l'art de manipuler la pensée et le comportement, en utilisant diverses méthodes telles que l'illusion, la psychologie.

Mathéo et Lola, 15 ans et 14 ans, ses enfants, ont chopé le virus. Chacun à sa manière. « C'est normal... souligne Lola. On a baigné dedans depuis tout petits. Nous étions les premiers spectateurs de mon père. »

Lola commence très tôt à faire ses numéros de close-up. « J'ai démarré par les cartes, ai appris certains tours dans des livres mais surtout avec mon père. »

Il y a deux ans, l'adolescente manifeste l'envie d'aller plus loin dans le partage de cette passion commune. Ainsi naît l'idée de ce duo de transmissions de pensées père et fille. Un numéro qui demandera, en amont, des heures et des heures de travail. « Les week-ends dans un premier temps, puis tous les jours quelques mois avant le championnat de France de la FFAP », souligne Gildas Borghetto.

« Papa m'a coachée. Mais aussi mon frère Mathéo. C'est un travail d'équipe et en famille. Le jour J où nous avons présenté notre numéro, c'était un peu stressant, confie Lola. Se produire devant 800 personnes, ce n'est pas évident. »

Leur numéro ? L'un pose des questions concernant un spectateur invité à monter sur scène. L'autre (Lola), les yeux bandés, répond. Dimanche, à Saint-Malo, leur prestation a bluffé le jury puisqu'ils ont décroché la deuxième place.

Quant aux secrets du tour, que ce soit le papa ou la fille, chut... Rien ne filtrera. « Il faut laisser aux gens une part de rêve », lâche d'une voix douce Gildas Borghetto.

Pour découvrir ce duo, rendez-vous le 4 novembre, à Hermione, lors du festival des Scènes magiques.

 

[Frédéric VILLEMIN]

Il y a 15 heures, Tom A. Bart a dit :

Parait-il que c'était pour "donner du temps aux marchands".

 

Le temps aux marchands ? Je trouve qu'ils en avaient déjà beaucoup : entre chaque conférence / gala / concours, avant ou après, même en faisant toutes les animations, il y avait encore beaucoup de temps pour acheter des choses !

Le vendredi où tout était nickel sur le planning pour le groupe B j'ai assisté à tout mais j'ai quand même eu le temps de vider ma bourse dans des pièces ou des livres entre autres. 

En tout cas on ne s'ennuie pas pendant ces trois jours, dommage qu'on ne puisse pas tout voir..

[Vincent DELOURMEL]

Salut à tous,

Merci à tous les congressistes, participants. N'hésitez pas en effet à faire part de vos remarques car de mon côté je vais aussi faire un "rapport" à la FFAP ; car c'est vrai que gérer un Congrès comme celui-là est compliqué. Parce qu'il y a des contraintes qui vont rapidement expliquer certaines questions qui sont posées :

1) Les conférences chevauchées avec les concours : vous avez raison, on a une vraie contrainte, donner envie aux marchands de revenir la fois d'après. Et cette année ça a été très compliqué ; on avait prévu 50 marchands, il y en a eu un peu plus de 30 ; donc oui, on décide de donner du temps sur une base de 50 marchands, pour qu'ils aient la possibilité de rentabiliser leur stand.

Dès lors, vous regardez le programme : si on passe d'une animation à une autre, il ne reste que le temps du midi pour les marchands et là évidemment ils ne sont pas contents : tout l'enjeu est de trouver l'équilibre.

2) L'autre problématique : la capacité des salles. Il y avait 850 congressistes environ. Mais aucune salle de conférence n'accueille 400 personnes d'un coup si on fait deux groupes. Et on ne peut pas prendre le risque de refuser du monde. Donc on "dilue" les intentions et envies. Et pour les grosses conférences un peu têtes d'affiche (Nestor Hato et Luke Jermay) on a pu les faire dans la salle de spectacle.

3) La cérémonie : le problème, c'est que nous au départ on se met d'accord avec la cellule congrès que la cérémonie dure 40 minutes. Ensuite, on doit enchaîner avec les Mangeurs de Lapins qui ont aussi des contraintes derrière et de toute façon nous enchaînons avec le gala public. Le tout dans une enveloppe horaire qui doit faire en sorte que tout le monde est parti à 23h00. Sinon le Palais nous facture et la FFAP veut absolument qu'on fasse des économies. Aussi, quand j'apprends que la FFAP distribue une vingtaine de prix (!!!!!!) pour une vingtaine de concurrents (re !!!!!!!!) je n'ai pas d'autre choix que de mettre la pression.

4) Guy Lamelot : on a proposé à Guy d'être le président d'honneur, ce qu'il a accepté. Après, très honnêtement, je n'ai pour ma part pas forcément pensé à mettre en avant Guy, pour une raison très simple : sur ce Congrès, je n'ai pas arrêté de courir, et j'étais quand même pas mal la tête dans le guidon. C'est une erreur, somme toute relative, mais oui, je comprends que ça puisse être mal perçu : mea culpa.

Bon, bref, je pourrai écrire un bouquin sur ces deux dernières années. Dans les faits, un Congrès comme ça, c'est un événement comme certains d'entre vous avez déjà guidé ; mais avec des contraintes réelles et une pression financière réelle.

Pour tout vous dire, le Congrès FFAP n'est absolument pas viable au tarif demandé (en moyenne 150 euros par congressiste). Le cahier des charges n'est absolument pas raccord avec le prix. D'où la pression sur les timings, les chevauchements pour attirer les marchands et les convaincre de venir (contre du trafic). Je ne vous raconte même pas les deux années de négociation à tous les niveaux pour que tout rentre dans le budget.

Bref, c'est compliqué. Et toute l'équipe de Saint Malo (Rennes) vous remercie pour votre participation et vous l'aviez compris : le message était de soigner l'accueil et le confort des congressistes. Sur ce point, je crois que ça s'est bien passé Et de toute façon, le public était top donc ça aide aussi. Merci à vous donc !

[Thomas BARTHES]

Bravo à toi et ton équipe @Vincent D. vous avez abattu un boulot formidable.

C'est juste que j'en suis à mon 5e congrès consécutif (deux en candidat, trois en congressiste "simple"), et que je constate un peu toujours les mêmes soucis qui, même s'ils relèvent du détail pour la plupart, sont un peu agaçants.

Ce qui n'enlève rien à la somme de boulot que représente la gestion et l'organisation d'un tel événement.

Donc oui si on peut remonter un maximum d'infos à la fédé, pour que Arcachon se déroule comme un charme, ça ne peut que faire du bien ! 

[Gilbus]

Un autre son de cloche :

Perso, cela ne m’a pas vraiment dérangé de faire des choix :

Les principaux choix (groupe B) étaient entre les concours et les conférences…

Deux activités bien distinctes, donc des centres d’intérêts différents.

Je regrette par contre d’avoir manqué certaines conférences historiques qui tombaient en même temps que d'autres conférences. Elles étaient magnifiquement organisées et animées par pierre Taillefer, et les intervenants que j’ai pu voir étaient tous très intéressants.

Ensuite, je ne pense pas avoir eu TROP de temps pour les marchands :

J’y étais fourré dès qu’il y avait un moment de libre, cela m’a mis parfois en retard pour certaines conférence…

Je n’ai pas dépensé tant que cela (dans les 130€) chez les marchands, mais j’ai pris mon temps pour choisir, et découvrir aussi des choses que j’achèterai sans doute plus tard…

Avoir une telle concentration d’offre est un vrai atout, et les marchands n’ont pas été avares de conseils, de démonstrations, de patience…

La grande diversité des offres était aussi très agréable...

Un congrès donc très satisfaisant.

Ce qui manque, je trouve, c’est une incitation à FAIRE de la magie.

Après tout, on se retrouve avec 850 magiciens !

Bon, il y avait les afters, bien sûr, mais c’était en dehors du congrès…

Il y avait bien quelques personnes se montrant parfois des choses dans les allées, ou à la cafétéria, mais cela restait marginal, et on hésite à s’approcher d’une démonstration en cours, pour ne pas être indiscret…

J’imagine que cela doit être délicat à organiser, pour inciter les gens à faire de la magie sur le congrès.

Déjà, parce que ceux qui ne font que de la scène et des GI ne sont pas dans leur élément, ou n’ont pas leur matériel.

D’autre part parce qu’il faudrait un lieu dédié à ça, et une motivation.

 Je me souviens des « temps des magiciens » organisés par le CMP, il y a des années, ou tout était mis en place pour inciter les gens à sortir ce qu’ils savaient faire, et c’était réellement très agréable.

Après, je conçois bien que c’est encore un truc compliqué à gérer, donc une demande utopique…

Mais avoir la possibilité d’interactions directe entre congressistes, dans un cadre défini, juste pour s’amuser avec un petit tour qu’on va montrer.

Il y a bien « les tours de l’année » mais c’est très limité, aussi bien dans le temps qu’en nombres de places…

Je verrais plus une sorte de scène ouverte permanente, avec une petite scène à disposition, et quelques tables de close up en libre-service : avec 850 magiciens, c’est bien le diable si certains ne vont pas s’en servir

 

Mais bon, à part cet aspect un peu « consommateur » du congrès, alors qu’on pourrait avoir aussi un côté « acteur », c’était très bien.

 

Gilbus

[Thomas]

Il y a 2 heures, fredv a dit :

En tout cas on ne s'ennuie pas pendant ces trois jours, dommage qu'on ne puisse pas tout voir..

La vie est faite de choix !

Perso, lors du précédent congrès d'Arcachon, Serge ARIAL avait fait le choix d'offrir un grand nombre de conférenciers. Cela obligeait donc à faire des choix... mais au moins on était sur de ne pas revoir toujours les mêmes personnes et se retrouver en petit comité avec des spectateurs vraiment intéressés par le travail de l'artiste.

J'en ai parlé avec lui et apparemment ce n'est pas prévu l'année prochaine, n'ayant pas eu de bons retours sur cette formule que je trouve pourtant excellente.

[Francis TABARY]

Trop de conférence tue l'ambiance d'un Congrés....tout le monde cours  pour voir tout...!!!

St Malo avait un bon dosage je pense.... A Nancy, c'était trop ! 

N'oubliez pas qu'un congrés c'est aussi un lieu de rencontre qui doit  servir à échanger...

[Dominique MICHALET]

il y a 44 minutes, Francis TABARY a dit :

Trop de conférence tue l'ambiance d'un Congrés....tout le monde cours  pour voir tout...!!!

St Malo avait un bon dosage je pense.... A Nancy, c'était trop ! 

N'oubliez pas qu'un congrés c'est aussi un lieu de rencontre qui doit  servir à échanger...

+1

Vincent a apporté, je le pense, l'essentiel à vos remarques et interrogations  ...

Wait and see pour les années à venir

Modifié 6 octobre 2017 par Dom