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Publié le (modifié)

Bon je précise que faire une copie de sauvegarde d'un produit numérique que l'on a acheté est légal. C'est même pour cela que l'on paye (en France) une taxe sur les DVD et les supports numériques.

2em la CNIL n'interdit pas de mettre le nom (EN CLAIR) en surimpression sur le film, ce qu'elle interdit c'est de cacher un message dans un support numérique.

OlivierStudio je croyais que l'on avait droit à une année gratuite de téléchargement si on prouvait que l'on avait réussi à copier votre streaming, alors que tu veux m'envoyer tes avocats

mdr mdr mdr

Modifié par claudemage
Publié le

Copier leur Streaming est super simple,

Mais pas vraiment utile pour ma part :)

Publié le (modifié)
Mais le piratage nuit-il forcément au magicien et au producteur du DVD ? [...] il permet d'un autre côté de faire découvrir à la communauté de "voleurs" le travail d'un artiste, ce qui peut signifier par la suite qu'ils investiront dans ses produits.

[...]

Je vous invite à regarder cette vidéo de Hardis qu je trouve passionnante sur ce sujet:

Le piratage - Hardisk

Merci pour la vidéo.

Cet argument est fréquent. Mais la décision de partager son travail de manière payante ou non relève du choix du créateur. Ce choix est dicté suivant un mode de financement réfléchi par le créateur, il faut respecter ce choix.

J'entends bien l'argument développé dans la vidéo:

"On est passé d'une industrie où il fallait acheter le media pour le consommer, à une industrie où le media sert de support promotionnel pour faire connaître un artiste et ensuite générer des revenus sur des produits dérivés."

Par exemple, la vidéo faite par Doc Eason et Garret Thomas sur Anniversary Waltz suit ce modèle: elle est gratuite, mais les DF associées qu'ils éditent sont payantes. Ils ont fait ce choix car ils ont dû estimé que leurs arguments seraient assez bons pour inciter à se procurer leurs DF. Et aussi un peu de générosité ne fait parfois pas de mal (également pour l'image ;) ).

Décréter que tout ouvrage de magie pourrait suivre un business model reposant sur la gratuité "parce que [adobe] l'a déjà fait", c'est ne pas avoir compris qu'un business model est un choix réfléchi et préparé en amont. Se permettre de le reconsidérer à la place du créateur une fois le produit sorti, ce n'est pas fameux. Croire que ce type de financement à base de gratuité peut s'appliquer automatiquement à n'importe quel support au motif "qu'il pourrait y avoir des éventuelles retombées dans le futur", c'est se donner bonne conscience. Ne pas respecter ceci, c'est du vol.

"Dans show business, il y a deux mots. Le show permet de générer du business. Mais s'il n'y a plus de business, il n'y a plus de show." - Doc Eason (mais j'imagine que ce n'est pas de lui)

Modifié par TanMai

We're looking for a better solution to the problem when we should be looking for a better problem to work on.

Publié le
Croire que ce type de financement à base de gratuité peut s'appliquer automatiquement à n'importe quel support au motif "qu'il pourrait y avoir des éventuelles retombées dans le futur", c'est se donner bonne conscience. Ne pas respecter ceci, c'est du vol.

La mode semble passée mais combien de fois ais-je (et je en suis pas le seul) eu droit au "vous m'offrez cette presta elle va vous rapporter beaucoup de contrat, il y a beaucoup d'invités, vous ferez votre promotion...blablabla"...

Oui c'est du vol. :mad:

Mon regard sur les publications Close-Up :

http://closeupcritique.wordpress.com/

Publié le
Croire que ce type de financement à base de gratuité peut s'appliquer automatiquement à n'importe quel support au motif "qu'il pourrait y avoir des éventuelles retombées dans le futur", c'est se donner bonne conscience. Ne pas respecter ceci, c'est du vol.

La mode semble passée mais combien de fois ais-je (et je en suis pas le seul) eu droit au "vous m'offrez cette presta elle va vous rapporter beaucoup de contrat, il y a beaucoup d'invités, vous ferez votre promotion...blablabla"...

Oui c'est du vol. :mad:

"Moi je ne vous donne pas d'argent, mais vous verrez, tous les autres vous en donneront, vous pouvez me croire !"

Melvin

Publié le

A propos de sponsoring donc de pub, l'autre jour, je ne sais plus comment, je tombe sur un site d'un grand magazine feminin, je ne sais plus lequel et quel a été ma surprise de me rendre compte qu'il était illisible, des fenêtres de pub qui s'affichaient dans tous les sens sur l'article que je voulais lire, et dès que je l'enlevais un autre, j'ai vite quitté le site.

Je me demandais, comment de gros magazines comme celui-ci pouvaient-ils compter attirer leurs lectrices sur leur site web s'il devient illisible ? Là aussi j'ai pas compris le concept d'un site web tellement noyé par la pub qu'il en devient inutilisable.

Melvin

Publié le

Avec mon pc je n'ai pas ce problème car adblock plus, mais avec ma tablette sous Android c'est une catastrophe toutes ces fenêtres de pub, moi aussi je renonce souvent à consulter un site à cause de ça

Publié le

C'est complètement bidon pour les petites boites que l'argument d'avoir ses produits divulgués est une bonne pub. Le mec qui télécharge ou copie s'en moque, il ne veut pas payer et si en plus il peut faire des copies pour gagner de l'argent, il ne va pas se gêner.

Si un mec pirate mon soft c'est du manque à gagner pour moi et comme je ne suis pas une multinationale, je fais comment pour gagner un peu de sous et continuer à faire vivre ma société. C'est d'ailleurs pour cela, que je ne mets pas de version de démo disponible, car il est tout à fait faisable de faire sauter les protections des versions de démo. De toute façon, pour moi c'est clair, une copie de mon soft ou de mes livres et hop c'est un avocat et une plainte (je l'ai fait pour des morceaux de texte plagiés sur mon site et cela marche bien).

Pour le sponsoring, c'est pareil c'est du vent. Quand j'ai monté la société il y a 10 ans, l'une des premières prestas a été un mariage sponsorisé, résultat --> NEANT. Depuis cette expérience, ma réponse est sytématiquement non à ces demandes.

Thierry Périchon
http://www.moonlightanimations.fr
 

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    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
    • Merci beaucoup @Sébastien MACAK (Splitter). 🙏
    • Apparitions de Guadalupe : des preuves matérielles qui désarment la science :  
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