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Publié le (modifié)
Il y a 13 heures, Bear a dit :

Voila ma question: j'ai eu l'idée d'un tour, je vous décris l'effet. On présente une pièce d' 1euros au spectateur, puis on la met dans une boite. On ferme celle-ci et le spectateur la met dans sa poche ou on la met à l'écart. Ensuite je présente un jeu de carte avec le nom d'un pays différent écrit sur chaque carte, par exemple la Chine. J'invite ensuite le specateur à réouvrir la boite et il y découvre à la place de l'euro un yuan (monnair du pays "choisi").

Le forçage ne devrait pas être trop dur à trouver, et on ne va pas en parler ici, en public.

 

Parlons de l’effet, c’est intéressant aussi :)

Tu as donc un effet de transformation, ou de lien, suivant ce que tu veux faire passer :

Transformation : qui transforme la pièce ? C’est toi, le spectateur en faisant le choix, la pièce elle-même ? Suivant les cas, cela ne sera pas la même présentation.

Lien : tu établis un lien entre par exemple la boite ou est la pièce, et le support qui te servira à choisir le pays (cartes, carnet etc.), a la manière des liens entre une poupée vaudou et la personne qu’elle représente.
A voir comment tu établis le lien pour le spectateur : il y a une présentation à trouver…

A noter qu’avec peu de modification, la mécanique de ton tour pourrait être :

-Une apparition à la demande, si tu pars d’une boite vide.

-une divination ou une prémonition, si tu ne montres pas au début quelle pièce est dans la boite.

-une technologie fantastique, si la boite est un convertisseur de monnaie automatique (peut être peux-tu ajouter de la monnaie en plus de la pièce principale, si la conversion ne tombe pas juste)

Etc.

Voir une discussion sur les familles ici :

Une même mécanique de tour peut souvent s’appliquer à des effets très différents, et plus ou moins fort, et également plus ou moins « crédibles ».

 

En ce sens, l’important n’est pas forcément un procédé de forçage (il y en a plein les bouquins…), mais ce que toi tu veux faire du tour…

Tu choisira ensuite, en fonction de la famille d'effet, l'aspect mécanique et technique le plus adapté...

 

Le matériel peut cependant orienter ton choix d’effet…

Tu pourrais, par exemple, remplacer la boite par des ardoises spirites, qui peuvent avec peu de modification devenir un bon support pour ce type de tour :

Tu places la pièce entre les ardoises, et tu écris « euro », sur l’extérieur de l’ardoise.

Le spectateur fait son choix, effaces le « euro », et il écrit par exemple yen à la place. Puis on sépare les ardoises, et on trouve un yen.

Exercice : la version ci-dessus avec les ardoises, c’est quelle famille d’effet ? ;)

Gilbus

 

 

Modifié par Gilbus
  • J'aime 3

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

Publié le

J'ai un peu de mal avec l'esprit de l'effet. Je serai moins affable que Gilbus, mais disons que pour moi c'est assez illogique de mettre une pièce d'un Euro et qu'elle se transforme juste sous le prétexte du choix du spectateur.

En effet, la présentation est à trouver... Tout comme l'aspect visuel de la boîte, le thème du convertisseur de monnaie est amusant.

À la première lecture de l'effet j'avais une idée. Puisque les Euros ont tous une face nationale, pourquoi ne pas en profiter ? 

Tu construis une routine à la manière d'un Chicago tour d'entrée, une pièce de 1€ est introduite dans la boîte sans montrer son pays d'origine (et sans en parler... Juste la mettre dans la boîte sous forme de prédiction ouverte). 

Tu sors un jeu de cartes avec des pays européens et hors UE... 

1) tu forces le pays qui correspond à la pièce.

Première révélation

2) tu forces un autre pays mais hors UE... Tu sembles embarrassé parce que ce n'est pas un pays en zone Euro (ça pourrait d'ailleurs être là seule carte avec un pays hors UE, et tu joues comme si tu t'étais trompé que cette carte n'a rien à faire là...)

Pas de soucis tu essayes quand même, et la pièce s'est changée en la monnaie du pays.

// 

Je pense que tu peux même facilement rajouter une phase entre 1 et 2:

Tu empruntes une pièce de 1€, tu la change contre une double pile (avec 2 faces de pays différents) et tu forces les 2... Après la 2eme reveal... Tu "tentes" un 3eme pays... Et bam! Pays hors UE...

L'effet est plus logique (pour moi) dans sa ou ses 2 premières phases, et tu as un climax amusant.

Quelle boîte comptes-tu utiliser ? Qque chose que tu as créé/fabriqué ou un article vendu? 

 

  • J'aime 1

Mon regard sur les publications Close-Up :

http://closeupcritique.wordpress.com/

Publié le
il y a une heure, Magiquepourtous a dit :

Il voulait un avis alors je lui répond simplement ;)

Tu cherches quoi exactement en me posant cette question ? C'est important d'aller au bout de ces pensées. 

:D A ton avis ?

Si Dieu existe j'espère qu'il a une bonne excuse.

Woody Allen

Publié le
Il y a 4 heures, PaulMagie a dit :

À la première lecture de l'effet j'avais une idée. Puisque les Euros ont tous une face nationale, pourquoi ne pas en profiter ? 

J'avais rejeté cette idée pour ma part, dans un premier temps:

La différence est vraiment peu visuelle, à réserver au cas ou l'on fait le tour à une ou deux personnes, donc:

Si tu as un petit groupe, le changement n'est que peu perceptible, il faudra des périodes ou chacun pourra regarder de près la pièce etc, j'ai peur que le rythme soit délicat à gérer...

Mais si tu as une histoire permettant des temps ou chacun va pouvoir se passer la pièce, pourquoi pas ;)

Gilbus

  • J'aime 1

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

Publié le
il y a 31 minutes, Magiquepourtous a dit :

:D Quand on pose une question c'est qu'on connaît pas la réponse.

Désolé pour le hors sujet, mais bon…

 

Magiquepourtous, je pense que tu sais très bien d’où vient le problème :

Tu possèdes et anime une chaine de débinage sur YouTube, et beaucoup de gens n’apprécient pas ce genre de chaine.

Ceci dit, j’admire ton courage à entrer dans l’arène à visage découvert, c’est honnête.

Tu vas sans doute dire que tu diriges une chaine "d’apprentissage", et non de "débinage", mais là-dessus, je crois que la définition du mot est claire :

Débiner, c’est donner des explications à des personnes ne faisant pas de magie.

Des personnes désirant apprendre la magie vont consulter tes vidéos, évidemment, mais tu ne peux nier que beaucoup les consulteront uniquement par curiosité du truc, sans intention bien formée de pratiquer, et ne ferons d’ailleurs probablement jamais les tours que tu révèles, étant motivé simplement par la curiosité.

C’est donc bien du débinage.

Si j’en crois ta page d’accueil, tu te glorifie de 70 tours expliqués au monde entier.

J’ai survolé certaines choses que tu as fait, et il y a du bon la dedans, y compris dans ton pdf sur les « 7 techniques pour impressionner vos spectateurs », qui reprend des conseils utiles aux débutant.

Tu y dis d’ailleurs :

Citation

 

N'expliquez JAMAIS un tour de magie aux spectateurs car imaginer qu'un autre magicien fasse le tour que vous venez de leurs expliquer, le spectateur connaitra ce tour et donc l'autre magicien aura 0 impacte sur son tour car vous l'aurez expliqué !

 

 

Ce qui est ballot, puisqu’en mettant les explications sans aucun filtrage sur le net, tu mets toi-même les explications à disposition des spectateurs…

Maintenant, je ne suis pas trop chaud pour me relancer une Nième fois dans un débat sur le débinage… Si tu veux plein d'arguments contre le débinage, fait une recherche sur le forum...

Tu n’aurais que ton site et ton programme « mantor », qui n’est PAS disponible sans aucun contrôle pour le grand public, on ne te dirait sans doute rien (si les tours que tu y révèle sont de toi, évidemment…)

Mais comme tu fais beaucoup de débinage youtube, permet que certains ici aient un accueil un peu froid.

Mais si tu veux exposer ta vision des choses, peut-être qu’on s’est mal compris…

 

Gilbus

 

 

  • J'aime 1

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

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    • Et si l'on parle de "bouffée de l'humanité" : quelques portraits de la Fism à Rimini, là où l'humanité était encore plus palpable.... Qui me cite les noms ? 1er prix : Mon corps pendant 10 mn. Deuxième pris : une nuit d'amour avec moi; Troisième pris : Une vie avec moi !  
    • Bonjour, Heureux si j'ai pu partager avec certains quelques unes des émotions ressenties pendant les six jours de cette FISM. À propos d'émotions, le numéro du 1er prix en magie de salon en débordait. (précision : lors de son second passage sur "Fool Us" le tout début de ce numéro a déjà été montré : si vous ne l'avez pas déjà vu...alors tant mieux, gardez-vous de le regarder, vous vous gâcheriez une partie du plaisir de la version intégrale) *** Asi WIND dans « Incredibly Human » ou Derren BROWN dans son dernier livre se posent la même question : pour que dans un spectacle vivant et interactif une émotion sincère puisse naître, il faut que surgisse une connexion authentique entre l’artiste et son public. Dès lors, comment concilier en magie cette authenticité de la relation humaine avec un art qui est, lui, tout entier tourné vers l’artifice ? Ce jeudi 17 juillet à TURIN au matin, lors de la compétition de magie de salon, Mortenn CHRISTIANSEN a à sa manière si particulière fait surgir cette bouffée d’humanité dans un auditorium comble. *** Dès le départ tout est allé de travers pour le candidat danois Mortenn CHRISTIANSEN, appelé sur scène alors qu’il n’était absolument pas prêt. Mais alors pas prêt du tout, du tout, du tout. Le jeune homme bien portant boulottait des chips en douce dans les coulisses au moment d’entrer en scène, mais dans la précipitation, c’est la cata : sa main droite s’est coincée dans son tube de chips. Son désarroi est palpable. Pour tenter de sauver la mise de demander malgré tout une carte à un spectateur (Shawn FARQUHAR s’y colle, va pour le 4 de cœur) avant de s’apercevoir que son paquet de cartes est coincé dans la poche arrière droite de son pantalon -pas de bol, pile du côté de sa main bloquée dans le paquet de chips : au prix de moult contorsions Mortenn parvient à faire remonter peu à peu le paquet de cartes qui émerge de sa poche et finit par chuter sur scène. Il le ramasse de sa seule main libre -la gauche- sort les cartes et enchaine une série de piètres manipulations d’une main. Les maladresses succèdent aux maladresses, Mortenn peste, marmonne combien il n’était pas prêt, laisse lamentablement choir toujours plus de cartes, bref sa prestation tourne à l’embarras complet. Mais attendez, voilà que Mortenn ne tient plus qu’une seule carte, dos au public…se pourrait-il ? *** À cet instant la routine bascule : Mortenn fanfaronne : « Eh eh…vous avez cru que je n’étais pas prêt…et bien c’était pour de faux, j’étais prêt, archi-prêt… ». Qu’on se le tienne pour dit, on va voir ce qu’on va voir. Non pas bien sûr que quiconque dans la salle ait réellement cru à la farce de Mortenn pas prêt – même si cette séquence du pauvre garçon en prise aux pires coups du sort aura quand même suffit à susciter notre empathie immédiate envers lui-, mais nous voilà, nous dans la salle, passés en un clin d’œil de spectateurs à spect-acteurs, projetés dans le rôle qui nous est assigné : celui d’adultes face à un petit enfant trop content d’avoir roulé son monde dans la farine ; et nous allons, pour lui faire plaisir, faire comme si nous avions effectivement gobé la bonne blague de sa déroute feinte. Par sa personnalité scénique et sa mise en scène, ayé, le (vrai) tour est joué : le bras de fer potentiel public-magicien est illico désamorcé, nous consentons à entrer dans le monde de Mortenn, nous jouons à faire comme si nous avions vraiment cru qu’il était pris de court, et ainsi nous nous livrons pieds et poings liés au garnement. Mortenn est un enfant mais pas à la manière mettons d’un Rubi FEREZ- enfant lunaire, rayonnant et malicieux, qui s’émerveille de tout. Non, pour Mortenn le monde est vaste et compliqué ; puéril et hypersensible (donc hyper-attachant) il est en butte aux gens et aux choses qui le rendent bien, bien, malheureux. Et la magie est son salut. Et la vraie magie est que tout le reste de la routine va puiser sa justification précisément dans le personnage même de Mortenn CHRISTIANSEN, dans sa « revanche » face aux grandes personnes. *** Car à cet instant la routine bascule aussi en termes de nature d’effet magique : on va passer d’une démonstration burlesque d’habilité à retrouver une carte par des manipulations faussement maladroites, à un tout autre effet : une prédiction. Ou plutôt des prédictions. Les magiciens ont sans doute tendance à surestimer l’impact réel des effets de prédiction sur leur public, et, pour donner un semblant de construction dramatique à leur numéro, à multiplier les révélations sur le mode : « vous avez librement choisi le 4 de cœur…observez miracle ! C’est la seule carte à dos rouge dans ce paquet bleu… non seulement cela, mais j’ai aussi un 4 de cœur tatoué sur mon bras…et attendez un peu…une carte et une seule dans mon portefeuille le 4 de cœur… ». Le kicker jusqu’à plus soif. La surenchère de prédictions au lieu de décupler l’effet bien souvent l’amoindrit. On avait saisi le message dès la première prédiction révélée : ok le magicien a prévu l’avenir, quel besoin a-t-il donc de nous le « prouver » encore et encore ? L’insistance superflue éveille la suspicion : lors d’un spectacle vu il y a quelques temps j’entendis ainsi soupirer un spectateur au moment de la « trop parfaite » énième révélation : « Bon ok donc c’est le 4 de cœur tous les soirs... » (sic) (pages 46-47 de « Notes from a Fellow Traveler » D.BROWN explique la réécriture du final de son show « Enigma » suite à un exemple semblable d’accumulations d’effets redondants qui s’affaiblissaient mutuellement au lieu de créer la montée dramatique escomptée). Mortenn CHRISTIANSEN va réemployer cette structure « discutable » et lui aussi multiplier les prédictions de la carte choisie -au moins 5 de mémoire : alors pourquoi ici cela fonctionne-t-il si bien, jusqu’à déclencher une standing ovation ? Premièrement le choix initial est on ne peut plus convaincant, transparent : le spectateur nomme librement la première carte qui lui passe par la tête -le jeu n’est même pas encore sorti, et puis quelles manipulations possibles avec une main fourrée dans un paquet de chips ? Comme notre esprit rationnel est tranquillisé de ce côté-ci par une procédure rapide et limpide, il va se faire d’autant plus facilement submerger ensuite par notre esprit émotionnel. Car, deuxièmement, l’accumulation de révélations de prédictions de cette carte est motivée dramatiquement (et donc notre esprit rationnel le cède d’autant plus aisément à notre esprit émotionnel) : c’est juste le personnage immature de Mortenn qui piaffe ; il nous a bien eu, et vlan, vlan, vlan, prédiction après prédiction, le petit enfant jubile d’avoir joué un si bon tour à ces grands bêtas d’adultes. Et nous qui avions si volontiers consenti à entrer dans son jeu nous voilà refaits, désarçonnés face à une avalanche d’impossibilités grandissantes. Ici c’est donc du personnage que part la construction dramatique de la routine et sa multiplication des effets de prédictions. Et non pas d’un personnage de magicien surplombant qui pour accroitre son prestige, prédictions après prédictions, essaierait (vainement) d’étoffer le mystère ; mais bien d’un personnage enfantin qui a gagné notre sympathie et que l’on regarde tendrement trépigner d’avoir enfin le dessus sur les « grandes » personnes que nous sommes. Le martèlement des effets reflète la psychologie de Mortenn. D’un point de vue magique, la rafale de révélations sature notre esprit rationnel : à peine est-il parti en chasse d’un début d’explication potentielle d’une des prédictions qu’une autre surgit encore plus mystérieuse (on n’est pas ici face à un même effet strictement répété avec des méthodes différentes qui se protègent mutuellement - voir la carte ambitieuse dans "Le Chemin Maqique" de J.TAMARIZ- mais bien face à une même carte prédite de manières très variées). Le crescendo est assuré par l’animation puérile croissante du personnage trop content de nous avoir bien eus, par des prédictions de plus en plus incompréhensibles donc (variées aussi en échelle et supports), et enfin par une série d’effets annexes qui rythment l’emballement final du numéro et brisent l’enchainement de prédictions seules : production de deux verres de jus d’orange, une carte transformée en chips, une autre en écouteurs, et même un quick change mi-foiré - l’enfant Mortenn a mis sa chemise à l’envers. Et tout cela en harmonie avec le personnage :  on se souvient comment il avait au début joué sans ambages de sa morphologie pour péniblement extraire les cartes de son pantalon (d’ailleurs comme un callback il se dandinera une seconde fois au cours de la routine pour extraire une seule carte de son autre poche arrière), c’est cette sincérité-là vis-à-vis de ce qu’il est, physiquement et mentalement, qui fait qu’on se figure assez Mortenn se couper d’un monde compliqué pour lui avec ses écouteurs, en mangeant ses chips, parfois même peut-être essaye-t-il de socialiser en offrant des verres de jus d’orange sans voir qu’on rigole dans son dos de ce qu’il est mal fagoté. Tout un petit monde, toute une humanité simple, dans les pas dix minutes d’un « bête » tour de cartes. *** Plus tard ce même jour alors que j’évoque avec Shawn FARQUHAR son documentaire « Lost in the Shuffle » il soupire, soulagé : enfin quelqu’un qui lui parle d’autre chose que de ce satané 4 de cœur de la compétition du matin avec Mortenn CHRISTIANSEN. Il a visiblement été assailli toute la journée par des spectateurs persuadés de sa complicité avec le magicien danois – une complicité pourtant clairement interdite par le règlement du concours. Le 4 de cœur ?, me dit-il, c’est tout simplement la carte qui avait été choisie lors de sa propre victoire à la FISM en 2009.
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