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Publié le

A vrai dire je fais l'inverse completement :) je commence quasiment par ça, en tout cas pour les cartes je commence par ça.

Plusieurs raisons :

- le final de mon ambitieuse (Gloire à Paul !) emmène le spectateur loin de cette histoire de carte "collante" qui n'en fini plus de revenir. En effet, il se retrouve (dans sa ptite main) avec un jeu d'un seul tenant, tel du bois, alors que depuis le début tout étais normal (enfin presque, une ambitieuse en elle même est tellement chiante faut dire ...).

Bref le climax doit détourner dans le cas présent l'attention du spect. (ou sa réflexion) concernant l'ambitieuse elle même.

A vrai dire, ça marche parfaitement bien, et je pense garder longtemps ça en tour d'intro au moment où je sors les cartes. Celà pour moult raisons.

- ça me permet aussi de changer de jeu, en effet je me retrouve avec un jeu inutilisable (dans la routine / texte c'est la faute du spectateur qui coupe .. enfin qui essaie de couper 52 cartes plus que collées).

Changer de jeu me permet d'enchainer sur un gag avec un autre jeu honteusement truqué (et bien mis en évidence), ça m'empeche pas d'en sortir un autre ... etc ...

(j'adore frapper et hurler sur mes spectateurs :) (Gloire à David cette fois !)).

Fatalement une ambitieuse à la "gnan-gnan" "hop voilà ca descend ça remonte je la perds elle revient" n'a aucun intérêt à mon gout ... c'est du caca :)

C'est même pas du débinage ... que du caca !

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Membres les + Actifs

Publié le

Trés cher Corneille,

La boite utilisée par Tommy Wonder suit exactement le principe de la Mystery Box de Kennedy.

Le handling change, c'est tout.

Tommy Wonder explique son maniement dans le premier tome des Books of Wonder.

En gros, de mémoire, il jète la carte dans la boite, ce qui donne l'impression qu'elle en tombe.

« On peut éprouver une telle joie à faire plaisir à quelqu´un qu´on ait envie de le remercier. »

Henry de Montherlant

Publié le

Le principe est le même en effet, mais le handling est trés diférent : moins automatique mais plus convaincant(à mon avis).

Dans la version de T.Wonder tu ne peus pas montrer la boite vide à la fin. Détail qui fait toute l'illusion dans la version de Kennedy puisque c'est ce qui convainct le spectateur que c'est la même carte qui était dans la boite.

Dans la vesion de Wonder, c'est le fait de voir la carte tomber de la boite qui convainct le spectateur.

il s'agit donc de deux aproches trés diférentes.

C'est un peu ce genres de diférences dans l'aproche d'un même effet que T.Wonder dissèque dans ses explications sur la disparition de la montre, de la bague, et du billet.

Les réflexions théoriques contenues dans cette série de DVD sont une mine d'or.

Magicien, comédien, artiste de rue 

Publié le

Tout à fait :)

Une petite question : dans la version de T. WONDER, pourquoi ne peut-on pas montrer la boite vide ?

Il me semble que rien ne l'empèche.

« On peut éprouver une telle joie à faire plaisir à quelqu´un qu´on ait envie de le remercier. »

Henry de Montherlant

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    • Pas de 1er prix en cartomagie attribué cette année, donc Markobi reste le dernier champion du monde en titre pour 3 ans. Compte-rendus des trois numéros primés : Francesco FONTANELLI : assis derrière une table pleine et blanche, l’italien Francesco FONTANELLI a été le seul de la compétition à opter pour un dispositif que Juan TAMARIZ privilégiait pour ses passages télévisés : à savoir trois ou quatre spectateurs assis en rang à la table sur sa gauche et autant sur sa droite, et, derrière chaque spectateur assis, un autre qui se tient debout sur un second rang. Effet miroir pour les spectateurs assis dans la salle qui voient clairement les visages et les réactions de ceux sur scène. Le magicien se retrouve au centre de l’attention de tous. Et, de manière subliminale, parce qu’il est cerné sur le devant par nous qui sommes dans la salle, sur les côtés et l’arrière par ceux sur scène, ces conditions de « contrôle » écartent assez naturellement l’idée de manipulations de cartes (en micro magie l’argentin Hernan MACCAGNO avait choisi un dispositif similaire avec de nombreux spectateurs de part et d’autre de lui, mais magicien et spectateurs cette fois tous debout et très mobiles autour de la table. Intéressant d’observer comment la « franchise » apparente du dispositif  avec cette grande liberté de mouvements permet à Hernan MACCAGNO d’user de diverses stratégies de contrôle de l’attention et de couvertures des manœuvres). Francesco FONTANELLI débute en évoquant sa première émotion magique, un coquetier (balle et vase) en bois tourné devant lui. Il le referme sur la balle rouge puis le pousse au coin avant droit de la table pour ne plus jamais y toucher. Un paquet de cartes est sorti : peu de souvenirs du début de la routine mais disons qu’une spectatrice finira par choisir une carte -mettons le 9 de carreaux – qui est perdue dans le jeu mélangé avec des cartes en tous sens. De quelle couleur était votre carte ? Rouge : le paquet est étalé, désormais toutes les cartes se retrouvent faces en bas sauf les rouges. Cœur ou carreau ? Carreau. Le paquet rassemblé est ré-étalé seuls les carreaux sont maintenant faces en l’air à l’exception du 9 choisi porté disparu. L’idée d’un « triomphe » progressif et du cluedo -toutes sauf une- pour identifier la carte choisie rappelle celui de J.BANNON, et l’absence de tout geste suspect d’ajustement entre deux étalements consécutifs a dû être particulièrement apprécié par le juge Christian ENGBLOM (d’autres auront sans doute de meilleures références à fournir). La mémoire qu’on conserve d’un numéro est ô combien malléable -les magiciens le savent bien- mais c’est à ce moment je crois que Francesco FONTANELLI a bondi accroupi les deux pieds joints sur sa chaise. Cette posture ne conviendrait pas à tout le monde mais elle « colle » avec cette personnalité énergique : ·         Magie : Cette posture souligne la distance entre Francesco FONTANELLI et le coquetier à l’avant de la table, où la spectatrice va elle-même retrouver son 9 de carreaux inexplicablement téléporté-là. De plus tout le corps de Francesco se retrouve très opportunément au-dessus du plateau de la table à ce moment-clef. ·         Présentation : Accroupi sur sa chaise Francesco concentre d’abord l’attention vers le coquetier à l’autre bout de la table ; ensuite en une brusque détente debout sur sa chaise, il donne le coup de fouet de la fin de son numéro, refocalise l’attention sur lui au foyer du « chœur » de spectateurs présents sur scène, et déclenche spontanément les applaudissements. *** Tino PLAZ : Le magicien suisse parle du passé et des souvenirs en tenant un pot en verre de confiture vide et de bonne taille fermé par son couvercle métallique. Matérialisation à vue d’un paquet de cartes dans le pot en verre tenu à bout de bras. Tino en dévisse le couvercle : le spectateur à la table se saisit du pot de verre et en sort lui-même le paquet de cartes. Tino revisse le couvercle du pot de confiture qui est posé sur le coin arrière droit de la table pour ne plus être touché jusqu’au dénouement. Souvenirs confus du début de la routine mais disons que le spectateur va choisir une carte : il obtient une figure, un roi en l’occurrence, aussi pour une meilleure lisibilité Tino propose au spectateur d’écrire ses initiales à un coin de la carte tandis que lui-même écrit les siennes au coin opposé. À un certain moment Tino va déchirer le coin de la carte qui porte les initiales du spectateur et le lui confier. La carte se volatilise du paquet. Réapparition à vue dans un petit nuage de fumée de la carte déchirée qui porte les initiales T.P. dans le pot en verre posé sur la table. Le magicien en dévisse le couvercle : le spectateur se saisit du pot, en sort la carte et constate que le coin avec ses propres initiales coïncide parfaitement. Carte et coin déchirés sont replacés dans le pot de verre dont Tino revisse le couvercle pour offrir le tout au spectateur en souvenir. Fallait-il que la seconde apparition dans le pot, celle de la seule carte déchirée, moins convaincante que celle du paquet de 52 cartes au début, se fasse elle aussi à vue ? Quel aurait-été le ressenti avec la très brève couverture d’une main ou d’un foulard mettons ? - ou peut-être même du spectateur qui aurait tenu le pot entre ses propres mains (la méthode inférée semble l’autoriser). Fallait-il troquer la surprise fugace d’une « illusion d’optique » pour le sentiment plus prégnant d’une totale impossibilité ? Ce qui aurait été perdu en eye candy aurait peut-être été gagné en mystère. *** Kimoon DO : un numéro mené à cent à l’heure, auto-ironie constante, petite pique en passant au cadeau de bienvenue de la FISM qui déclenche les rires dans la salle, bref du divertissement pur. La routine du magicien coréen multiplie des transpositions de cartes avec un twist : en schématisant, mettons que les paquets A et B s’échangent magiquement de place, Kimoon DO révèle le paquet B là où était initialement le A, mais, surprise, là où était le B surgit non pas le paquet A mais une carte avec une flèche dessinée : perplexe Kimoon suit l’endroit pointé par la flèche -par exemple sa propre pochette de costume- pour finir par retrouver là le paquet A. Transposition à deux bandes en quelque sorte avec donc ce surgissement constant d’une carte flèche qui dévie les trajectoires attendues des transpositions enchaînées. Au milieu du numéro une production « inépuisable » de paquets de cartes de sa poche de costume participe au rythme échevelé de la routine. Jubilatoire.    
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