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[Législation] le medef contre les intermittents...


Gilbus

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Essayons de recentrer le debat sur l'intitulé du post et pour cela voici un avis de ...... Mme Laurence Parisot , EX patronne du Medef , qui en met plein la tête à son successeur !!!!

Pour dire que les IS font debat au sein meme des détracteurs ...à suivre

Points de vue

de Laurence Parisot

Pourquoi il faut cesser de tirer sur les intermittents

Par Les Echos | 24/02 | 06:00 | 4commentaires

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Il est un courant de pensée qui estimerait « équitable et juste » de mettre fin au régime des intermittents du spectacle, préconisant soit le soutien de l'Etat aux artistes et techniciens concernés, soit l'application aux intermittents du régime général. Quoique sensible aux arguments d'équilibre financier qui semblent motiver cette position, je ne la partage pas.

Si la vocation de l'Unedic est de gérer le système d'assurance-chômage de tous les salariés du secteur privé, on voit mal en effet au nom de quel critère on exclurait une catégorie de personnes ou d'entreprises. « Parce que les allocations que l'Unedic verse aux intermittents sont cinq fois supérieures aux cotisations qu'elle collecte dans ce secteur », me dira-t-on. A quoi je répondrai que ce critère de la contribution financière au régime relève lui-même d'un raisonnement qui sonne le glas de la solidarité interprofessionnelle.

Où irait-on si l'on se mettait à soupeser au sein de l'Unedic la contribution de chaque secteur d'activité et à évincer ceux qui, sur une certaine durée, afficheraient un solde cotisations-allocations négatif ? Nul doute que des secteurs clefs de l'économie française se trouveraient vite marginalisés, notamment ceux qui sont en pleine restructuration !

Une entaille dans le système qui ne manquerait pas d'en provoquer d'autres et pourrait même affecter jusqu'à la nature du contrat de travail. Depuis le milieu des années 2000, et la Cour des comptes le confirme, le « déficit » des CDD dans le régime d'assurance-chômage oscille entre 4 et 6 milliards par an (celui des intermittents est d'environ 1 milliard). En conclura-t-on que sus aux CDD ?

Quel objectif poursuivons-nous ? Rééquilibrer le régime général. Or il n'existe pas de corrélation entre le montant des allocations versées aux intermittents et le déficit global de l'Unedic. Ainsi, en 2008 comme en 2010, les intermittents perçoivent le même montant d'indemnisations. Pourtant, en 2008, le budget total de l'Unedic est excédentaire (4,5 milliards d'euros) et en 2010, déficitaire (- 2,9 milliards).

En réalité, la question des intermittents du spectacle est loin d'être un simple problème comptable, elle renvoie au statut de la culture dans notre pays. Or c'en est l'un des plus beaux fleurons, au point que Michelle Obama la qualifiait récemment d'exceptionnelle ( « unique »).

Transférer le dossier des intermittents à l'Etat équivaudrait à alourdir le financement public de la culture, à la transformer en une culture d'Etat et à fonctionnariser les artistes : inacceptable ! Faut-il alors intégrer les intermittents dans le régime général et abolir tout particularisme ? Non. Même la Cour des comptes, dans sa rigueur financière, refuse la « remise en cause de l'existence d'un régime spécifique ».

La figure emblématique de l'intermittent du spectacle, ne l'oublions pas, c'est l'acteur de théâtre. Réalise-t-on à quel point ce métier s'exerce dans une incertitude et une prise de risque extrêmes ? L'artiste « descend aux entrailles des choses », disait Roger Vailland. Parce qu'elle est mystérieuse, imprévisible, fragile et puissante à la fois, l'offre culturelle n'est pas une offre économique comme les autres. Elle a cela de spécifique qu'elle est notre bien commun. Elle parle de nous. Elle nous rend accessible aux étrangers. Dans bien des cas, elle est le premier ambassadeur de la France.

Le rayonnement et l'attractivité de notre pays dépendent certes de sa politique économique et budgétaire, de sa capacité à dérigidifier le marché du travail, de son amour pour l'entreprise (et il progresse) mais aussi de sa production culturelle ! Certes, le régime d'assurance chômage des intermittents du spectacle fait l'objet de nombreux abus. Nous le savons et il faut impérativement lutter contre cela. Des plafonnements, des critères différenciés entre les métiers techniques et ceux du spectacle vivant, des simplifications dans les procédures, pourraient largement y remédier.

Mais cessons d'opposer l'artiste au salarié ou à l'entrepreneur. L'économie et la culture ne sont pas en conflit d'intérêts. Tout au contraire. Sans le savoir - ou sans vouloir le savoir ? - elles ont un potentiel de synergies vertueuses tout à fait exceptionnel. Profitons-en !

Laurence Parisot

Laurence Parisot est ex-présidente du Medef

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Membres les + Actifs

Ceux qui critiques les intermittents , il faudrait les inviter pendant 1 mois à nous suivre chaque jour, je ne sais pas combien serait partant pour prendre notre place .

nous ne rentrons pas chez nous en laissant notre métier aux oubliettes le retrouvant que le lendemain , les WE et les vacances de février, de pâques, d'été et d'hiver ! combien en prenne ? les salariés normaux , ne s'occupe pas de leur administratif , faire le guso a la, place d'employeurs qui n'y connaissent rien ou ne veulent pas, faire des devis , etc etc , en un mot en un métier nous en faisons plusieurs !

pour ceux qui font du cabaret : courir d'un établissement à l’autre avec son matos, souvent à pied pour gagner dub temps faute de place pour se garer ! risquer un accident entre deux galas très serrés au niveau horaire etc etc

mis a part ça il faut toujours défendre un acquis social ! car dites vous bien aujourd'hui ce sont les intermittent mais demain ça peut être , la secu ( ça a déjà commencé) les allocations familiales, les congés payés , que sais je !

donc demain ça sera peut être vous !!

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Ce qui est FORMIDABLE dans ce debat c'est que des artistes magicos "tirent" sur d'autres artistes Magicos les uns parce qu'ils ont un autre metier pour assurer la pitence mensuelle , les autres parce que sans ces aides ne pourraient pas vivvre voir survivre : ELLE EST PAS BELLE LA VIE ???????!!!!!

Mais je vous rassure dans l"'autre camp" ce n'est pas mieux lisez donc la suite de ce que j'ai posté plus haut , les commentaires réponses à la Miss Parisot . HIER ils l'encensaient c'était la meilleur AUJOURD'HUI ils veulent la detruire par des commentaires acerbes ELLE EST PAS BELLE LA VIE ?????????!!!!!!!!!!

Gilous 24/02/2014 | 09:52 Note 3/5

Madame Parisot est en plein subjectisme, si bien que la raison n'a plus sa place. Nombre d'arguments me rappellent cette logique française qui tend à démontrer que dès qu'il y a un demande sociale, il faut la payer, peu importe si on se sait la financer que par de l'emprunt.

On pourra toutefois lui objecter que la solidarité doit s'exercer au delà des professions. Que les CDD aient des conditions d'indemnisation favorables peut s'entendre car il n'est pas fait de distinction du métier de l'ayant droit. Mais au nom que quoi par ce que je suis un artiste aurais-je des droits supérieurs aux autres professions ?

Une saine pression sur cette profession, aura peut-être la vertue de l'obliger à se remettre en question et intégrer un peu de gestion dans son activité.

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anonyme-45479 24/02/2014 | 12:16

Quel titre racoleur ! Il est sans doute justifié par le besoin de se faire entendre d'une ex-présidente du MEDEF. Personne ne tire sur les intermittents, mais certains peuvent penser faire évoluer le financement du régime dont ils bénéficient. La campagne pour la tête du MEDEF est terminée, Mme Parisot devrait trouver d'autres activités plutôt que de braquer les uns contres les autres, sous couvert de la défense de positions généreuses.

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anonyme-143117 24/02/2014 | 13:07

Quelle incroyable sortie de cette ex "responsable" du patronat. Et bien oui madame Parisot, je vous confirme que les cotisants au régime d'assurance chomage - dont l'objet est bien de mutualiser ce risque entre assurés - ne comprennent pas qu'une part significative de leurs cotisations soit détournée au profit d'un petit groupe au régime dérogatoire. (a hauteur de 1 Mds d'euros par an ! excusez du peu !)

Devant des déclarations si pitoyables on comprends mieux pourquoi sous votre "responsabilité" si peux de vraies réformes on vu le jour... vous vous êtes contentée de regarder le train passer (en l'espèce la compétitivité de notre économie couler) tout en gérant vos petites amitiés politiques donc nous avons aujourd'hui un apperçu.

Lamentable

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zebulon63 24/02/2014 | 14:05

Créer un fonds de solidarité sous l'égide du Ministère de la Culture permettrait de clarifier la situation. En effet une grande partie des heures travaillées par les intermittents, notamment spectacle vivant", n'est pas payée par les employeurs mais de façon indirecte par la caisse Unedic. Créer un fonds spécial ne serait pas synonyme de Culture d'Etat puisque le financement de la création se fait déjà grâce aux subsides de l'Etat et des collectivités territoriales, donc un peu plus ne changerait rien. D'autre part il est nécessaire d'en finir avec l'amalgame pernicieux entre Spectacle vivant et culture. Le spectacle vivant n'est qu'une toute petite partie de la création artistique qui n'est qu'un sous ensemble de la chose Culturelle. Sans spectacle vivant La Culture continuerait d'exister sans problème.

Et le plus amusant dans tout cela c'est que EUX AUSSI ont un "ZEBULON" , oui mais le notre est plus sympa ;)mdr

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Tiens je vais dire ça a mon employeur, que ce n' est pas lui qui paie mon salaire mais l'Unedic, il sera heureux de l'apprendre, car jusqu'a présent c'est bien son compte en banque qui est débité, sûrement une erreur alors !! LOL, qu'est ce qu'on peut lire comme connerie !

Modifié par Danilsen
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Comment peut-on avoir des techniciens et des artistes sous le même régime?? C'est un non sens...

Ben, pour ce point précis, il faut voir.

Qu’est ce qui justifie les annexes spéciales artistes/techniciens ?

Peut-être leur travail au sein d’entreprises éphémères ? (quand le film est fini, toute l’équipe est dispersées, artistes et techniciens de la même façon…)

Un argument que j’imagine (dans mon innocence…) être une bonne justification :

Un artiste vis dans la précarité.

Un ouvrier en métallurgie pourra certes travailler en CDD ou en intérim, mais a une chance, un jour ou l’autre, de passer en CDI.

Un artiste, c’est plutôt rare, hein ?

L’artiste va donc, à moins de changer de travail, passer vraisemblablement sa vie entière dans la précarité.

Même s’il n’y a plus de crise, que l’emploi remonte, tout ça, il sera de toute façon dans la précarité.

Toute sa vie, qu’il commence à peine, ou soit proche de la retraite…

Rien que cela, pour moi, mériterai qu’on se penche sur un aménagement spécifique, d’où les fameuses annexes…

Qu’en est-il des techniciens :

Ben, ils sont à peu près dans la même position.

Bon, il peut y avoir davantage de poste en CDI, dans les théâtres, ou des structures tournant en continu, alors que les artistes n’y font que passer.

Mais c’est déjà le cas dans beaucoup d’endroit, ou l’on trouve des régisseurs attachés à un lieu qui ne sont pas intermittents, par exemple…

En gros, la ou les postes fixes étaient possible, beaucoup ont été créés, car c’est une sécurité pour la structure, qui a quelqu’un qui connais bien son matériel.

Mais en pratique, beaucoup de techniciens fonctionnent en mode projet, comme les artistes, et subissent donc les mêmes contraintes, et la même précarité.

Il me semble normal qu’ayant les même contraintes, ils aient le même genre de protections.

Bon, on a l’habitude de raisonner en mode individualistes, en tant que magicien, car on fait peut être plus rarement partie d’une grosse équipe que les acteurs, par exemple.

Dans un projet de film, l’équipe se constitue aussi bien avec les artistes que les techniciens :

Tel réalisateur va faire venir tel chef éclairagiste, qui lui voudra tel et tel personnes avec lui etc.

La constitution de l’équipe technique est faite de façon presque aussi pointue que l’équipe artistique.

Comme il a été dit, donner un éclairage adapté, gérer la pureté ou la texture d’un son, réaliser les décors, cela demande des compétences que moi, je trouve artistique, au moins autant que beaucoup « d’artistes » en tout cas.

On a donc un métier intimement lié a la production d’une œuvre, les même contraintes personnelles que les artistes, les mêmes particularité de précarité.

Moi, ça ne me choque pas que les techniciens soient dans le même bateau.

D’ailleurs, avant la réforme, ils l’étaient, et cela ne choquait personne.

Mais on sait bien pourquoi il y a eu séparation en deux annexes :

Un même salarié pouvait avant librement passer d’un travail d’artiste à un travail de technicien, et cela sans se poser de questions : c’est une réalité de terrain, que beaucoup de gens ont des compétences multiples, des tâches qui débordent, des pratiques multifonction.

Ben, maintenant, c’est moins simple… ;)

Tiens, si on veut pousser le raisonnement :

Tu vas faire un gros gouté d’anniversaire, avec tout ton matos, pour de la scène.

Tu arrives…

Tu décharges ta camionnette.

Tu montes ton fond de scène, décharge ta malle, dispose un décor pour ton spectacle, sort un marteau pour ajuster un tasseau qui se barre…

Ensuite, tu sors tes éclairages, branche ta sono, fait un réglage…

Oulala ! Mais tu es engagé en tant qu’artiste !

Tout cela, c’est du travail technique, non ?

Vite, il faut faire signer un contrat de technicien au client, ha, pardon, à l’employeur !

Cela serait évidemment ridicule :

L’artiste, de par la nature même de ses prestations, assure souvent une partie technique.

Bon, on a toujours des visions différentes des choses…

Mais je serais curieux de savoir ce qui, dans ta vision, fait que mettre les artistes avec les techniciens est un tel « non sens »

Gilbus

Modifié par Gilbus

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

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sans vouloir rallumer un feu qui n'en a nul besoin...

il n'y a pas un truc qui vous dérange dans la vidéo?

"chef menuisier, menuisier....." pour quelle raison seraient il au régime des IS?

un autre point , et vous n'êtes pas obligés de me croire mais faites le test, demandez a un panel d'IS :

"c'est quoi ton boulot dans la vie? "

une bonne partie vous répondra :

"je suis IS" .......

et non je suis artiste, comédien, chanteur, magicien technicien du spectacle .......

le problème vient en partie des ces points la

après je dis ca je dis rien

bon courage

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Il ne faut pas pinailler , il faut regarder la video dans son ensemble pour ce qu'elle veut demontrer ( En réalité le titre c'est monteur creation de décors et décorateurs) comme il y a des intitulés qui peuvent paraitre bizarre dans la liste "responsable groupe electrogene"

Certes il doit y avoir comme dans TOUTES professions des abus , en particulier chez les technicos mais aussi pour certaines boites qui déclarent des IS alors qu'ils n'ont rien à faire dans cette catégorie .

Quant à reprocher à un artiste de dire je suis IS ( Moi j'en connais peu qui commence par cela??!!) mais très souvent les spectateurs nous ramènent à "Ah oui vous êtes ..... (un peu gené)...." et moi je les devance en disant "oui vous savez les fainenats d'IS que décrivent les medias " et là je leur explique en réalité ce qu'est notre metier et notre catégorie .

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Ne blâmons pas trop vite ceux qui se disent intermittent du spectacle, quand on leur demande leur profession.

En se disant intermittents, ils donnent une information importante : Ce sont des professionnels.

Alors que si tu dis : « je suis magicien », on va te répondre une fois sur deux : « mais dans la vie, vous faites quoi ? »

Ce qui est logique :

Tu aurais dû dire « magicien professionnel », ou « artiste professionnel », pour donner l’info en plus :

Les amateurs faisant aussi de la magie, l’information n’est pas complète si on ne précise pas, et peut prêter à confusion ;)

Mais la consonance du mot « professionnel » est lourde ;)

Du coup, que certains disent en deux temps : « je suis intermittents du spectacle, je fais de la magie », cela donne plus d’indications tout en laissant une légèreté dans la formulation, je trouve ;)

N’oublions pas que ce sont des métiers de communications ;)

Bien sûr, au niveau des définitions, Andy à raison.

Mais il faut souvent s’adapter aux connaissances du public (et parfois à ses amalgames, pour être compris), pour qui un intermittents du spectacle est synonyme d’artiste professionnel.

Donc en gros, je dirais que cela dépend du contexte ;)

Le fait que certains intermittents mélangent aussi les concepts est dommage, mais je ne crois pas que cela soit le nœud du problème, ce ne sont pas ceux-là qui irons discuter avec l’UNEDIC ni avec les politiques ;)

Pour en revenir au :

Mais cher Chakkan, des propos comme les tiens sont juste et, sauf mon Grand respect à toi et ta petite famille cher Chakkan, tes propos sont juste à vomir car de tels propos ne font qu'encourager la haine envers celui qui n'est pas comme toi, comme nous.

Je me cogne au quotidien des IS..;

Là aussi, il faut garder de la mesure (arf, on va encore me traiter de mou consensuel…).

C’est une réalité, la plupart des gens ne voient pas le statut des intermittents comme la priorité de leur vie : Ce n’est pas encouragement à la haine, juste un fait.

Si le statut, les annexes, les indemnisations des intermittents sautent, cela ne changera pas MA vie : je ne suis pas intermittents, ni professionnel, ni même vraiment magicien…

Mais ce qu’il faut garder à l’esprit, c’est que ces modifications seraient des nivellements par le bas.

Et qu’on trouve toujours plus bas que soi, pour se faire niveler son propre statut.

Dans cet esprit, ce qui arrive aux intermittents est intéressant pour tout le monde, cela indique la ligne politique actuelle, puisqu’ils sont sous les feux de la rampes, ce qui ne les change guère ;)

Donc, s’intéresser aux intermittents, aux artistes et à leurs problèmes, c’est un peu égoïste aussi.

En dehors du fait d’être « un encouragement à l’amour », bien sûr ;)

Gilbus.

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

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Certes il doit y avoir comme dans TOUTES professions des abus

Merciiiiiiiii !!

Chez les cadres, chez les fonctionnaires, chez les médecins, chez les intermittents, chez les plombiers,... Nous avons TOUS des exemples d'abus.

Est ce que parce que mon plombier m'a pris 80 euros pour 3 min de furet dans mon tuyau il faut supprimer tous les plombiers ? bien sur que non (par contre j'ai acheté un furet...).

On ne peut pas légiférer sur un statut ou une profession et se basant sur les abus possibles.

Pour mieux comprendre le réel, il faut parfois passer par l'imaginaire...

http://sebastienfourie.monsite.orange.fr/

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