Aller au contenu
Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !

Recommended Posts

Publié le

Bonjour à tous, je me demandais s'il existait des clubs qui restaient ouverts pendant les vacances; sur Paris peut-être?

Même si celà m'étonnerait quand même, mais on ne sait jamais.

amitiés

Drago

[ 28. Juillet 2003, 10:30: Message édité par : Thomas THIEBAUT ]

Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
  • Réponses 57
  • Créé
  • Dernière réponse

Membres les + Actifs

Publié le

Il n'y a pas que les clubs dans la vie du magicien.

Je ne suis pas sur que les clubs apportent beaucoup à ta créativité.

Les techniques ne sont rien sans la créativité et l'imagination. Et ça c'est très personnel et ça ne se travaille pas dans un club.

Que l'été et la fermeture des clubs réveillent l'imagination et le rêve qui sommeillent en vous.

Publié le

Attention, ne confondont pas club et club...

Meme s'il est vrai que certain club "officiel" privilegie la technique et autres routines, les club "non-officiel" stimule enormement la creativité... Les Crazy, les pizzas (et je suis sur l'illegal et le MCR mais je n'y suis jamais allé) sont des viviers d'imaginations...

A chaque rencontre des crazy druids, je repars avec peut etre une voir 2 techniques nouvelles ou amelioré mais surtout avec plein d'idées....

Donc, non les clubs ne sont pas un frein a l'imagination... c'est au contraire un gros coups de boost... il n'est pas rare de voir germer des idées (certaines completement folle) lors d'une rencontre entre magicien...

C'est aussi pour ça que j'aime bcp les crazy : rien d'officiel, rien de preparé, bazard complet, et surtout bonne ambiance... Meme si on repart "sans rien" on a toujours passé un super moment a faire les !BIP! entre magicien...

Le meilleur de la magie de noël.

(Enfin plus trop depuis que j'ai perdu l'enchere sur

"Sapin Blendo en exemplaire Unique" )

Publié le

Tu parles de créativité technique, mais qu'en est il du reste. La magie est là pour faire rêver, la technique pure ne fait qu'impréssioner le public. La technique doit servir à donner vie à la magie. Elle ne doit pas être utiliser seule, ce qui donne lieu à une succéssion de tours impressionants mais réducteurs pour notre art.

Il y a plus que le fait de créer de nouvelles techniques.

Est ce que ce plus se trouve dans les clubs non officiels.

Au fait qu'entends tu par club non officiel?

De mon oeil de spectateur, je suis lassé des succéssions de tours, sans poésie, sans mise en scène, sans fibre artistique, qui se contentent d'un étalage de techniques.

Publié le

Ombre, relis le post de Screech avant de lui répondre : il me semble que tu t'enflammes pour rien et que s'il te répond, tu t'appercevras aubout de 3 post que vous êtes d'accord.

Je crois d'ailleurs que tout le monde est d'accord pour dire ici, que la magie c'est mieux si la présentation est bonne.

Dépassons les débats stériles s'il vous plait.

Magicien, comédien, artiste de rue 

Publié le

J'ai relu le poste de Screech et je continue à m'enflammer [sourire] . Tu parles d'une bonne présentation, mais ça ne suffit pas. J'aime le close up, mais à mon avis il faut aller au delà. Il faut accentuer l'aspect artistique et donner vie à la Magie. Le spectateur ne doit pas ce dire "Quel bon illusioniste"; ou "quel bon technicien, je n'ai rien vu". Il doit retrouver ses rêves d'enfants, et l'espace d'un instant, d'une soirée, il doit croire à la magie.

Publié le

Pop pop pop.... J'ai jamais parlé de creativité technique ?

Ou alors je sais plus ce que j'ecris (c'est possible aussi ça m'arrive [Clin d'oeil] )

Je vais reprendre mes propos en essayant d'etre clair (C'est pas gagné [Clin d'oeil] )

Lorsque je parle de technique, c'est justement pour contraster... Quand je dit "Je repars avec 1 ou 2 techniques...." c'est pour montrer que oui, on est magicien et que malgrés tout ce que tout le monde dira, il n'y a pas de magie sans un minimum de technique... C'est obligatoire, mais 1 ou 2 techniques c'est ridicule, c'est minuscule, c'est que dalle...

c'est le comptage elmsley avec le petit doigt levé qui est mieux que lorsqu'il est baissé... C'est a ignoré....

Je ne vais pas dans ces rencontres non officiel pour les techniques.... J'y vais pour passer un bon moment, pour voir des potes magiciens, pour rigoler en parlant de magie...

Et souvant il s'avere que plus que les techniques, je ressort avec des idées. Et pas que des idées de techniques, je veux parlé d'idée generale.... Sur comment faire evoluer mon personnage, sur comment amelioré tel ou tel routine pour la rendre vraiment magique aux yeux du public, sur comment modifier mon boniment qui est à ch.er pour que le spectateur a qui je montrerais mon tour la prochaine fois ne s'em..rde comme un rat mort... Mais au contraire passe un bon moment avec moi, et pourquoi pas peut etre si j'ai de la chance revera t'il un peu... Mais bon, j'en suis pas encore la [Clin d'oeil] j'ai du boulot.. Je m'appel pas NF [Clin d'oeil]

Donc comme le dit Corneille, il nous aura fallu 3 messages pour nous rendre compte qu'on dit la meme chose... La seule difference, c'est que je ne pense pas que les club soient un frein a l'imagination, bien au contraire... Et dans le pire des cas... Si on y a pas appris quelques choses (technique ou non) on y a toujours passé un bon moment...

Allez dans les clubs... C'est bien... (<- mon nouveau slogan)

Juste un dernier point... Je suis pas sur que en s'enfermant a double tour dans sa cave, sa stimule notre creativité... Personnellement la mienne est stimulé en etant au contact des autres... Les club off ou non off sont trés bien pour ça...

[ 28. Juillet 2003, 17:43: Message édité par : screech ]

Le meilleur de la magie de noël.

(Enfin plus trop depuis que j'ai perdu l'enchere sur

"Sapin Blendo en exemplaire Unique" )

Rejoins la conversation !

Tu peux publier maintenant et t'enregistrer plus tard. Si tu as un compte, connecte-toi maintenant pour publier avec ton identité.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Restaurer la mise en forme

  Only 75 emoji are allowed.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédemment saisis, a été restauré..   Effacer le contenu

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.



  • Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
  • Messages

    • A défaut, il te suffit de présenter n'importe quelle routine de ton répertoire à tes spectateurs pour que ceux-ci puissent expliquer par la suite qu'ils ont vu un tour de Pierre (et à une lettre près, on n'est pas si loin de la demande initiale. Sans que cela ne te coûte un centime. Merci qui 😜 ?)
    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
  • Statistiques des membres

    • Total des membres
      8227
    • Maximum en ligne
      4524

    Membre le plus récent
    Niranjan SHIVARAM
    Inscription
  • Statistiques des forums

    • Total des sujets
      84k
    • Total des messages
      679k

×
×
  • Créer...